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Un signal fort envoyé à quelques jours de la Cop26. L’Arabie Saoudite, premier exportateur de pétrole brut au monde, vise la neutralité carbone d’ici à 2060, a annoncé ce samedi le prince héritier Mohammed Ben Salmane:

“J’annonce aujourd’hui l’objectif zéro émission de l’Arabie saoudite d’ici à 2060 grâce à une stratégie d’économie circulaire du carbone », a déclaré MBS dans une déclaration enregistrée au forum « Saudi Green Initiative”, à Ryad.

« Je suis heureux de lancer des initiatives dans le secteur de l’énergie qui vont réduire les émissions de carbone de 278 millions de tonnes par an d’ici à 2030, soit plus du double de l’objectif précédemment annoncé d’une baisse annuelle de quelque 130 millions de tonnes », a indiqué le prince héritier.

Guterres tire le signal d’alarme

 

Le royaume, qui est aussi l’un des plus grands pollueurs au monde, a ajouté qu’il participerait à l’effort international pour réduire les émissions mondiales de méthane de 30 % d’ici à 2030. 

 

Ces annonces ont lieu au lendemain de celles du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, qui a affirmé que la situation climatique ​actuelle était « un aller simple vers un désastre » et souligné la nécessité d'éviter un échec”lors de la conférence internationale sur le Climat à Glasgow, en Ecosse.

 

La COP26, qui se tiendra entre le 31 octobre et le 12 novembre, est considérée comme un moment crucial pour déterminer les objectifs de réduction mondiale des émissions carbone et lutter contre le réchauffement climatique. 

 

Des arbres par milliards 

 

En mars, Ryad avait dévoilé une vaste campagne pour réduire ses émissions, dont un plan visant à planter des milliards d’arbres  au cours des prochaines décennies. 

 

La cheville ouvrière de l’OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole) ambitionne par ailleurs de produire la moitié de son énergie à partir d’énergies renouvelables d’ici à 2030, selon les déclarations de l’époque du prince Mohammed ben Salmane. 

 

L’Arabie saoudite utilise actuellement du pétrole et du gaz naturel pour répondre à sa propre demande d’électricité, qui croît rapidement, et pour dessaler son eau, ce qui nécessite quotidiennement d’énormes quantités de pétrole. 

 

Au même moment, le géant de l’énergie Saudi Aramco fait l’objet d’un examen minutieux de la part des investisseurs sur ses émissions.

 

N.R.M

Published in International

Washington a notifié l’Organisation des Nations unies de cette décision qui prend effet dès le 04 novembre 2020.

 

Les Etats-Unis ont finalement tenu parole au sujet de l’Accord de Paris sur le climat en confirmant leur retrait. Dans une correspondance adressée au secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), Antonio Guterres, Washington annonce de manière formelle son départ de ce traité adopté lors de la Conférence de Paris sur les changements climatiques (COP21) tenue le 12 décembre 2015 et reconnu à ce jour par 197 pays du monde.

« Aujourd’hui, les États-Unis entament le processus de retrait de l’accord de Paris. Conformément aux termes de l’accord, les États-Unis ont soumis une notification formelle de leur retrait aux Nations unies. Le retrait sera effectif un an après la notification », a déclaré, dans un communiqué, Mike Pompeo, le secrétaire d’État américain.

Par cette annonce, les Etats-Unis matérialisent tout simplement une promesse faite le 1er juin 2017 par Donald Trump, quelques mois seulement après son arrivée à la Maison blanche. « L’heure est venue de quitter l’accord de Paris. J’ai été élu pour représenter les habitants de Pittsburgh, pas de Paris », avait alors lancé le président américain.

Mais, ce projet ne sera effectif qu’à partir du 4 novembre 2020, au lendemain de la proclamation des résultats de la prochaine élection présidentielle aux Etats-Unis, à laquelle Donald Trump entend briguer un second mandat. En raison d’une clause inscrite dans l’accord de Paris qui déclenche le compte-à-rebours qu’un an avant tout retrait, la notification de Washington ne pouvait intervenir plutôt.

Aussitôt après l’annonce des Etats-Unis, la présidence française a réagi comme pour le déplorer. « Nous le regrettons et cela rend encore plus nécessaire le partenariat franco-chinois sur le climat et la biodiversité», a déclaré l’Elysée. Alors que le président Emmanuel Macron se trouve à Shanghai dans le cadre d’une visite en Chine, où ce mercredi, la lutte contre le réchauffement climatique pourrait justement figurer parmi les sujets à l’ordre du jour d’une rencontre entre Emmanuel Macron et Xi Jinping.

 

N.O

 

Published in International

C'est une source potentielle de financement supplémentaire dont dispose désormais le Cameroun pour la mise en place d’une économie capable de résister face aux effets du changement climatique. Le pays devient ainsi éligible aux financements alloués par le Fonds vert pour le climat.

 

Le phénomène du changement climatique présente des effets très néfastes pour l'environnement dans toutes ses composantes parmi lesquelles l'homme se trouve au centre. C'est donc, conscient du potentiel impact du changement climatique sur la nature que le Cameroun a en effet, établi son programme national climat. Il s'agit ici, d'un programme qui expose sans ambiguïté les différentes stratégies à mettre en place pour la préservation de son écosystème. Le programme pays Fonds vert pour le climat est un instrument conçu par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature. Et c'est sur la base de ce document financé par le Fonds vert pour le climat que des projets prioritaires ont été élaborés pour l’atteinte des objectifs fixés.

Pour Pierre Hélé, le Ministre camerounais de l'Environnement, de la Protection de la Nature et du Développement Durable : « Les projets inscrits dans ce document de stratégie conçu de manière concertée devront dès l’année prochaine, être traduits en notes conceptuelles et en proposition de financement ». 

Des financements en vue qui permettraient donc au Cameroun de mieux concrétiser et de renforcer sur le terrain sa politique nationale de lutte contre le changement climatique et par ricochet de contribuer efficacement à la protection de l'environnement. 

 

Innocent D H

Published in Finances

Réunis à Brazzaville le 07 septembre dernier pour une réunion extraordinaire, les ministres de la CEEAC ont adopté une position commune de l’Afrique Centrale dans le cadre du Sommet de l’Action Climat prévu le 23 septembre prochain aux Etats-Unis.

 

Les Ministres de l’Environnement et des Affaires étrangères des Etats membres de la Communauté économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC), se sont réunis le 07 septembre 2019 en Réunion extraordinaire en vue d’adopter une position commune de l’Afrique Centrale dans le cadre de l’Action sur le Climat  prévu le 23 septembre 2019 à New York aux Etats-Unis d’Amérique.

Ces Ministres ont rappelé dans cette déclaration commune, l'impact des changements climatiques sur la stabilité des écosystèmes, la production agricole, la sécurité alimentaire et nutritionnelle, les activités économiques et la santé ; la paix et sécurité des États et les déplacements des populations. Ils ont également  relevé avec  préoccupation que l'Afrique qui subit le plus les effets des changements climatiques du fait de sa grande vulnérabilité est le continent qui contribue le moins aux émissions mondiales de gaz à effet de serre.

A cet effet, ils ont décidé, concernant les Solutions fondées sur la nature, de s’engager  à entreprendre et accélérer avec les ressources financières internes et externes conséquentes les actions déjà initiées dans la sous-région. Sur le plan politique et institutionnel, les Etats membres de la CEEAC se sont engagés  entre autres, à opérationnaliser et structurer le système de l'économie verte en Afrique centrale au niveau régional et national à travers notamment la mise en œuvre des 33 programmes sectoriels de développement et de promotion de l'économie verte. 

Toujours sur ce point, ils ont soutenu qu’ils vont assurer le développement et la promotion de l'économie bleue en Afrique centrale et ses 24 programmes sectoriels ; promouvoir les activités de la Commission des Forets de l’Afrique Centrale (COM IFAC)  et de la Commission Climat du Bassin du Congo ; faire le plaidoyer de la dynamisation de l'initiative « Sommet des Trois Bassins Forestiers », plateforme politique Sud-Sud de gestion des forêts de l’Amazonie, du Bassin du Congo et de Bornéo-Mékong.

Ces Etats promettent d’assurer l'opérationnalisation du Plan d’Action Régional sur la mise en œuvre des Contributions Déterminées Nationales adopté en 2016 à Kinshasa ; d’étendre à tous les pays de l'Afrique Centrale, les programmes de développement durable des ressources forestières et de protection de l'environnement en cours, comme le Programme ECOFAC 6 et l'Initiative des Forêts d'Afrique Centrale (CAFI) ; d'envisager l'extension à toute la sous-région du projet de gestion des feux de brousse de la RDC financé par le programme CARPE, l’USAID et l'US Forest Services.

 

Marie MGUE

 

Published in Société

C’est dans le cadre d’une « Consultation des acteurs non étatiques pour le climat et examen du niveau de mise en œuvre nationale de l’ODD13, par rapport aux engagements de paris 2015 et proposition des voies d’optimisation CPDN (Contribution Prévue Déterminée Nationale) » : Thème prévu pour conduire les travaux.

 

Justification

Les acteurs non-étatiques représentent un segment important de la société, celui fournissant les biens et les services, créant des emplois, attirant les investissements, dirigeant l’innovation et, augmentant le niveau de vie de la population ,car ils sont prêt des communautés à la base. Cependant, pour accomplir leurs missions, ils doivent être en mesure d’évoluer dans un environnement juridique et réglementaire cohérent.

l’expérience de nombreux pays montre que pour obtenir un tel environnement, il est indispensable que cette tranche d’acteurs participe ouvertement au processus d’élaboration des politiques ,plans et stratégies pour le développement durable des communautés la base et du citoyen lambda .

 

L’importance des assises de Yaoundé

Les experts réunis dans la salle de l’auditorium du Minepat,  entendent entre autres tabler sur la mise à jour de l'état de l’art, de même que sur la mise en œuvre des objectifs de développement durable au Cameroun, tout en facilitant l'apprentissage entre pairs, l'échange d'expériences, l'identification des enseignements tirés du DSCE-tome-1…

Jusqu’à ce vendredi, les travaux, entrecoupés par les échanges entre participants vont se dérouler sous la forme de renforcement des capacités avec comme principale source, les principaux documents cadres du DCCE.

Quatre groupes de réflexion sont prévus, avec des sujets tels que :

-         Les actions du Gouvernement : Présentation de l’ODD 13, son importance et ses implications profondes sur le développement nationale durable.

-         Faire progresser le programme 2030: enseignements tirés du DSCE-tome-1, jusqu'où pouvons-nous aller avec le DSCE-tome-2?

-         Comment le Cameroun peut- rendre sa contribution pour parvenir à une decarbonissation durables des territoires à l’horizon 2035? 4

-         Elaboration des manifestes publications d’une déclaration des acteurs non-étatiques pour le climat sur l’adoption DSCE-tome-2.

Par ailleurs, de nombreuses thématiques ont été listées par les experts : - Verdissement de DSCE : Apports des projets de développement axés sur la réduction de pourcentage des émissions de gaz à effet de serre par les plantations forestières au Cameroun - DSCE et objectifs de développement durable : Objectifs et suivi par les organisations de la société civile - Lutte contre les changements climatiques : Urgence d’une consultation permanente des OSCs dans la prise des décisions - Nécessité d’intégration inclusive pour une démarche durable à l’horizon 2035 : Pistes de solutions durable-propositions - Vers l’ordre en environnement, foret et faune au Cameroun: quel profil et quelle préparation pour son intégration -  Conséquences de l’utilisation abusive des pesticides sur la santé et l’environnement - Entrepreneuriat écologique : Une niche d’emploi - Vers l’ordre en environnement, foret et faune au Cameroun: quel profil et quelle préparation pour son intégration…

Ce vendredi, la séance plénière va permettre aux uns et aux autres, de proposer des plans climat, visant à réaliser les réductions d’émission nécessaires pour limiter la hausse de la température mondiale à «bien en deçà» de 2 °C du réchauffement, en vertu de l’accord de paris.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Published in Société






Sunday, 05 June 2022 11:01