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Le Syndicat national des journalistes du Cameroun condamne le limogeage de Jean Jacques Ze et demande au Groupe L’Anecdote de faire attention avec la prise de pareilles décisions.

Depuis hier 21 avril 2021, Jean Jacques Ze a été démis de ses fonctions de Directeur général (DG) de Vision 4. Dans la note officielle signée par son employeur Jean-Pierre Amougou Belinga président du Consortium L’Anecdote, il est dit qu’on lui reproche une «faute lourde». Et selon des indiscrétions, cette faute concerne le fait que Jean Jacques Ze se soit désolidarisé d’un reportage diffusé sur Vision 4 et qui présente l’activiste J.P Rémy Ngono comme un singe.

Le Syndicat national des journalistes du Cameroun (SNJC) mis au parfum de la situation actuelle de Jean Jacques Ze dénonce la sanction qui lui a été infligée.

Retrouvez ci-dessous le communiqué du SNJC  

Le Syndicat National des Journalistes du Cameroun via sa section Centre, prend acte de la décision par voie de communiqué rendu public le mercredi 21 avril 2021 sur les antennes de la chaîne de télévision Vision4, qui relève de ses fonctions de Directeur Général, le Journaliste Jean Jacques ZE.

Le SNJC dénonce avec la dernière énergie cette décision, en violation grave des usages en vigueur en la matière.

Notamment :

– L’absence de convocation de l’incriminé pour un entretien préalable

– L’absence de notification de la faute qualifiée de grave à l’intéressé

– L’impossibilité pour l’employé d’organiser sa défense

-Relève le caractère discriminatoire de la dite décision, en violation de la Convention Numéro 111 de l’Organisation Internationale du Travail. Bien plus du risque qui pèse sur l’ensemble des travailleurs de cette entreprise qui exercent pour la plupart sous des contraintes.

– Attire l’attention du top management du Groupe l’Anecdote quant aux risques decoulant d’une telle initiative dans un environnement où l’emploi est de plus en plus précaire.

– Fustige l’attitude de l’Etat du Cameroun, qui semble avoir démissionné de son rôle de régulateur, au point de clochardiser la profession de journaliste.

– Réitère la volonté du Syndicat National des Journalistes du Cameroun, de voir une presse beaucoup plus libre et où les droits des travailleurs sont respectés.

En attendant que notification soit officiellement faite à l’intéressé, le Syndicat National suit attentivement l’évolution de cette affaire qui concerne directement l’un de ses membres et se réserve tout droit d’intervenir, en temps que de besoin.

Pour le Syndicat National des Journalistes du Cameroun Section Centre, le Président, Thierry Eba

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Comme nous le disions dans un précédent article, cette histoire n’avait pas livré son fin mot. Et comme nous vous le faisions savoir, il s’agissait, ni plus ni moins d’une histoire cousue de fil blanc.

 

Dans une vidéo qu’elle a elle-même pris soin de diffuser sur les réseaux sociaux, dame Vanessa Nguembou a tenu à présenter ses excuses au journaliste Nathan Amougou et à sa famille, de même qu’à toute la maison Vision 4 dont l’image s’est ainsi vue être écorchée par cette scabreuse affaire. La jeune dame reconnaît clairement qu’elle a cédé à une idée que lui a proposée sa voisine. C’est cette dernière qui a conseillé, après les évènements de la matinée, de mener des actions sur les réseaux sociaux pour nuire à l’image du célèbre journaliste de Vision 4. Une amende honorable qui vient clore cette affaire qui sentait déjà le montage seulement dans sa formulation.

 

De plus, dans sa version des faits, le journaliste Nathan AMOUGOU laisse bien entendre qu’il n’a jamais été question d’injures ethniques, raciales ou quoi que ce soit. « Voilà la vérité. Je suis dans mon chantier ou on creuse ma fosse septique et mon puisard. Une dame s'amène je lui fais comprendre que par mesure de prudence elle doit contourner car c'est une propriété privée. Elle insiste et je la mets donc hors de mon camp. Elle s’est mise à m'insulter et à afficher sur Facebook que je l'ai bastonné. Vraiment incroyable. Là où elle a filmé c'est dans mon chantier ».

  Nathan Amougou accusé et jeté à la vindicte populaire par une habitante de Nkoabang

Comme cette jeune femme, ils sont nombreux qui usent très souvent de situations équivoques, surfent dessus pour ternir l’image et la notoriété des personnalités. Et dans le cas présent, de la station de télévision Vision 4, qui, comme on le sait a pris du temps et a fait un certain travail pour démontrer qu’ils restent un média ouvert à tous les camerounais. Et non un média qui prône le tribalisme et l’ethnicité comme on aurait voulu le faire croire. Il était hors de question pour Vision 4 de laisser dans ses rangs un journaliste qui tiendrai de tels propos. Car sa réputation devait une fois de plus être engagée. Alors que la communauté nationale est en pleine réconciliation, il était mal venu de remettre sur la scène des velléités de divisions. Heureusement que tout cela n’était que mensonge et calomnie.

 

Stéphane NZESSEU

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Cette jeune dame accuse le journaliste de vision 4 de xénophobe et de tribaliste. Et se dit même avoir été physiquement brutalisé par un proche du journaliste dans une des ruelles du quartier Nkoabang à Yaoundé.

 

C’est par une alerte sur les réseaux sociaux que la jeune dame démarre la vendetta contre l’éminent journaliste de Vision 4. Elle dit se nommer Nguembou Vanessa. « J'ai 28 ans et mère d'une fille. J'ai été victime hier d'une agression physique de Mr Nathan Amougou journaliste de la chaîne de télévision vision 4. En effet, j'habite depuis plusieurs années le quartier Nkoabang au lieu-dit « 11ème arrêt ». Comme la plupart des femmes du quartier, j'ai peu de moyens et je dois souvent me rendre au moulin à écraser lorsque je fais à manger à ma petite famille. Nous avons (moi y compris) d’emprunter un chemin pour se rendre au moulin, ce chemin passe par une devant une maison depuis en chantier.

 

Hier donc, en matinée, je me rendais au moulin comme d'habitude, et là lorsque je traverse cette maison je constate qu'il y'a des travaux, et subitement un monsieur surgit, je ne l'avais jamais vu là, c'est Nathan Amougou, il me  dit << passe vite, ce n'est pas une scène de théâtre ici>>, je lui rétorque que je passais justement et qu'il aurait pu être poli, lorsque mon accent me trahit, il bondit sur moi et me cravata en disant << allez faire ça chez vous les Bamileké, ici je suis chez moi>>, il m'a pousser hors de sa concession, c'est en ce moment qu'un monsieur qui était avec lui est venu me trouver en route pour me rouer de coups , et me tirant les cheveux.

Je suis rentrée chez moi, humiliée, et copieusement battue. Je précise que cette scène s'est déroulée devant témoins. J'ai entrepris de porter plainte, mais je voulais dénoncer cet acte de xénophobie, de tribalisme et de haine. »

 

Des déclarations qui sont loin de la réalité des faits. Il faudrait vraiment être aliéné pour croire que le journaliste déciderait comme ça de se lever et poser des actes qu’il réprime lui-même et fustige à chaque fois qu’il en a l’occasion. De plus, elle avoue dans son accusation que ce n’est même pas le journaliste qui a porté la main sur elle. Mais dans les heures à venir, nous reviendrons avec plus de détails sur cette affaire et l’on comprendra alors que tout ceci n’est qu’une belle histoire cousue de fil blanc.

 

Stéphane NZESSEU

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Cette accusation est celle d’un certain Bashirou Mamuda. Un ancien partenaire d’affaires de Jean Pierre Amougou Belinga, le Président Directeur Général de Visions 4 télévision. Dans une bande sonore en circulation sur les réseaux sociaux, le concessionnaire automobile fait le déballage d’une mafia qui ne dit pas son nom.

 

Dans la bande sonore en question, on peut entendre Mr Bashirou Mamuda dire : « Je dis et je réaffirme que Amougou a quelqu’un à Vision 4 qu’il fait imiter la voix du Président de la République. Cette personne, tenez-vous tranquille, c’est Major Asse. Il appelle des ministres se passant pour Paul BIYA, pour demander à ces ministres de donner tel ou tel marché à Amougou. (…) J’ai des preuves. Je donnerai les noms de ces ministres qu’il a appelé pour donner des marchés à Amougou faisant croire que c’est le Président Paul BIYA… »

Des accusations graves à l’endroit du présentateur de l’émission « Women’s Stories » sur la télévision panafricaine. Selon cet ancien collaborateur du PDG de Vision 4, ce dernier a mis en place au sein de sa structure une industrie pour le trafic d’influence en direction des ministres de la république. Le stratagème consiste à faire appeler les patrons des départements ministériels à des heures tardives par cet humoriste qui imite la voix du chef de l’Etat ; l’objectif, faire comprendre à ces personnes qu’ils ont intérêts à donner certains marchés au patron de Vision 4. Ces ministres qui se voyaient être honoré d’être appelé par le grand patron obéissaient sans se poser plus de questions. Ce qui a pour conséquence non seulement d’enrichir de manière fulgurante le magnat des médias, mais davantage d’installer un sentiment de crainte très poussée de la personne dans les couloirs de l’administration camerounaise.  Les ministres qui ne rencontrent presque jamais ont alors le sentiment que Amougou Belinga est très écouté par le Nnom Ngui’i.

Or d’après le dénonciateur, Mr Bashirou Mamuda, le PDG n’a aucun contact avec le Président de la République. Certaines mauvaises langues soupçonnent même qu’il soit un ennemi prononcé du Secrétaire Général à la présidence de la République, le ministre Ferdinand Ngo Ngo. Toujours selon les déclarations de cet ancien partenaire de Mr Amougou Belinga, ce dernier aurait mis dans des véhicules de certains ministres régulièrement invités sur sa télévision, des dispositifs de tracking et d’écoute devant servir à d’éventuels chantages. Mr Bashirou annonce encore des déclarations plus incendiaires sur le patron du groupe l’Anecdote. Mais la question que tout le monde se pose est celle de savoir si la justice s’intéressera à ces affaires.

Stéphane NZESSEU

Published in Judiciaire

L’information a été rendue publique ce mardi, 07 juillet 2020 par une note signée de Jean Pierre Amougou Belinga, le Président Directeur général (PDG) du groupe l’Anecdote. Jean Jacques Ze a été remplacé par Jean Bruno Bidjang, son confrère de la même chaîne. 

 

Le PDG du groupe l’Anecdote continue de faire parler de lui à travers d’interminables décisions de limogeage au sein de la chaîne de télévision privée Vision 4 émettant depuis Yaoundé, la capitale du Cameroun. Après avoir écarté Ernest Obama de la course le 18 juin dernier, Jean Pierre Amougou Belinga vient de décider de l’application des mêmes sanctions à l’endroit de Jean Jacques Ze. Celui-ci a été remplacé de son poste de Directeur adjoint de Vision 4 par Bruno Bidjang. Des sources internes à cette entreprise de presse font également indiquer que, la voiture de fonction du présentateur vedette du journal télévisé lui a été retiré. 

Le limogeage de Jacques Ze n’est pas le seul mouvement opéré au sein de Vision 4 par le patron du groupe l’Anecdote. De sources crédibles, Mani Esther, la directrice des ressources humaines a également subi la foudre décisionnelle de Jean Pierre Amougou Belinga, ce 07 juillet 2020. 

Ainsi, la nomination de Bruno Bidjang est accompagnée de celle de Mathieu Wamba qui devient sous-directeur en charge de l’information. A ce poste, il remplace Pie Bruno Omgba. Dans cette vague de remaniements, Salamatou Badiang devient correspondante de la chaîne Télésud au Cameroun succédant à Debeau Andebe qui, dans un récent mouvement venait d’être porté à ce poste.   

En rappel, Jean Pierre Amougou Belinga à l’occasion de la visite du chantier de construction de « Deux tours jumelles » qui abriteront le futur siège du groupe l’Anecdote le 01er juillet dernier, s’est exprimé sur l’environnement sociopolitique qui prévaut, notamment sur ses « frères » Beti.

L’homme d’affaire avait alors lancé, « la plupart des difficultés que nous rencontrons, viennent de nos frères de la région du Centre. L’homme beti est foncièrement paresseux, malhonnête, sournois, cynique, méchant ». Des propos qui ont suscité dans la foulée, une chaude réaction des Betis qui avaient donné un ultimatum de 72 heures au patron de Vision 4. Se sentant « insulté en mondovision », ils ont demandé au magnat des médias de leur présenter ses excuses avant la fin de cet ultimatum sous peine de se voir traîner en justice. 

 

Innocent D H  

 

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Selon des sources, l’interpellation d’Ernest Obama a eu lieu ce jeudi 18 juin 2020, au siège du groupe L’Anecdote, à Yaoundé.

 

Des sources révèlent qu’Ernest Obama a été arrêté ce matin au siège du groupe L’Anecdote. Médiatude qui relaie aussi l’information, rapporte que selon des sources internes dudit groupe, l’ancien Directeur général de Vision 4 a été conduit au Secrétariat d’Etat à la Défense. Certains employés de Vision 4 joints au téléphone ont confirmé l’information relative à l’interpellation d’Obama. Cependant rien ne filtre sur les raisons de son interpellation. 

 

Nous reviendrons dans nos prochaines publications sur cette information.

 

Liliane N.

 
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Après une quasi altercation sur le plateau de « Tour d’Horizon » mardi dernier, Ernest Obama n’est plus revenu sur le petit écran. Et même ce dimanche, l’émission dont il est le présentateur attitré, « Club d’Elite » est présentée par un autre ténor de la boîte, Jean Jacques ZE.

 

Cette autre crise entre les deux hommes est parti d’une discussion sur le plateau de la chaîne au cours de l’émission « Tour d’Horizon » de mardi dernier. Comme c’est l’habitude, le présentateur revient sur les sujets qui font l’actualité au Cameroun et à l’international, puis passe la parole au panel qui mène la réflexion sur le sujet proposé.

Le style léché des interventions et parfois la brutalité des analyses ont su accrocher un auditoire devenu inconditionnel depuis des années. Très souvent il arrive sur le plateau que les « Dinosaures » ne partagent pas le même avis. Mais on a souvent pu le voir, c’est dans un respect et une courtoisie de retenue que les uns et les autres réussissent souvent clore les 90 minutes d’antenne.

Mais cette fois ci, le bouchon est allé un peu plus au-delà de la ligne. Le sujet posé par Parfait Ayissi sur la table de réflexion, en tant que modérateur du jour, porte sur la mise à l’écart du précédant patron de la DRPJ du Centre. Dans son introduction, Parfait AYISSI utilise l’expression « débâcle » pour qualifier sa mise à l’écart.

Or, son confrère et collaborateur, tend à le corriger en lui rappelant qu’il ne s’agit pas d’une « débâcle », mais d’une « suspension » pour trois mois. Le modérateur reprend la parole et insiste sur le mot « débâcle ». Au même moment, il s’offusque de cette attitude de son collègue. Qui selon ce que dit Parfait Ayissi sur les antennes, était bien présent quand on leur donnait l’information.

Annette Koumbe nommée Commissaire divisionnaire de la police judiciaire du Centre

De plus, il sait très bien quelle est la source. Il ne comprend pas pourquoi Ernest Obama insiste pour « défendre » l’ancien DRPJ. Le modérateur lui donne de comprendre que c’est un mauvais jeu auquel il s’expose. Visiblement, ce sont les conséquences de cette prise de tête que le journaliste Ernest Obama paierait ces derniers jours. Mais sachant les liens qui le lient au PDG de la boîte, il va de soi que c’est tout simplement temporaire.

Toutefois, les deux hommes sont visiblement repartis dans un conflit comme ils en ont souvent eu au sein de l’administration de Vision 4 Télévision. Ce n’est pas la grande sérénité entre les deux hommes. Il faut le rappeler, il existe un réel conflit de leadership entre les deux hommes depuis les débuts de leurs collaborations dans les années d’arrivée d’Ernest Obama au sein de l’écurie Anecdote.

Des clivages qui se sont exacerbés avec les allés et retours de l’un et de l’autre à la fonction de Directeur Général de la boîte. Ernest Obama qui d’après les témoignages de plusieurs à l’intérieur a très souvent des attitudes qui ne facilitent pas une bonne collaboration avec ce dernier. Ce qui a pour conséquence de créer des clans au sein de la rédaction, voir au sein de l’entreprise.

Seulement, ce sont des professionnels et ceci devrait suffire pour leur donner de garder saufs les objectifs d’expansion de la chaîne.

 

Stéphane NZESSEU 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01