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Le quartier Olembé abritera la nouvelle gare à Yaoundé. A la fin des travaux, l'espace de 2.5 hectares va accueillir les voitures des agences de voyages installées dans les quartiers Etoudi, Tongolo et Manguiers.

 

C’est depuis le mois de décembre 2019 que les travaux ont été lancés sur le site de construction de la nouvelle gare routière de Yaoundé, au quartier Olembé. Les travaux devraient être terminés en mars 2020. Sur le terrain, au lieudit «entrée mosquée», des Caterpillars sont visibles. Grâce aux allers-retours de ces engins, le sol est progressivement aplani et recouvert de gravier.

A la Communauté urbaine de Yaoundé, l’on renseigne que pour la construction de ce nouvel espace, il est prévu des espaces aussi bien pour les agences de voyages ayant des moyens que pour les petits transporteurs : « des halls d'embarquements, des espaces pour garer leur bus doivent être aménagés. Des plateformes pour les petits transporteurs qui desservent les petites localités ou qui travaillent individuellement seront construits ».

Des aires d’attentes et de repos sont prévues pour les grumiers qui ne sont pas autorisés à traverser la ville à une certaine heure. Il est également envisagé une petite aire pour la vente en gros ; une plateforme pour le stockage des matériaux et des vivres frais. C’est sur cette aire que devraient se faire les échanges entre les grossistes, les producteurs et les revendeurs.

Il est aussi prévu un bâtiment pour l'hébergement. Des aires de restauration sont aussi prévues. Des galeries marchandes pour vendre tout ce qui accompagne l’activité de transport. Les voyageurs y pourraient retrouver des produits de première nécessité. La société de transports et d'équipements collectifs de Yaoundé (Stecy SA) et le Bus rapide transit (Brt) devaient y être délocalisés.

C’est depuis 2012 que des études ont été effectuées pour la construction de ce nouvel emplacement. En 2020, de nouveaux aménagements sont prévus. Ils doivent prendre en compte l’élargissement de la gare routière proprement dite. Les principaux modules devraient rester. Des modifications concernent beaucoup plus l’augmentation de la capacité des aires de stationnement.

Au terme des travaux, les agences de voyages devront automatiquement rejoindre ce nouveau site. D’ailleurs, le délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé a déjà informé les concernés. En effet, dans un communiqué signé le 23 décembre 2019, Gilbert Tsimi Evouna demande aux responsables d’agences de voyage de prendre les dispositions nécessaires en collaboration avec les services techniques compétents de la municipalité pour leur délocalisation sur la plateforme d’Olembé.

Pour l’heure, aucun responsable ne s’est rendu auprès des services techniques, révèle le Dr Jean Patrick Mfoulou du service des transports et de la circulation à la Cuy. «Les activités ont véritablement repris ce jour (06 janvier), nous croyons que dans les jours avenirs, ils viendront s’enquérir de ce communiqué. Pour le moment, nous sommes dans la phase de sensibilisation, d’information, des réunions de concertation se tiendront également», expose-t-il.

 

Liliane N. 

 

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L’entreprise canadienne est déjà à pied d’œuvre. La nouvelle responsable du parachèvement des travaux de construction du stade Paul Biya est mobilisée, et ses équipes s’installent déjà sur le chantier d’Olembe.

 

Répondant aux questions de journalistes, Monsieur Franck Matière, le vice-président du groupe de construction canadien a tenu à rassurer les camerounais et l’opinion publique internationale sur sa capacité à terminer dans les délais ce nouveau challenge qui se présente à son entreprise. Il dit avoir pris connaissance des plans des travaux, ses équipes et lui sont au fait de ce qui a été réalisé jusqu’ici et ce qui reste à faire. Il prétend avoir une telle connaissance des défis qu’il s’est déjà fixé un plan d’action d’urgence.

D'après son management, la société MAGIL va dans un premier temps commencer par terrasser les aires de jeu. Celui u grand stade et celui du stade annexe. Car pour être dans les délais il va falloir planter le gazon bien avant le mois de Mars prochain. Et travailler à ce qu’il soit opérationnel avant la fin de l’année pour une compétition qui devrait se jouer en janvier – février 2021. Ces opérations de terrassement devraient démarrer dès que possible. D'ailleurs, le groupe MAGIL a déjà fait monter 31 camions sur Yaoundé. Des camions transportant essentiellement des gros engins pour le chantier. Ces différents camions étaient dores et déjà visible sur le chantier ce mardi.

Mais il faut attendre le départ effectif des engins de PICCINI du chantier. Ce qu’ils ne sont pas visiblement pressés de déplacer. L’entreprise italienne dont le contrat a été unilatéralement abrogé par la partie camerounaise, et le ministre des sports et de l’éducation physique, est en cours de procédure de contestation de cette décision du gouvernement que PICCINI qualifie de non fondé voir arbitraire. De toutes façons, les procédures s’annoncent longues. Mais qui peut dire si PICCINI va bloquer le chantier ou tout au moins limiter son accès en y laissant ses engins. Difficile à dire en l’état de la situation de crise entre les deux parties.

Franck Matière, le Vice-président de MAGIL a annoncé qu’en plus de ces 31 camions venus de Douala, plus d’une trentaine d’autres camions arriveront sur le chantier d’Olemebe avant la fin de la semaine. Question de se lancer le plus vite dans la construction. Puisque tout le monde le sait, le Cameroun est désormais dans un contre la montre avec la Confédération Africaine de Football (CAF). La CAF qui venait de déplacer la période de la phase finale de la CAN, du mois de juin – juillet pour la période de Janvier – Février.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Le groupe Piccini dans un communiqué rendu public, dit donner 72 heures au Ministère des Sports et de l’Education physique pour le réhabiliter dans ses droits.

 

La construction du Stade Olembe a été retirée à l’entreprise italienne Piccini. C’est une décision qui a été prise par Narcisse Mouelle Kombi le Ministre des Sports et de l’Education physique (Minsep). C’était le 29 novembre 2019. Pour justifier cette décision, le Minsep a évoqué entre autres, l’a rrêt des travaux non autorisés par le maître d’ouvrage, l’abandon du chantier dûment constaté par voie d’huissier et par procès-verbal administratif, la défaillance de l’entreprise caractérisée par le non-respect des engagements contractuels et des ordres de services s’y rapportant, la sous-traitance avérée des prestations contractuelles sans autorisation du maître d’ouvrage et la violation de la législation sociale caractérisée par l’accumulation des arriérés de salaires des travailleurs.

Après un petit mutisme, l’entreprise italienne s’est résolu à travers un communiqué presse parvenu à notre rédaction de donner sa version des faits. En somme, Piccini ne se reconnaît pas dans les reproches suscités, que lui fait le Minsep. Dans son communiqué, il mentionne des réunions tenues les 18 et 19 octobre 2019 dans le cabinet du Ministre. Lors desdites réunions, le Minsep avait indiqué que toutes les mesures devaient être prises pour que le Stade soit livré à la fin du mois d’avril 2020. De ce fait, Narcisse Mouelle Kombi s’était engagé pour « un accompagnement financier avec paiement des décomptes en urgence ».

Gruppo Piccini fait savoir que le Ministère n’a jamais respecté son engagement. En dépit de cela il a respecté le nouveau chronogramme pour l’exécution des travaux. « Après que les autorités camerounaises aient confirmé cette volonté d’accompagnement du projet, en attendant les décomptes, par une garantie bancaire en vue de permettre à l’entreprise de refinancer l’accélération du projet. Après la requête de prorogation des financements italiens à la date du 31 mars 2021 introduite par le gouvernement camerounais le 7 novembre 2019 », écrit-il.

L’entreprise italienne indique que le choix de son remplaçant a été fait avant même la décision contestable de résiliation. D’où la décision qu’elle a choisi de prendre. « En tout état de cause, il est de notre juste et légitime droit de communiquer que la décision du Ministre est un acte administratif susceptible de tout recours approprié. Il va donc s’en dire qu’à défaut d’une annulation de cette décision dans les 72 heures, Gruppo Piccini fera valoir ses droits et entamera les procédures pour protéger ses intérêts sur le plan national et international »,  peut-on lire dans le communiqué signé le 30 novembre 2019.

 

Liliane N.

 

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Le membre du Gouvernement en charge des Sports constate une importe lenteur du rythme des travaux sur le terrain et prescrit à l’entreprise adjudicataire, plus de célérité dans l’exécution des travaux. 

 

Les échéances sportives s’approchent à grands pas. Pour ce faire, il ne faut pas faire dans la dentelle, le rythme des travaux du stade d’Olembe doit être accéléré pour le respect des délais. Narcisse Mouelle Kombi, le Ministre des Sports et de l’Education physique, conscient de cette réalité, a effectué ce mercredi 23 octobre 2019 une descente à ce stade pour évaluer l’état d’avancement des travaux sur le chantier. 

Les travaux ont certes repris sur le site, mais Narcisse Mouelle Kombi mise sur la prudence. Il a instruit que les choses s’accélèrent. « Accélérer le rythme des travaux, à multiplier les postes de travail dans la perspective de la bonne organisation de cette importante compétition qu’est la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) », a prescrit le Ministre des Sports et de l’Education Physique.

De cette visite, l’on apprend également que le planning des opérations conçu par Benoît Fabre, manager des projets du groupe Piccini, est que dans les trois prochaines semaines sont attendus 750 ouvriers qui auront pour mission, l’achèvement du chantier du chantier du stade. Il faut remarquer que depuis le dernier passage du Ministre, 97 conteneurs de matériels ont été réceptionnés sur le site. 

Pour l’heure, le chantier vibre au rythme du contrôle qualité de l’infrastructure pour l’évaluation des dommages subis durant la période d’arrêt des travaux, de l’assemblage qui concerne la métallerie, et de l’aire de jeu. 

Il faut préciser que le groupe Piccini doit livrer ce stade d’une capacité de 60.000 places en février 2020. 

 

Innocent D H

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C’était au cours d’une cérémonie présidée mercredi dernier à Yaoundé par Célestine Ketcha Courtes, ministre de l'Habitat et du Développement urbain.

 

Six ans après avoir payé les frais d’acquisition, 32 appartements sis en plein cœur des logements sociaux d’Olembe à Yaoundé ont été officiellement rétrocédés à leurs propriétaires. Une cérémonie de remise des clés à 32 propriétaires (sur les 205 enregistrés) qui a été présidée mercredi dernier par le ministre de l'Habitat et du Développement urbain (Minhdu), Célestine Ketcha Courtes. « Il s’agissait de 32 appartements figurant dans un lot de 60 acquisitions compris dans 3 bâtiments », précise Cameroon Tribune.

 

Des premiers acquéreurs qui ont poussé un vrai ouf de soulagement. « Au-delà du désespoir dû à la longue attente, ces logements vont enfin nous permettre d’avoir un appartement respectable », déclare l’un d’eux dans les colonnes du journal en kiosque ce vendredi.

 

Le Minhdu a alors prescrit aux nouveaux propriétaires de « s'approprier le cahier des charges qui les renseigne suffisamment sur tous les aspects essentiels de la vie commune et en matière de copropriété afin de le respecter ».

 

Tout en leur souhaitant une vie paisible dans cette cité, apprend-on, le ministre leur a demandé de « garder jalousement cet investissement et d'en prendre le plus grand soin ». Des propos également corroborés  par Louis Roger Manga, directeur général de la Mission d’Aménagement et d’équipement des terrains urbains et ruraux (Maetur).

 

Ces logements rétrocédés sont des bâtiments collectifs R+4 de type T3, T4 et T5. Entièrement équipés en eau, en électricité et en système d’assainissement des eaux usées, ces appartements offrent à leurs occupants toutes les commodités urbaines requises. Notamment : connectivité, mobilité, téléphone.

 

Ainsi, elles souscrivent au dessein des pouvoirs publics qui consiste à « construire des villes équitables qui offrent à toutes les populations les opportunités tout en évitant de produire, à grande échelle des laissés-pour-compte », a déclaré le Minhdu. Ces bâtiments ont été construits grâce au tryptique institutionnel Sic, Maetur et du Crédit foncier du Cameroun (Cfc). 

 

Cette cérémonie sera suivie d'une autre ce vendredi à Douala. Toutes les deux rentrent dans le cadre d'un vaste projet de construction de 10 000 logements sociaux et d'aménagement de 50 000 parcelles constructibles sur toute l’étendue du territoire national initié par les pouvoirs publics. Lancé en 2010, ce projet concerne les 10 chefs-lieux de région du pays.

 

Rappelons que la Direction de la sécurité présidentielle a déjà acquis 120 logements sur ce site. La présidence de la République a déjà déboursé 1,30 milliard de FCFA pour l’acquisition définitive des 60 logements.

 

Otric N.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01