Cela s’est fait à travers la présentation il y’a quelques heures à l’hôtel la Falaise de Yaoundé, d’un document élaboré avec l’appui technique et financier de l’Organisme Onusien grâce au projet “Making Every Woman and Girl Count”
Il s’agit d’un outil clé qui participe au renforcement de la prise en compte de l’aspect Genre dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Développement 2030 (SND 20-30), ainsi que dans celle de l'actuel cadre de coopération pour le développement durable des Nations Unies (UNSDCF); Sans oublier la mise à jour de l'analyse commune de pays (CCA).
Définition et Importance des “ Profils Genre”
Les “Profils Genre” au Cameroun ( pour ne citer que cet exemple), ont pour objectif majeur d’appuyer les équipes (siège et agences), à développer un dialogue et, faciliter la mise en réseau avec les partenaires, dans les pays où la problématique de la question de l’intégration du Genre se pose lors des opérations de développement.
Importance du projet “Making Every Woman and Girl Count”
Cela a été mentionné comme principale recommandation à l’issue de la journée de réflexion, à savoir que le Profil Genre soit largement diffusé à travers le pays et utilisé par toutes les parties prenantes et acteurs du développement, en vue d’assurer le plaidoyer, l'élaboration de politiques et la mobilisation de ressources pour l'égalité des Genres.
En rappel,
La présentation officielle de ce document à la communauté nationale et internationale impliquée dans les questions de Genre au Cameroun a été présidée par Mme Marie Thérèse ABENA ONDOA, Ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille, avec à ses côté Mme HIND Jalal, Représentante ai. de l’ONU Femmes au Cameroun, représentant le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies au Cameroun.
La cérémonie a en outre connu la participation de tous les hauts responsables du MINPROFF et de nombreux autres Ministères, les acteurs du Système Statistique, les Organisations de la Société Civile, les Agences du Système des Nations Unies, les Partenaires Techniques et Financiers, ainsi que les médias publics et privés.
Nicole Ricci Minyem
C’est dans le cadre d’un projet intitulé Fonds central de secours d'urgence ( CERF) qu’un atelier à été organisé à leur intention dans les locaux de cet Organisme afin qu’elles soient aptes à mieux affiner leur organisation de même que leur fonctionnement
Venues principalement des zones confrontées à la crise dite anglophone, elles sont vingt et deux ( 22) à avoir pris part à cette formation, dont responsables des Organisations dirigées par des femmes et les droits des femmes,travaillant principalement dans les localités de Nguti et Idenau.
Dans la salle des conférences d’Onu Femmes, l’on a également remarqué la présence de deux personnels du partenaire d'exécution d'ONU Femmes, Action des femmes contre la violence basée sur le genre (WAA Cameroun).
Les thématiques
Au delà des discours ayant ponctué la phase protocolaire, les participantes, pendant trois jours, ont notamment échangé sur des sujets comme: Comment intégrer la notion de Genre dans les activités - Comment prévenir et gérer la violence sexiste - Comment créer, légaliser et gérer une organisation - Comment élaborer des plans stratégiques et opérationnels pour les organisations - Comment créer des réseaux et collecter des fonds pour les activités - Comment gérer les tâches administratives et procédures financières…
Satisfecit général
En évaluant la formation, les participantes, en exprimant leur satisfaction, ont exprimé le vœu de voir ce genre d’activités se multiplier, afin que l’impact soit visible, au sein de chacune de leurs Communautés.
Profitant de cette occasion, Onu Femmes et ses partenaires ont lancé une campagne de 16 jours d'activisme; Campagne au cours de laquelle les responsables des Organisations dirigées par des femmes et des droits des femmes (WRO / WLO) ont été mandatées en tant que porteurs de flambeau, dans la lutte contre la violence faites aux femmes et filles dans leurs communautés respectives.
Nicole Ricci Minyem
Dans le cadre de l’implantation du Projet intitulé « Second Chance Education (SCE) », la priorité a été donnée à la gente féminine vivant dans les Régions du Nord et Sud Ouest.
Ledit projet est une plate forme de plaidoyer visant particulièrement cette couche de la société, notamment celles qui vivent dans les zones dans lesquelles les crises sécuritaires continuent de causer des dégâts indescriptibles, surtout dans le domaine de l’éducation.
Les organismes et autres Ong qui sont établies au Cameroun n’ont d’ailleurs eu de cesse de faire un constat : Les crises prolongées exacerbent la vulnérabilité sur les femmes et les filles ; Elles augmentent en outre les taux d'abandon scolaire chez les femmes et les filles.
L’Organisation des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes a, dans sa dynamique d’implantation, déposer ses valises dans les zones dites anglophones, afin d’atteindre plus de femmes et de filles et améliorer leur bien-être, de même que leur résilience grâce au projet Seconde Chance pour l’Education (SCE).
Pour les responsables d’Onu Femmes, « Le projet SCE vise à briser les tendances actuelles et fournir des solutions globales pour les femmes marginalisées et les jeunes femmes qui ont manqué sur l'éducation et qui risquent d'être laissés pour compte… ».
Partenariat multiforme
Dans le document d’informations mis à la disposition des médias, on peut entre autres lire que : « Le programme SCE tire parti des partenariats, des approches holistiques et des technologies innovantes pour briser les tendances actuelles et fournir une solution globale pour les femmes et les filles marginalisées…
C’est dans cette logique qu’ONU Femmes a réuni les Organisations de la Société Civile et a invité les uns et les autres à devenir l'une des parties prenantes qui participe au plaidoyer en faveur de l'éducation des femmes et des filles… ».
Parallèlement à la création de la plate-forme SCE, les dames impliquées dans cette dynamique ont fourni des services de qualité, des contributions, en se basant sur les résultats observés pendant l'évaluation. Ceux –ci sont issus des enquêtes menées dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Elles ont mis en évidence les activités qu’elles sont aptes à réaliser avec l’apport de divers partenaires car, elles ne veulent plus être en marge de la société. La crise sécuritaire dont elles sont les plus grandes victimes a sérieusement entravé leur avenir ainsi que celui de leurs enfants.
Nicole Ricci Minyem
Il a été matérialisé par un mémorandum d’entente signé il y a quelques jours entre Onu Femmes et le Projet d’Appui au Développement des Filières Agricoles (PADFA).
Ce programme qui relève du ministère de l’Agriculture et du Développement Rural (MINADER) et financé par le Fonds International de Développement Agricole (FIDA) est un appui qui va offrir plus de possibilités aux agriculteurs, en contribuant notamment à la réduction de la pauvreté, ainsi qu’à l'amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations, à travers l’accroissement durable des revenus de même qu’à la résilience des exploitations agricoles familiales, productrices de riz et d’oignon, dans les Régions du Nord, de l’Extrême-Nord, de l’Ouest et du Nord-Ouest.
De plus, le Projet d’Appui au Développement des Filières Agricoles vise spécifiquement à autonomiser les femmes et les jeunes vulnérables aux événements liés au climat et à d’autres chocs. Ainsi, 50% des participants au projet sont des femmes et au moins 30% sont des jeunes.
L’accompagnement attendu de UN Women, porte sur l’appui de tout le processus d’élaboration de la stratégie Genre du PADFA, de la rédaction des Termes de Référence, la sélection du/ de la Consultant(e); du suivi de l’étude et la validation de la stratégie.
La stratégie Genre attendue va permettre au PADFA de disposer d’une véritable boussole des actions à réaliser, pour combattre les inégalités de Genre dans les filières agricoles concernées par le programme.
Il s’agira de disposer d’un diagnostic Genre du Projet; d’une théorie du changement envisagé; des axes stratégiques d’action et d’un cadre de résultats budgétisé. Il s’agit donc en définitive de produire un document de plaidoyer pour la mobilisation des ressources susceptibles de transformer les dynamiques de pouvoir basées sur le genre.
Il est important de souligner que les trois quarts des personnes les plus pauvres au monde vivent dans les zones rurales des pays en développement. La plupart d'entre elles dépendent de l'agriculture pour leur subsistance.
Sous l’effet des changements climatiques, de la croissance démographique mondiale et de la volatilité des prix des denrées alimentaires et de l’énergie, des millions de personnes vulnérables supplémentaires pourraient être touchées par la faim et l'extrême pauvreté d'ici 2030.
D’où l’importance d’un accord dont les documents ont été paraphé par mesdames Hind Jalal – Représentante Onu Femmes au Cameroun et Margoh Bouquet – Responsable du Projet d’Appui au Développement des Filières Agricoles.
Nicole Ricci Minyem
Un dialogue qui s’inscrit dans les activités du plan de travail annuel Bucrep-Onu à travers la mise en œuvre du programme « Women Count », qui vise principalement le recueil des besoins des principaux utilisateurs des données genres sensibles ;
Ceux-ci seront intégrés dans les processus d’analyse et de diffusion du 4ème Recensement Général de la Population et de l'Habitat (RGPH4).
De manière concrète, la rencontre qui avait pour cadre l’un des hôtels situé dans la ville aux sept collines ambitionne de : Présenter aux utilisateurs le processus de production et de diffusion des données du 4èmeRGPH- Présenter les indicateurs genre sensibles qui seront produits dans le cadre du 4èmeRGPH - Recueillir les besoins des utilisateurs en matière de données genre sensibles - Analyser les gaps et les limites dans le processus actuel de production, de diffusion et de dissémination des données statistiques genre sensibles - Présenter d’autres données et publications genre sensibles produites par le Bucrep et leur mécanisme de diffusion.
Contexte
Selon la Commission Economique des Nations Unies pour l’Europe (2018), quel que soit le niveau d’expertise et de professionnalisme mis en œuvre pour la production de statistiques, ces dernières n’ont de réelle utilité que si elles répondent aux besoins des utilisateurs et potentiels utilisateurs.
L’identification de ces besoins passe par la mise en place d’une plateforme permanente d’échanges entre producteurs et utilisateurs, en vue d’une meilleure appropriation des statistiques produites, et un usage plus efficient pour l’aide à la prise de décisions en matière politiques publiques.
Cependant, les utilisateurs ont des besoins de plus en plus complexes et de plus en plus individualisés, qu’il faut intégrer dans le processus de conception des études statistiques.
Tous ces défis interpellent les producteurs de statistiques au rang desquels le Bureau Central des Recensements et des Etudes de Population (BUCREP), qui conçoit et réalise de nombreuses études statistiques sur divers domaines.
Thématiques
Elles ont été présentées par des experts, qui ont édifié les participants à l’instar des Acteurs de la Société Civile, des Universitaires, des Responsables des CTDs ainsi que des Représentants des services déconcentrés de l’Etat exerçants au niveau local), sur : Le processus de production du hors-série genre –L’identification des besoins sur les statistiques genres sensibles – La Présentation de données communautaires genre sensible –La Présentation sur la décentralisation et la production des statistiques genre-sensibles (données collectées lors du dénombrement)…
Les uns et les autres ont par ailleurs pris part aux travaux en Atelier avec les thèmes tels que :
Activités économiques et genre - Education et genre - Santé et genre - Vulnérabilité et genre - Pauvreté non monétaire et genre - Migration et genre - Activités économiques et genre - Education et genre - Santé et genre - Vulnérabilité et genre - Pauvreté non monétaire et genre - Migration et genre.
Ce sont ces sujets et ceux ajoutés au cours des discussions ayant meublé les travaux d’atelier qui feront les grandes lignes des hors séries que prévoit de publier dans les prochains jours, le Bureau Central des Recensements et des Etudes de Population.
Nicole Ricci Minyem
C’est pour répondre à cette interrogation, qu’une table ronde se tient à partir de ce matin, dans la sale des conférences du système des Nations Unies pour l’Egalité des Sexes et l’Autonomisation de la Femme (Onu Femmes).
Pendant deux jours, les participants, venus de divers secteurs, vont entre autres réfléchir sur les mécanismes qu’il convient de mettre en place, afin d'accroître la capacité du SSN du Cameroun, dans la rédaction et la mise en œuvre de la stratégie d’engagement des utilisateurs des statistiques de genre; mais aussi de promouvoir un dialogue effectif et efficace entre producteurs et utilisateurs des statistiques officielles sur le genre
Pratiques actuelles de production des statistiques officielles sur le genre au Cameroun : Défis et perspectives
Pratiques actuelles de production des statistiques officielles sur le genre au Cameroun : Défis et perspectives
Pratiques actuelles de diffusion des statistiques de genre auprès des utilisateurs (Société Civile, Universitaires, Administrations, PTF, Citoyens...) : Défis et perspectives
Défis dans l’accès aux statistiques officielles sur le genre au Cameroun par les différents utilisateurs .
S'engager avec des groupes d'utilisateurs des statistiques de genre
Le suivi de l’Agenda 2030 nécessite une quantité sans précédent de données et statistiques diffusées à un large éventail d'utilisateurs. A cela s’ajoutent l’Agenda 2063 de l’Union Africaine et les plans nationaux de développement. Les systèmes statistiques nationaux (SSN) participent à divers efforts pour répondre aux demandes en données de ces différents Agendas, par exemple en mettant en place une plateforme nationale de données sur les indicateurs des objectifs de développement durable (ODD), et en produisant et diffusant d’importantes quantités de données et informations statistiques.
L'un des défis auxquels sont confrontés ces SSN, et en particulier les INS, consiste à faire participer systématiquement et stratégiquement les divers utilisateurs des statistiques officielles. Une stratégie pour promouvoir et renforcer le dialogue entre producteurs et utilisateurs des statistiques officielles devrait être axée sur les utilisateurs des données des instituts et systèmes statistiques nationaux, et indiquer de quelle manière les INS et les SSN encouragent et promeuvent l’engagement des utilisateurs en tant que moteur d’amélioration de la pertinence des produits statistiques. Ceci est crucial à l'ère des objectifs de développement durable pour au moins deux raisons.
Premièrement, puisque les données n’existent pas en vase clos, l’évaluation de la performance et de la pertinence des SSN implique souvent la capacité à répondre aux besoins et aux attentes des utilisateurs. Un dialogue efficace entre producteurs et utilisateurs des statistiques officielles peut permettre aux entités des SSN de prendre le pouls de leurs utilisateurs et de développer des mécanismes pour répondre de manière appropriée aux besoins spécifiques.
Deuxièmement, l'amélioration de la technologie et la multitude des modes de consommation des données aujourd'hui signifient que les méthodes traditionnelles de diffusion, telles que les tableaux statistiques et les publications elles-mêmes, ne sont plus suffisantes. Conjugué au fait que la demande en données a considérablement augmenté - des décideurs aux étudiants en passant par les journalistes – ce constat oblige les bureaux de la statistique des pays à envisager de multiples modes de communication pour une grande variété d'utilisateurs aux besoins divergents.
Au Cameroun, les activités du système statistique national, appelé ici système national d’information statistique (SNIS), se sont beaucoup orientées vers les producteurs des statistiques officielles, ne prenant pas adéquatement en compte la dimension utilisation. Par conséquent, les correspondants dans les administrations du SNIS ne parlent principalement que production.
Les représentants des administrations participant aux activités de coordination du SNIS organisées par l’INS ne sont pas toujours au fait de ce qui fait que leurs administrations soient aussi considérées comme utilisatrices des données pour répondre de manière adéquate aux besoins en données des politiques et stratégies de développement nationales, ainsi que les engagements internationaux. Il en est de même des autres groupes d’utilisateurs que sont les Partenaires Techniques et Financiers (PTF), la société civile, les médias, ainsi que les chercheurs et les universitaires. Ceci pourrait expliquer des déphasages entre les activités statistiques inscrites dans la Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS) et les besoins de suivi des divers programmes de développement dans une administration.
Cette situation qui concerne la statistique en général est plus criarde lorsqu’on parle des statistiques de genre. En effet, dans le SNIS, le Ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille est le seul interlocuteur en ce qui concerne les statistiques de genre. Or dans l’architecture du système, celui-ci est plus considéré comme producteur de telles statistiques. Ceci étant, le Minproff ne peut à lui seul porter la question de genre dans le système de diffusion des statistiques officielles.
A l’issue de cette concertation, Il serait davantage question de ressortir avec des stratégies sur comment améliorer le cadre de dialogue producteurs-utilisateurs existant en y intégrant la dimension genre. Davantage, les utilisateurs des statistiques de genre doivent avoir pris conscience des mécanismes d’interaction avec le SSN, et le SSN intégré les besoins des utilisateurs en matière de statistiques de genre.
Nicole Ricci Minyem
Un objectif qui rentre dans la note stratégique des l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
Contexte
Malgré les avancées remarquables, les statistiques démontrent que la lutte contre cette pandémie reste une véritable gageure. Environ 17,8 millions de femmes de plus de 15 ans dans le monde, vivent avec le VIH, soit 51% de toute la population d’adultes touchée par cette maladie. Au Cameroun, il existe un ratio de neuf femmes infectées pour un homme dans la tranche d’âge 15-24 ans.
Des chiffres qui font « froid au dos » et sur lesquels l’Organisme International, en collaboration avec le ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille s’est appuyé, et a décidé de l’organisation d’un atelier de quatre jours. Ce dernier vise le renforcement des capacités des personnels des Centres de Promotion de la Femme et de la Famille (CPFF) en Santé de Reproduction et à l’élaboration des fiches techniques d’information et d’éducation intégrant la SSR/GHM, le VIH/SIDA et les IST.
De nombreuses thématiques sous forme de Modules et de Travaux en Atelier, ont été proposées aux participants, (Littoral (04), de l’Ouest (04), du Nord-ouest (04), Sud-ouest (04), Sud (04) et), Centre (11) : - Violence basée sur le genre, lien VBG, pratiques traditionnelles néfastes et VIH - Nouvelles orientations de la lutte contre le SIDA- Lutte contre la discrimination - Prise en charge du VIH /SIDA (volet économique) - Prise en charge du VIH /SIDA (volet juridique) - Prise en charge du VIH /SIDA (volet psychosocial) - Education Complète à la sexualité…
Autres objectifs dans la note stratégique d’ONU Femmes
Les praticiens, au-delà de transmettre les connaissances acquises au cours des sessions qu’ils vont animer chacun dans sa région, vont améliorer leur combat dans la prévention du VIH chez les femmes et les filles, en couvrant les principaux aspects de l'hygiène menstruelle dans des environnements diversifiés.
L’atelier qui prend fin ce Jeudi, se base sur des exemples de bonnes pratiques en la matière, provenant du monde entier. Par ailleurs des modèles de leçons types, élaborés durant le séminaire ont intégré la prise en compte du Genre, dans les programmes et projets de lutte contre le VIH et le SIDA.
Une précision qui a tout son sens, au moment où dans chaque pays, l’on parle de plus en plus de la promotion de l’engagement des adolescentes, dans la réponse nationale au SIDA. Ce qui nécessite une réponse consensuelle et efficace de l’ensemble des partenaires.
Nicole Ricci Minyem