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La ministre camerounaise de la Recherche scientifique et de l’Innovation (Minresi), Madeleine Tchuinte, vient de lancer un appel d’offres à hauteur de 15 millions en vue de la rénovation des rideaux de son bureau.

 

Après l’appel d’offres destiné à la rénovation du domicile de Roger Milla, une autre annonce suscite la polémique. Il s’agit en effet de l’avis de consultation lancé le 17 août dernier par la ministre de la Recherche scientifique et de l’Innovation (Minresi), Madeleine Tchuite, relative à la fourniture et à l’installation des rideaux dans son cabinet. Le montant de cet appel s’élève à 15 millions FCFA.

Après tous les scandales qui ont émaillé la scène médiatique depuis quelques mois, plusieurs camerounais jugent ce montant excessif pour la tâche indiquée. La précision selon laquelle les frais de ce marché sont déduits du budget annuel d’investissement dudit ministère ne suffit pas à convaincre les sceptiques.

En rappel, Madeleine Tchuinte, qui occupe le poste de Minresi depuis 17 ans, a été vivement citée dans le scandale sur la gestion des fonds alloués à la lutte contre la pandémie à coronavirus récemment. Le ministère dont elle a la charge était en effet appelé à produire des médicaments et trouver des protocoles de traitement efficaces contre cette pandémie. Seulement, les résultats n’ont jamais été concrétisés. Depuis le déclenchement de ce scandale, baptisé Covidgate, elle fait partie de ceux que les camerounais considèrent comme étant des bourreaux des finances et de la santé du pays.

De plus en plus, l’actualité camerounaise est bondée de scandales financiers. Après le Covidgate et les audits qui ont suivi, le directeur général du Port autonome de Douala, Cyrus Ngo’o, est cité depuis la semaine dernière dans une affaire de détournement de fonds et de paradis fiscaux. Des appels d’offres aux montants faramineux sont également de la partie. C’est le cas de celui lancé en vue de la réhabilitation  de la résidence de Roger Milla

 

 

Published in Société

Le geste est de l’Institut de Recherche agricole pour le Développement (IRAD). Selon la ministre de la Recherche Scientifique et de l’Innovation (Miresi), Madeleine Tchuinte, cette distribution s’inscrit dans le cadre des mesures endogènes de riposte contre le paludisme qui fait ravage dans le pays, mais surtout de la stratégie nationale de lutte contre le coronavirus. 

 

Ce sont des semences et tisanes d’artemisia qui viennent d’être mises à la disposition de plusieurs associations et Groupes d’Initiative commune (GIC) à Yaoundé, la capitale politique du Cameroun. Deux souches d’artemisia ont été distribuées à cette occasion : l’Annual, dont le cycle varie entre 4 à 7 mois et l’Afra, qui est une culture pérenne. Deux souches ayant des vertus thérapeutiques et préventives, apprend-on. 

Le 15 juin 2020, l’IRAD travers l’Herbier national, à l’issue de la réunion interministérielle sur la pharmacopée traditionnelle tenue au Minresi a initié la production de l’artemisia. Objectif, distribuer cette plante aux populations pour « combattre efficacement » la Covid-19 et le paludisme à moindre coût. C’est ainsi que l’Institut s’attèle notamment depuis quelque temps à la production des tisanes, gélules et comprimés à base d’artemisia obtenus par multiplication des semences comme moyen préventif et curatif contre la Covid-19, dans le cadre d’un projet soutenu par l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF).

Globalement, il est question de permettre au plus grand nombre de personnes d’avoir accès à ce produit simple à base d’artemisia, ainsi qu’aux graines et plants comme semences en vue de sa vulgarisation à grande échelle dans le pays, sous le contrôle du ministère de la Santé publique (Minsanté). « Nous comptons développer à court terme une stratégie de multiplication rapide et à grande échelle de cette espèce végétale, transformer et obtenir des tisanes très concentrées en artémisinine et les distribuer aux populations », explique Eddy Ngonkeu, porteur de ce projet.

Le chercheur, par ailleurs coordonnateur de la recherche scientifique dans les structures de l’IRAD ajoute, « 1 000 kg de graines seront produits et conditionnés en 1g et seront distribués à plus de 2 000 producteurs au Cameroun. Au moins 10 000 plants d’artemisia issus du bouturage seront produits, 2 tonnes de feuilles sèches transformées et conditionnées en sachet de 3g seront disponibles pour 1 000 000 de personnes au moins ». Selon des chercheurs, les personnes traitées contre le paludisme avec cette plante semblent présenter une protection naturelle contre la Covid-19.

De sources crédibles, l’artemisia d’ailleurs promue avec force par les autorités malgaches à travers la tisane à base de plantes locales Covid-Organics, présentée comme un « remède » efficace contre cette maladie. « L’artemisia est une plante qui dispose de plus de 20 principes actifs contre le paludisme et dont le plus en vue est l’artemisinine qui est un concentré de chloroquine naturelle (la chloroquine est l’une des molécules utilisées dans le protocole de soins administrés aux malades de Covid-19, NDLR) utilisé pour fabriquer des médicaments comme l’artemether. C’est un antipaludéen très puissant qui possède une forte activité antivirale sans effets secondaires sur l’homme », peut-on lire sur le site du Minresi.

Innocent D H

 

 

 

 

 

 

Published in Corona Virus

L’assurance est donnée par le Pr Jean-Louis Essame Oyono le Directeur de l’Institut de recherches médicales et d’études des plantes médicinales.

 

De la voix du Dr Malachie Manaouda le Ministre de la Santé (Minsante), on sait que le Cameroun fait recours à la Chloroquine, dans le protocole utilisé dans le traitement des personnes atteintes par la pandémie du Coronavirus. Le Minsante a de ce fait, fini par demander au Ministère de la Recherche scientifique et de l’innovation (Minresi), de fabriquer ce médicament. 

En sa qualité de chef du département ministériel du Minresi, le Dr Madeleine Tchuinté dont la production était dores et déjà attendue, a évoqué un problème relatif au manque des matières premières. Et de passage sur les antennes de la Crtv la semaine dernière, indiquait que la Chine pourrait bien ravitailler le Cameroun. 

Le Pr Jean-Louis Essame Oyono le Directeur de l’Institut de recherches médicales et d’études des plantes médicinales (Impm) confirme l’information, tout en indiquant que l’Inde aussi a été sollicitée. “La matière première a été commandée en Chine et en Inde et sera disponible dans les prochains jours”, a-t-il confié au journal en ligne l’économie. Le Directeur de l’Impm rassure sur la disponibilité du personnel qualifié et des équipements appropriés pour remplir cette tâche. Toutefois, il est dit que le Minresi espère bénéficier de l’Etat, un soutien financier.

Il convient de noter que le Cameroun n’est pas le seul pays au monde qui a besoin des intrants. De nombreux pays européens sont à la quête de ces intrants. Et la pandémie du Coronavirus révèle à la face du monde, la dépendance desdits pays de la Chine, de l’Inde, de l’Asie du Sud-Est, pour ce qui est de la production de certains médicaments. Nathalie Coutinet enseignante et chercheuse à l’Université Sorbonne-Paris Nord déclare qu’à l’heure actuelle, “les Etats-Unis ont déjà signalé une pénurie liée à l’arrêt de production en Chine en raison de ce virus”.

 

Liliane N.  

 

Published in Corona Virus

La bonne nouvelle est tombée ce mardi. Un communiqué signé par le ministre de la santé donne permission au ministère de la recherche scientifique de produire l’hydroxy chloroquine et l’azythromicine pour accompagner le traitement des camerounais souffrant de Covid 19.

 

C’est une bonne nouvelle qui était, elle aussi, précédée d’une autre, l’annonce de la guérison totale de plus de 40 citoyens. Ceux-ci ont quitté les différents hôpitaux du Cameroun où ils étaient internés. Une bonne nouvelle qui prouve la pertinence et la qualité des soins appliqués avec la chloroquine et l’azythromicine. Un constat qui montre à suffisance combien ce protocole de soin adopté par le Cameroun porte ses fruits.  

Maintenant, le centre de l’Institut de Recherches Médicales et d’Etudes des Plantes Médicinales (IMPM) de Yaoundé peut commencer la production des comprimés. D’après les annonces, ce sera 05 millions comprimés d’azythromicine, et 05 millions de comprimés d’hydroxy chloroquine. En plus de ces comprimés, le centre se dit également capable de produire 5.000 tests de détection du coronavirus par jour. Des équipements nécessaires à la politique de lutte contre ce virus.

Seulement, l y a un problème. Oui l’accord de production est donné. Mais à quand les moyens financiers et à quand le démarrage de la production ? Ce qui est sûr c’est que ce n’est pas pour un avenir proche. Puisqu’il faudra dans un premier temps entrer en possession des fonds affecté à ce projet. Procéder à une révision des machines pour une mise à jour. Etant donné que ces machines n’ont pratiquement jamais fonctionnées.

Par la suite il sera question pour le ministère de la recherche scientifique de passer les commandes des intrants à ses partenaires internationaux. Il va encore falloir attendre quelques jours pour acheminer sur le territoire les intrants. Enfin, on pourra lancer la production des comprimés. Connaissant les lenteurs administratives au sein du ministère de la recherche scientifique, il n’est pas exclu qu’on attende un mois avant de commencer à voir sortir des machines du Minresi.

Quid de la qualité de ces médicaments qui seront produits par le ministère de la recherche scientifique ? C’est pour s’en assurer que le ministre de la santé a précisé que cette production se fera sous le contrôle scientifique du ministère de la santé. Une surveillance qu’on espère pointue pour que les comprimés camerounais connaissent aussi un bon accueil dans les pays voisins.

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Corona Virus

Ces dossiers viennent des huit instituts de recherche de ce département ministériel.

 

L'Institut de Recherche agricole pour le développement (Irad), l’Institut national de cartographie (INC), l'Agence nationale de radio protection (ANRP), l'Institut de recherches géologiques et minières (IRGM), la Mission de promotion des matériaux locaux (Mipromalo), l'Institut de recherches médicales d'études des plantes médicinales (IMPM), le Centre national d'éducation (CNE) et le Comité national de développement des technologies (CNDT) ont déposé sur la table d’examen de la Commission centrale de grade des chercheurs des instituts du Ministère de la Recherche scientifique et de l’innovation (Minresi) 135 dossiers pour examen. Les détenteurs desdits dossiers sont des chercheurs qui nécessitent une évolution en grade.

La session d’examen de ces dossiers a été présidée par Rebecca Madeleine Ebelle le Secrétaire général du Minresi. Parmi les 135 candidatures soumises à l’appréciation des experts d’Universités, on a dénombré 98 attachés de recherche désireux de passer au grade de chargé de recherche. Il y avait 33 chargés de recherche voulant accéder au grade de maître de recherche et quatre maîtres de recherche qui souhaitent passer directeurs de recherche.

Pour comprendre comment se passe le changement de grade d’un chercheur, il faut savoir que celui-ci est soumis à une évaluation. Ladite évaluation se fait en observant  la publication de ses recherches de haute qualité, sous une forme accessible à la communauté scientifique internationale. On regarde la pertinence ou l'application des résultats de sa recherche par rapport aux objectifs de développement socioéconomique. La Commission susmentionnée tient également compte de la performance scientifique de haute qualité du chercheur, entre autres.

De façon concrète à titre d’exemple, pour passer au grade de chargé de recherche, le Dr. Jean Marcel, membre de la Commission suscitée explique que, « lorsqu'on a un doctorat, il suffit d'avoir produit un article scientifique publié dans un journal. Et lorsqu'on n'est pas titulaire d'un doctorat, il faut avoir au moins un master en recherche ou un DEA et être inscrit en thèse. Et lorsqu'on a rempli ces conditions pour l'obtention du diplôme, il faut avoir deux ans d'ancienneté dans le grade et produire deux articles ».

Lire aussi : Cameroun : L’Union européenne sollicitée par les chercheurs en quête de financement

 

Liliane N.

 

Published in Institutionnel
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Le Ministère de la recherche scientifique et de l’innovation (MINRESI) et l’Union européenne(UE) ont au début du mois d’octobre 2019, lancé un Programme de financement de la recherche. Plusieurs chercheurs camerounais voient en ce programme, la possibilité de mener à bien leurs travaux en tournant désormais le dos au manque de moyens financiers. 

 

Serge Armel Njidjou est connu de tous sur le campus de l’Université de Dschang dans la région de l’Ouest. Lui qui est ingénieur, porte depuis 2018 une innovation qui suscite permanemment l’admiration. Il s’agit d’une couveuse néonatale entièrement interactive qui vise à sauver la vie des enfants prématurés. 

Le projet dont est porteur cet ingénieur, a été récompensé par plusieurs prix notamment le prix de l’Innovation au Cameroun, ou encore celui du Projet innovant pour les femmes en Afrique décerné en mois de mai 2019 par l’AFD (l’Agence française de développement dans le cadre du Digital challenge. Mais seulement, il faut relever que ces récompenses quelque soit leur nature ne permettent pas la finalisation du projet car le financement est une condition sine qua none. 

Manque de ressources

Comme Serge Armel Njidjou, plusieurs autres chercheurs sont confrontés à des difficultés financières pour pouvoir mener à bons termes, leurs travaux. C’est aussi le cas d’Erik Gyslain Tiam Dzembouong, qui a mis sur pied l’application Agropad permettant aux agriculteurs d’irriguer leurs parcelles agricoles par un simple SMS. Il travaille d’ailleurs sur cette innovation, un robot qui sème et désherbe. « Nous avons besoin d’acquisition pour avoir nos propres champs d’expérimentation, nous devons scruter davantage, mais aussi avoir des locaux appropriés. Tout cela nécessite des fonds sans lesquels nos projets ne seront pas économiquement viables », affirme-t-il.

Le coût du programme et volets de la recherche

Le 08 octobre dernier à Yaoundé, Madeleine Tchuente, la Ministre de la Recherche scientifique et de l’innovation, a pris part avec Hans Peter Schadeck, Chef de délégation de l’UE au Cameroun, à la cérémonie de présentation du Programme « Horizon 2020 » de l’UE consacré au développement et à la recherche technologique. Imparti sur la période 2014-2015, il est doté d’un financement de 80 milliards de francs CFA, soit environ 122 millions d’euros. Le Programme entend apporter un soutien aux projets innovants et leur simplifier l’accès au financement. Aliou Abdoullahi, Chef de cellule d’appui à l’ordonnateur national du Fonds européen de développement(FED), renseigne : « le programme est ouvert à toutes les initiatives dans les domaines de la santé, l’agriculture, les technologies de l’innovation et de la communication (…). Les soutiens financiers alloués passent par l’appui aux centres de recherche et aux chercheurs à travers des appels à propositions ou des subventions directes accordées aux bénéficiaires ». 

Plusieurs porteurs de projets ont postulé, question de bénéficier de ces ressources. « La recherche au Cameroun n’est pas à la hauteur de ce qu’elle pourrait être », fait savoir Fadila Boughanemi, Chef d’unité à la direction générale de la Commission européenne. « Nous espérons pouvoir propulser à la hauteur des potentialités que nous lui savons, c’est-à-dire énormes », ajoute-elle. 

A ce jour, le Programme « Horizon 2020 » lancé depuis 2013 a permis le financement de 310 projets en Afrique dont 126 en Afrique du Sud et 50 au Maroc.

 

Innocent D H 

Published in Finances

Madeleine Tchuinte le Ministre de la Recherche scientifique et de l'innovation a reçu en audience le mercredi 9 octobre 2019, Fadila Boughanemi, le chef d'unité à la Direction générale de la Commission européenne.

 

Le Cameroun aimerait bien étendre sa coopération  avec l’Union européenne (Ue), dans le domaine de la recherche scientifique. Dans sa posture de chef du département ministériel en charge de la Recherche scientifique et de l'innovation, le Dr Madeleine Tchuinte s’est entretenu dans les locaux de ses services avec Fadila Boughanemi, le chef d'unité à la Direction générale de la Commission européenne. Au terme de l’audience qui lui a été accordée, Fadila Boughanemi a déclaré « la recherche au Cameroun n'est pas à la hauteur de ce qu'elle pourrait être. Nous espérons pouvoir contribuer à la propulser à la hauteur des potentialités que nous lui savons énormes ».

Ayant réfléchi sur les axes de la coopération voulue avec le Minresi, le chef d'unité à la Direction générale de la Commission européenne a annoncé « la mise en place de programmes qui faciliteront davantage la collaboration entre les chercheurs camerounais et ceux des pays membres de l'Union européenne ». Cette dernière a visité l'institut de Recherche médicale et d'études des plantes médicinales, situé dans l'enceinte du Minresi. Avec la délégation qui l’accompagnait, il était question pour Fadila Boughanemi , de se faire une bonne idée de l'état des lieux de la recherche au Cameroun.

Pour parler en bref de l’apport de l’Ue dans le domaine de la recherche en Afrique en général, il faut dire qu’elle a déjà eu à financer 360 projets. Cela s’est fait dans le cadre de son Programme de recherche de l'Union européenne dénommé « Horizon 2020 ». Le Dr Madeleine Tchuinte parfaitement au courant dudit programme a réitéré son engagement à assurer sa réussite à travers la mise sur pied d'une plateforme de suivi des différents projets.

 

Liliane N. 

 

Published in Diplomatie






Sunday, 05 June 2022 11:01