Selon les informations fournies par une source autorisée, à fin décembre 2020, l’unité avait réussi l’exploit de mettre sur le marché sept engins vendus au Cameroun, au Tchad et en République centrafricaine. En effet, cette usine est prête depuis mars de l’année dernière, elle qui a vocation à assurer l’assemblage des engins et groupes électrogènes dans la zone industrialo-portuaire de Kribi par Tractafric équipement.
Le spécialiste de l’équipement industriel fait savoir : « Cette nouvelle entité a pour principale mission la production, l’entretien des machines et la formation des opérateurs, avec un stock de pièces détachées et un atelier de maintenance équipé. Elle aura également un rôle de service auprès des entreprises qui s’installeront dans la zone portuaire de Kribi, en leur proposant l’entretien de leurs groupes électrogènes, machines, chariots et moteurs », apprend-on.
Montée à Kribi, la cité balnéaire de la région du Sud Cameroun, cette unité d’assemblage des équipements industriels (engins et groupes électrogènes) est dotée d’une capacité de production annuelle de 250 machines, à en croire les prévisions de Tractafric Equipement. L’usine est étendue sur une superficie d’environ trois hectares, et sa capacité d’investissement est estimée à environ 2 milliards de francs CFA.
Précisons que, l’usine Tractafric de Kribi est présentée comme la première unité d’assemblage en Afrique centrale. Elle devrait ainsi avoir une incidence sur les prix pratiqués actuellement sur le marché sous régional. Ce qui va booster à coup sûr la concurrence surtout quand on sait que dans la réalité, les équipements chinois du BTP livrent depuis quelques années une concurrence farouche.
Tractafric Equipement Corporation, filiale du groupe Optorg, est le spécialiste de l’équipement industriel, minier et BTP, leader au Maroc et en Afrique centrale. Globalement, Tractafric Equipment accompagne les plus grands opérateurs avec un large choix de matériel : équipement minier, BTP et forestier, pièces de rechange, moteurs industriels et marins, centrales électriques, groupes électrogènes, chariots de manutention. Il représente des constructeurs renommés tels que Caterpillar, Hyster, Terex Cranes, Manitou, Perkins etc. Il offre également un service complet allant de la vente d’équipement (neuf et d’occasion), location, réparation, maintenance, gestion de flotte, formation, avec de nombreuses solutions de détachement de personnel pour accompagner les clients sur leurs chantiers.
Innocent D H
De la FIFA, à la Confédération africaine de football sans oublier les députés de la nation et les coachs des équipes participant au CHAN 2021, tout le monde s’accorde pour dire que le Cameroun a produit des infrastructures sportives de haute facture et haut de gamme.
Depuis le début de la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), la plupart des personnes qui ont eu la possibilité de se retrouver dans les stades nouvellement construits par le Cameroun, saluent la qualité des infrastructures. Gianni Infantino le président de la FIFA a été la première des personnalités à féliciter le Chef de l’Etat Paul Biya pour ses infrastructures sportives.
«Je voulais remercier en personne le Président Biya pour ses engagements, ses investissements en faveur des jeunes pour le football dans ce pays…C’est exceptionnel ce que le Cameroun a pu faire dans un contexte marqué par la crise économique, la crise sanitaire. Et dans cette situation, investir pour la jeunesse, ce n’est pas facile. Le Président l’a fait, il fallait le remercier», a-t-il déclaré au terme de son audience au Palais de l’Unité le 15 janvier 2021.
Nourane Foster
L’Honorable Nourane Foster du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN) qui a un franc-parler, a indiqué sur son compte Twitter, que pour la première fois, elle est tenue de reconnaître que le régime en place a produit quelque chose d’exceptionnelle. Comme Gianni Infantino, elle a remercié le Président de la République.
«(Le Stade de Japoma NDLR) un Stade digne de la Génération 2.0 ! Le plus beau en Afrique et en plus dans ma Circonscription Wouri-Est ! Pour la première fois je suis obligée de reconnaître sur ce point», a-t-elle écrit sur son compte Twitter.
Florent Ibenge
Intervenant sur Radio France Internationale, Florent Ibenge entraîneur des Léopards de la RDC a indiqué que le Cameroun a construit des infrastructures sportives de très bonne qualité.
«Je suis vraiment ravi. Au-delà du stade qu’on peut retrouver partout ailleurs, en Europe notamment, c’est surtout la mise à disposition des terrains d’entrainement qui sont de très bon niveau, de très bonne qualité. En tant que technicien c’est très agréable. Ne fut-ce que pour le développement de nos infrastructures en Afrique. Je pense que c’est très bien que le CHAN existe», a-t-il déclaré.
Ferdinand Ngoh Ngoh
Dans sa parution de ce 19 janvier 2021, le journal Réalités Plus pense que les personnes qui ont par le passé accusée le Secrétaire général à la Présidence de la République, d’avoir détourné l’argent alloué à la construction de ces stades qui font aujourd’hui la fierté des camerounais et de ses visiteurs, doivent lui présenter leurs excuses.
«Toute une campagne de sabotage a été orchestrée et financée par ces Agrégés de la délation et du mensonge, avec pour cible centrale, le ministre d’Etat Ferdinand Ngoh Ngoh Secrétaire Général de la Présidence de la République, SG/PR. Ils l’ont saccagé sur toutes les plates- formes communicationnelles. Ils l’ont mis au poteau et massacré, et pour rien...La personnalité la plus outragée dans cette sale campagne de déstabilisation du Cameroun est bel et bien le ministre d’Etat Ngoh Ngoh. Au moment où le Cameroun suscite toutes les admirations et reçoit toutes les félicitations, ceux qui ont vendu facilement le nom du SG/PR aux sorciers, doivent revenir sur terre et lui exprimer officiellement leurs excuses. La vérité a fini par triompher. Aucun franc destiné à la construction des stades n’a été détourné par qui que ce soit, comme ils l’ont véhiculé dans leur tissu de mensonges. Agrégés de déstabilisation du Cameroun, menteurs, le temps est venu pour vous de vous repentir, et surtout de mettre fin à vos bêtises contre votre pays qui vous a tout donné, mais que vous tenez à détruire», a écrit le journal Réalité Plus.
Liliane N.
Sur ses comptes Facebook et Twitter, le député du Parti camerounais pour la Réconciliation nationale (PCRN) exprime toute son admiration sur l’infrastructure de football haut standing dont s’est doté le Cameroun à savoir le Complexe sportif de Japoma logé à Douala, la capitale économique. Selon l’élu du peuple, il n’y a rien à dire, c’est le plus beau du continent africain.
A la lecture de ses publications sur la toile ce lundi, 18 janvier 2021, la camarade de parti et de l’Assemblée nationale de Cabral Libii a les mots justes pour apprécier ce joyau architectural d’une qualité rare et ultra moderne. « Un stade digne de la génération 2.0 ! Le plus beau en Afrique et en plus dans ma Circonscription Wouri Est ! Pour la première fois je suis obligée de reconnaître sur ce point », a écrit Nourane Foster sur son compte twitter.
Reconnue pour son franc parler, l’honorable Nourane Foster ne cache d’ailleurs pas sa fierté à propos du stade de Japoma. Elle a en outre tweeté : « Après la visite du stade de Japoma hier, je crois que nous devons féliciter la coopération Turque-Cameroun et surtout remercier le Chef de l’Etat Président Paul Biya pour cette volonté politique ».
Sans langue de bois, ni complaisance, les infrastructures sportives nouvellement construites au Cameroun sont appréciés aussi par les étrangers. C’est en l’occurrence, le coach des léopards de la République démocratique du Congo, Florent Ibenje. Sur les ondes de la Radio France internationale (Rfi) intervenant à l’émission Radio Foot internationale, il n’a pas manqué de saluer la qualité de ces infrastructures. Il n’a surtout pas manqué d’insister sur les stades d’entrainement qui, dit-il sont nombreux dans le pays.
Ce ne sont donc pas les infrastructures sportives de qualité qui manquent au Cameroun, reste que les populations elles aussi accompagnent les pouvoirs publics dans la pérennisation de ces bijoux. Une impérieuse nécessité surtout quand on sait que ce 18 décembre 2021, le Ministre des Sports et de l’Education physique (Minsep), président du Cocan 20-21, Narcisse Mouelle Kombi dénonce des actes de déviance et d’incivisme sur les sites de compétition notamment au Complexe sportif de Japoma. « Il s’agit par exemple du piétinement des sièges, de la pose des pieds sur les accoudoirs et les dossiers, de l’occupation anarchique des places et du dépôt d’ordures sur des emplacements inappropriés », relève le Minsep.
Innocent D H
Après l’échec de la « Ponce Attitude », l’artiste Bikutsi ne lâche pas prise. Elle fait le choix de réinvestir dans les lieux de loisirs et de culture.
Cette fois, il s’agit d’un véritable complexe culturel et de loisirs. La nouvelle « Planète Ponce » se veut un centre qui accueillera plusieurs activités. Il est annoncé, entre autres composantes, un Cabaret Live Dancing, un Institut de Beauté, une salle de Sport, un restaurant, et un Solar System. Il apparaît donc que le nouveau projet culturel de Lady Ponce est un complexe qui comptera des activités diverses.
La Diva du Bikutsi moderne est une véritable entrepreneuse de la culture et de la promotion des valeurs du Cameroun. Elle n’est pas à sa première, ni deuxième initiative du genre. En plus de la PONCE ATTITUDE, située en son temps au quartier Ekié à Yaoundé, on se souvient de son festival « La femme en Diamant ». Un projet culturel qui rassemblait les femmes autour de la période du 08 mars. Tout comme la Ponce Attitude, le projet de promotion de la femme s’est vu être torpillé par des acteurs culturels et des proches qui ne partageaient aucunement cette vision. « Une bande de profiteurs » qui avaient choisi de se sucrer sur le dos de l’artiste. Obligée de faire le tour du monde pour faire aimer son fameux déhanché, elle n’était pas toujours présente pour s’assurer de la bonne évolution de ses affaires.
A l’heure du nouveau projet, on se pose la question de savoir si elle a véritablement appris des précédentes entreprises. On est enclin à y croire quand on observe la manière dont elle décline le nouveau projet. Il ne s’agit plus exclusivement de Cabaret Live Dancing, mais aussi d’activités qui peuvent se mener en journée, à toute heure, question de créer une activité permanente sur le site. Les attractions des services de salle de sport, de restaurant, d’institut de beauté, sont des éléments qui vont faciliter la fréquentation du lieu. Aussi, en diversifiant ses sources de revenus, en ne mettant pas ses œufs dans un même panier, il va de soi que la réussite est plus probable.
Maintenant, reste l’équipe qui sera en charge de la promotion et de la gestion de ces sites. Le choix des hommes est fondamental. Ce d’autant plus que la chanteuse de Bikutsi n’est pas encore sur le déclin de sa carrière. Elle continuera de faire le tour du monde. Alors, il faut réussir son casting. Ce n’est pas Mr Serge Rafrik qui dira le contraire.
Stéphane NZESSEU
Les auteurs de cet assassinat courent toujours.
C’est une affaire qui laisse sans voix, à Douala précisément au quartier Borne 10 dans le 3e arrondissement de la ville. Un boulanger âgé de 40 ans prénommé Pascal a été assassiné dans la nuit du dimanche 17 au lundi 18 janvier 2021. Ses assassins n’ont pas encore été identifiés, et ils courent toujours. L’histoire de son meurtre a été relayée par la chaîne de télévision privée Canal 2 International dans son édition du journal parlé du soir du 18 janvier 2021.
Selon Canal 2 International, le défunt boulanger à perçu dans la journée du dimanche 17 janvier 2021, une cotisation d’un montant de 35 000 FCFA. Après la perception de cet argent, il a donné à boire à des individus dans un débit de boisson du quartier Borne 10. Sa facture s’est élevée à 4 000 FCFA. Sur le retour de sa maison, il a été attaqué par des personnes qui visiblement savaient qu’il était en possession de la somme de 31 000 FCFA. L’argent a été pris et son corps sans vie a été jeté dans un puit non loin de sa chambre.
Selon le reportage de Canal 2 International, les voisins de Pascal avouent avoir entendu les cris de détresse la nuit du meurtre. Seulement quand ils sont sortis, tout était redevenu calme. Cependant, ils ont trouvé la porte de la chambre du boulanger grandement ouverte. Et tout avait été retourné. La pièce était sens dessus dessous. Son téléphone aussi était introuvable.
«C’est à 5h du matin qu'un enfant voulant chercher de l'eau, aperçoit la plante des pieds d'un homme dans le puits d'environ 1m50 de profondeur. Le voisinage est alerté et le corps de Pascal repêché par les sapeurs-pompiers. Un boulanger plutôt gentil et sans histoires. Selon les voisins, il a été bénéficiaire dimanche 17 janvier 2021, d’une somme de 35 000 FCFA dans une tontine du quartier. Il a ensuite offert à boire dans son élan de générosité à quelques personnes pour une facture de 4 000 FCFA. Ses agresseurs sont partis avec les 31 000 FCFA restant. Tout porte à croire qu'il les connaissait parfaitement, raison de sa mise à mort», rapporte Canal 2 International.
Une enquête a été ouverte.
Liliane N.
75% du financement soit 4,5 milliards de FCFA de la Maison de la culture Sawa a été ordonné en 2014 par le Chef de l’Etat et le Ngondo a supporté 25% de son coût soit 1,5 milliard.
La Maison de la culture Sawa est un impressionnant ouvrage de 6 milliards de FCFA qui ne laisse personne indifférent. Sa construction est finie et aujourd’hui, il ne reste plus que l’inauguration. Le joyau architectural qui est bâti sur un site de 5000 m², se trouve au lieu-dit Besseke dans la ville de Douala. La Maison de la culture Sawa se veut à la fois un repère et une plateforme de référence pour les Camerounais qui souhaiteraient enrichir leurs connaissances et avoir une traçabilité de leurs origines Sawa.
Il convient de noter que le financement de cette Maison de la culture Sawa a été assuré par l’Etat et le Ngondo, l’association culturelle du peuple Sawa. L’Etat a apporté 75% dudit financement via la Communauté urbaine de Douala (CUD) qui a été le maître d’ouvrage. Le Ngondo a contribué à hauteur de 25% soit 1,5 milliard de FCFA.
Pour parler un peu plus de son potentiel, selon Félix Mbarga, Directeur technique de Dik’s Business Group, maître d’œuvre par ailleurs conducteur des travaux, ce bâtiment R+3 peut accueillir plus 2000 personnes et des cérémonies diverses. Il a en son sein un musée Sawa qui est précisément logé au dernier niveau.
Pour ce qui est de sa forme, il faut dire que l’édifice s’étale sur 1760 m², près du tiers de la superficie globale du site qui est de 5000 m². Il a la forme d’une pirogue, un symbole fédérateur qui renvoie à des éléments naturels et culturels comme l’eau et les activités de pêche que les Sawa, peuple de l’eau et de la côte ont en partage. Il est constitué d’un ensemble en 3 blocs. Le bloc central qui dispose d’une salle polyvalente modulable (920 m²) et d’une mezzanine (560 m²) et ses deux ailes.
Liliane N.
Florent Ibenge l’entraîneur des Léopards de la RDC affirme que le Cameroun a construit des infrastructures sportives de haut niveau.
Le moins qu’on puisse dire rendu à quatre jours du début du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2021, c’est que le Cameroun remporte bel et bien le pari du point de vue infrastructure. De plus en plus les langues se délient dans ce sens. Invité au programme sportif Radio foot international de la chaîne française RFI, Florent Ibenge le sélectionneur de l’équipe des Léopards de la RDC a salué la qualité des infrastructures sportives du pays. Il convient de préciser que ses poulains ont joué hier 18 janvier 2021 au Stade Japoma contre l’équipe du Congo et ont remporté la partie avec un score de 1 but contre 0. C’est dire que Florent Ibenje en sa qualité de technicien a eu la possibilité de regarder de plus près le Stade Japoma.
«Je suis vraiment ravi. Au-delà du stade qu’on peut retrouver partout ailleurs, en Europe notamment, c’est surtout la mise à disposition des terrains d’entrainement qui sont de très bon niveau, de très bonne qualité. En tant que technicien c’est très agréable. Ne fut-ce que pour le développement de nos infrastructures en Afrique. Je pense que c’est très bien que le CHAN existe», a-t-il déclaré au cours de l’émission du 18 janvier 2021 présentée par la journaliste Annie Gasnier.
Il faut noter que la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) par la voix de son président Gianni Infantino qui a pris part à la cérémonie d’ouverture du CHAN 2021, a lui aussi félicité le Chef de l’Etat pour ses réalisations qui profitent au sport camerounais.
«Je voulais remercier en personne le Président Biya pour ses engagements, ses investissements en faveur des jeunes pour le football dans ce pays… C’est exceptionnel ce que le Cameroun a pu faire dans un contexte marqué par la crise économique, la crise sanitaire. Et dans cette situation, investir pour la jeunesse, ce n’est pas facile. Le Président l’a fait, il fallait le remercier», a-t-il déclaré.
Liliane N.
Les deux équipes viennent de se séparer dos à dos par un score vierge au stade de la réunification de Bepanda à Douala. C’était dans le cadre de la deuxième rencontre du groupe C de cette sixième édition du Championnat d’Afrique des Nations de Football (Chan) que le Cameroun accueille depuis le 16 janvier dernier.
A la lecture de la qualité du jeu développé par les protagonistes sur l’aire de jeu, la rencontre s’est plutôt avérée équilibrée dans les intentions à l’issue de la première période avec un léger avantage de l’équipe ougandaise, qui a bénéficié de deux belles occasions de but dans le camp adverse, mais sans en concrétiser.
Dès les premières minutes du premier quart d’heure du match, l’intéressant attaquant du Rwanda, Jacques Tuyisengue va tenter un tir cadré dans la surface de réparation ougandaise, mais sans succès. A la 20ème minute de la partie, le même joueur sur une opportunité nette de but va essuyer un autre échec face aux défenseurs ougandais dotés de bons automatismes ne laissant aucun espace aux attaquants.
A la 22ème minute, les Rwandais tentent une contrattaque bien menée qui n’aboutira pas finalement à une belle finition. Ils vont dans la foulée obtenir un corner qui ne va pas pour autant permettre aux spectateurs du stade de la réunification de Douala d’assister à l’ouverture du score. L’Ouganda qui force la machine obtient un coup franc que son capitaine Moustapha n’a pas pu orienter au fond des filets.
Avant la première mi-temps le joueur rwandais Hakisimana, attaquant de classe parvient à dribler trois défenseurs ougandais et sur un puisant tir, la balle va ricocher sur la transversale des goals averses. L’infatigable Tuyisengue sur une action, oriente une tête, coupe la trajectoire du ballon qui finit par être renvoyé par le poteau ougandais, alors qu’on joue la 42ème minute.
Au retour des vestiaires pour la deuxième période, dès le premier quart d’heure l’on assiste au revirement de la situation vécue à la première manche. La domination va être ougandaise, l’équipe va d’ailleurs obtenir à la 57ème minute un coup franc. Après cette occasion aussi manquée, le latéral Kayondo porte une frappe qui passe à côté des buts rwandais. Il s’agit de la plus grosse occasion ougandaise dans le camp rwandais (67ème minute). Bien que le Rwanda ait réagi dans une contrattaque immédiate, une fois de plus, ce fut un fiasco.
Au bout de l’épuisement du temps règlementaire, les deux équipes qui ont eu droit à 3 minutes supplémentaires n’ont pas pu changer le score de zéro but partout (0-0) jusqu’au coup de sifflet final.
Innocent D H
Des dérives dénoncés dans un communiqué du Ministre des Sports et de l’Education physique (Minsep) signé ce lundi, 18 janvier 2021. Selon les informations relayées par le président du Comité d’Organisation local du Chan Total 2020 et de la Can Total 2021 (Cocan 20-21), ces actes sont observés notamment au Complexe sportif de Japoma, ont fait l’objet d’une large amplification sur les réseaux sociaux.
Le communiqué de presse du Minsep relève, « il s’agit par exemple du piétinement des sièges, de la pose des pieds sur les accoudoirs et les dossiers, de l’occupation anarchique des places et du dépôt d’ordures sur des emplacements inappropriés ». Des agissements qui n’honorent aucunement les auteurs, indique le Pr Narcisse Mouelle Kombi qui rappelle par ailleurs que de tels actes sont répréhensibles.
Ainsi, à l’ensemble des spectateurs, le Minsep, président du Cocan 20-21 réitère, « la nécessité de sauvegarder la qualité, l’intégrité et la propreté des infrastructures sportives, qui constituent de belles et prestigieuses réalisations du Président de la République, S.E. Paul Biya, en faveur de la jeunesse camerounaise ». Narcisse Moelle Kombi interpelle en outre, « les volontaires et les Stadiers commis aux tâches de surveillance et de maintien de la discipline au sein des stades, afin qu’ils soient davantage vigilants, attentifs et rigoureux en la matière, à l’occasion des prochaines rencontres du Chan ».
Le Président du Comité d’Organisation local du Chan Total 2020 et de la Can 2021 n’oublie pas de souligner, l’impérieuse nécessité de respecter les mesures barrières contre la pandémie Covid-19. Il insiste précisément sur le port du masque et l’observance de la distanciation physique sur les différents sites de la compétition.
« Le Ministre des Sports et de l’Education physique, président du Cocan 20-21 en appelle à la compréhension, au civisme, au patriotisme, au sens de la discipline et au respect des consignes de sureté et de sécurité par les spectateurs admis dans les stades », conclue le membre du Gouvernement dans le communiqué.
Innocent D H
Dès l’annonce de la décision du TAS, le délégué à l’Assemblée Générale qui avait vu l’élection de Seidou Mbombo Njoya en 2018 est monté au créneau pour contester la décision de Gianni Infantino, « d’infantiliser » les camerounais en maintenant dans ses fonctions l’actuel président de la Fecafoot, pour que ce dernier gère le processus de transition.
Quelques minutes après l’annonce par le TAS de l’annulation du processus électoral de la Fédération Camerounaise de Football, la FIFA, par la voix de son président a unanimement décidé de maintenir à la tête de la fédération celui dont le mandat vient d’être annulé par une instance judiciaire. Une position que Abdouraman juge sans fondement. Pour lui, il est clair que l’instance mondiale du football était à court de solutions au Cameroun. Il affirmait sur les antennes de Equinoxe Radio ce lundi matin que « la FIFA elle-même a besoin d’une normalisation ». Cette normalisation qui s’annonce est la troisième, mais en réalité la sixième si on compte les diverses rallonges qui sont survenues. Et tout ceci, toujours pour des questions de régularité des textes.
Dans une interview accordée ce dimanche au journal THE GUARDIAN POST, Abdouraman fait savoir que l’instance dirigeante du football mondial avait choisi d’interpréter la partie de la décision qui lui convenait : « La réalité est que la FIFA s’oppose plutôt à l’exécution de la décision du TAS. Sur le plan juridique, si votre élection est annulée, cela signifie que vous n’avez jamais été élu au départ. S’il s’agissait d’une réélection, ce serait différent. Cela signifie que tout document qui sera signé par Seidou exposera la fédération et le Cameroun. Bien évidemment, nous ne pouvons pas accepter cela ».
D’autres part, Abdouraman est clair. Il est impossible que la FIFA impose un dirigeant aux camerounais. Dans cette même interview, il tient une position qu’il a tenu à rappeler sur les antennes de la radio Equinoxe ce lundi matin. Il dit en somme « certaines personnes pensent que la FIFA est le patron de la FECAFOOT mais non... La FECAFOOT est indépendante. Nous sommes membres de la FIFA et nous sommes obligés de respecter ses statuts et ses règlements, mais la FIFA n’est pas le patron du football camerounais ». D’après Abdouraman, la FIFA est arrivée à une telle conclusion parce qu’elle sait qu’elle ne peut pas remplacer une commission de normalisation par une autre commission de normalisation, étant donné que sur le plan juridique, l’exécutif dirigé par Seidou Njoya, dont la prétendue élection a été annulée par le TAS, n’a jamais existé.
Que faut-il faire aujourd’hui ?
Abdouraman Hamadou Baba annonce que leurs avocats vont écrire à la FIFA cette semaine pour contester la légalité de leur sortie. Il y a également un mouvement de concertation des acteurs du football dans le pays sur la façon de prendre en charge le football du pays. De toute évidence, il faudra passer à de nouvelles élections le plus tôt possible.
Stéphane NZESSEU
Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale affirme qu’en plus d’avoir mis sur pied les régions, accordé au Nord-Ouest et au Sud-Ouest un statut spécial, le Président de la République est allé au-delà des demandes des enseignants et des avocats, qui sont le point de départ de la crise anglophone.
Paul Atanga Nji le Ministre de l’Administration territoriale (MINAT) actuellement en séjour à Bamenda chef-lieu de la région du Nord-Ouest, a tenu une réunion sécuritaire ce lundi 18 janvier 2021. Le MINAT a saisi l’occasion pour parler des actions posées par Paul Biya le Président de la République pour résoudre la crise anglophone. De son point de vue, le Chef de l’Etat est même allé au-delà de ce que les avocats et les enseignants réclamaient.
«Le chef de l’Etat est allé au-delà de ce que les enseignants et les avocats demandaient. Je pense qu’avec la création des régions, avec l’élection des conseillers régionaux, le Chef de l’Etat, Son Excellence Paul Biya, Père de la nation, donne la chance à tout le monde dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, à travers le statut spécial, à travers la Réhabilitation de la *House of Chiefs *, de participer concrètement au développement de ces régions dès la base», a déclaré le membre du gouvernement.
En demandant à ceux qui se restent encore dans la brousse d’y sortir, le Ministre Atanga Nji a interpellé les parents d’enfants. Il a affirmé que le Chef de l’Etat a déjà vaincu les séparatistes. Ceux qui dérangent actuellement sont des bandits.
«Je lance solennellement un appel à ces petits groupes terroristes qui sont encore en brousse de déposer les armes, et de suivre le chemin honorable des ex-combattants qui sont dans les centres de DDR (Démobilisation, Désarmement et Réintégration)…Les parents doivent être sincères car ces enfants qui sont en brousse, sont les enfants de nos familles, et les familles doivent collaborer sincèrement avec les autorités administratives, ainsi que les forces de défense et de sécurité, pour que ces enfants sortent de la brousse. Les récalcitrants qui ne veulent pas sortir doivent être punis et remis à la disposition de la justice. Le double-jeu a trop duré. Nous ne gagnons rien dans ce double jeu…Les terroristes vont attaquer les écoles, kidnappent les enfants, prennent même des rançons, et viennent donner à leurs parents. C’est l’argent du diable…Le Chef de l’Etat a gagné la guerre contre les sécessionnistes, contre les terroristes. Maintenant, nous avons affaire à des bandits de grand chemin qui ne veulent pas suivre le chemin tracé par le Chef de l’Etat», affirmé le patron de l’Administration territoriale.
Liliane N.
Une fermeture qui fait suite à la décision de la Société de Développement du Coton (Sodecoton), de suspendre les livraisons de la matière première à la Cotonière industrielle du Cameroun (Cicam). En effet, celle-ci cumulerait une importante somme impayée vis-à-vis de l’entreprise cotonnière, informent de nombreuses sources dignes de foi.
La Cicam, l’unique transformateur du Coton en Afrique centrale vient de prendre un coup dur dans ses activités. Depuis le 18 octobre 2020, cette entreprise publique a dû fermer son usine de Garoua dans la région du Nord. Elle cumule 1,3 milliard de francs CFA d’impayées vis-à-vis de la Sodecoton. Ce qui aurait poussé l’entreprise cotonnière à suspendre la livraison de la matière première à la Cicam car selon le protocole qui lie les deux entités, elle est fondée à interrompre les approvisionnements dès lors que l’encours de la dette atteint 200 millions de nos francs. Une décision qui aurait ainsi contraint l’industrielle à fermer cette usine. Ajouter à cela, la Cicam était déjà financièrement en difficulté du fait de la concurrence farouche que lui livre les tissus importés de la Chine et de l’Afrique occidentale.
Avant d’en arriver là, il faut indiquer que la Sodecoton a dû consentir de nombreuses négociations. Selon une source autorisée, « Avant le Covid, cet encours culminait déjà à 600 millions de FCFA. Mais, la Cicam a argué de l’opportunité de fabriquer les masques et de les vendre que lui offrait le Covid, pour pouvoir apurer sa dette. Mais, malheureusement, l’encours de la dette a plutôt explosé, atteignant désormais 1,3 milliard de FCFA ».
Une autre indiscrétion fait savoir que, malgré la dette réclamée par la société cotonnière, la Cicam a cru devoir importer « entre temps, pour 600 millions de FCFA d’écrus (tissu non imprimé), produit fini de l’usine de Garoua, qui permet d’approvisionner en matière première l’usine de Douala ». Précisons dans la foulée que, à plein régime, cette unité procure à la Cicam environ 600 000 mètres d’écrus par mois, pour une consommation de coton évaluée à environ 120 millions de FCFA.
Innocent D H
Martin Ntoungou Mpile affirme que ses poulains les Lions indomptables A’ doivent aussi être plus prompts dans les dernières passes.
Les observations d’après match du sélectionneur Martin Ntoungou Mpile sont les mêmes faites par des commentateurs sportifs. Au micro de la CRTV, Ntoungou Mpile a reconnu que les Lions doivent encore travailler la finition de leurs actions. Car il convient de rappeler que samedi dernier, en match d’ouverture contre le Zimbabwe, les Lions se sont offert plusieurs occasions de but. Cependant une seule de ces occasions a abouti à un but. D’ailleurs l’unique de la rencontre.
«Le problème qu'on a eu aujourd'hui c'est la finition. Il faudrait que les joueurs soient plus adroits devant les buts, plus prompts dans la dernière passe», a déclaré Martin Ntoungou Mpile dont les performances de ses poulains ne rassuraient pas avant le début du Championnat d’Afrique des Nations.
Toutefois, tout se saluant les Warriors du Zimbabwe, Martin Ntoungou Mpilé s’est réjoui de la première victoire des Lions indomptables.
Interrogé après la victoire de son équipe, Martin Ndtoungou s’est montré assez lucide sur la première victoire de l’année de son équipe en félicitant tout d’abord la sélection Zimbabwéenne.
« Je voudrais tout d’abord remercier l’équipe du Zimbabwe qui a fait un bon match. Une équipe solide qui nous a créé beaucoup de problèmes…nous avons cherché ce but dès le début du match avec plusieurs occasions ratées face à une défense et un gardien coriaces…Je suis satisfait des trois points acquis lors de cette première journée, car cela est important pour le début de chaque tournoi » a-t-il conclut.
Liliane N.
L’accident de la circulation s’est produit à Nkong-Tok, dans la matinée du dimanche 17 janvier 2021.
6 personnes ont été tuées hier 17 janvier 2021 dans un accident de circulation qui a eu lieu à Nkong-Tok. Selon nos sources, l’accident en question a été causé par la collision, entre un Bus de l’agence « Global voyages », venant de Yaoundé, et une voiture de tourisme Toyota Rav 4, en provenance de la ville de Douala. Selon la brigade de gendarmerie de Boumnyebel, l’accident s’est produit vers 10 heures du matin.
« Après le choc, le grand bus a trainé l’autre petite voiture sur environ 600 mètres. Toutes les six personnes à bord de la Rav 4 sont mortes sur place » a confié une source au sein de la gendarmerie nationale au journal Cameroon info net. Quatre victimes décédées ont pu être identifiées. Deux ne l’ont pas encore été.
Retrouvez ci-dessous les noms des victimes déjà identifiées :
Samuel Pimbog
Serge Ndaga
Odile Mboe
Anastasie Ndzie
Cet accident de circulation n'est pas le seul qui s'est produit dans la journée du 17 janvier 2021. Selon des sources, sur le même axe Douala-Yaoundé et précisément au lieudit Ebombe, il y a eu un autre accident qui a fait près de 5 morts et des blessés. Ici, il se trouve qu'un car de transport en commun a fait un tonneau. Ces accidents viennent remettre à l’ordre du jour la question de la responsabilité des usagers de nos routes surtout de nos axes. Car les premiers éléments d’enquête sur l'accident de Nkong-Tok mettent en cause l’excès de vitesse. « Le véhicule de tourisme qui roulait à vive allure a tenté un dépassement avant de se retrouver nez-à-nez avec le bus quand sa roue s’est éclatée », ont indiqué des témoins. Pour celui d'Ebombe, des témoins affirment que le car de transport en commun roulait à vive allure.
Les accidents sus rapportés font partie des tous premiers enregistrés en début de cette année 2021. Il convient d'indiquer que selon le Ministère des Transports, en moyenne 1200 personnes périssent chaque année dans des accidents sur nos routes. Et c’est ce qui constitue la troisième cause de mortalité au Cameroun. Les dégâts matériels dus à ces accidents sont estimés à plus de 100 milliards de francs CFA par an (184 millions de dollars), selon des chiffres de l’Association des sociétés d’assurances du Cameroun.
Liliane N.