Samuel Eto’o Fils l’ancien capitaine des Lions indomptables se dit ravi d’avoir pu faire le don de 10 ambulances médicalisées au Cameroun, pour venir en aide aux personnes en situation d’urgence.
Samuel Eto’o Fils a lui-même rendu public l’information sur sa page Facebook. L’ancien capitaine de l’équipe fanion des Lions indomptables a offert au ministère de la Santé, 10 ambulances médicalisées.
«Don de 10 ambulances au ministère de la Santé au Cameroun. C‘était un tel honneur de pouvoir le faire pour mon pays afin que plus de personnes puissent être aidées dans des situations d’urgence», a écrit le Pichichi.
Il convient de noter que Samuel Eto’o Fils est habitué à poser ce type d’actions qui s’inscrit dans l’humanitaire. Et on ne saurait en parler sans citer le pavillon pédiatrique d’une valeur de 700 millions de FCFA rétrocédé à l’hôpital Laquintinie de Douala, en mai 2017. Ce pavillon comprend 48 lits. Et il est dédié aux urgences et à la réanimation des enfants. Il permet de renforcer la qualité des soins de santé en matière de pédiatrie. Constitué de lits d’hospitalisation, d’une salle de déchoquage, d’une photothérapie, d’un service diététique, d’une salle de réunion, des bureaux de médecins et de plusieurs blocs de consultation, l’édifice peint en bleu et blancs, couleurs de l’hôpital Laquintinie, est situé entre le haut standing et l’économat.
«Ce pavillon est à vous, c’est pour les citoyens que vous êtes, c’est l’accomplissement d’un rêve pour un monde solidaire. Apporter du sourire aux enfants est la chose la plus merveilleuse. En outre, le pavillon va contribuer de manière efficiente à réduire le taux de mortalité infantile au Cameroun », avait déclaré Samuel Eto’o Fils.
En plus de la santé, Samuel Eto’o Fils fait des œuvres caritatives dans les domaines entre autres de l’éducation, du sport.
Liliane N.
Le patron de la communication du Canon de Yaoundé et leader d’opinion est amer contre la société à laquelle il a été fidèle durant 05 ans. Il est en colère contre Super Mont. Et il dit qu’il ne boira plus jamais de cette eau.
Franck Ghislain ONGUENE vient de nous livrer son témoignage sur les maladies que lui procurent la mauvaise eau minérale en circulation depuis quelques temps. Selon lui, certains joueurs du Canon de Yaoundé seraient également malades à cause de cette mauvaise eau que l’entreprise laisse impunément à la consommation du plus grand public.
Sa décision est claire : « J'ai décidé dès ce jour de ne plus jamais boire de l'eau Super Mont de l'entreprise SOURCE DU PAYS S.A. de toute ma vie ... Voici bientôt 5 ans que je ne bois que de l'eau minérale. Et cela fait exactement 05 ans que je n'ai plus jamais eu de problèmes d'amibiases et depuis le weekend je suis souffrant.
J'ai bu de l'eau Minérale Super Mont. Je suis convaincu que cette eau n'est non seulement pas potable mais qu'elle est le produit de la contrefaçon ! Mais le mutisme de l'entreprise face à cette situation m'inquiète moi le consommateur. Je pense qu'une bouteille d'eau minérale issue de la contrefaçon n'a pas le logo de l'entreprise sur le bouchon et est remplie au-delà de la limite d'1,5 Litre. Par ce que remplie à la main et non industriellement.
Dans l'équipe de football pour laquelle je travaille, de nombreux joueurs sont également malade à cause de cette eau de mauvaise qualité ! J'invite de ce fait l'entreprise Super Mont et Ses principaux distributeurs à résoudre très rapidement ce problème sinon la presse Camerounaise se saisira de cette affaire et réclamera des tests approfondis. »
Lire aussi : SOURCE DU PAYS S.A. déclare qu’il n’y a pas de contrefaçon sur ses produits
On peut constater en regardant la bouteille sur l’image qu’effectivement, il est difficile de croire que cette eau est de bonne qualité. De plus, Franck Ghislain ONGUENE n’est pas le seul qui se plaint de la qualité de cette eau. Plusieurs camerounais depuis quelques semaines se plaignent de la qualité de l’eau minérale Super Mont. Les instances gouvernementales en charge de la qualité et de la santé sont invitées à se pencher sur cette question.
Stéphane NZESSEU
Le ministère du Travail et de la Sécurité sociale Grégoire Owona instruit en lieu et place du défilé des activités de sensibilisation et d’échanges, cependant dans le respect du quota de 50 personnes.
La 135ème édition de la fête du Travail va se dérouler cette année sans le traditionnel défilé du 1er mai. Comme on peut l’imaginer, le ministère en charge du Travail et de la Sécurité sociale a décidé d’annuler cette parade en raison de la pandémie du Coronavirus. Toutefois dans le communiqué de ce département ministériel rendu public ce jeudi 22 avril 2021, il est autorisé l’organisation des activités de sensibilisation et d’échanges autour du thème choisi pour cette édition 2021 de la fête du Travail.
«Compte tenu du contexte sanitaire actuel et de la réalité de la pandémie du CovId-19, la traditionnelle Grande Marche des travailleurs le 1er mai ne pourra pas avoir lieu. Toutefois, les acteurs du monde du travail sont invités à organiser, conforment aux mesures restrictives édictées par les pouvoirs publics, des activités de sensibilisation et d’échanges notamment par le biais des moyens modernes de communications, ainsi que toutes manifestations en liaison avec le thème officiel, réunissant moins de cinquante personnes dans le respect de toutes les mesures barrières », peut-on lire dans le communiqué signé par Razack Johny, le secrétaire général du ministère du Travail et de la Sécurité sociale.
Pour cette 135ème édition, le thème retenu est : « Monde du travail et pandémie du covid-19 : garantir la santé des travailleurs, défi majeur dans la préservation des acquis en entreprises ». Comme on peut l’observer, il s’agit d’un thème en rapport avec la pandémie qui secoue actuellement le monde entier. On peut comprendre son choix parce que les travailleurs font partie de la classe plus touchée par le Coronavirus.
Liliane N.
Ils ont été nombreux, camarades de parti mais aussi Députés de l’Opposition, à manifester leur sympathie à l’épouse ainsi qu’aux enfants du défunt qui, malgré la douleur ont su rester digne en ces moments de triste solennité.
Le grand hall du Palais des Congrès de Yaoundé revêtu des couleurs du deuil a également accueilli les amis et connaissance du défunt, qui s’en est allé le 24 Mars 2021 à l’hôpital Général de Yaoundé.
Après le culte, l‘un des moments marquants a été les discours prononcé par les Députés, dont celui de l’honorable Mbe Assae Mendomo Alexandre – président de la Commission des Affaires Economiques, de la Programmation et de l’Aménagement du Territoire.
A l’assistance, il a rappelé les qualités de celui qui pour cette 10ème Législature a été élu Député de la Nation :
« Notre cher collègue faisait partie de la Commission des Affaires Economiques, de la Programmation et de l’Aménagement du Territoire…
Son départ précoce et inattendu ne nous a pas donné l’occasion d’accomplir ensemble notre devoir dans le cadre des activités qui nous incombent en tant que Commission.
Prince, comme on l’appelait affectueusement en dépit de son bref séjour à l’Assemblée Nationale était un jeune homme très actif et se distinguait par sa modestie, son humilité, son dynamisme et surtout par son sens élevé de responsabilité.
Pour s’en convaincre, l’Honorable Prince Mikody Ange Gilbert présidait, avec beaucoup de satisfaction, aux destinées du Réseau des Parlementaires pour la Bonne Gouvernance dans les Secteurs des Ressources Extractives au Cameroun.
L’Honorable Prince Mikody, au regard de son bref, mais ô combien riche parcours terrestre, nous laisse penser à une étoile filante… ».
S’adressant ensuite au défunt, l’honorable Mbe Assae Mendomo Alexandre a eu ces propos poignants :
« Cher Collègue, si jeune tu t’es consacré au service du bien –être et de l’amélioration des conditions de vie des populations, toutes choses qui t’ont valu, sans aucun doute, ton investiture couronnée par ta brillante élection comme Député du Rassemblement Démocratique du Peule Camerounais, parti au sein duquel ton engagement est resté sans failles.
Tu nous quittes au moment où l’Assemblée Nationale avait encore besoin de tes bons et loyaux services.
Tu laisses un vide difficile à combler parmi les membres de la Commission des Affaires Economiques, de la Programmation et de l’Aménagement du Territoire au sein de laquelle, tu as pu t’intégrer facilement et jouissais d’une estime particulière. Nous ne t’oublierons jamais. Vas et que ton âme repose en paix… ».
La triste d’adieux était présidée par l’honorable Hilarion Etong – premier vice président de la Chambre Basse du Parlement Camerounais. Lui, tout comme les Députés présents sur le site, se sont inclinés devant le cercueil du défunt.
L’Honorable Prince Mikody Ange Gilbert sera reconduit à se dernière demeure le 24 Avril prochain dans la Boumba et Ngoko – Région de l’Est Cameroun.
Nicole Ricci Minyem
Le Chef du gouvernement et ses collaborateurs ont reçu les vaccins hier à Yaoundé. Un acte courageux dont l’objectif est de lancer un signal à la population comme quoi il est judiciable de se faire vacciner. Il n’y a pas de danger à le faire.
Le Premier Ministre du Cameroun se fait l’évangéliste de la cause du vaccin contre le Covid 19. Joseph Dion NGUTE a décidé ce mercredi se faire vacciner contre cette faucheuse. Les professionnels de la santé sont venus à l’immeuble étoile pour administrer la première dose aux membres du gouvernement. On a remarqué la présence de certains membres du gouvernement, à l’instar de Grégoire Owona, ministre du Travail, Joseph Beti Assomo de la Défense, Joseph LE de la Fonction Publique, Marie Thérèse Abena Ondoa de la Promotion de la Femme et de la Famille. Il y avait aussi des Représentants-Résidents des organismes du système des Nations Unies. Et d’autres responsables de l’administration publique du Cameroun. Ils veulent montrer l’exemple pour inciter le maximum de camerounais à être prêt à se faire vacciner le moment venu.
Pour Joseph Dion NGUTE, réagissant sur les antennes de la CRTV Radio, « Comme nous constatons, autour de nous, les gens meurent; les gens qui nous sont chers sont en train de tomber à cause de COVID. Il est donc important de prendre des mesures pour arrêter tout cela. Et jusqu’alors, la seule façon véritable d’y arriver, c’est la vaccination. C’est pour cela que je me suis fait vacciner. J’ai pris la dose, je suis bien portant. J’encourage tous les Camerounais à se faire vacciner, parce que si, éventuellement quelqu’un est contaminé par ce virus, si vous êtes vacciné ça passe presque inaperçu; vous n’êtes pas en difficulté comme c’est le cas actuellement ».
Mais est ce que cette stratégie va fonctionner à l’égard des camerounais qui sont très méfiants ? Difficile de croire que ceux qui ne seront pas obligés de quelque moyen que ce soit, de le faire, iront librement se faire injecter ces vaccins qui ont mauvaises presses. De toute façon, il est préférable d’observer la suite des évènements pour savoir comment vont se comporter les populations camerounaises. Ce d’autant plus qu’il y a de très mauvaises nouvelles qui circulent en ce moment au sujet d’une dame qui serait décédée suite à ces vaccinations.
Stéphane NZESSEU
Dans un communiqué publié sur son site, l’organisation humanitaire mondiale de lutte contre la faim précise que « Des millions de familles en Afrique de l’Ouest et Centrale sont menacées par une grave situation d’insécurité alimentaire
Les causes sont entre autres « la Flambée des prix des denrées alimentaires, dans des régions en proie à des conflits, ainsi que l’impact socio-économique de la pandémie du COVID-19… ».
Des mesures urgentes doivent être prises
Ces dernières sont nécessaires, selon le Pam si les pays concernés veulent éviter « une catastrophe alimentaire » car « Plus de 31 millions de personnes devraient être en situation d'insécurité alimentaire - et incapables de se nourrir pendant la saison de soudure de juin-août, période précédant la prochaine récolte et au cours de laquelle les réserves alimentaires sont épuisées…
Ce chiffre est supérieur de plus de 30 %, à celui de l'année dernière et représente le niveau le plus élevé depuis près de dix ans », selon les données du Cadre Harmonisé, une analyse conjointe de la sécurité alimentaire publiée sous les auspices du Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS).
Chris Nikoi, Directeur régional du PAM pour l'Afrique de l'Ouest : « En Afrique de l'Ouest, les conflits alimentent déjà la faim et la misère. La hausse incessante des prix agit comme un multiplicateur de pauvreté, plongeant des millions de personnes dans l’insécurité alimentaire et le désespoir…
Même lorsque les denrées alimentaires sont disponibles, les familles n'ont tout simplement pas les moyens de s’en procurer - et la flambée des prix met un repas de base hors de portée de millions de familles pauvres qui avaient déjà du mal à s'en sortir ».
Les prix des denrées alimentaires sont en hausse dans toute la région. Par rapport à la moyenne des cinq dernières années, les produits locaux ont augmenté de près de 40% ; et dans certaines zones, les prix ont grimpé de plus de 200 %.
Cette situation est due en partie à l'impact économique des mesures mises en place pour contenir la propagation du coronavirus au cours de l'année dernière, mais aussi à la baisse des revenus des populations en raison de la réduction des activités commerciale, touristique et informelle, et des transferts de fonds.
En Sierra Leone, la dépréciation de la monnaie locale a eu des répercussions sur le prix des denrées importées ou produites localement. Selon les régions du pays, le prix du riz – qui est l’aliment de base du pays – est supérieur de 60 à 70% à la moyenne quinquennale. Et l'insécurité alimentaire aiguë a connu un pic, touchant 23 % de la population (1,8 million de personnes), contre seulement 2 % en 2019.
« En attendant que les marchés se stabilisent, l'assistance alimentaire est peut-être la seule source d'espoir pour des millions de familles. Les besoins sont immenses, et si nous ne parvenons pas à réunir les fonds dont nous avons besoin, nous ne pourrons tout simplement pas faire face. Nous ne pouvons pas laisser 2021 devenir l'année de la réduction des rations », a averti le Directeur régional.
Dans certaines parties de la région, comme dans le nord du Nigeria, le Sahel central (Burkina Faso, Mali, Niger), la République centrafricaine ou encore les régions du Nord-ouest et du Sud-ouest du Cameroun, l'escalade de la violence oblige les populations à se déplacer, à abandonner leurs champs et leurs sources de revenus, les exposant ainsi à une insécurité alimentaire aiguë.
Près de 10 millions d'enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition aiguë cette année dans la région, et le Sahel représente la moitié de ce chiffre à lui seul.
Et parallèlement à l'augmentation prévue de 30% de l’insécurité alimentaire et aux prix élevés des aliments nutritifs, ce nombre pourrait augmenter considérablement.
Cette année, le PAM prévoit d'aider près de 18 millions de personnes en Afrique de l'Ouest et Centrale, dont 68 % dans des situations de crise et d'urgence. Et pour les six prochains mois, le PAM a besoin de 770 millions de dollars pour ses opérations dans 19 pays de la région.
Si ces fonds ne sont pas collectés, les rations seront diminuées pour les personnes dans le besoin, notamment celles qui souffrent de la faim à cause des conflits.
N.R.M
Nombreux à cette interrogation répondent sans hésitation par l’affirmative s’appuyant notamment sur les manifestations constatées sur la défunte vice présidente de Transparency International au Cameroun.
Un parent proche, qui se serait confié à la presse fait savoir que c’est quelques heures après avoir reçu le vaccin que la défenderesse des Droits de l’Homme a vu sa santé se dégrader, ce qui a nécessité un internement urgent à l’hôpital
Ibrahim Seyi, proche de la défunte dont les propos ont été rapporté par Cameroon Info.net : « Tata Béatrice se portait bien il y a une semaine jusqu'à ce qu'elle décide d'aller se faire vacciner contre le Covid. Le lendemain, elle commence alors à se sentir mal et son fils, Elom Pierre Yves Alain lui dit craindre que ce soient les effets secondaires du vaccin mais, elle le rassure...
Hier (mardi 20 avril, ndlr), elle n'allait toujours pas bien. Son fils décide de l'emmener à l'hôpital où elle a été vaccinée il y a une semaine... les médecins sont surpris car après analyses, ils ont trouvé qu'elle a le Covid et en même temps elle semblait faire un AVC... C'est donc aujourd'hui en l'emmenant dans un centre spécialisé contre le Covid qu'elle décède dans l'ambulance ».
Sans la moindre hésitation, Ibrahim Seyi affirme que le décès de sa parente a été causé par une seule chose : « Ce foutu vaccin a tué cette merveilleuse femme... une battante qui n'a jamais ménagé ses efforts pour le bien être des autres et pour la justice... et même après sa mort elle est toujours activiste car une enquête sera ouverte sur ces vaccins et peut être seront ils interdits au Cameroun en tout cas c'est ce que nous espérons ».
Des propos que corroborent Me Dominique Fousse, avocate au Barreau du Cameroun : « Une de nos amies que vous connaissez car elle interagissait beaucoup sur ma page et est très connue dans son domaine à Yaoundé, vient de décéder après qu’on lui ait injecté un vaccin anti Covid je ne sais lequel mais vous le dirai demain .Ceci se passe à Yaoundé .Elle y est allée volontiers, elle a pensé qu’elle devait le faire. Nous ne la reverrons plus! Je suis très touchée par ce départ. L’émotion est forte ! ».
Cette actualité fait grand bruit, alors que quelques membres du Gouvernement, avec à leur tête le Premier ministre Chief Joseph Dion Ngute ont reçu leur dose de vaccin.
Nicole Ricci Minyem
Un dialogue qui s’inscrit dans les activités du plan de travail annuel Bucrep-Onu à travers la mise en œuvre du programme « Women Count », qui vise principalement le recueil des besoins des principaux utilisateurs des données genres sensibles ;
Ceux-ci seront intégrés dans les processus d’analyse et de diffusion du 4ème Recensement Général de la Population et de l'Habitat (RGPH4).
De manière concrète, la rencontre qui avait pour cadre l’un des hôtels situé dans la ville aux sept collines ambitionne de : Présenter aux utilisateurs le processus de production et de diffusion des données du 4èmeRGPH- Présenter les indicateurs genre sensibles qui seront produits dans le cadre du 4èmeRGPH - Recueillir les besoins des utilisateurs en matière de données genre sensibles - Analyser les gaps et les limites dans le processus actuel de production, de diffusion et de dissémination des données statistiques genre sensibles - Présenter d’autres données et publications genre sensibles produites par le Bucrep et leur mécanisme de diffusion.
Contexte
Selon la Commission Economique des Nations Unies pour l’Europe (2018), quel que soit le niveau d’expertise et de professionnalisme mis en œuvre pour la production de statistiques, ces dernières n’ont de réelle utilité que si elles répondent aux besoins des utilisateurs et potentiels utilisateurs.
L’identification de ces besoins passe par la mise en place d’une plateforme permanente d’échanges entre producteurs et utilisateurs, en vue d’une meilleure appropriation des statistiques produites, et un usage plus efficient pour l’aide à la prise de décisions en matière politiques publiques.
Cependant, les utilisateurs ont des besoins de plus en plus complexes et de plus en plus individualisés, qu’il faut intégrer dans le processus de conception des études statistiques.
Tous ces défis interpellent les producteurs de statistiques au rang desquels le Bureau Central des Recensements et des Etudes de Population (BUCREP), qui conçoit et réalise de nombreuses études statistiques sur divers domaines.
Thématiques
Elles ont été présentées par des experts, qui ont édifié les participants à l’instar des Acteurs de la Société Civile, des Universitaires, des Responsables des CTDs ainsi que des Représentants des services déconcentrés de l’Etat exerçants au niveau local), sur : Le processus de production du hors-série genre –L’identification des besoins sur les statistiques genres sensibles – La Présentation de données communautaires genre sensible –La Présentation sur la décentralisation et la production des statistiques genre-sensibles (données collectées lors du dénombrement)…
Les uns et les autres ont par ailleurs pris part aux travaux en Atelier avec les thèmes tels que :
Activités économiques et genre - Education et genre - Santé et genre - Vulnérabilité et genre - Pauvreté non monétaire et genre - Migration et genre - Activités économiques et genre - Education et genre - Santé et genre - Vulnérabilité et genre - Pauvreté non monétaire et genre - Migration et genre.
Ce sont ces sujets et ceux ajoutés au cours des discussions ayant meublé les travaux d’atelier qui feront les grandes lignes des hors séries que prévoit de publier dans les prochains jours, le Bureau Central des Recensements et des Etudes de Population.
Nicole Ricci Minyem
Il s’agit selon la Banque centrale, d’un service de reporting d’informations sur le crédit, les consommateurs et entreprises. C’est ce que l’on retient d’un avis de pré-qualification lancé le 20 avril dernier pour la sélection d’un partenaire technique et stratégique en vue de la mise en place ce bureau.
Dans cet avis de pré-qualification, la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) précise, « Le processus de pré-qualification doit aboutir à la sélection de l’investisseur approprié qui travaillera avec la Beac, la Cobac, les auteurs du système financier (établissements de crédit, établissements de microfinance et établissements de paiement), les grands facturiers (opérateurs de téléphonie fixe et mobile, société de distribution d’eau et d’électricité, etc.) et d’autres acteurs pertinents pour établir, détenir, gérer et exploiter un BIC adapté aux besoins des fournisseurs et des utilisateurs d’informations sur le crédit dans la Cemac ».
L’on apprend qu’actuellement, les principales sources d’informations sur le crédit pour les prêteurs dans la sous-région Cemac (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad) sont : d’abord, la centrale récapitulative des risques bancaires de la Beac. Celle-ci a été mise en place au début des années 90 et périodiquement alimentée par les établissements de crédit. Il y a ensuite, la centrale des risques des établissements de microfinance développés par le Conseil national du crédit du Cameroun, uniquement ouverte aux institutions financières implantées au Cameroun.
« Bien que contenant des informations utiles à l’évaluation du risque de crédit, ces différentes centrales d’informations financières ne sont pas en mesure de proposer au secteur du crédit des services de crédit reporting avancés. Il existe donc un besoin commercial impérieux d’un Bureau d’informations sur le crédit moderne et fiable pour améliorer la qualité de la prise des décisions relatives au crédit, élargir l’inclusion financière et la base des clients emprunteurs, améliorer les performances en termes de risque de crédit et réduire les pertes sur prêts », relativise la Banque des Etats de l’Afrique centrale.
Précisons que les dossiers de candidature pour la pré-qualification doivent parvenir à la banque centrale avant le 20 mai 2021, informe la Beac.
Innocent D H
L’équipe fanion du Nord est qualifiée pour les quarts de finale de cette compétition, malgré la défaite qu’elle vient de concéder ce mercredi à domicile contre la Jeunesse sportive de Kabylie (1-2). Les cotonculteurs poursuivent leur aventure en Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) grâce à la victoire des Zambiens du Napsa stars contre Renaissance de Berkane.
La victoire des Zambiens du Napsa stars face aux Marocains de Renaissance, Coton sport de Garoua se qualifie pour les quarts de finale de la Coupe de la CAF. Cependant, l’équipe de la cité capitale du Nord a été battue sur ses propres installations au stade Omnisport de Roumdé-Adjia par les Algériens de JSK qui n’ont voulu laissé aucune chance aux Camerounais.
S’agissant de la rencontre Coton-JSK proprement-dite, la première partie a connu la détermination des deux équipes à prendre le dessus. Peine perdue malheureusement pour les protagonistes qui vont regagner les vestiaires par un score vierge (0-0).
La seconde période va être bien exploitée par les Algériens étant connu que les maghrébins savent bien simuler pour réussir des coups en fonction des enjeux liés à la rencontre. Ils vont ainsi profiter de l’expulsion à la 57ème minute du burkinabè Sibiri Sanou, milieu de terrain de Coton. JSK ouvre le score à la 63ème minute, puis va saler l’addition 5 minutes après. De quoi réjouir l’entraîneur de l’équipe algérienne, Denis Lavagne, « on a vu une très belle équipe de la JSK qui a bien maîtrisé son sujet tactiquement, techniquement. Ils ont exactement exécuté ce qu’on avait préparé et ça a marché ».
Coton sport de Garoua en infériorité numérique va se contenter de réduire le score en concrétisant un penalty obtenu vers la fin de la rencontre. Pour l’entraîneur de Coton, Aboubakar Souleymanou, il y a lieu de retenir les leçons de cette défaite. « Nous avons quelques jours pour corriger nos erreurs, nous allons nous y atteler », assure-t-il.
Innocent D H
Le Premier ministre Joseph Dion Ngute et plusieurs membres du Gouvernement ont reçu leur première dose de vaccin contre la pandémie du coronavirus. C’était ce mercredi, 21 avril 2021 à Yaoundé, siège des institutions républicaines.
Le Gouvernement camerounais prêche par le bon exemple dans la réceptivité du vaccin anti-covid-19 dont les premières doses sont administrées aux cibles prioritaires depuis plusieurs jours. En effet, ce mardi, plusieurs autorités de la République notamment les membres du Gouvernement se sont faits vacciner contre le virus mortel. Il s’agit entre autres, du Premier ministre, Chef du Gouvernent Joseh Dion Ngute, du Ministre de la Défense Joseph Beti Assomo, du Ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Grégoire Owona, du Ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, Joseh Lé, du Ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur Jacques Fame Ndongo.
Il faut rappeler que le Ministre de la Santé publique, Manaouda Malachie quant à lui, s’était déjà fait vacciner une semaine avant. Après avoir reçu sa première dose de vaccin Sinopharm, le Minsanté avait rassuré : « Je me sens très bien après avoir reçu le vaccin ». Manaouda Malachie indiquait par ailleurs, « nous tenons à remercier le président de la République qui a permis que tout ceci arrive. L’objectif premier, c’est la prévention et la préservation du personnel de santé qui est au front depuis bientôt déjà un an. Imaginez-vous quelqu’un qui vient comme moi, d’avoir sa carte de vaccination après la prise de sa première dose, nous pensons que nous sommes davantage prémuni contre ce virus ».
Cette réception du vaccin anti-covid par plusieurs autorités camerounaises va certainement contribuer à mieux convaincre les sceptiques qui jusque-là ont du mal à accepter le vaccin depuis l’arrivée des premières doses dans le pays, s’appuyant sur les controverses en cours concernant les effets secondaires du vaccin.
Innocent D H
La saisie a eu lieu dans la nuit du 20 au 21 avril 2021 grâce aux actions des fins limiers de la brigade commerciale des douanes de Idenau dans la région du Sud-Ouest Cameroun. Il s’agit là d’une prouesse de la douane camerounaise qui vient contribuer effacement aux efforts de protection du tissu économique contre les pratiques néfastes mais également participent de la préservation de la santé des populations camerounaises.
Selon les sources proches du dossier, la cargaison de matériels médicaux de la contrebande importée du Nigéria, saisie par la Douane camerounaise est constituée de plus de 30 000 tests de VIH et de syphilis, et de bien d’autres produits. Les sources douanières précisent que cette cargaison ne disposait d’aucun document d’importation, et était dissimulée dans une embarcation de transport de personnes et de marchandises.
Officiels et opérateurs économiques pointent du doigt, la porosité de la frontière de 1 500 km séparant le Cameroun et le Nigéria qui a favorisé le développement d’une intense activité de contrebande entre les deux pays voisins. C’est le cas notamment dans les trois régions septentrionales du pays (Adamaoua, Nord, Extrême-Nord) et les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Précisons que selon des informations puisées à bonnes sources, l’activité de contrebande couplée au commerce illicite fait perdre au Cameroun (entreprises et Etat) environ 200 milliards de FCFA chaque année. Ces bons points des éléments de la douane camerounaise sont à féliciter surtout qu’ils interviennent au moment où le Cameroun au même titre que les autres pays du globe mobilise les moyens pour l’éradication de la pandémie de Covid-19. Voir des matériels médicaux du commerce illicite entrés sur le territoire ferait donc redouter des conséquences désastreuses sur la santé de la population.
Innocent D H
La nouvelle plateforme politique entend réunir en son sein la nouvelle dynamique des jeunes hommes politiques camerounais décidés à en découdre avec le néocolonialisme et conduire le Cameroun définitivement vers sa prospérité. Les libérateurs s’annoncent davantage comme une fédération de formations politiques plutôt qu’un parti politique de trop.
La plateforme « LES LIBÉRATEURS » ou « LES LIBS » est un Mouvement politique rassemblant des acteurs de Centre Gauche et Centre Droit. Il met en synergie, à ce jour, une demi-dizaine de formations politiques ainsi qu'une pléthore de figures jeunes et moins jeunes de notre société civile.
Leur maxime : Réaliser, enfin, la Libération totale du Cameroun de la servitude néocoloniale, par la politique, la monnaie, l'économie, la culture, etc...
La plateforme est une dynamique de convergence nationaliste, panafricaniste et Foiiste. Elle a vocation à libérer puis émanciper le Cameroun sur tous les plans. Elle a aussi vocation à tirer l'Afrique vers la même trajectoire d'autodétermination et de Prospérité.
L'ordre du jour portera sur des communications relatives à des thématiques développées par des panélistes ; suivra une séance de questions réponses, un échange avec la presse et enfin une communication solennelle à l'endroit du peuple camerounais.
Ci-dessous, les thématiques à développer :
1 - La réforme des systèmes politique, Institutionnel et électoral camerounais
2 - La révolution du système monétaire et socio-économique sur la base du démantèlement du FCFA
3 - Santé publique : que faire face à la pandémie mortelle de la Covid-19.
4 - Le Cameroun dans la Géopolitique mondiale : quelle position face à l'ordre impérialiste dominant et capitaliste triomphant ?
5 - L'exigence de démantèlement de la totalité du système néocolonial français et des différentes formes de servitude en œuvre au Cameroun
6 - Restauration et promotion de la mémoire et de la vision de nos héros et martyrs politiques.
Lire aussi : Célestin Djamen (président APAR) : « nous nous engageons fermement à respecter nos institutions »
Le Cameroun est à la croisée des chemins à plusieurs titres. Sur le plan administratif, le système camerounais est en pleine mutation pour une migration vers la décentralisation. Un mécanisme qui implique une plus grande politisation des collectivités territoriales décentralisées.
Sur le plan purement politique électoraliste, l’assiette des fonctions électorales est en pleine croissance. De ce fait le recrutement des acteurs politiques sera plus large que d’habitude, avec une certaine intensification du jeu électoral local. Dans plusieurs secteurs de la vie sociale camerounaise, il y a des mutations importantes en cours.
Autant de mouvement qui font dire que c’est l’un des moments les plus favorables pour changer fondamentalement le disque du fonctionnement du pays en mettant sur la table les problématiques même les plus sensibles tels que la monnaie, le patriotisme économique et toutes les autres valeurs panafricanistes, question d’avoir dans les prochaines années une plus grande vague de politiques territoriaux sensibilisés aux grands enjeux politiques contemporains. Des acteurs à même de relayer le bon message au plus près de la population. Une activité intense à laquelle entend s’atteler « Les libérateurs ».
Stéphane NZESSEU
Célestin Djamen présente son parti APAR, comme une formation politique respectueuse de la constitution et de la stabilité du Cameroun.
Célestin Djamen et son nouveau parti politique dont il est le fondateur L’Alliance Patriotique et Républicaine (APAR) ont une vision assez éloignée de celle du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC). En donnant sa toute première conférence de presse ce mercredi 21 avril 2021, Célestin Djamen a indiqué qu’il ne sert à rien d’être un héros mort.
«Jouer au héros mort n'apporte rien au peuple. Si vous voulez aider vos frères Camerounais, il faut passer par la sensibilisation et s'imposer dans le jeu politique. APAR se voit comme un parti qui respecte la stabilité et la Constitution du Cameroun. Nous nous engageons fermement à respecter nos institutions», a-t-il déclaré.
Célestin Djamen n’exclut pas l’idée de tisser des alliances avec d’autres partis politiques et même le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) au pouvoir.
«L’APAR n’est pas l’Alpha et l’Oméga et c’est pourquoi nous avons créé un secrétariat national afin de collaborer avec les autres partis politiques», a déclaré transfuge du MRC.
Célestin Djamen a indiqué au passage que le MRC son ancien parti politique, de son point de vue, est enfermé dans une opposition radicale qui ne sert pas sa cause, encore moins celle du peuple camerounais. De ce fait, il ne faudra pas attendre son parti politique dans la politique de boycott des élections.
«APAR n’est pas dans la lignée de ceux et celles qui boycottent les élections. Dans un pays, que vous soyez de l’opposition ou non les institutions sont pérennes. Les hommes disparaissent, les dirigeants décèdent, mais le Cameroun demeure. Le Cameroun c’est un don de Dieu, il est au-dessus de nous, des partis politiques. On ne rejette pas son pays, le Cameroun est consubstantiel pour l’homme Camerounais», a-t-il ajouté.
Liliane N.