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Nicole Ricci Minyem

Nicole Ricci Minyem

Dans un communiqué rendu public ce 13 avril 2022, le président de l’instance faîtière du football Camerounais affirme que l’assemblée générale organisée le 28 mars 2022 a mis un point final à toutes les polémiques qui avaient existé auparavant…

 

“A l’issue des travaux de ladite assemblée générale extraordinaire, de nombreuses résolutions ont été prises notamment: 

 

La non prorogation du mandat du Comité Exécutif provisoire élu le 12 Octobre 2021 et partant sa dissolution.

 

La confirmation des sieurs Boudjiko Youkeka Pierre et Mbida Mbida Blaise Faustin comme mandataires et porte - parole des membres de l’assemblée générale de 2009.

 

Le retrait des mandats confiés à Maîtres Lebel Elomo Manga et Wamba Mankollo Georges, Avocats au barreau du Cameroun.

 

Le retrait de l’entier des procédures au Tas.

 

La reconnaissance de l’élection de monsieur Samuel Eto’o Fils à la tête de l’instance faîtière et la décision de l’accompagner dans sa politique des réformes du football Camerounais…”. 

 

De plus, 

 

Samuel Eto’o Fils - président de la Fécafoot  dit “ déplorer les agissements belliqueux de certains acteurs tapis dans l’ombre dont les objectifs inavoués sont de maintenir le football Camerounais dans les querelles internationales…”. 

 

Samuel Eto’o Fils “ invite l’opinion nationale et internationale à plus de vigilance afin qu’elle ne prête pas l’oreille à ces conjectures complotistes qui visent à paralyser le football Camerounais”.  

 

N.R.M

Le bilan du président de la Fédération Camerounaise de Football est fait par Jean Lambert Nang - journaliste sportif, dans une publication que l’on peut lire sur facebook. 

 

“11 décembre 2021 - 11 avril 2022

Il y'a 4 mois jour pour jour, Monsieur Eto'o Fils Samuel prenait les rênes de l'instance faîtière du football camerounais grâce à une victoire écrasante sur son adversaire , Président Sortant.

En l'espace de 4 mois le bilan du monument mondial est exceptionnel avec une mention très Honorable.

Le Maintien de la can 2021 au Cameroun après une pression de la FIFA et des clubs UEFA qui voulaient ajourner , déporter  où annuler ladite Can. Mais l'influence du nouveau Président de la Fecafoot a contrecarré les plans ignobles de ces derniers.

La Parfaite Gestion administrative et financière des lions indomptables durant la can 2021 au Cameroun.

Les lions  n'ont pas connu le sempiternel problème des primes qui a souvent miné la tanière à travers les résultats néfastes (à l'exception de quelques fois où l'arbre a souvent caché la forêt) grâce au travail remarquable du Président de la Fecafoot.

En plus, les lions ont occupé la troisième place de la compétition. N'eut été l'incompétence notoire de Conceiçao avec ses choix abracadabrants face à l'Égypte en demi-finale en refusant de faire jouer Choupo Moting , le Cameroun aurait remporté sa sixième étoile à la maison.

L'apaisement des tensions entre les acteurs majeurs du Football Camerounais à travers la "résurrection" du patriarche , Général Pierre Semengué qui a été honoré à la tête du conseil transitoire du football professionnel

Le désistement à toutes les procédures pendantes au tribunal arbitral du sport ( Tas ) par la quasi-totalité des membres de l'Assemblée Générale de 2009 afin que le football Camerounais ne se joue plus dans les tribunaux mais sur les aires de jeu.

Le retour de nombreux sponsors à la Fecafoot  à l'instar de MTN Cameroun, Les brasseries du Cameroun,Guinness Cameroon et bientôt , U B A de Tony ELUMELU  et la Cimenterie Dangoté.

La reprise des Championnats de MTN Elite one et Two

Avec des subventions louables aux clubs , 23 millions de FCFA par an à tous les clubs d'élite one sans oublier l'hébergement et la restauration dans les hôtels 3 à 4 étoiles ( du jamais vu dans l'histoire du Football Camerounais )

L'organisation d'un championnat féminin Guinness Super league où le Président Eto'o a décidé de doubler les montants de Guinness aux filles ( Adama  on peut aimer son pays comme ça là !!!  Président Eto'o qui êtes vous ??? )

La nomination d'un Sélectionneur Manager Local à la tête de l'équipe Fanion du Cameroun ( Rigobert SonG ) comme réclamé par le peuple Camerounais ( les résultats parlent )

La Qualification des lions indomptables à la Coupe du monde Qatar 2022 avec un sélectionneur Camerounais ,  ce qui permettra de renflouer les caisses de la Fecafoot à Hauteur de près de Huit milliards de FCFA.

La liste est loin d'être exhaustive .

Avec ce bilan magnifique du Président Eto'o depuis son accession au magistère de la Fecafoot , il est honnête d'octroyer une  mention Très Honorable  (19/20 ) à ce Grand Homme qui est Présenté par les spécialistes du Football mondial  comme le meilleur Président de l'histoire de l'histoire de la Fecafoot.

Recevez , Monsieur le Président de la Fecafoot ,  L'expression de mes salutations distinguées.

“Les grands esprits ont toujours rencontré une opposition farouche des esprits médiocres”Dixit Albert Einstein.

Le Bon DIEU continuera toujours de vous protéger des  sorciers qui veulent vous détruire.

ETO'O n'est pas à votre niveau.

ETO'O n'est pas la clé, mais le trousseau de clés qui ouvre toutes les portes…”.

 

Dans un communiqué rendu public ce mercredi 13 avril 2022, le ministre de la Communication - Porte parole du Gouvernement a présenté les condoléances du Président de la République et a rassuré les populations de cette partie du territoire national, quant aux mesures qui seront prises afin d’assurer leur sécurité.  

 

Retour sur les faits 

 

“Dans la matinée du 12 avril 2022, un véhicule ayant à son bord, le Délégué Régional de l’Administration Pénitentiaire du Nord - ouest, ainsi que trois de ses collaborateurs, de retour de la cérémonie de passation de service technique entre les Régisseurs entrant et sortant de la prison régionale de Nkambe - Département du Donga - Mantung, a fait l’objet d’une attaque terroriste…”.

 

L’attaque commise au moyen d’armes automatiques fait état de quatre morts: 

 

Kigha Théodore Kume - Administrateur général de prisons, Délégué régional de l’Administration Pénitentiaire du Nord - ouest à Bamenda; 

 

Nnang Lionel Ajang - Administrateur des prisons, chef de Service des Affaires générales à la Délégation régionale de l’Administration Pénitentiaire du Nord - ouest; 

 

Afuh Nelson Cha - Gardien Principal des prisons - garde du corps en service à la Délégation régionale de l’Administration Pénitentiaire du Nord - ouest; 

 

Owono Yannick - Gardien major des prisons, chauffeur en service à la prison centrale de Bamenda. 

 

Condamnation et enquêtes 

 

“ Le Gouvernement de la République condamne avec la plus grande fermeté, cet acte à la fois lâche, ignoble et barbare, perpétré par  des criminels sans foi ni loi contre les représentants de l’Etat, en plein exercice de leurs fonctions…

 

Les Autorités administratives locales et les Forces de Défense et de Sécurité sont actuellement à pied d'œuvre, pour rattraper ces hors la loi, et les traduire devant la justice…

 

Par ailleurs, une enquête a été prescrite, afin de faire toute la lumière sur les circonstances exactes de cet attentat.”

 

Le concours des populations 

 

“ Le Gouvernement exhorte les populations à continuer de faire preuve de courage et de solidarité, et, entend les rassurer quant à sa détermination à tout mettre en œuvre pour éradiquer l’insécurité et rétablir la paix dans les Régions du Nord - ouest et du Sud - ouest”. 

 

N.R.M

Les prémices du vote électronique ? La ville de Bruges, dans la banlieue de Bordeaux, vient d’organiser une consultation citoyenne en ligne, avec la plateforme Civic Power, association qui milite pour le vote en ligne et qui propose des solutions de vote mobile sécurisées pour les entreprises, les associations ou les collectivités, notamment via sa start-up bordelaise Votelab.

L’équipe municipale de cette commune de 18.000 habitants a fait de la démocratie citoyenne “un axe fort” de son mandat, explique la première adjointe Isabelle Desbordes. “En plein milieu de la crise sanitaire, nous avons opté pour une consultation en ligne dans le but de nous aider à rédiger le schéma directeur de nos équipements sportifs, poursuit l’élue. Il nous fallait un système qui allie la simplicité d’usage, à la solidité technologique, pour que les résultats soient incontestables”. 

Dix fois plus de personnes lors de la consultation en ligne 

 

Organisée en septembre dernier, la consultation a touché 547 personnes. Dix fois plus qu’une consultation ordinaire pour ce genre de sujets. “Le but était d’organiser ensuite des ateliers participatifs qui ont eu lieu début mars, et où nous avons eu une quarantaine de personnes”. Un chiffre pas forcément impressionnant, mais “nous avons attiré un public qui ne serait pas venu spontanément”, se réjouit Isabelle Desbordes.

 

Sur le modus operandi, la ville de Bruges a d’abord distribué 11.000 courriers dans les boîtes aux lettres des habitants, sur lesquels figuraient 4 QR code pour que chaque membre d’une même famille puisse voter une fois. En scannant le code, les utilisateurs étaient renvoyés directement sur une application pour s’inscrire et voter en ligne en répondant à 23 questions.

 

Urne décentralisée et transparente

 

Pour cette consultation, l’identité des votants n’était pas demandée, “mais on peut tout à fait graduer les dispositifs de sécurité en fonction de l’enjeu du scrutin”, explique Jean-Sébastien Suze, directeur de Votelab. Se pose ensuite la question du traitement des données, et c’est là que Civic Power propose une offre innovante, qui passe par la blockchain. 

 

“La sécurité, l’intégrité et la transparence du vote, sont les éléments-clés d’un scrutin, martèle Jean-Sébastien Suze. Et le risque est plus important quand il s’agit d’une élection avec un enjeu politique, que pour choisir la couleur d’un mobilier urbain”. “C’est pourquoi nous avons travaillé sur une urne décentralisée et transparente, via la blockchain, ajoute le président de Civic Power Christophe Camborde. Tous les votes sont visibles en temps réel, et ils sont évidemment anonymisés. Quand vous avez voté, on vous remet un QR Code qui permet de vérifier le contenu de votre vote”. 

Civic Power n’est pas la seule plateforme à travailler sur cette urne transparente digitalisée. C’est le cas aussi d’une autre start-up bordelaise, V8TE. Lancée en pleine pandémie, cette entreprise propose aujourd’hui une plateforme numérique 100 % libre-service.

“Vous n’avez besoin de personne pour vous inscrire sur notre site et lancer votre scrutin de manière sécurisée, résume son fondateur Guillaume Odriosolo. Nous travaillons essentiellement avec des associations, des entreprises, et quelques collectivités, tout un milieu qui connaît une forte accélération depuis deux ans avec les logiciels de signature électronique par exemple. Parallèlement, nous allons finaliser une technologie d’urne digitale transparente, technologie qui permettra de faire l’analogie avec le vote physique”. 

“Trouver les moyens de récupérer ceux qui sont en colère”

 

L’objectif de cet écosystème est de participer à la mise en place du vote électronique, qui n’est pas autorisé à ce jour en France, hormis quelques exceptions notamment pour les votants à l’étranger. “Nous avons aussi créé Civic Power pour faire du lobbying auprès des instances politiques en faveur du vote électronique, dans le but de lutter contre l’abstention qui ne cesse de progresser”, résume Christophe Camborde.

Au premier tour de la présidentielle, l'abstention chez les moins de 34 ans a atteint 46 %, alors qu’elle était à 30 % en 2017. « Nous voulons trouver les moyens, avec les outils digitaux, de récupérer ceux qui sont en colère et qui s’expriment en étant des "haters" sur les réseaux sociaux, comme le fait l’appli Elyze [un comparateur de programmes des candidats à destination des jeunes] avec qui on collabore également. Les citoyens ont évolué, il faut inventer une nouvelle forme d’expression du vote”. 

“Faciliter le vote n’est pas la solution, mais une solution pour lutter contre l’abstention, abonde Jean-Sébastien Suze. La question est de savoir comment on ramène les concitoyens à la chose publique, que ce soit pour leur demander un avis sur un aménagement urbain ou pour voter pour le futur Président de la République. Et de notre point de vue, apporter une brique technologique facilitant l’accès au vote aurait un impact sur la participation”. 

L’épineuse question de la sécurité

 

Le sujet du vote électronique pose toutefois de sérieuses questions autour de la sécurité. Plusieurs experts mettent en garde contre la mise en place d’un tel système en France. “Si on vote à distance, la liberté n’existe plus, on peut se faire acheter son vote, se faire contraindre, on peut ne pas être la bonne personne”, alertait ainsi François Pellegrini, professeur d’informatique à l’Université de Bordeaux, au moment des dernières élections régionales en 2021.

 

“Il peut y avoir des contraintes sur quelques individus, admet Christophe Camborde, comme il y en a peut-être autour de l’isoloir aussi… C’est pour cela que je regarde l’Estonie de très près, où la moitié du pays vote en ligne et où il y a un consensus politique sur le sujet. Là-bas on a la possibilité de changer son vote en ligne, ou de le remplacer par un vote physique si on le souhaite… 

Il existe des garde-fous, organisés autour d’un identifiant unique pour chacun, via la carte d’identité numérique. Leur limite c’est l’urne, qui est centralisée sur un serveur dans une base de données. C’est pourquoi nous avons travaillé sur une urne décentralisée. »

Le vote électronique va « prendre du temps avant de rentrer dans les mœurs »

L’objectif pour Civic Power, c’est de réaliser l’expérience de Bruges “à l’échelle d’un département, d’une région, jusqu’au jour où on le fera au niveau national”. La première adjointe de Bruges est aussi favorable à une généralisation d’un tel dispositif. “On sent bien qu’il y a un lien de confiance qui s’est distendu avec les élus… En faisant participer les citoyens, pas sur tous les sujets, mais un maximum, on va essayer de retisser ce lien de confiance. C’est pourquoi nous allons réutiliser la consultation en ligne, sur le thème de la culture cette fois-ci”. 

Le vote électronique va toutefois “prendre du temps avant de rentrer dans les mœurs”, estime Christophe Camborde. “On rêve d’organiser ainsi la présidentielle de 2027, peut-être pas sur l’ensemble du scrutin, mais sur une zone de test au niveau d’une commune ou d’une région…” Guillaume Odriosolo est plus prudent, et évoque une échéance « de dix à quinze ans”.

La correspondance en circulation sur les réseaux sociaux, donnant instruction d’imposer le paiement de la somme de 30 mille francs aux voyageurs semble expliquer le communiqué rendu public par le Mouvement Réformateur; 

 

Dans le document qu’il a signé, Samuel Billong - président de cette formation politique revient sur le fond ainsi que sur la forme de la correspondance sus - citée en tirant entre autres cette conclusion:

 

“Le Secrétaire Général de la Présidence de la République assume entièrement le rôle du Premier Ministre en ce qui concerne la coordination gouvernementale…”.  

 

Retour sur les grandes lignes du communiqué du Mouvement Réformateur 

 

Sur la forme

 

“La correspondance confirme la dérive fortement dénoncée par nos concitoyens qui finissent par tourner en dérision les “ hautes instructions” dans le fonctionnement du pouvoir exécutif de notre pays qui se caractérise par la prééminence du Secrétaire Général des services de la Présidence de la République sur la scène nationale. 

 

Le pays n’a pas connu de Conseil ministériel présidé par le Président de la République depuis le 16 janvier 2019…”. 

 

Sur le fond, Samuel Billong - président du Mouvement Réformateur relève que “ La mesure est inopportune, à priori inefficiente en plus d’être  révélatrice d’une certaine incohérence du système de gouvernance en vigueur au Cameroun du fait manifestement d’un manque de concertation ( absence de Conseil ministériel)...

 

En effet, poursuit l’homme politique, 

 

“ La persistance alléguée de la pandémie du Covid - 19 ne repose sur aucune base solide au moment où les Gouvernements à travers le monde, y compris dans la zone Cemac sont entrain de lever les restrictions dues au Covid - 19, la tendance générale étant à l’amélioration…”. 

 

Par ailleurs,

 

“ Le Gouvernement qui évoque les contraintes budgétaires pour justifier ce choix a probablement assumé la gratuité de ces tests, mettant en difficulté les finances publiques et favorisant en conséquence les réseaux de trafiquants des faux tests PCR alors que le paiement du test imposé aux voyageurs a été “ une manne financière” pour certains Etats au plus fort de la crise sanitaire du Covid - 19”. 

 

Au terme de son communiqué, le Mouvement Réformateur, appelle au “ strict respect des dispositions constitutionnelles, notamment: 

 

L’Article 10 de la Constitution Camerounaise qui stipule que: “ En cas d’empêchement temporaire , le Président de la République charge le Premier Ministre ou, en cas d’empêchement de celui - ci, un autre membre du Gouvernement, d’assurer certaines de ses fonctions, dans le cas d’une délégation expresse; 

 

Article 12(1): Le Premier ministre est le Chef du Gouvernement et dirige l’action de celui - ci. 

 

Le président national de cette formation politique insiste par ailleurs sur ce point: 

 

“ La levée de toutes les mesures de restriction anti Covid - 19 qui continuent à impacter l’économie nationale ou, le cas échéant à les restreindre aux mesures de précaution sur les voyageurs âgés de plus de 70 ans en provenance des pays à risque…”.   


N.R.M 

C’est à l’issue de la dernière session parlementaire du mois de mars que la décision a été prise et, il a été pensé, créé afin d’apporter des solutions  aux problèmes de l'état civil au Cameroun.

 

La présidence du Réseau Parlementaire pour la Promotion de l'État Civil  ( Reppec) a été confiée à l’honorable François Biba - Député aux couleurs du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale. 

 

L’historique du Reppec

 

L’honorable François Biba - Député Pcrn: “ Lors de la session de mars 2021, nous recevions le BUNEC dans le cadre d'un échange visant à l'amélioration du système de l'état civil et son accès à tous…”. 

 

Les objectifs poursuivis 

 

La situation sur le terrain n'a pas véritablement évolué depuis lors, et cela, affirme l’élu du Peuple  “a été notre  motivation première”. Ils pensent aussi: 

Assainir le cadre de l’état civil au Cameroun - Accélérer le processus de modernisation de l’état civil - Renforcer  les capacités des acteurs institutionnels en matière d’état civil - Promouvoir le dialogue entre les populations et les acteurs de l’état civil - Oeuvrer afin que toutes les couches sociales aient un accès équitable aux services de l’état civil - Finaliser l’avant - projet de loi régissant l’état civil et sa présentation à la Représentation Nationale…

 

Le président du Réseau Parlementaire pour la Promotion de l'État Civil relève le “caractère volontaire des parlementaires qui ont décidé de s’unir au sein d’un réseau afin d’entreprendre des stratégies communes pour le même idéal…”. 

Leurs missions sont donc les suivantes: 

- Faire le plaidoyer auprès du gouvernement pour aider le BUNEC à mettre en œuvre les réformes apportées en matière d’état civil tant au niveau central, régional que communal ;

- Veiller à la sensibilisation et la promotion de l’égalité du genre et des droits liés à l’état civil ;

-  Veiller à la réalisation effective de l’opération spéciale de délivrance massive des actes de naissance telle que prévue en 2021 ;

- Travailler en synergie avec les maires, les pouvoirs publics et toutes les forces vives à l’effet d’organiser une campagne nationale de recensement de tous les enfants sans actes de naissance par commune ;

- Œuvrer à la finalisation effective de l’avant-projet de loi régissant l’état civil et sa présentation à la Représentation Nationale ;

- Militer pour la révision des textes sur l’état civil concernant la simplification des procédures de déclaration d’établissement et de reconstitution des actes de naissances…

 

Nicole Ricci Minyem

Une séance de travail ayant pour principal objectif l’exploration des axes d’une collaboration aux ambitions nationale, voire panafricaine  entre ces deux entités a réuni ce mardi, Samuel Eto’o Fils - président de la Fédération Camerounaise de Football et Nalova Lyonga - ministre des Enseignements Secondaires qui, pour la circonstance était accompagnée par ses proches collaborateurs dans les locaux du Centre d'éducation à distance de ce département ministériel. 

 

Dès sa première prise de parole, le goleador national a marqué sa volonté de mener à bien ce partenariat: “Il est de mon devoir de me tenir prêt de vous parce que vous encadrez nos enfants qui jouent au football”. 

 

Il s’agit de l’un des engagements qu’il a pris, au moment où il menait campagne afin d’occuper la place qui est la sienne aujourd’hui, “ redonner ses lettres de noblesse au football Camerounais en passant par des jeunes susceptibles de l’accompagner. Ils sont visibles pendant les compétitions dans lesquelles sont engagés les U15 et les U17; mais aussi dans les championnats panafricains… 

 

Considérant Samuel Eto’o Fils comme un “modèle pour une jeunesse responsable et ambitieuse”, le ministre des Enseignements Secondaires a jugé qu’il s’agit d’une aubaine pour ce département ministériel: “  La politique du “Clean School” en vigueur au MINESEC, avec les valeurs de propreté physique et morale du milieu éducatif, cadre effectivement avec les choix de rigueur, d'abnégation au travail, de discipline, d'amour de la patrie etc. qui vous caractérisent.

 

Nous devons orienter le trop plein d'énergie de nos enfants et nous nous sentons fiers d'avoir quelqu'un avec qui nous pouvons discuter de ces qualités”. 

 

Collaboration 

 

Après des échanges constructifs, les parties (MINESEC et FECAFOOT) ont décidé, sur la base des éléments nouveaux et autres points de convergence, de revisiter la convention qui lie les deux institutions étatiques depuis 2014, dans le sens de sa réadaptation.

 

"Je marquerai mon accord quand vous voudrez" a indiqué le Président de la Fecafoot en ajoutant que ses équipes sont prêtes à entamer le travail de révision de la convention dans l'agenda qui convient au MINESEC. 

 

Après des échanges conviviaux et marqués du sceau de l’espoir pour la jeunesse espérant faire carrière dans le football, le Professeur Nalova Lyonga a saisi l’occasion qui lui était offerte pour  faire de  Samuel Eto'o Fils, l’Ambassadeur de la lutte contre la violence en milieu scolaire. Son parcours à lui seul, a t -elle assuré,  “étant un argument de poids pour éduquer, guider et ramener nombre d'élèves à la raison”.

 

Nicole Ricci Minyem

Tout en rappelant quelques faits historiques, l’honorable Cabral Libii - président du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale rappelle que le Tribunal Arbitral du Sport va bientôt rendre une sentence sur les affaires de la Fecafoot mais, auparavant, “L’idéal est qu’il y ait enfin un accord transactionnel entre les acteurs en opposition, avant que la ou les décisions de la CCA ne soi(en)t revêtue(s) de l’autorité de chose jugée que lui ou leur procurerait éventuellement un exéquatur. Les acteurs ont changé…”

 

L’honorable Cabral Libii 

 

“Dans les jours qui viennent, le Tribunal Arbitral du Sport va rendre une sentence sur la ou les affaires FECAFOOT qui y sont toujours pendantes. Cette sentence n’apportera rien de nouveau dans le fond, mais ses effets confirmatifs induits, vont sceller juridiquement la nullité du processus électoral qui a donné naissance au comité exécutif élu le 11 décembre 2021. Du coup la FECAFOOT entrera à nouveau malgré elle, dans les turbulences.

 

Pour bien comprendre cela, il faut faire quelques rappels.

 

Souvenons-nous que le processus électoral qui a été bouclé par l’élection du 11 décembre 2021 a été émaillé de beaucoup de contestations et soubresauts. En effet, certains acteurs du football ont obtenu auprès de la Chambre de Conciliation et d’Arbitrage (CCA) du Comité National Olympique du Cameroun (CNOSC), une annulation du processus électoral dans les ligues départementales.

 

En conséquence, tout devait recommencer. Mais la FECAFOOT à l’époque sous la présidence de Seidou MBOMBO NJOYA, va continuer sereinement le processus en se contentant de faire appel de cette décision d’annulation de la CCA auprès du TAS à Lausanne.

 

Le Candidat Samuel ETO’O va lui aussi dénoncer avec véhémence des irrégularités dans le processus. Il va entre autres, introduire une plainte auprès de la Chambre d’Instruction de la Commission d’éthique de la FIFA contre le Président sortant pour conflits d’intérêts et abus de pouvoirs ; il va adresser une lettre de dénonciation à Madame Fatma Samoura, Secrétaire Générale de la FIFA ; 

 

Le 30 novembre 2021 après la publication de la liste des candidatures par la FECAFOOT (le 25 novembre 2021), il va introduire auprès de la CCA une requête en annulation des candidatures de Seidou Mbombo Njoya et Boubakar Alim Konate. Requête qui va être rejetée par la suite pour forclusion.

 

Au bout de ce processus électoral querellé, la nouvelle équipe qui arrive va hériter de l’appel interjeté par la même FECAFOOT (Sous Seidou MBOMBO NJOYA) au TAS, mais cette procédure d’appel qui a été initiée est encore inachevée. Car, conformément à l’article R64.1 du Règlement de procédure du TAS, lors du dépôt de la requête, la partie demanderesse ou qui fait appel, doit verser un droit de greffe de 1000 francs suisse.

 

Si cette somme n’est pas payée, le TAS ne procède pas. Et si après relance de l’appelant la somme n’est toujours pas payée, le TAS rend simplement une sentence sur frais.

 

Dans le cas qui nous concerne, Cette somme n’avait pas été versée par l’équipe sortante de la FECAFOOT. Lorsque la nouvelle équipe arrive le 11 décembre 2021, elle non plus ne la verse pas tout de suite. Le 20 janvier 2022, le TAS va donner un délai de 3 jours à la FECAFOOT à compter du 24 janvier, afin qu’elle s’acquitte de cette somme.

 

Au bout de ce délai, la somme ne sera toujours pas versée. Le 31 janvier 2022, le TAS va adresser un dernier courrier à la FECAFOOT pour lui dire qu’il considérait que l’appel était réputé retiré.

 

Le 2 février 2022 et le 28 février 2022, le Secrétaire Général de la FECAFOOT va solliciter en vain l’octroi d’un délai supplémentaire auprès du TAS pour verser ladite somme. Il va justifier le retard par l’organisation de la CAN et la période instable de passation de service.

 

Il va notamment expliquer au TAS que la nouvelle équipe “n’a eu connaissance du délai” que le jour de son échéance qui était le 4 janvier 2022. Mais, les sollicitations du SG de la FECAFOOT sont restées lettre-morte. Du coup le TAS va rendre bientôt, une sentence sur frais, pour dire que l’appel de la FECAFOOT contre l’annulation du processus électoral par la CCA a été retiré.

 

La conséquence immédiate de cette sentence est que l’annulation demeure en vigueur et entraîne la nullité de toute le reste. Ce qui paraît inimaginable pour le grand public aura juridiquement du sens.

La question est qu’est-ce qu’il faut faire ?

 

Il est indéniable que le football camerounais reprend des couleurs. Nonobstant quelques couacs, le championnat a démarré et il séduit à nouveau les sponsors et les spectateurs. Nous avons à nouveau un coach camerounais, nous allons bientôt en coupe du monde, derrière il y a la CAN etc. Comment arbitrer le match qui va opposer la légitimité apparente à la légalité implacable ?

 

L’idéal pour nous, est qu’il y ait enfin un accord transactionnel entre les acteurs en opposition, avant que la ou les décisions de la CCA ne soi(en)t revêtue(s) de l’autorité de chose jugée que lui ou leur procurerait éventuellement un exéquatur. Les acteurs ont changé.

 

Il est inutile que ceux qui ont à un moment combattu solidairement et courageusement pour offrir un visage rénové et attractif au football se mettent à nouveau à s’étriper juridiquement. Nous les politiques de toutes les strates nous pourrions œuvrer à la médiation autant que nous pouvons, ce d’autant qu’au point où on en est il y a plus de plainte à retirer. Les dignitaires religieux pourraient eux aussi s’impliquer. Donnons vie aux valeurs olympiques.

 

Certes, certains de ceux qui incarnent l’autorité de l’Etat ont pris la regrettable habitude de mépriser le droit. Sur ce coup-ci, ils pourraient encore le faire. Mais les plus avisés d’entre nous savent que ça nous rattraperait tôt ou tard…

 

Une opportunité historique de Réconciliation se présente pour notre football. Saisissons-là au nom du VERT-ROUGE-JAUNE”.

 

N.R.M

Les Vingt-Sept vont poursuivre les activités de conseil et d’éducation mais n’entraîneront plus de soldats, tout en restant au Mali.

Cela faisait des mois que l’Union européenne (UE) tentait de trouver une solution pour maintenir une certaine présence au Mali, malgré la décision des autorités nationales de faire appel au groupe paramilitaire russe Wagner, arrivé dans le pays fin décembre.

Les Vingt-Sept ont finalement décidé de suspendre les missions européennes d’entraînement de l’armée et de la garde nationale maliennes, tout en poursuivant les activités de conseil et d’éducation. “On arrête” d’entraîner des soldats, “mais on reste” au Mali, a résumé lundi 11 avril Josep Borrell, chef de la diplomatie européenne, à l’occasion d’un conseil des ministres des affaires étrangères de l’Union.

Réunis à Luxembourg, ceux-ci ont pris acte de cette décision adoptée la semaine dernière par les ambassadeurs des Vingt-Sept auprès de l’UE. Un consensus qui a eu du mal à se dégager. Certains pays, principalement la France, voulaient interrompre les deux missions qui visent, pour EUTM Mali, à reconstruire les forces armées maliennes et, pour EUCAP Sahel Mali, à renforcer les forces de sécurité intérieure.

D’autres, comme l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne, la Belgique ou la République tchèque, souhaitaient rester ou préserver a minima des activités dans le pays, afin de ne pas laisser le champ libre à la Russie. Un enjeu devenu crucial à l’heure où Moscou brave les équilibres géopolitiques mondiaux avec la guerre lancée en Ukraine.

Depuis le 2 avril, les soldats maliens et les mercenaires de Wagner sont accusés d’avoir perpétré un massacre à Moura, dans le centre du pays. D’après Human Rights Watch, près de 300 civils, dont certains soupçonnés d’être des djihadistes, y ont été exécutés entre le 27 et le 31 mars.

Multiplication des exactions

Dans ce contexte, l’entraînement des forces maliennes est devenu inconcevable pour l’Europe. Certaines de ces activités avaient été de facto suspendues dès le mois de mars par les commandants des missions, en attendant une décision politique de l’Union. “Il fallait éviter rapidement tout risque” de voir des soldats formés par les Européens commettre des “violations des droits de l’homme”, explique un diplomate.

L’UE avait demandé aux autorités maliennes de s’engager à éviter toute coopération entre Wagner et les troupes encadrées par les missions européennes. Dans sa réponse, la junte au pouvoir à Bamako a plaidé pour que celles-ci soient maintenues, un signe perçu comme positif à Bruxelles. Mais les garanties offertes ont été jugées “insuffisantes”. L’Europe continuera toutefois d’enseigner aux soldats maliens « les lois de la guerre”. “Il faut que les militaires sachent que la guerre a des lois et des règles du jeu », a expliqué lundi Josep Borrell

Les Européens insistent sur le fait que cette suspension des activités d’entraînement est « temporaire » et « réversible ». Mais « le constat sur l’évolution de la situation est assez pessimiste », confie un diplomate, au vu de la multiplication des exactions et du refus de la junte malienne d’organiser le retour aux urnes.

Les questions planent même sur la mission des Nations unies au Mali, la Minusma, dont l’enquête à Moura est bloquée par Bamako. “Est-ce qu’on va la laisser aller sur le terrain vérifier ce qui s’est passé ? Ou est-ce que la Minusma va rester enfermée dans ses casernes ? Si c’est pour ça, il ne vaut pas la peine d’y rester”, a expliqué M. Borrell. 

 

La ministre allemande des affaires étrangères Annalena Baerbock se déplacera au Mali cette semaine pour faire le point, alors que Berlin envisage de retirer ses soldats du pays.

L’UE veut en tout cas rester présente au Sahel, toujours en proie à des menaces djihadistes, et se déployer davantage dans les pays voisins. « Mais le Burkina Faso vient de subir un coup d’Etat et le Niger ne déborde pas d’enthousiasme à l’idée d’une présence étrangère renforcée », constate un diplomate. De leur côté, les Européens doivent redéfinir leur stratégie à l’égard de cette région clé, dans le contexte du retrait de la force française “Barkhane” et de la task force européenne “Takuba”, vécues comme un échec.

Avec les contributions de Jacques Philippe Tsala Tsala - Oyono Michel Tadjuidje - Manuela Naud Mvondo Meka, le Maître de Conférence des Universités ( Parmi de nombreuses autres casquettes) met en exergue les mutations de la “Psychologie” depuis 1910, ainsi que l’apport de cette science et les domaines qui relèvent de ses champs d’application dans la société.   

 

Mis à la disposition du public par les Editions de Midi cet ouvrage, dont la préface a été faite par Jacques Philippe Tsala Tsala - Professeur Titulaire de Psychologie renseigne que: 

 

“Connue comme une science autonome depuis 1910 à travers John Broadus Watson, la psychologie a été institutionnalisée et développée selon diverses orientations aux Etats - Unis d’Amérique, en Allemagne, en France, en Angleterre, en Russie. Ses disciplines, ses courants de pensée, ses théories, ses méthodes sont enseignées dans de nombreuses universités et les pratiques qui en émanent obéissent à des canons méthodologiques déjà bien structurés et consolidés.

 

En Afrique en général et dans un pays comme le Cameroun en particulier, aucune étude ne s’est encore vraiment intéressée à dresser un tableau synoptique et un bilan permettant de comprendre comment la psychologie a évolué, s’est institutionnalisée et est appliquée dans divers champs sociaux…”. 

 

Jacques Philippe Tsala Tsala - Professeur Titulaire de Psychologie insiste sur le fait que l’objectif principal de l’ouvrage “Psychologie  et Développement au Cameroun” “ vise, de manière holistique à dresser un prolégomène de portrait sur la genèse, l’évolution ainsi que la contribution de cette discipline au développement humain”. 

 

On peut ainsi, poursuit - il “Observer que, depuis soixante ans, la psychologie évolue, ses orientations se maturent dans les différentes universités Camerounaises et ses applications varient dans divers aspects de la vie quotidienne, dans divers domaines, entre autres l’éducation, précisément le professionnalisme, et la santé”.

 

Ce bilan, conclut le Professeur Titulaire de Psychologie, “Ne saurait être exhaustif mais constitue, d’ores et déjà, une rampe de lancement qui permettra, avec le temps, de davantage démontrer l’importance de la psychologie dans divers aspects de la vie contemporaine au Cameroun”.     


Nicole Ricci Minyem  

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Sunday, 05 June 2022 11:01