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Mfoungo

Mfoungo

Le ministre des Sports a reçu lundi la délégation de la CAF qui est chargée de mener la troisième mission d’inspection des infrastructures qui devraient abriter la prochaine Coupe d’Afrique des Nations en Juin 2019. Bidoung Mkpwatt a tenu à rassurer le groupe sur la volonté, et la préoccupation du pays à tout mettre en oeuvre pour que cette compétition soit une réussite totale.

https://www.facebook.com/CRTVweb/videos/2120201961552129/?t=0 Le Chef de la troisième mission de la CAF, l’ex international Ghanéen Anthony Baffoe, au Ministre des sports ce matin en réponse à l’accueil du Cameroun : « ... Le Cameroun est un grand pays de football. L’accueil chaleureux nous permet de faire une bonne visite d’inspection. Et nous ferons notre travail. La décision finale appartient aux grands chefs de la CAF ». https://www.facebook.com/CRTVweb/videos/2120193161553009/?t=1
Pour être plus précis il s’agit d’un établissement scolaire public d’enseignement secondaire technique et professionnel agricole. Retrouvez ci-dessous dans son intégralité le décret N° 2018/6548/CAB/PM du 01 août 2018.Le Premier ministre, chef du gouvernement, décrète: Article 1er : Est créé, à compter de la date de signature du présent décret le lycée d’enseignement technique et professionnel agricole ci-après : Région du Sud-Ouest Département du Fako Government technical and vocational high school of agriculture-Buea (Buea Sub-Division) Article 2 : L’ouverture effective du lycée susvisé se fera par décision du ministre des Enseignement secondaires. Article 3 : Le présent décret sera enregistré, publié suivant la procédure d’urgence, puis inséré au journal officiel en français et en anglais.   Yaoundé, le 01 août 2018 Le Premier ministre, Chef du gouvernement
Les différents opérateurs disent le chantier achevé alors que dans les ménages, le précieux liquide recommence à se faire rare.«Nous sommes satisfaits du fait que les travaux d’extension du réseau pour l’approvisionnement en eau potable soient terminés. Malheureusement, depuis que les tuyaux ont été posés, nous n’avons toujours pas accès à ce liquide vital pour la vie. Nous continuons à nous débrouiller comme avant», expose un habitant du quartier Simbock. «C’est bien, de nouveaux tuyaux d’eau ont été installés pratiquement partout dans la ville. Mais, ces travaux ont détérioré certains tronçons de route qui n’ont pas été arrangés. Maintenant, l’eau qui coule de nos robinets, n’est pas de bonne qualité. De fois, nous passons des jours et des jours sans eau. Ce qui nous pousse à faire des dépenses imprévues dans nos budgets», éclaire Natacha Aguébong du quartier Elig-Essono. Ces deux réactions prouvent que, contrairement à l’amélioration l’offre en eau potable attendue ou escomptée, la situation reste pénible dans plusieurs quartiers où il faut sortir tôt le matin pour aller chercher de l’eau ailleurs. Les populations sont obligées de trouver des solutions alternatives pour s’approvisionner. Et la Cameroon water utilities corporation (Camwater) n’a toujours pas relevé son défi. Celui de sortir définitivement la ville de Yaoundé et ses environs du manque d’eau voire des coupures intempestives décriées depuis des années. «C’est pour cela qu’un certain nombre de projets ont été mis en œuvre pour renforcer la production d’eau potable pour la ville Yaoundé. Il y a l’usine de la Mefou qui a été reconstruite sur financement de l’Agence française de développement (Afd) et qui apporte 50 à 60 000m3 d’eau par jour. Il y a la capacité de traitement de l’usine d’Akomnyada qui a été renforcée sur financement de la Banque mondiale, et qui apporte 35 000m3 d’eau supplémentaire par jour», expose un cadre technique de Camwater. Faisant savoir que, jusque-là, «le déficit de production est d’au moins 200 000 m3 d’eau par jour». A l’en croire, c’est pour cette raison que les pouvoirs publics, pour trouver une solution à cet épineux problème, ont mis sur pied le Projet d’alimentation en eau potable de la ville de Yaoundé et ses environs à partir du fleuve Sanaga (Paepys) dont la première phase produira 300 000m3 d’eau par jour, extensible à 400 000m3 par jour. «C’est pour cela que la ville de Yaoundé a été creusée un peu partout, de janvier 2017 jusqu’à une date récente, sur une distance de plus de 80 kilomètres. A la demande de la Camwater, il était question de renouveler les anciennes canalisations en fonte grise, vieilles de 60 ans, pour les remplacer par des tuyaux en matière plastique, afin de garantir une meilleure qualité de l’eau, dépourvue de dépôts et de rouille», rappelle-t-il. Soutenant que les nouvelles canalisations n’attendent plus que l’eau potable qui sortira de la station de traitement de Batchenga, après la prise d’eau du fleuve Sanaga à Natchigal. Pour le moins, la Camwater devrait s’atteler à réduire les délais d’intervention et les pertes de produit sur le réseau, à poursuivre les campagnes d’extension des réseaux d’eau potable, ainsi que celle des branchements sociaux. Actuellement, c’est la station de reprise de Nkomotou II qui est en construction. Sinon, les travaux du Paepys sont bien avancés. Même si la libération de l’emprise dédiée à la conduite d’eau entre Nachtigal et Yaoundé n’est toujours pas effective. Ceci à cause du non-paiement des indemnisations aux populations riveraines. Selon le directeur du projet, Dieudonné Omballa, le Paepys dont les travaux sont réalisés à près de 80%, a été conçu pour remédier au déficit de production d’eau potable à Yaoundé. Les villes et localités telles que Batchenga, Obala, Nkomotou, Soa et Ntui bénéficieront également de l’infrastructure.
Elle a été reçue le 6 août 2018 par le gouverneur de cette région Grégoire Mvongo.
Les membres de l’administration du Congrès américain en séjour dans la région du soleil levant ont au préalable eu des échanges avec les réfugiés centrafricains. La délégation conduite par Joan O’Donnell Condon, le chef de mission était pour être précis au camp de réfugiés de Gado Badzere, dans l’arrondissement de Garoua-Boulaï. Rappelons que ce camp a été ouvert le 1er mars 2014. Il accueille environ 25 000 réfugiés. Il faut noter que ce camp rencontre de nombreuses difficultés notamment sur le plan de l’éducation, avec la faible capacité d’accueil des établissements scolaires existants, l’insuffisance des enseignants; au plan sanitaire on note l’accès insuffisant aux soins de santé de qualité pour les réfugiés et les populations d’accueil. Après cette descente sur le terrain, la mission américaine a été reçue en audience par le patron de l’Est, les discussions entre les deux parties ont porté sur les secteurs de l’éducation, de la santé, de l’économie et de la gestion des réfugiés. Et sur le dernier point suscité, les parties prenantes ont évoqué la collaboration du Hcr avec le gouvernement camerounais, le travail des autres ONG sur le terrain, mais aussi la problématique sécuritaire. Par ailleurs rappelons que pour ce qui est de la gestion des réfugiés, le Hcr dénonce depuis un certain temps le refoulement des personnes demandant l’asile par le Cameroun.
La découverte du corps sans vie de l’homme âgé de 42 ans remonte au 1er août 2018.C’est une dépouille sans tête qui a été déposée à la morgue de l’Hôpital régional de Bertoua. La découverte du cadavre a été faite par les éléments de sapeurs-pompiers. Avant le 1er août 2018, les proches du défunt ont constaté sa disparition le 31 juillet dernier. Ils racontent que celui-ci s’est rendu un jour plus tôt en forêt pour mener ses activités de scierie comme d’habitude. Et il serait parti avec son apprenti, qui avait l’habitude de l’épauler dans cette tâche. En se basant sur la violence que l’homme a subie, il est dit que l’acte a été prémédité. Il aurait été tué le jour où il s’est rendu à la forêt. Des villageois racontent que son assistant a été vu dans le village voisin, Boulembe. Mis au courant de cette affaire le sous-préfet de Mandjou, Samuel Menobo a aussitôt organisé des recherches avec tout son état-major et les sapeurs-pompiers, dans cette vaste forêt. L’assistant du défunt a été interpellé, ensuite, il a été remis à la disposition de la police judiciaire, où une enquête a été ouverte.
mercredi, 08 août 2018 08:34

Maurice Kamto «ne tremblera pas»

Le candidat du MRC est déjà sur le terrain pour conquérir son électorat.Investi par le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Maurice Kamto ne cache pas son optimisme et utilise une métaphore footballistique pour exprimer son impatience d’aller à la conquête du pouvoir. « L’histoire nous offre un penalty porté par ma candidature mon pied ne tremblera pas », a-t-il déclaré après sa reconduction à la tête de son parti, à l’issue de la convention du MRC, le 14 avril 2018. Ces dernières semaines, il a tenu une série de meetings dans les régions du Nord et de l’Extrême-nord du Cameroun. Là-bas, il s’est approché de ses camarades et militants pour les écouter. Dans la même foulée, il a poursuivi sa tournée à l’international où il s’est rendu en Italie et au Maroc en début du mois de juillet dernier. Né en 1964 à Bafoussam, l’ancien ministre délégué de la Justice,  professeur d’université et avocat, avait démissionné du gouvernement en 2011. Par la suite, il a créé le Mouvement de la Renaissance du Cameroun. Sept ans plus tard, le MRC compte un député à l’Assemblée nationale, et des conseillers municipaux dans les localités des régions de l’Ouest et du Littoral.
mercredi, 08 août 2018 08:32

Cabral Libii, le petit jeune de la course

La candidature du challenger du parti Univers a été retenue pour le scrutin du 7 octobre prochain.Cabral Libii est l’un des candidats à la présidentielle 2018 retenus pour le scrutin du 07 octobre prochain. Il devra challenger les hommes politiques expérimentés du Cameroun comme Paul Biya (RDPC), Garga Haman (ADD), entre autres. A 38 ans, Cabral Libii est le plus jeune candidat à la succession de Paul Biya, président de la République du Cameroun depuis 36 ans. Une première pour le pays. Critiqué pour sa faible expérience en politique, Cabral Libii ne semble effrayé. Cabral Libii s’est fait connaître au Cameroun par ses analyses politiques dans les médias nationaux. Mais aussi, par sa participation, en 2011, à une manifestation contre l’élite Bassa qu’il accuse, entre autres, de ne pas porter les préoccupations de ce peuple devant les plus hautes instances décisionnelles du pays. Depuis, cette époque, Cabral Libii ne cesse d’asseoir sa notoriété, renforcée dans l’opinion publique par son initiative « onze millions d’inscrits ».

NOUS SOMMES CANDIDAT, DEBOUT LE PEUPLE.

Chers compatriotes, Chers ami(e)s, ELECTIONS CAMEROON, l’organe en charge de la conduite des opérations électorales dans notre pays vient de confirmer ma candidature pour l’élection présidentielle qui se tiendra le 07 Octobre prochain. Le peuple Camerounais sait la bataille que notre parti, le Social Democratic Front, parti du changement, a menée pour assurer une totale indépendance de cet organe ainsi que des élections totalement libres. Ce combat est encore en cours, et nous continuons de dénoncer avec force, les insuffisances de notre processus électoral. Mais en dépit de ces insuffisances, le moment est venu pour la mobilisation. Nous ne devons pas céder à la tentation de la querelle ou du laisser-faire alors que notre pays déjà meurtri se trouve actuellement au bord de l’implosion. Je vous invite donc à vous préparer à aller au vote le 07 Octobre prochain pour exercer votre droit de citoyen, et choisir un nouveau dirigeant pour le Cameroun notre pays. Nous devons sauver notre Cameroun. En ce qui me concerne, je me suis déjà mis au travail pour assurer notre victoire afin qu’au soir du 07 octobre, une nouvelle ère s’ouvre effectivement pour notre pays. Ce travail se fera dans l’Union des Forces du Changement, un rassemblement de ceux qui ne prétendent pas mendier la paix mais sont prêts à agir pour cette dernière et qui comprennent qu’il n y a pas de paix sans justice sociale. Notre majorité d’idées va réunir ceux qui rêvent d’un Cameroun différent où règnent l’égalité des chances et la justice sociale, un pays où tout le monde a droit au progrès et au bien-être. C’est le sens de mon engagement pour un Cameroun meilleur. Un engagement qui ne se fera pas sans vous. Votre soutien est mon plus fidèle allié. Que ce soit en contribuant pour le programme politique ou en devenant bénévoles, je compte sur vous. Joshua OSIH
mercredi, 08 août 2018 08:08

Paul Biya et sa course pour la présidence

La candidature du président du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), en poste depuis le 6 novembre 1982, a été validée par Elecam.Paul Biya est en lice pour la présidentielle qui se tiendra le 7 octobre prochain. Âgé de 85 ans, le deuxième président de la République du Cameroun est donc en lice,  après avoir entretenu le mystère autour de sa candidature. Il a finalement choisi le canal des réseaux sociaux pour s’adresser aux camerounais. « Chers Compatriotes du Cameroun et de la Diaspora .Conscient des défis que nous devons ensemble relever pour un Cameroun encore plus uni, stable et prospère, j’accepte de répondre favorablement à vos appels pressants. Je serai votre candidat à la prochaine élection présidentielle », a annoncé Paul Biya sur Twitter le 13 juillet dernier. Une annonce qui a suscité le buzz sur la toile. C’est la première fois que le président du RDPC annonce sa candidature par un tel canal. Né le 13 février 1933, Paul Biya fait ses études secondaires au lycée général-Leclerc à Yaoundé. Il passe successivement à Paris, par le lycée Louis-le-Grand, l’université de la Sorbonne, l’Institut d’études politiques, où il obtient une licence en droit public en 1961, et l’Institut des hautes études d’outre-mer. En 1962, il débute sa carrière au sein de l’administration camerounaise. En 1968, il est nommé ministre, secrétaire général à la Présidence, puis Premier ministre en 1975. Il occupe cette fonction pendant 5 ans jusqu’à la démission de son prédécesseur en 1982. Paul Barthélemy Biya’a Bi Mvondo devient président de la République du Cameroun pour la première fois le 6 novembre 1982. Il sera consécutivement réélu en  1984,  1988, 1992, 1997, 2004 et octobre 2011. Lors de la dernière élection présidentielle, Paul Biya avait mis son mandat sous le sceau des grandes réalisations. Les grands chantiers tels que le deuxième pont sur le Wouri, les barrages de Lompangar et de Memvele et bien d’autres ont été lancés. Le président sortant caresse surtout le rêve de donner le coup d’envoi de la CAN 2019 qui se déroulera en terre camerounaise.
La deuxième journée du championnat national de Sambo s’est disputée le 4 Août 2018 à Ebolowa. Cette épreuve était qualificative pour les championnats mondiaux de masters au Maroc et au championnat mondial senior en Roumanie prévus dans quelques mois.Environ 100 sambistes issus des régions du Centre, du Littoral et de l’Ouest ont rivalisé d’adresse durant cette compétition. En dames et en messieurs, ils avaient une seule idée, celle d’obtenir leurs tickets qualificatifs pour faire partie des expéditions marocaine et Roumaine. Le niveau général des combats est largement satisfaisant et les athlètes qualifiés suscitent de la confiance. Michael Tchamo, poids lourd dans la catégorie des moins de 90 kilogrammes, avait un défi à relever cette année : « ramener une médaille d’or même s’il faut laisser un bras je suis prêt à le faire ». Même son de cloche pour Deschantal Fokou de la catégorie de moins de 80 kilogrammes chez les dames : « le seul souhait des sambistes camerounais c’est que le gouvernement nous permette de faire de vrais stages préparatoires et le reste suivra ». La page de la deuxième journée du championnat national de Sambo a permis à Maître Albert Ateba Ndongo, le Président de la Ligue Nationale de Sambo, de se faire une idée fixe sur la taille de la délégation camerounaise à ces deux championnats mondiaux de grande envergure. Les athlètes ont donc désormais la lourde responsabilité de travailler d’arrache-pied pour être à la hauteur des attentes placées en eux.






Sunday, 05 June 2022 11:01