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Mfoungo

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Après plusieurs heures de discussions et de discussions, Clarence Seedorf et Patrick ont effectivement signé dans la nuit de jeudi à vendredi leur contrat de 4 ans en tant qu sélectionneur et sélectionneur adjoint du Cameroun. les deux anciens internationaux néerlandais sont liés avec les Lions indomptables jusqu’en 2022. « L’objectif assigné à l’encadrement technique est d’assurer le succès du Cameroun à toutes les échéances sportives majeures, notamment et prioritairement la victoire à la CAN 2019, avec une vue sur la qualification à la CAN 2021 et à la Coupe du Monde 2022« , lit-on dans un communiqué de la Fecafoot (fédération camerounaise de football). Seedorf et Kluivert devront également résider au Cameroun et porter assistance aux encadrements des équipes nationales. « La publication du staff technique complet des Lions Indomptables Séniors interviendra dans les prochains jours« , poursuit la note. Première sortie du nouveau staff dès le mois prochain contre les Comores en éliminatoires de la CAN 2019.
Extrait et traduit de « CAMEROON REALCLEAR POLITICS) de Geof TanyiLorsque les avocats et les enseignants anglophones ont lancé leur mouvement de grève en 2016 pour revendiquer de meilleures conditions de travail et une plus grande représentation dans les juridictions et les établissements d’enseignement d’expression anglaise dans les Régions du Nord-ouest et du Sud-ouest, les Camerounais et les ex-Camerounais vivant à l’étranger étaient absents. Le Gouvernement avait déjà engagé des négociations avec les représentants des enseignants et des avocats et commencé à satisfaire certaines de leurs revendications, lorsque certains Camerounais anglophones de la diaspora ont commencé à instrumentaliser certains membres de ces corporations. Ils ont facilement instrumentalisé les enseignants et les avocats radicalisés et exigé la sécession. Ce qu’aucun gouvernement ne pouvait accepter, comme le savaient leurs commanditaires de la diaspora. Ils (« leaders» de la diaspora) ont rapidement demandé le boycott des cours, l’incendie des écoles, le boycott des juridictions par les avocats, l’attaque des étudiants qui tentaient de se rendre à l’école, l’attaque des autorités administratives, l’assassinat des éléments des forces de sécurité et de défense, les enlèvements, l’incendie des villages, l’incendie des boutiques des personnes qui bravaient le mot d’ ordre de villes mortes imposé par les menaces de mort, l’incendie des trois plus grandes agro-industries du Cameroun (CDC, PAMOL, DELMONTE), les vols à mains armées sur les routes, l’instauration de postes de contrôle illégaux pour ravir l’argent et les biens des voyageurs, etc.  La question que l’on se pose est celle de savoir comment des personnes présumées éduquées et menant une vie aisée à l’étranger peuvent-elles parrainer et encourager la commission de ces actes barbares et terroristes dans leur propre patrie (ou ex-patrie) et contre leur propres populations (ANGLOPHONES/CAMEROUNAIS). Qu’est-ce qui peut pousser un homme ou une femme qui vit aux Etats-Unis d’Amérique, en Europe ou en Afrique du Sud depuis dix, quinze ans, voire plus, à décider de parrainer le terrorisme au Cameroun ? Pourquoi un homme ou une femme qui a réussi dans la vie (selon ceux qu’il a laissés en Afrique) peut-il changer de comportement pour haïr le pays au point de vouloir le détruire ? Comment des gens qui étaient censés contribuer au développement du Cameroun, comme le font d’autres Africains de la diaspora, peuvent-ils changer d’attitude et commencer à parrainer la destruction ? La réponse est simple, ces compatriotes de la diaspora (Camerounais/ex-Camerounais) ont échoué aux Etats-Unis d’Amérique, en Europe, en Afrique du Sud, au Nigeria où ils ont monté leurs tentes.  Ils haïssent le sort qu’ils ont eu à l’étranger. Ils haïssent leurs vies. Ils se détestent eux-mêmes. La haine est tout ce qu’ils ont comme réalisation au bout des décennies qu’ils ont passées à l’étranger. Ils détestent le Cameroun et tous ceux qui sont restés au pays. Ils haïssent leurs familles à qui ils ont fait la promesse d’offrir ciel et terre, promesse qu’ils n’ont pas pu tenir. Ils haïssent les amis qui sont restés au Cameroun et qui y ont réussi. Ils haïssent les petites amies à qui ils ont promis le mariage sans avoir pu tenir parole. Ils haïssent les Camerounais de la diaspora qui ont investi au Cameroun (mini-cités, appartements, immeubles, hôtels à Molyko, à Soa…) Ils haïssent le Gouvernement parce qu’il développe le pays (stades, routes, ponts, ports maritimes, Camair-co, aéroports, barrages). Ils détestent la création des universités. Ils détestent le fait qu’avec l’avènement de l’Internet, il leur est devenu difficile de mentir, ils se haïssent eux-mêmes pour avoir échoué. Ils détestent le fait que leurs faux PhD et titres de docteurs ne peuvent plus servir à tromper les Camerounais ou le Gouvernement du Cameroun. Ils détestent le fait que les personnes qu’ils ont laissées au Cameroun sont devenues des ministres, des directeurs généraux, des généraux, des directeurs, des colonels, des commissaires de police, des médecins, d’authentiques docteurs d’Etat, des doyens de Facultés, de riches hommes d’affaires, etc. Ils haïssent les francophones qui ont réussi au Cameroun dans les régions du Nord-ouest et du Sud-ouest. Ils détestent le succès. Bon nombre de ces semeurs de haine sont rapidement devenus les « leaders » de la soi-disant «Ambazonie » en 2016. La crise était l’occasion idéale pour eux de devenir importants et d’essayer de retrouver une certaine aura perdue. La destruction du Cameroun, au nom de l’Ambazonie n’est qu’un prétexte pour détruire tout ce qui prouve et met au jour leur propre échec dans la vie. Une guerre civile au Cameroun ou l’indépendance de l’Ambazonie couvrira leur échec et détruira tout ce qui a réussi et qu’ils ont en horreur. Haïr Paul Biya et son Gouvernement et déclarer au monde que les Anglophones sont marginalisés, en réalité signifie : « nous (de la diaspora) avons échoué parce que nous (de la diaspora) sommes. Anglophones ». Ceux des Anglophones qui ont réussi sous Paul BIYA alors que nous avons échoué à l’étranger sont des traitres.  Des comportements extrémistes tels que brûler des écoles, attaquer des élèves et des hôpitaux, enlever des personnes pour de l’argent et tuer, montrent à quel point ces personnes ont le cœur rempli de haine. Le fait qu’une personne qui n’a pas pu réparer la maison en tôles ou en nattes. de ses parents, après avoir vécu à l’étranger pendant des décennies, change de comportement et verse des milliers de dollars de contribution pour armer des jeunes se droguant au Tramol, afin qu’ils aillent brûler une école ou kidnapper un directeur d’école ou un principal de collège, traduit le profond sentiment d’échec et de haine qui anime ces membres malades de la diaspora. Le fait qu’un homme qui a travaillé pendant des décennies aux États-Unis d’Amérique ou en Europe sans pouvoir construire, ne serait-ce qu’une maison en « carabotte » de deux pièces au Cameroun, change de comportement et se mette à passer de longues heures sur les réseaux sociaux pour inviter les jeunes au Cameroun à kidnapper et à tuer avec des armes de fabrication locale tout en incendiant des maisons, montre qu’un tel homme a perdu tout espoir de réussir dans la vie. Le fait qu’un individu qui n’a pas mis les pieds au Cameroun depuis deux décennies ou plus, mais qui se rend au Nigeria et en Afrique du Sud pour participer à des réunions de sécessionnistes où le niveau d’engagement des participants est déterminé par la concurrence qu’ils se livrent pour savoir qui produira le discours le plus haineux, révèle que seule la médecine moderne peut sauver ces semeurs de haine. Les mariages ratés, les hypothèques et crédits problématiques, les conditions de travail difficiles, la discrimination qui sévit en Europe, aux États-Unis d’Amérique, en Afrique du Sud, au Moyen-Orient, les nombreuses promesses non tenues, les problèmes de santé, l’incapacité à obtenir de véritables diplômes à l’étranger, la honte de rentrer au Cameroun les mains vides, la honte d’affronter les amis et les membres de la famille qui ont réussi au pays, la honte de constater le développement du Cameroun après qu’on a répété pendant des décennies que le Cameroun de Paul BIYA ne se développait pas, la honte d’affronter ceux à qui ils ont menti, la honte de présenter leurs faux doctorats au ministère de l’Enseignement supérieur, la honte de rencontrer les victimes de leurs arnaques et tant d’autres facteurs, ont poussé ces membres de la diaspora sur la voie de l’autodestruction. Ils sont prêts à se détruire eux-mêmes et à détruire tout ce qui atteste et témoigne de leur honte. Peu leur importe de savoir qui meurt ou qui est blessé, étant donné qu’ils out été humiliés et blessés au-delà de toute mesure. La vie en Europe et aux États-Unis d’Amérique qu’ils présentaient comme une vie de rêve a tourné au cauchemar. La haine est tout ce qui leur reste et le fait de financer la crise anglophone actuelle constitue un exutoire pour leurs esprits malades. Pour leurs esprits malades de haine, il est plaisant de lire chaque matin que telle ou telle localité a été attaquée, que M. X ou Mme. Y a. été attaqué à son domicile, que tel nombre de policiers ou de gendarmes ont été tués, que tel ou tel village a été incendié, que le centre de correction du General Certificate of Education (GCE) a été attaqué, que le préfet ou le sous-préfet de telle localité a été attaqué ou kidnappé, que telle ou telle route a été bloquée, que la maison du ministre X ou Y a été incendiée, que l’hôpital de la localité y a été incendié, que des enfants ont été empêchés d’aller à l’école, que des commerces ont été fermés, que des routes ont été bloquées, que les villes mortes ont lieu, etc. Ce cycle quotidien de mauvaises nouvelles nourrit en effet leurs âmes malades. Pratiquement tous les membres de la diaspora qui ont investi au Cameroun (que nous saluons et encourageons) prêchent la paix et l’unité même s’ils critiquent parfois l’action du Gouvernement. Dites-moi quel propriétaire de mini-cité à Molyko ou à Bambili, ou quel propriétaire d’un complexe immobilier à Tiko ou d’un hôtel à Bafut ou à Limbe prêcherait la haine, la guerre et un boycott permanent de l’école ? Dites-moi quel propriétaire d’un projet immobilier à NKWEN ou BALI qu’il doit lancer cette année prêcherait les villes mortes sans fin? Dites-moi quelle personne qui expédie des conteneurs de voitures à Bamenda chaque mois et de la marchandise appellerait à la destruction du marché de Bamenda ? Montrez-moi la personne qui envisage de faire venir une délégation d’Entrepreneurs américains ou européens au Cameroun le mois prochain et qui passerait de longues heures sur Facebook pour appeler aux assassinats et aux enlèvements ? Montrez-moi l’universitaire camerounais établi au États-Unis d’Amérique ou en Europe (qui a des articles à rédiger et des cours à préparer) ou le médecin camerounais de la diaspora (qui a des malades à soigner chaque jour) ou l’entrepreneur prospère (qui a de nombreux vols à rattraper) ou le Camerounais heureux propriétaire d’une entreprise de prestation de soins de santé (avec de nombreuses heures de travail à effectuer) ou l’avocat camerounais prospère (de la diaspora qui a des centaines de dossiers à déposer et de nombreuses audiences à honorer par semaine) etc. qui passerait son temps sur les réseaux sociaux à répandre un discours de haine. De nombreux Camerounais de la diaspora ont réussi et ils se rendent au pays toutes les fins d’année pour passer des moments de qualité avec la famille et les amis et beaucoup d’autres se rendent an pays plus de deux fois par an pour suivre l’état d’avancement de leurs entreprises et autres investissements. Ils critiquent le Gouvernement, mais ils ne répandent pas la haine et la désolation. Les promoteurs de la haine doivent être soignés du mal dont ils souffrent, tandis que la diaspora qui investit au Cameroun doit être encouragée et invitée à prendre part au dialogue de sortie de crise. Aucun pays n’a réussi en dialoguant avec des malades (ISIS, AL-QAEDA. BOKO HARAM), etc. Ceux-ci doivent, de même que leur idéologie malade, être complètement défaits, soignés, déradicalisés, humanisés ct réinsérés dans l’idéologie dominante de la paix, de la cohabitation, de la tolérance et de l’acceptation de la diversité d’opinion, de la démocratie et de l’amour de soi. Toute tentative de résoudre la crise anglophone au Cameroun qui n’intègre pas la dimension de cette pathologie de la haine de soi des leaders ambazoniens de la diaspora est vouée à l’échec. Même si on leur demande de former un nouveau gouvernement et de choisir un nouveau président pour le Cameroun, ils ne renonceront pas à la violence. Ils sont dans la disposition d’esprit de kamikazes déterminés à mourir en faisant de nombreuses victimes innocentes. Un coup d’œil sur les noms des dirigeants confirme cette thèse. CHO AYABA, BARA MARK, TAPANG IVO TANKU, IKOME SAKO, CHRIS ANU, BOH HERBERT, ERIC TATAW, NJIE MAKONGO DAVID, EYONG ECHAW LARRY pour ne citer que ceux-là sont la preuve de la pathologie de haine dont souffrent les personnes auxquelles nous avons affaire. Regardez-les quelques minutes en direct sur Facebook ou sur leurs nombreuses chaînes de télévision sur internet pour vous en convaincre. Les malades mentaux ont leur place dans les hôpitaux psychiatriques et non sur des tables de négociation avec des personnes normales. LE CAMEROUN EN SORTIRA PLUS FORT ET LES TENEBRES DE LA DIASPORA SERONT VAINCUES.
Les membres de la Commission d’indemnisation des personnes victimes de garde à vue et détention provisoire abusives ont été installés mercredi à la Cour suprême, lors d’une audience ordinaire.
Cette commission sera présidée par Francis Bekong Mbe Alemka, conseiller à la Cour suprême. Les dix-sept autres membres se recrutent dans le corps de la magistrature, chez les avocats, les parlementaires, les officiers de police judiciaire et les responsables de divisions juridiques de certains départements ministériels. Mise sur pied par ordonnance du premier président de la Cour suprême le 03 janvier 2018, selon les dispositions de la loi de 2005 portant Code de procédure pénale, cette commission a pour rôle : «réparer les conséquences dommageables des inconduites des fonctionnaires auxquels la loi donne le pouvoir d’ordonner la garde à vue et la détention provisoire». Ainsi, elle «connaît des requêtes formées par les victimes de préjudices graves et actuels résultant de l’inobservation des dispositions légales relatives à la garde à vue et à la détention provisoire», a rappelé Luc Ndjodo, procureur général près la Cour suprême. Selon Cameroon Tribune du jeudi 9 Août 2018, pour saisir la Commission par requête, les victimes des abus disposent d’un délai de 6 mois à compter de la fin de la garde à vue, de la décision de non-lieu, de relaxe ou d’acquittement. L’indemnisation devra ainsi atteindre deux objectifs : sanctionner les excès qui nuisent aux droits et libertés et causent des préjudices graves aux personnes suspectées, inculpées ou prévenues ; et appeler les responsables hiérarchiques à assurer efficacement leur rôle d’encadrement raisonné des officiers de police judiciaire et des magistrats placés sous leur autorité. Cette commission va appliquer la procédure suivie devant la chambre judiciaire de la Cour suprême.
En visite Malabo à l’occasion du tournoi UNIFFAC qualificatif pour la CAN U17 prévue en Tanzanie en 2019, le président de la CAF a fait des précisions importants sur la CAN séniors qui se déroule au Cameroun en juin 2019.Voici à cet effet, l’intégralité de la déclaration d’Ahmad Ahamad ce 9 août 2018 :« Il y a une visite d’inspection en ce moment au Cameroun. La différence aujourd’hui au sein la nouvelle gouvernance de la CAF, c’est que tout repose sur un ensemble, à un groupe : le président est là pour réorganiser, pour coordonner. Il y a une équipe qui est déjà en place actuellement pilotée par le secrétaire général chargé du football. Après les visites d’inspection opérées par l’audit privée, la commission d’organisation de la CAN présidée par l’un des vice-présidents (président de la fédération nigériane de football) va aller au Cameroun et nous ramener des informations ; l’état de la situation. Mais jusqu’à preuve du contraire, je vous dis, la Coupe d’Afrique des Nations est au Cameroun. Les gens parlent de ce qu’ils veulent. Pour nous, c’est ça, il n’y a pas de plan B jusqu’à présent. Contentons-nous de cela. Mais comme je vous ai dit, ça ne dépend pas de nous. Il n’y a que le Cameroun seul, comme vous avez vu comment Poutine (président Russe NDLR) a demandé l’organisation de la Coupe du monde et comment il a organisé la Coupe du monde. C’est eux qui peuvent nous dire qu’ils sont prêts ou pas, ce n’est pas à la CAF. C’est ainsi, on doit réorganiser le football africain, nous ne devons pas toujours rester en arrière-plan. J’essaye de réorganiser les choses et de les mettre sur les standards modernes de gestion ».
Le secrétaire à la communication du parti au pouvoir démonte les préalables posés par les organisateurs de la Conférence générale des anglophones.
Les 29 et 30 août 2018 doivent se tenir à Buea dans la région du Sud-Ouest les travaux de la Conférence générale des anglophones. Convoqués par un groupe d’autorités religieuses conduit par le Cardinal Christian Tumi  et l’ancien fonctionnaire international Simon Munzu, elle doit aider à trouver une solution à la crise qui secoue les régions du Sud-Ouest et du Nord-Ouest depuis près de deux ans. Les organisateurs ont posé des préalables comme le retrait des forces armées déployées sur place.  Ce qui ne plaît pas au gouvernement. Après le ministre de la communication Issa Tchiroma Bakary, c’est au tour de son collègue de l’enseignement supérieur Jacques Fame Ndongo   de marquer sa désapprobation. Invité à l’émission » 100 % présidentielle » le 7 aout 2018 en tant que représentant du président-candidat Paul Biya, le secrétaire national à la communication du RDPC a répondu : « Les préalables sont inadmissibles dans une démocratie, dans un Etat qui se veut une République. La démilitarisation. D’abord il n’ y a pas de militarisation de l’Etat. Les régions du Sud-Ouest et du Nord-Ouest ne sont pas militarisées. Les forces de sécurité et de défense font leur travail normal. Leur travail normal c’est quoi ? C’est garantir la paix et la sécurité des personnes ainsi que des biens et préserver l’intégrité territoriale dans le respect des droits de l’homme ». Pour lui, « on ne peut pas demander à l’armée, à la gendarmerie, à la police, à toutes les autres forces et même aux comités de vigilance de baisser la garde pour que les bandits de grands chemins viennent violer, piller, voler, incendier, intoxiquer, intimider ainsi de suite ». Pour ce qui est de l’amnistie également réclamée Fame Ndongo estime qu’on ne peut pas libérer « ceux qui ont porté atteinte aux lois et règlements de la République ». Car dit-il « nul n’est au-dessus de la loi ». Le faire serait d’après l’ancien journaliste « encore plus grave ».
C’est en fait 17 concours directs et six concours de formation qui viennent d’être ouverts aux camerounais.  Ces concours offrent 1759 places aux chercheurs d’emplois. Notamment 750 places pour les concours de formation et 1189 pour les concours directs. Pour ce qui est des concours directs, l’on retrouve ainsi celui des traducteurs, de l’industrie animale, de l’agriculture, du génie civil, des eaux et forêts, de la production rurale, des mines et géologie et autres. L’information à travers le recrutement direct de journalistes, l’élevage et les pêches ou le cadastre font également partie des concours directs. Les concours de formation sont ceux de l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs), du Centre national de la jeunesse et des sports (Cenajes), entre autres.   En ce qui concerne les modalités relatifs à l’acte de candidature, la composition du dossier, le programme, les horaires et modalités de déroulement des épreuves écrites, tout est disponible au ministère de la Fonction publique. Ceux des camerounais résidant hors de la capitale, sont priés de se rendre dans les délégations régionales de ce département ministériel. Ils peuvent aussi consulter le site internet du ministère www.minfopra.gov.cm.   Le directeur du développement des ressources humaines de l’Etat Yves Bertrand Zengoueng, a confié au quotidien gouvernemental Cameroon tribune que ce recrutement s’inscrit dans l’accroissement des ressources humaines de l’Etat. Et c’est en réponse aux besoins en personnels transmis par les administrations et consignés dans un plan  annuel de recrutement validé  par le Premier ministre, qu’il a été initié. Par ailleurs il répond aux exigences de rationalisation de la qualité de la dépense publique et a été menée en fonction des départs en retraite, dans un contexte  imposé par la soutenabilité budgétaire de tout processus de recrutement. Joseph Le le chef de ce département ministériel a officiellement lancé les 23 concours directs et de formation vendredi dernier.
Jean Paul Nogou, le promoteur de la compagnie de transport, affirme que les installations de son entreprise n’auraient pas permis un départ des flammes. Un incendie a attaqué le siège de la compagnie de transport General express voyage, le mardi 07 août dernier à Bafoussam. Le sinistre a causé d’importants dégâts. « Beaucoup de documents ont été consumés, mais à partir des recoupements dans les différentes agences et les déclarations de nos clients, nous allons tenir un fichier des choses perdues. C’est quand même colossal, au regard de ce que cet espace était aussi notre magasin de pièces de rechange, de pneus, des colis des passagers et autres », a affirmé Jean Paul Nogou, le promoteur de la compagnie General express, cité par le quotidien Le Jour de ce 9 août 2018. Celui-ci accuse une main criminelle pour justifier le sinistre de mardi dernier. « C’est vrai qu’on ne sait pas d’où vient cet incendie, mais une main criminelle se cache derrière. Un usager a témoigné qu’il a vu des trous derrière le magasin, par lesquels ceux qui ont mis le feu ont pulvérisé ce qui a tout brûlé. Nos installations ne souffrent d’aucune défaillance », ajoute Jean Paul Nogou. A côté de ces accusations, il y a une enquête qui viendra confirmer ou infirmer la théorie du promoteur de la compagnie de transport, dont l’image est déjà écornée par des suspensions à répétition.  La dernière en date a fait l’objet d’un communiqué du ministre camerounais des Transports, Jean Ernest Massena Ngalle Bibehe, le 01er août 2018. Le membre du gouvernement a décidé de la suspension de l’agence de transport pour deux mois avec un sursis de six mois pour non-respect de la réglementation en vigueur.
Le ministre sera désormais accompagné dans ses tâches par deux autres services à savoir la brigade nationale des travaux en régie et la cellule de la promotion du  bilinguisme.Ce sont en fait les innovations apportées par le décret N°2018/461 signé le 07 août 2018 par le Chef de l’Etat. La cellule de communication aura plus de chargés d’étude. La direction générale des travaux d’infrastructures s’enrichit d’un nouveau service: la brigade nationale des travaux en régie. Elle va s’occuper entre autres de la préparation des programmes et des projets à inscrire dans le portefeuille de la régie, en liaison avec les structures opérationnelles internes du ministère, la préparation des liasses-projets à soumettre à l’approbation du ministère, de la mise en œuvre des interventions en régie concernant les infrastructures, l’assistance à la conception des petits ouvrages d’art. L’autre innovation c’est la cellule de la promotion du bilinguisme. Celle-ci se trouve à la division de la traduction et de la promotion du bilinguisme. Elle est placée sous l’autorité d’un chef de cellule. Elle est chargée des relations entre la commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme, la promotion du bilinguisme au sein de ce ministère, le suivi et la mise en œuvre des dispositions constitutionnelles faisant de l’anglais et du français deux langues officielles d’égale valeur, des études et propositions de mesures au ministre en vue de renforcer la caractère bilingue du personnel de cette administration. Précisons que le décret N°2018/461 du 07 août 2018 abroge toutes les dispositions antérieures, notamment le décret de septembre 2013.
C’est le 6 août 2018 qu’a eu lieu l’inauguration de sa représentation régionale.
Depuis lundi dernier, l’étoile du Cameroun est officiellement installée dans la capitale de la Région du Nord. Le Quotidien de l’Economie du 7 août 2018 rapporte que la cérémonie d’inauguration de ses locaux s’est déroulée en présence de Jean Edi’i Abate le Gouverneur de la Région, naturellement de Ernest Dikoum le Directeur général (DG) de CAMAIR-CO et de nombreuses autorités administratives, religieuses et traditionnelles. Les locaux de l’étoile du Cameroun à Garoua seront utilisés par une vingtaine collaborateurs du DG. Lesdits collaborateurs pourront donc désormais mieux exercer leurs tâches, ceci dans des conditions jugées optimales. Pour notre confrère en s’installant au Nord du Cameroun, «la direction générale de CAMAIR-CO démontre son engagement à garantir à la clientèle un service efficace et de qualité». Pour ce qui est de l’emplacement des locaux de CAMAIR-CO, il faut savoir qu’ils sont logés à l’avenue Moussa Yaya. Cette avenue regroupe de nombreuses agences bancaires et d’entreprises. D’après notre confrère ils comportent un bâtiment plus fonctionnel adapté aux besoins des usagers et des équipes commerciales, le rez-de-chaussée a entre autres un espace ouvert d’environ 38m2, un bureau et une salle d’eau. Il y a aussi un étage qui a trois bureaux, une salle d’eau. «L’occupation de ces bureaux à Garoua conforte notre positionnement de compagnie nationale. CAMAIR-CO est une marque rigoureusement ancrée dans la communauté locale. Une entreprise citoyenne engagée et convaincue que le développement social va de pair avec le développement économique», a déclaré Ernest Dikoum.
Au Cameroun, les jeunes qui sont confrontés au chômage, se débrouillent comme ils peuvent pour sortir de la misère. C’est le cas d’Essimi un jeune homme de 24 ans, originaire de la Lekié dans la région du Centre. Depuis trois ans, le jeune homme qui n’a pas eu de brillantes études va de quartier en quartier pour vendre les vêtements à bord d’une brouette. “Je fais ce boulot depuis trois ans. J’ai commencé à l’âge de 21 ans. Je vends un ballot de 300 à 400 vêtements en trois ou quatre jours”, a confié le jeune débrouillard à Koaci. Essimi n’est pas encore marié et n’a pas d’enfants. Il rêve de fonder une famille grâce à son activité. “Mon rêve n’est pas de partir pour l’Europe. Je n’irai jamais en aventure. Je me sens bien ici. Mon travail me permet de vivre normalement et je vais bientôt me marier”, souffle-t-il. Le jeune débrouillard fait entre 5 mille et 10 mille FCFA de recette journalière. Soit entre 7 et 10 euros. De nombreux jeunes camerounais, parfois diplômés de l’enseignement supérieur ou non, n’ont d’autres choix que d’exercer un petit métier pour survivre et sortir de la misère ambiante dans laquelle est plongée la grande majorité de la population.






Sunday, 05 June 2022 11:01