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Mfoungo

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Il s’agit de la chaîne Idf1, chaîne privée de divertissement.Dès septembre 2018, la série du célèbre réalisateur et comédien Ebenezer Kepombia alias Mitoumba sera diffusée en France. Elle sera la première série africaine que va diffuser Idf1. Cette chaîne jusqu’ici n’a fait passer sur ses antennes, des séries uniquement européennes et américaines. L’information a été rendue publique par le réalisateur lui-même via sa page officielle facebook. Pour brièvement parler de la série «Reine blanche» diffusée au Cameroun par la chaîne de télévision Canal 2 international, il est à noter qu’elle traite des questions relatives à l’intégration nationale et internationale, l’acceptation de l’autre et la mondialisation des cultures. Les thématiques tournent autour de la chefferie et la succession à l’Ouest du Cameroun, la trahison entre les amis, l’amour dans les champs. Le suspense est construit autour de l’intronisation d’une femme blanche comme reine dans un village africain. Va-t-elle réussir à s’adapter à la culture et aux exigences de la coutume. Les acteurs de la série se recrutent parmi la crème des comédiens au Cameroun.
L’entreprise de téléphonie mobile dit avoir 3,9 millions d’abonnés Orange money sur un total de 7 millions d’abonnés actifs.Ce sont des informations qui ont été mises à la disposition du public le 8 août 2018 lors d’un échange avec la presse à Douala. Avec 70% que dit détenir Orange Cameroun dans le transfert électronique d’argent via le téléphone, l’entreprise dirigée par Mamadou Lamine Traoré, a environ 610 milliards de Fcfa des 870 milliards du volume global desdites transactions entre 2014 et 2016. A en croire les responsables d’Orange Cameroun, le service orange money a été lancé en 2011 dans le pays. Grâce audit service plus de 25 000 camerounais ont pu trouver des emplois. A cela il faut ajouter les emplois indirects qui se chiffrent en milliers. Et d’après Mamadou Lamine lesdits emplois ont pu être créés grâce aux dizaines de milliards de Fcfa que l’entreprise a investis pour déployer le produit dans les dix régions du pays. «Orange money est présent dans tous les villages du Cameroun, y compris dans toutes les villes».
Au cours de cet évènement l’opinion sera fixée sur les raisons qui ont conduit Denis Emilien Atangana à créer sa propre formation politique. Il parlera tout naturellement aussi du scrutin du 7 octobre 2018.La date du 14 septembre 2018 est une date importante pour le Front des démocrates camerounais (Fdc) et son leader Denis Emilien Atangana. Le parti crée avec l’apport d’un groupe de jeunes de tous les âges et de toutes les couches sociales va se faire connaître au public. Mais déjà on sait que la motivation de mettre sur pied cette formation politique vient de la déception de son leader et de ses compagnons. Déception par rapport aux actions des partis politiques présents sur la scène politique camerounaise et qui sont nés au lendemain de l’établissement du multipartisme. Approché par notre confrère Le Jour Denis Emilien Atangana explique que «loin de moi toute intention de critiquer ces formations politiques, ou bien de mépriser les efforts faits jusqu’ici mais notre posture de citoyen du 21e siècle, évoluant sous l’influence des NTC et les défis que nous imposent le nouvel ordre mondial, nous avons jugé opportun de doter les camerounais d’une formation politique qui rassemblera en son sein, des patriotes convaincus du bien-fondé de la social-démocratie et qui impulseront une politique adaptées aux pré requis visant à sortir notre pays le Cameroun de l’impasse dans lequel les héritiers du néocolonialisme l’ont plongé». Avant de créer son propre parti Denis Emilien Atangana a milité au sein du Parti de l’Alliance libérale (Pal). Il y a occupé le poste de Secrétaire général du parti. Sa vision politique n’épousait plus celle du président du Pal Célestin Bedzigui. Car le président du Fdc est attaché à l’idée de l’alternance au sommet de l’Etat. Un point de vue qui n’est pas partagé par Célestin Bedzigui.
Les soldats de l’armée camerounaise continuent a visiter les différents villages du sud ouest, notamment aujourd'hui le village de Moyuka où une cérémonie pour hisser le drapeau a eu lieu... comme on peut le voir dans la vidéo ci-dessous : [video width="640" height="352" mp4="http://agencecamerounpresse.com/wp-content/uploads/2018/08/WhatsApp-Video-2018-08-11-at-16.09.32.mp4"][/video]
La sélection nationale des U17 a battu son homologue de la Guinée Équatoriale ce vendredi à Malabo. Le match comptait pour les demi-finales du tournoi de qualification à la Can Cadets Tanzanie 2019. Le match s’est achevé sur le score de 2 buts à 0 pour les jeunes Lions grâce aux réalisations de Steve Mvoue et Leonel Wamba. C’est déjà le quatrième but de la compétition pour Mvoue. Ils vont rencontrer en finale le Congo qui a sèchement battu la RCA sur le lourd score de 4 buts contre 0.
Centrafrique et Guinée équatoriale jouent la petite finale ce samedi au stade de Malabo. En marge du tournoi de Malabo se tient ce samedi à l’hôtel Sofitel de Sipopo dès 10h la toute première Assemblée générale de l’ère Ngaissona Patrice Édouard. Celle-ci aura comme principal point à l’ordre du jour l’Adoption des nouveaux statuts de l’union. Le Président de la Caf M. AHMAD présent à Malabo depuis jeudi et son 2e Vice-président M. Constant Omari y prendront part. Seront également admis en salle, des représentants de l’Uefa qui accompagne la Caf dans le développement des zones, et de la Fifa.
Deux cent établissements scolaires de l’enseignement maternel, primaire et secondaire ont été fermés pour le compte de l’année scolaire 2018/2019, dont la rentrée des classes est prévue le lundi 3 septembre 2018, ont annoncé jeudi, les ministères de l’Education de base (MINEDUB) et des Enseignements secondaires (MINESEC). Il s’agit pour l’essentiel, des établissements scolaires privés laïcs n’ayant pas observé les dispositions réglementaires en vigueur. Les principaux griefs ayant poussé les autorités à procéder à la fermeture de ces écoles sont l’absence de l’autorisation de création, d’ouverture et de fonctionnement. Sur cette liste, la palme d’or revient à l’enseignement maternel et primaire avec 139 établissements scolaires fermés et 61 collèges fermés pour l’enseignement secondaire. Pour éviter que les parents et élèves tombent dans le piège, le MINEDUB et le MINESEC ont dans leur communiqué, invité le public « à faire preuve de vigilance » Au demeurant, ces départements ministériels demandent le cas échéant, « de prendre attache avec les services centraux et déconcentrés qui disposent de la bonne information ». Par ailleurs, une mise en garde est lancée en direction de récalcitrants qui iront à l’encontre de cette décision. Cette fermeture intervient à moins d’un mois de la prochaine rentrée, alors que les inscriptions ont déjà commencé.
Ils sont des milliers, ces enfants face à de nombreux obstacles au quotidien dans les rues et les ménages de la ville de Garoua qui ne savent à quel saint se vouer.La région du Nord Cameroun en particulier et la ville de Garoua en particulier, à l’instar des autres agglomérations du pays, enregistre au quotidien un nombre considérable des formes de maltraitance infligées aux enfants. Cette réalité douloureuse et gênante sur laquelle ont toujours penché les pouvoirs publics, les autorités administratives de la région du Nord, est loin d’être éradiqué. La plupart des cas est souvent enregistré au nom du sacro-saint droit d’ainesse, et les enfants restent une proie facile pour adultes, n’ayant pas droit à la parole et à la défense de leur existence. Lesquels adultes ne cessent, à travers cette pratique révolue de la culture locale, de tirer profit en les soumettant à des épreuves difficiles. Notamment, la violence domestique, l’inceste, l’abus sexuel. Lesquels se posent avec acuité dans la région du Nord, où l’on prône la culture traditionnelle et conservatrice. «A mon avis, cette pratique va toujours exister du fait qu’il y a déphasage entre le maintien de la culture Africaine et l’envie de s’ouvrir au monde. Tant qu’il n’y aura pas dialogue, on fera toujours face à cette situation», confie Gilbert Godai, membre de la société civile et homme politique. Malgré la sensibilisation et la répression des responsables de la protection civile, la situation des enfants sans défense n’est guère reluisante du fait que ces derniers continuent à subir la loi des adultes sans scrupule, ni remords. Il suffit de faire un détour dans les agences de voyage ou au grand marché de Garoua pour se rendre compte de l’évidence. Des cas de maltraitance observés à travers l’exploitation des mineurs, lesquels servent de guide aux personnes âgés en mendiant à longueur de  journée sous une pluie battante ou un soleil ardent. Le pire, c’est dans les ménages où les enfants doivent effectuer les travaux en subissant les assauts de leurs parents adoptifs. Pour ceux-là qui ne respectent pas le règlement intérieur, des punitions sévères leurs sont réservées. Point besoin de revenir sur le mariage forcé auquel sont confrontées les filles de 12 à 14 ans pour satisfaire le désir de leurs parents aveuglés par l’appât du gain. Pour beaucoup de spécialistes, il faut extirper le mal à la racine en renforçant le dispositif répressif pour être impitoyable envers les responsables des cas de maltraitance. Cette résolution pourrait sans doute, à l’avenir, atténuer la situation des enfants victimes maltraitance, qui se comptent par milliers dans la région du Nord et dans la ville de Garoua en particulier.
Les denrées alimentaires et autres matériels de première nécessité seront distribués aux déplacés internes.Depuis plus d’un semestre, le Sdf avait pris la résolution de rendre visite aux Camerounais qui avaient fui les exactions de crise actuelle et s’étaient réfugiés au Nigeria voisin. Le parti de John Fru Ndi avait sollicité des dons en nature et en espèce des âmes de bonne volonté. Ceci afin de rassembler des denrées alimentaires et autres pour porter assistance à ces compatriotes nécessiteux. Ces dons rassemblés depuis belle lurette, le leader du principal parti de l’opposition camerounaise avait sollicité un visa au niveau de la mission diplomatique du pays de Mohamadu Buhari au Cameroun pour rendre visite à ces réfugiés. La mission diplomatique n’a toujours pas répondu favorablement à la demande du Sdf. ” malheureusement, le visa, le feu vert pour transporter ces denrées pour le Nigeria ne nous a pas été accordé “, regrette Balick Awah Fidelis, maire de Bamenda II, coordinateur de la réception et de la redistribution de ces dons au sein du Sdf. “La raison pour laquelle on ne nous a pas accordé ce feu vert est méconnue. Mais nous sommes en politique. Dans ce domaine vous trouverez toujours des gens qui vont chercher à te mettre les bâtons dans les roues” ajoute-il. Il est d’avis que ceux derrière ce refus avaient peur de l’impact international que ce geste devait créer. Las d’attendre, le Sdf a décidé de distribuer ces dons aux déplacés internes. C’est la quintessence de la rencontre que le coordinateur a eue avec la presse hier 7 août 2018 à Bamenda. Il a présenté ce contingent constitué des sacs de riz, haricots, tapioca, bidons d’huile végétale, huile de palme, couvertures, vêtements, chaussures, savons, etc. mais aussi des médicaments aux hommes et femmes de médias. Si la priorité c’est au déplacés internes vivant dans les deux régions du Nord-ouest et du Sud-ouest, le maire de Bamenda II n’exclut l’extension de cette largesse du parti du 26 mai 1990 aux autres déplacés de ces deux régions anglophones actuellement dans les autres régions du Cameroun. Pourvu que ce soient des déplacés du Nord-ouest et du Sud-ouest, renseigne notre interlocuteur pour qui le parti s’assura de la véracité du statut de ces derniers avant de leur remettre le kit de survie. Toujours est-il que le Sdf n’abandonne pas l’éventualité de l’assistance aux réfugiés au Nigeria. “En temps opportun nous le ferons“, renchérit Balick Awah Fidelis qui invite d’ailleurs tous les déplacés internes à se rapprocher auprès de tout responsable du Sdf dans les différentes circonscriptions. Ces responsables prendront attache avec la coordination qui se chargera de convoyer l’aide aux intéressés, conclut-il.
Cette ville située dans le nord du Cameroun, devra abriter l’une des poules de la compétition.Mais la ville doit pour cela se doter d’un nouvel hôpital régional, des routes, et surtout des infrastructures sportives conformes aux exigences de la Confédération africaine de football. https://av.voanews.com/Videoroot/Pangeavideo/2018/08/e/e5/e5594999-d2c5-40d8-96d0-413455cf4a75.mp4
Dans une lettre publiée jeudi, l’ensemble des chefs traditionnels décrie l’assassinat, il y a deux semaines, du chef de Lysoka, dans la région du Sud-Ouest.Les autorités traditionnelles du Cameroun manifestent leur courroux après le meurtre du chef Mbanda qui se trouvait otage de présumés sécessionnistes au moment des faits. Sa dépouille avait été retrouvée non loin de sa chefferie, mais celui-ci aurait été tué dans une brousse avant d’être jeté sur les lieux où il a été finalement découvert. Dans une lettre rendue publique jeudi, les chefs de toutes les régions du pays ont condamné cet énième assassinat d’un membre de leur corps dans les régions frondeuses du Sud-Ouest et du Nord-Ouest. Les populations de ces deux régions anglophones ont suivi, en novembre 2016, un mouvement d’humeur pour dénoncer la marginalisation dont elles se sentent victimes  vis-à-vis des citoyens d’expression française. La manifestation a rapidement viré en des violences avec la radicalisation de plus en plus ancrée de séparatistes et aussi du gouvernement, qui refuse tout débat sur une éventuelle modification de la forme de l’Etat. La situation s’est peu à peu muée en conflits entre les forces de défense et de sécurité camerounaises et les différents groupes séparatistes présents dans les régions anglophones. La population civile est prise entre ces deux feux. Autorités traditionnelles, religieuses, et administratives, civils, continuent d’en faire les frais.






Sunday, 05 June 2022 11:01