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Mfoungo

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Les musulmans du Cameroun seront en fête le mardi 21 août 2018. C’est ce jour là que la fête du Sacrifice sera célébrée au Cameroun. Cette célébration est parfois appelée Fête de la Tabaski ou Fête du Mouton. COMMUNIQUE : La Commission National du Croissant Lunaire porte à la connaisance de la communauté musulmane du Cameroun que l'Aïd Al Kebir ou fête du sacrifice sera célébrée le mardi 21 août 2018, le lundi 20, jour de la station au Mont Arafat pour les pèlerins Hadj 2018  
Sa directrice exécutive, Maximilienne Ngo Mbe, a tenu un point de presse à cet effet le 14 août 2018 à Douala.
Première Organisation non gouvernementale (ONG) à confirmer l’implication des forces de défense et de sécurité dans la vidéo de l’exécution de deux jeunes femmes et de deux enfants dans l’Extrême-Nord, diffusée en juillet dernier, le Réseau de défense des droits humains en Afrique centrale (REDHAC), a réagi après l’annonce de l’arrestation de sept militaires. Le gouvernement par la voix de son porte-parole, avait annoncé le 10 août dernier leur « mise à la disposition de la justice » au terme de l’enquête prescrite par le chef de l’Etat. Face à la presse le 14 août 2018, la directrice exécutive du REDHAC, Maximilienne Ngo Mbe a salué la mise aux arrêts de ces militaires, en dépit des démentis de leurs exactions pendant de longues semaines par l’Etat. « Quand il y a justice, on peut estimer que c’est la consolidation d’un Etat de droit. On ne peut donc que se réjouir, mais il ne faut pas que cela s’arrête à ce communiqué parce que souvent, dans nos pays, on ne sait jamais comment ça fini parce qu’on n’a jamais de résultats fiables à annoncer au peuple », a précisé la directrice du REDHAC, avant de lancer un appel au gouvernement. « Nous continuons de demander au gouvernement de punir sévèrement ceux qui ont commis ces actes. Nous lui demandons également d’identifier les victimes et de passer aux indemnisations de leurs familles pour qu’elles puissent faire le deuil. Il faut que le gouvernement fasse preuve de bonne volonté dans la lutte contre l’impunité », a tenu à souligner Maximilienne Ngo Mbe. De sources concordantes, la vidéo a été tournée dans la région de l’Extrême-Nord, précisément au lieu dit Krawa-Mafa, une bourgade de Zeleved dans l’arrondissement de Mayo-Moskota, département du Mayo-Tsanaga. Ces exécutions ont eu lieu en 2014. A en croire les mêmes sources, les noms des deux femmes sont Zoumtegui Ndomoko et Kelou Manatsad. Elles et leurs deux enfants sont enterrés au pied de la montagne visible dans la vidéo et appelée « Vizi Kokor Vegebi » qui signifie littéralement en Mafa « Pied de la montagne de Vegebi ». La scène retracée dans la vidéo se déroule à un kilomètre du poste militaire de Zeleved, l’unique couvrant à l’époque une vaste zone allant de Gouzda-Vreket à Tourou. Les victimes ont transité par le camp militaire avant d’en être extraites et conduites au pied de la montagne pour exécution. Le REDHAC exige par ailleurs du gouvernement des excuses publiques et écrites pour la diffamation dont il a été victime de la part de son porte-parole et des hauts gradés de l’armée pour avoir révélé la vérité dans cette odieuse vidéo qui ne fait pas honneur à notre pays.

Le début de la vie d’une petite fille aurait pu être tragique sans le passage opportun d’une troupe du BIR. Finalement, grâce à la présence des hommes du bataillon, le début de son existence s’est déroulé sous les meilleurs auspices.

  

Sur la route menant à Sabga, à Bamenda, une troupe du BIR a croisé une femme laissée seule et abandonné sur le bas côté qui venait d’accoucher, littéralement par terre.

Le BIR a immédiatement pris en charge la mère et le nouveau-né en les transportant vers l’hôpital régional.

Cependant, les hommes du BIR ne se sont pas arrêté là.

Le Lieutenant Bindouma a reçu l’instruction, suivi avec fierté, de prendre en charge les frais d’hospitalisation de la jeune femme, afin de la soulager financièrement de ce poids.

 

Le lendemain matin, le lieutenant est retourné à l’hôpital s’assurer que l’enfant et sa mère se portait bien. La famille a insisté pour que le chef d’élément du BIR donne le prénom à l’enfant. Elle se nomme Stéphanie.

En plus des frais d’hospitalisation, le BIR a également offert un paquet du nécessaire pour toute l’hospitalisation, incluant des couches, de l’eau, du savon, etc.

Le BIR considère dorénavant la petite fille comme étant l’une de leurs étoiles.

Dans le cadre de la 24ème journée internationale des populations autochtones, le ministre des affaires sociales Pauline Irene NGUENE était à Nyambaka, dans la région de l’Adamaoua.Marginalisation, taux de scolarisation très faible, prises en compte de leurs problèmes au niveau central, abandon à la merci des maladies, voilà résumé le quotidien des populations autochtones dans notre pays. C’est dans ce sens que le gouvernement depuis quelques années prend conscience de la marginalisation de cette composante de la population. Célébrée cette année sous le thème «Migrations et mouvements des peuples», la journée consacrée aux peuples autochtones est une occasion de réflexion sur les conditions de vie des peuples autochtones. Au Cameroun, deux grands groupes constituent les peuples autochtones, les Mbororo et les pygmées. Les premiers habitent les savanes des régions de l’Extrême Nord, du Nord, de l’Adamaoua et une partie de la région du Nord-Ouest où ils sont plus connus sous le nom de Fulani. Les pygmées se retrouvent principalement dans les régions de l’Est et du Sud. Ces communautés vivant en retrait de la vie moderne connaissent des problèmes liés pour la plupart à la menace de l’exploitation abusive de leurs ressources sans contrepartie par les sédentaires et les pouvoirs publics. Les Mbororo dans la région dans l’Adamaoua vivent sous la pression des agriculteurs et les enlèvements avec demande de rançon. Lors de cette célébration à Nyambaka, cette localité située à 100 km de Ngaoundéré, il était question d’adopter un plan d’action pour amorcer une résolution des problèmes des populations autochtones. Pour Henri Nyambi III DIKOSSO, directeur solidarité nationale et développement au ministère des affaires sociales, « l’option de réunir les populations autochtones et les autres communautés qui les entoure, c’est pour regarder ensemble quels sont les problèmes que connaissent les populations autochtones. L’objectif, c’est qu’au sortir d’ici, qu’ils aient plan d’action avec des solutions identifiées par eux-mêmes et un chronogramme pour voir le mettre en action ». Le représentant des Mbororo a attiré l’attention du gouvernement sur la destruction du cadre de vie de sa communauté; et aussi sur l’urgence de l’établissement des actes de naissance aux enfants, des cartes nationales d’identité et l’octroi des places spéciales aux populations autochtones dans les concours de l’ENAM, l’EMIA, l’ENS etc. Dans la région de l’Adamaoua, les communes de Ngaoundal, Nyambaka, Belel et Martap comptent dans son exécutif des représentants de cette communauté. Le dialogue interculturel sur la participation des Mbororo et des pygmées au processus de développement tenu lors de cette célébration permettrait, si les recommandations issues de celui-ci sont prises en compte, de mieux les intégrer dans le processus de développement. Cette célébration remet ainsi sur la table des débats, la nécessité de penser un développement inclusif.
Ils réclament la libération de leur client.C’est une libération immédiate qu’ils veulent. Les avocats d’Ayuk Tabe qui réclament sa libération et celle de dix autres de ses compagnons ont adressé une requête aux fins d’habeas corpus, au président du Tribunal de grande instance (Tgi) de Mfoundi. C’était pour être plus précis le 9 août 2018. Dans la correspondance écrite par le collectif d’avocat parmi lequel on retrouve Me Christopher Ndong, les conseils d’Ayuk Tabe parlent de violation des droits de leurs clients, depuis le 5 janvier 2018, jour de leur interpellation à Abuja au Nigéria. Dans la même correspondance ils affirment qu’Ayuk Tabe et ses compagnons avaient les visages voilés quand on les conduisait à l’aéroport.  Me Fru John Nsoh, Fangyong Parick, Ajoug Stanislas, Chief Ngute Abia II, Mujem Fombad et Ndong Christopher Mveh précisent que les droits de leurs clients sont violés «ainsi que les procédures, les lois et les conventions internationales de leur arrestation et garde à vue au Cameroun». Pour eux donc, la garde à vue de leurs clients serait «de nature à porter atteinte à l’honorabilité de leur profession et statut ainsi que de la justice pénale camerounaise parce qu’en violation flagrante des principes de la présomption d’innocence et de liberté». Pour les avocats d’Ayuk Tabe c’est en étant en liberté que les ambazoniens peuvent bénéficier d’un procès équitable. Me Christopher Ndong affirme que les ambazoniens détenus au secrétariat d’Etat à la défense sont en vie. Maintenant il faut attendre que le président du Tgi de Mfoundi saisi rende son verdict.
Le champion d’Afrique 1984 et 1988 estime que le Cameroun doit développer ses infrastructures indépendamment de la Coupe d’Afrique attendue.
Ne dites pas à Joseph Antoine Bell que l’état de certaines infrastructures pourrait gêner l’organisation de la prochaine édition de la Coupe d’Afrique des nations de football. Au journaliste d’Equinoxe télévision qui abordait avec lui le sujet dans la soirée du 13 août 2018, il a répondu : « voyez-vous, les Camerounais ont conçu pour eux la CAN comme l’événement qui allait régler tous les soucis au Cameroun ! Lorsque Ngambe n’a pas de lumière pendant trois semaines eh bien les gens disent : « voyez-vous avec ça vous pensez qu’on va organiser la CAN ? Lorsqu’il y a une buse qui s’effondre à Nguelemendouka « voyez-vous est-ce qu’avec ça on va organiser la CAN ? » Lorsqu’il y a un moindre soubresaut, un immeuble qui s’effondre à Nkongmondo, « vous voyez est-ce qu’avec ça on va organiser la CAN ? »Joseph Antoine Bell admet que les Camerounais ont le droit de revendiquer,  de s’attendre à bénéficier d’infrastructures qui leur permettent d’améliorer leurs conditions de vie. Reste qu’il  « trouve déplacé que les Camerounais comptent sur la CAN pour avoir des routes. Je voudrais rappeler que les grandes ambitions ou les grandes réalisations sont des termes qui étaient de loin antérieurs à l’organisation de la CAN ! Et la réhabilitation des infrastructures sportives et la construction de nouvelles est une promesse du chef de l’Etat qui date d’il y a très longtemps, de 2004… »L’ancien champion d’Afrique se dit « déçu d’entendre les Camerounais rattacher tout leur bien-être à la CAN ». Pour lui, le Cameroun doit se développer, pas pour la CAN, mais pour lui-même. « Nos enfants méritent d’avoir des terrains de jeux. Le Cameroun a le devoir de développer ses infrastructures indépendamment de la CAN », rappelle-t-il.
En dehors d’Olivier Bile, seul candidat recalé pour défaut de caution, certains prétendants ont été incapables de présenter un simple extrait d’acte de naissance.
L’élection présidentielle au Cameroun est-elle devenue une auberge espagnole ? A la lecture des motifs du rejet de certains dossiers de candidature pour le scrutin du dimanche 07 octobre 2018, l’on constate que le relèvement de la caution de 5 millions de FCFA à 30 millions de FCFA n’a pas suffi à rendre plus sérieux cette élection aux yeux de certains camerounais. Des aventuriers incapables de produire un extrait d’acte de naissance, ont tenté de concurrencer Paul Biya, le chef de l’Etat sortant, candidat à sa propre succession. Sur les 28 dossiers de candidature enregistrés par ELECAM, le Conseil électoral d’Elections Cameroon, a déclaré 18 dossiers irrecevables parce qu’ils ne remplissaient pas les conditions requises par la loi.Ci-dessous, les motifs détaillés du rejet des 18 dossiers de candidatures1 -M. BARIN KOULLA Edouard (candidat indépendant)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de déclaration de candidature ; iii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi ; iv) Absence d’extrait d’acte de naissance ; v) Absence de déclaration sur l’honneur ; vi) Absence de bulletins N° 3 du casier judiciaire ; vii) Absence de certificat d’imposition/non -imposition.2- M. BILE Olivier Anicet : Union pour la Fraternité et la Prospérité (UFP)Absence de certificat du cautionnement3- M. BOBORO KEKOMO Symphorien (candidat indépendant)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de déclaration de candidature ; iii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi ; iv) Absence d’extrait d’acte de naissance ; v) Absence de déclaration sur l’honneur ; vi) Absence de bulletins N° 3 du casier judiciaire ; vii) Absence de certificat d’imposition/non –imposition.4- M. CHOUPO KAMGAING Hervé : (candidat indépendant)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de déclaration de candidature ; iii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi ; iv) Absence de déclaration sur l’honneur ; v) Absence de certificat d’imposition/non –imposition.5- M. DJAPA Charly : Parti Socialiste et des Ecologistes Camerounais (PSEC)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ii) Absence de certificat d’imposition /non imposition.6- M. EGONO Valentin: Union Camerounaise pour la Démocratie et l’Innovation(UCDI)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de déclaration de candidature ; iii) Absence de lettre d’investiture iv) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi pour un parti politique non représenté dans une Assemblée élective ; v) Absence de déclaration sur l’honneur ; vi) Absence de bulletin n°3 du casier judiciaire ; vii) Absence de certificat d’imposition/non –imposition.
  1. M.ETONDE ETONDE Jean Patrice (candidat indépendant)
i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi ; iii) Absence de certificat d’imposition/non-imposition.
  1. FOMO NGOTA Jean Marie Philippe : Renaissance Sociale Démocratique du Cameroun(RSDC)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi pour un parti politique non représenté dans une Assemblée élective ; iii) Absence de certificat d’imposition/non-imposition.
  1. FOUDA ESSOMBA Vincent Sosthène : Mouvement Camerounais Pour la Sociale Démocratie (MCPSD)i) absence de certificat du versement de cautionnement ii) Absence de liste de 300 signatures des personnalités requises par la loi pour un parti non représenté dans une Assemblée élective iii)- Absence de certificat de nationalité iv)- absence de déclaration sur l’honneur
  1. M. GABANMI- DANHA Rigobert (candidat indépendant)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de déclaration de candidature ; iii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi ; iv) Absence de déclaration sur l’honneur.
  1. M. GVET Jean: Mouvement Politique pour le Changement du Cameroun (MPCC)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Déclaration de candidature non légalisée ; iii) Absence de liste 300 signatures de personnalités requises pour un parti non représenté dans une Assemblée élective ; v) Absence de certificat d’imposition/non –imposition.
  1. Mme HABIBA ISSA épse DUALA M’BEDI : Union des Populations du Cameroun (UPC)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de certificat de nationalité ; iii) Absence de certificat de d’imposition/non- imposition ; iv) Absence de lettre d’investiture par son parti.
13- M. KISOP Bertin: Cameroon Party for Social Justice (CPSJ)i) Absence de certificat de versement du cautionnement; ii) Absence de déclaration de candidature légalisée ; iii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi pour un parti non représenté dans une Assemblée élective ; iv) Absence d’extrait d’acte de naissance ; v) Absence de certificat de nationalité ; vi) Absence de bulletin n°3 du casier judiciaire ; vii) Absence de certificat d’imposition/non- imposition.
  1. M.KUM ANE IHIMS: Bilingual Yaounde Party Politic (BIYA TRC)i) Absence de certificat de versement du cautionnement; ii) Absence de déclaration de candidature légalisée ; iii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi pour un parti non représenté dans une Assemblée élective ; iv) Absence d’extrait d’acte de naissance ; v) Absence de déclaration sur l’honneur ; vi) Absence de bulletin n°3 du casier judiciaire ; vii) Absence de certificat d’imposition/non- imposition.
  1. M. N’DEMMANU ANTOINE DE padoue : Rassemblement Démocratique du Peuple sans Frontière (RDPF)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par loi pour un parti non représenté dans une Assemblée élective.
16- M. NDJOUMOU Léopold Steves : Union pour Redressement Economique du Cameroun(UREC)i) Absence de certificat du versement du cautionnement ; ii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi pour un parti non représenté dans une Assemblée élective
  1. M. TUILE TUILE Roger : Debout Le Cameroun (DLC)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de déclaration de candidature ; iii) Absence de lettre d’investiture ; iv) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi pour un parti non représenté dans une Assemblée élective ; v) Production d’un extrait d’acte de naissance datant de 2013 ; vi) Déclaration sur l’honneur non conforme ; vii) Absence de certificat d’imposition/non-imposition
  1. Mme. ZEH AMVENE Geneviève (candidat indépendant)i) Absence de certificat de versement du cautionnement ; ii) Absence de déclaration de candidature ; iii) Absence de liste de 300 signatures de personnalités requises par la loi ; iv) Absence d’extrait d’acte de naissance ; v) Absence de déclaration sur l’honneur ; vi) Absence de bulletin n°3 du casier judiciaire vii) Absence de certificat d’imposition/non- imposition.
Il se rendra dans cette Région dans le cadre d’une tournée politique.
Mutations édition du 13 août 2018 rapporte que le président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) sera accompagné dans cette tournée, par des membres du directoire de son parti politique. D’après Emmanuel Simh le vice-président national du MRC, durant ladite tournée à l’Ouest, Maurice Kamto entend expliquer le projet de société du parti sur lequel repose sa candidature à l’élection présidentielle prévue le 7 octobre 2018. La tournée politique va commencer par un arrêt dans le département du Noun. «Du 15 au 17 août prochain cette délégation envisage sillonner la ville de Foumban. Un territoire réputé pour être le bastion politique de l’Union démocratique du Cameroun (UDC) d’Adamou Ndam Njoya – lui-même candidat à l’élection présidentielle», écrit le quotidien qui pense que de ce fait, la tâche du MRC de ce côté sera difficile. Pour espérer avoir le vote des camerounais dans cette partie du pays, Maurice Kamto compte saisir le cadre de sa tournée politique pour conquérir des marchés pour la vente du programme politique. De ce fait sa descente ne va pas se limiter uniquement dans le département du Noun, mais aussi dans ceux du Haut-Nkam et des Bamboutos. Bien que la campagne électorale n’ait encore été officiellement lancée, le président national du MRC depuis des mois multiplie des descentes sur le terrain. Pour rappel au mois de juillet 2018 Maurice Kamto a organisé une pareille tournée dans la Région de l’Extrême-Nord. Durant ladite tournée il est allé à la rencontre des militants de son parti basés dans les localités de Mokolo et de Maroua. Ce même mois, le candidat à la Présidentielle 2018 s’est également rendu à Douala dans la Région du Littoral. Il a par ailleurs été à Casablanca au Maroc.
La promiscuité constitue le lot quotidien des populations de la région du Nord et de la ville de Garoua en particulier. La vente du carburant frelaté communément appelé «Zoua Zoua» continue son bout de chemin dans la capitale régionale du Nord, malgré la destruction des centaines de fûts de ce combustible il y a quelques mois par les autorités locales.A cela s’ajoute l’occupation des zones à risques tels les marécages et les flancs de montagnes qui sont envahis par des habitations. Des risques sont permanents, et le danger plane sur la population. Certains n’hésitent pas à construire au bas de grosses pierres qui surplombent leur domicile et suspendues sur les toits des maisons. Les habitants des bas-fonds et des zones de marécages quant à eux vivent le pire des inondations chaque année en saison pluvieuse. Au quartier Lidiré non lion de l’école Bénoué où la zone agricole est peuplée des maisons, l’on ne vit plus que sur le qui-vive au moindre coup de tonnerre. «Ici, nous sommes débordés par les eaux de la rivière après chaque grande pluie. L’année dernière au mois d’août, l’eau a envahi toute notre maison, tous les meubles ont été engloutis dans les eaux. Les diplômes et actes de naissance de mes enfants ont été détruits. Nous avons été obligés de quitter la maison pour aller passer la nuit ailleurs», explique Fadimatou Sadou, une mère de famille. Toutefois après le passage des vagues d’eau, Fadimatou Sadou et ses enfants avaient regagné leur demeure et y mènent toujours leur vie, laissant ainsi leur sort à la providence. Et le calvaire est loin de finir au regard des conditions précaires. Dans la région du Nord Cameroun, certains se demandent même pourquoi ce mutisme des autorités face à un problème qui prend de plus en plus corps dans la ville. Attendent-ils que des catastrophes telles les inondations surviennent pour agir ? Il faudrait que les autorités compétences en la matière prennent les choses en main pour réactualiser le  plan de la ville de Garoua, afin de juguler le problème de constructions anarchiques que la ville connaît en ce moment.
Au moins quatre sécessionnistes ont été tués à Banga Bakundu ( Sud-ouest), lors les affrontements avec les forces de défense, apprend koaci de source sécuritaire de premier plan.Les affrontements ont eu lieu lorsque des militaires de la 21eme Brigade d’infanterie motorisée (BRIM) de Buea rentrant d’une opération de renfort à Kumba, sont tombés dans une embuscade tendue par les secéssionnistes armés. ” Une patrouille motorisée des éléments de la 21eme BRIM de Buea, a été prise pour cible dans l’après midi du mardi 14 août 2018 par des hommes armés”, déclare notre source qui a fortement requis l’anonymat. L’embuscade a été visiblement tendue par des combattants secéssionnistes. Dans la riposte, 4 secéssionnistes ont été tués. Aucune perte n’a été enregistrée dans les rangs de l’armée qui a capturé deux membres du commando. De nombreuses armes et munitions ont été récupérées après les affrontements. Les régions du nord ouest et du sud ouest sont secouées depuis octobre 2016 par des revendications sociopolitiques qui ont débouché sur la crise anglophone. Le pic des violences a été observé au lendemain du 1er octobre 2017 (date de la proclamation symbolique d’indépendance de l’Etat imaginaire d’Ambazonie). Au moins 84 militaires ont été tués par les secéssionnistes. Plus de 20 mille Camerounais ont fui vers le Nigeria. Le gouvernement a lancé un plan humanitaire d’urgence au bénéfice des populations du nord ouest et du sud ouest.






Sunday, 05 June 2022 11:01