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Mfoungo

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Le gouverneur de la région du Nord, accompagné du Coordonnateur national Dr Bouba Moumini, ont lancé les activités de PCP-ACEFA le 10 août 2018 à Garoua.En 2008, l’Etat du Camerounais, avec l’accompagnement du Gouvernement français à travers l’Agence française de développement, a mis en place le Programme Acefa pour accompagner les exploitations agropastorales jusqu’en 2016, avec des résultats probants sur le terrain et un impact sur le secteur agropastoral Camerounais. Le programme bénéficie du financement d’une troisième phase dans le cadre du 3eme contrat de Désendettement et du Développement (C2D) en vue de la pérennisation du dispositif de conseil Acefa. Le programme de consolidation et de pérennisation du dispositif agropastoral (PCP-ACEFA) a donc vu le jour le 14 juillet 2017 à la suite d’affectation signée entre le Cameroun et la France, pour un montant de 63 milliards de FCFA. Le gouverneur de la région du Nord, accompagné du Coordonnateur national du programme, Dr Bouba Moumini, ainsi que des délégués régionaux du Minader et du Minepia ont lancé les activités de PCP-ACEFA le 10 août 2018 à l’Ecole de Faune de Garoua. Le PCP-ACEFA entame ainsi une nouvelle phase qui porte sur la consolidation et la pérennisation du conseil qui a été développé depuis près de 10 ans. La consolidation et la pérennisation impliquent la préservation et le renforcement des acquis d’Acefa. Il s’insère dans la politique agricole nationale élaborée dans le cadre du plan National d’Investissement Agricole(PNIA) et devra contribuer à atteindre les objectifs de développement du secteur : la sécurité alimentaire, la croissance et l’agriculture de 2egénération. Il devra contribuer à l’augmentation de certains produits agropastoraux : Maïs, sorgho, cacao, huile de palme, banane, plantain, manioc, riz, poisson, lait, viande rouge etc. D’autres productions sont également concernées : maraîchage, oignons, élevage non conventionnelle programme se déploiera sur des principes qui ont montré leur efficacité au cours des deux premiers phases; Augmenter l’impact du conseil par le nombre de producteurs touchés (environ 350.000) et la qualité des services; Améliorer l’organisation, les méthodes et les compétences; Financer la modernisation de l’appareil de production (environ 4000 projets pour 18 milliards de FCFA); Renforcer la cogestion; institutionnaliser le dispositif à travers une Agence nationale du conseil agropastoral.
La Direction Générale des Douanes a réalisé 362 milliards FCFA de recettes (base caisse) au 1er semestre 2018 contre 337,6 milliards de FCFA à la même période en 2017, soit une hausse de 24,4 milliards FCFA en valeur absolue et 7,2% en valeur relative.La Direction Générale des Douanes vient de  renouer avec la rotation des réunions de coordination. Par principe, celles-ci se tiennent à Yaoundé, siège de la Direction Générale des Douanes. Par dérogation, ces réunions se déroulent en dehors, comme ce fut le cas en 2009 à Limbé et en 2010 à Douala. Garoua est ainsi la 3ème ville en dehors de Yaoundé à accueillir la réunion de coordination des services centraux et déconcentrés de la Direction Générale des Douanes, qui a eu lieu le 09 Aout 2018. Le Secteur des Douanes du Nord présente des performances budgétaires et non budgétaires exceptionnelles, notamment avec la réouverture des frontières avec le Nigéria et la remontée des flux de marchandises en transit. Il était question pour le Dg des douanes de toucher les réalités du terrain et d’encourager les initiatives porteuses de résultats. La lutte contre la fraude et la contrebande est sanctionnée par des saisies spectaculaires de la part des unités opérationnelles du Secteur des Douanes du Nord. En l’espace de quelques semaines, les opérations spéciales de surveillance douanière ont, avec l’appui des autorités administratives, judiciaires et des forces de défense et de sécurité, donné des résultats importants concernant la lutte contre la fraude et la contrebande des véhicules. Les travaux cette réunion de coordination avaient pour objectifs : présenter les performances de recettes douanières au 1er semestre 2018; définir des stratégies à court terme pour la mobilisation optimale des recettes ;  échanger sur les défis et les enjeux par Secteur des Douanes ; évaluer les opérations d’appui aux politiques de développement ; évaluer l’état de mise en œuvre de la matrice d’actions des Douanes. La mise en commun de ces intelligences devrait permettre de trouver la recette pour  atteindre le cap de 800 milliards de FCFA de recettes douanières attendues au titre de l’année budgétaire 2018. La Direction Générale des Douanes a réalisé 362 milliards FCFA de recettes (base caisse) au 1er semestre 2018 contre 337,6 milliards FCFA à la même période en 2017, soit une hausse de 24,4 milliards FCFA en valeur absolue et 7,2% en valeur relative. Le contexte sera marqué en ce 2ème semestre par la 3ème année d’application de l’Accord de Partenariat Economique Cameroun/Union Européenne, avec un impact fiscal réel. En effet,  les marchandises éligibles au régime préférentiel de l’APE Cameroun/Union Européenne sont soumises aux taux de démantèlement tarifaire ci-après depuis le 04 août 2018 : les marchandises du 1er groupe passent de 50 à 75%, tandis que les marchandises du 2ème groupe passent de 15 à 30%. Il apparaît donc impératif d’exploiter toutes les niches et tous les adjuvants possibles, dans l’optique d’une plus grande mobilisation des recettes douanières, mais aussi dans l’optique d’assurer un haut degré de surveillance du territoire, tout en accompagnant la compétitivité du secteur privé. La réunion de coordination du 9 août 2018 était décisive pour l’Administration des douanes. En effet, elle se situe dans la ligne de mire du 2ème semestre de l’année en cours, avec des défis, des enjeux et des attentes plus pressants. Pour les secteurs des douanes du septentrion en général et celui du Nord en particulier, le challenge demeure celui de la lutte contre la contrebande et plus généralement le commerce illicite. Dans ce cadre, le Ministre des Finances vient de marquer son accord pour une mission HALCOMI 3 avec pour objectif d’appuyer les unités des douanes des Secteurs de l’Adamaoua, du Nord et de l’Extrême-Nord dans la lutte contre le commerce illicite.
Ils doivent confirmer la couleur, le sigle et le titre choisis pour l’impression de leurs bulletins de vote et de campagne.Le Directeur général (Dg) d’Elections cameroon (Elecam) vient de rendre public trois communiqués à l’attention des neuf candidats retenus pour le scrutin du 7 octobre 2018. Paul Biya, Cabral Libii, Joshua Osih, Maurice Kamto, Akere Muna, Garga Haman Adji, Serges Matomba, Ndam Njoya et Ndifor Afanwi sont donc attendus aux services du courrier, de l’accueil et de liaison de l’organe en charge de l’organisation des élections au Cameroun. Outre confirmer la couleur, le sigle et le titre de leurs bulletins de vote et de campagne, ils doivent communiquer leurs différents documents de campagne.  Erik Essousse les invite également à se rendre à la Société de Presse et d’éditions du Cameroun (Sopecam). Ils doivent de ce côté confirmer la couleur, le sigle et le titre choisis pour l’impression de leur bulletin de vote et de campagne. Rappelons qu’après examen des dossiers de candidature déposés à Elecam, neuf personnes ont été retenues pour prendre part à la Présidentielle 2018. Sur 18 dossiers qui ont été rejetés, 8 ont fait des recours au Conseil constitutionnel. On en sait un peu plus sur les motifs qui ont conduit au rejet des dossiers de ces derniers. Il y a entre autres l’absence des 30 millions de Fcfa servant de cautionnement pour la candidature, le manque de signatures requis pour les candidatures indépendantes.
À l’évocation du Qatar dans le football, on a tendance à penser au PSG. Même si les spéculations allaient bon train dans le cas de Samuel Eto’o pour ce qui est d’évoluer en France, ce sera finalement à Doha au Qatar que le détenteur de multiples trophées du football africain va poser ses valises. Il en sera à son 14e club, et le premier au Moyen-Orient. En termes de visibilité, ce sera un bon produit pour ce pays qui va d’ailleurs organiser la prochaine coupe du monde de football.
Source : Camfoot

La mission d’inspection de la CAF qui a séjourné au Cameroun pendant une semaine, vient d’exprimer son satisfecit sur l’état d’avancement des travaux des chantiers de la CAN Total 2019.

La Can ne sera donc pas délocalisée pour un autre pays comme le véhiculent moult allégations.

« Personne n’enlèvera la CAN au Cameroun », a affirmé ce lundi Melvis Pinick Amaju, vice-président de la CAF et chef de mission.

Au terme de sa troisième mission d’inspection, l’équipe de la CAF a été impressionnée par l’état d’avancement des chantiers, « ce que nous avons vu est assez impressionnant. Le gouvernement a mis d’énormes moyens. Nous avons hâte de vivre cette CAN au Cameroun qui va organiser une Can avec beaucoup d’innovations », ajoute le chef de mission.

Cette sortie des experts de la CAF, rassure l’opinion camerounaise qui a été plusieurs secouée fois par les rumeurs de délocalisation de la Coupe d’Afrique des Nations.

Cette décision fait suite au non-respect par le club de la décision du juge unique de la commission du statut du joueur du 15 juin 2016 relative au litige l’opposant à son ancien entraîneur belge, Johan Buyle, pour salaires impayés. Un irrespect confirmé par la commission de discipline de la FIFA dans sa décision du 12 avril dernier.
Bamboutos de Mbouda ne jouera pas en Elite one la saison prochaine. En effet, le club de la région de l’Ouest a été signifié mercredi dernier par courrier de la commission de discipline de la Fédération internationale de football association (FIFA), de sa rétrogradation en Elite Two. Selon Cameroon Tribune du lundi 13 Août 2018, la commission de discipline de la FIFA, dans sa décision du 12 avril dernier accordait au club un dernier délai gracieux de 30 jours pour s’acquitter de sa dette auprès de son ancien entraîneur belge, Johan Buyle. Un dû qui se situe aux alentours de 34000 euros (plus de 22 millions de FCFA). La décision du 12 avril 2018 donne la possibilité au créancier de demander la rétrogradation de l’équipe première de Bamboutos de Mbouda en division inférieure pour la saison 2018-2019, apprend-on. «Celle-ci peut inclure l’exclusion des compétitions organisées par l’instance. En cas de non-paiement par Bamboutos de sa créance, le club encourt également une nouvelle rétrogradation en deuxième division régionale. De la même façon, le paiement de la dette n’efface pas la rétrogradation», rapporte Cameroon Tribune. Il faut préciser que Bamboutos a porté le litige devant le Tribunal arbitral du sport, estimant notamment que le Belge ne disposait pas du diplôme d’entraîneur requis par la Direction technique nationale. Un recours qui ne suspend guère la procédure au sein de la Fifa. Le journal rappelle que Johan Buyle a été recruté en décembre 2015 à la tête du staff technique de Bamboutos pour une durée d’un an. Il sera licencié un mois plus tard. Le 15 juin 2016, le juge unique de la Commission du statut du joueur a condamné Bamboutos de Mbouda au paiement de la somme de 13500 euros (plus de 8,8 millions de FCFA) à titre d’arriérés de rémunération plus des intérêts de 5% par année à compter du 12 décembre 2015 jusqu’au paiement effectif. Par ailleurs, Bamboutos devait payer 16746 euros (environ 11 millions de F.) au titre de la compensation pour rupture de contrat, ajoutés à des intérêts de 5% par année à compter du 26 février 2016 jusqu’au paiement effectif. Cette rétrogradation de Bamboutos ouvre d’ores et déjà un éventail de possibilités à la Ligue de football professionnel du Cameroun. Notamment sur le nombre de clubs devant participer dans les championnats Elite One et Elite Two.
Bien décidé à poursuivre sa carrière en dépit de ses 37 ans, Samuel Eto’o est à la recherche d’un nouveau challenge après son départ de Konyaspor en Turquie. Et ne dites surtout pas à l’ancien capitaine des Lions indomptables qu’il est trop vieux pour constituer un danger pour les défenses. Bien que vieillissant, Eto’o pense avoir toujours les moyens pour déranger n’importe quelle équipe.« Je crois plutôt que c’est difficile pour les défenseurs. Moi, je sais marquer les buts. C’est ce que j’ai fait toute ma vie et c’est ce que je vais continuer à faire », a-t-il confié à Rfi. « C’est plutôt difficile pour les défenseurs parce qu’à un moment donné, vous n’avez plus cette vitesse-là. Moi, même si je n’ai pas ma vitesse de 20 ans, je garde toujours une bonne vitesse. Et en plus, avec l’expérience, je comble toujours ça »a ajouté Eto’o qui veut jouer encore deux saisons avant de prendre sa retraite.
Une étonnante polémique a suivi la diffusion sur les réseaux sociaux, en juin dernier, d’une vidéo montrant les images insoutenables de l’exécution par des hommes en armes et en tenues militaires, dans l’Extrême-nord du pays, de deux femmes, un enfant en bas âge et un nourrisson porté au dos par sa mère. 
Cette polémique créée par le Gouvernement a été relayée par diverses personnes agissant manifestement sur commande. Ces personnes se sont employées à vendre à l’opinion nationale et internationale l’idée que la vidéo querellée était non selement un “fake news“, mais surtout un grossier montage des ennemis du régime dont l’objectif inavoué n’était autre que la chute de celui-ci.
Dans cet élan de diabolisation de l’opposition visant à détourner l’attention de la vérité sur ces crimes abominables, le MRC et moi-même avons été accablés et vilipendés, comme d’habitude gratuitement, accusés outrageusement d’être les auteurs de ce qu’ils ont présenté comme une manoeuvre de gens ignorant jusqu’à la géographie.
Bien qu’habitués, depuis ma démission du gouvernement en 2011 et mon entrée en politique en 2012, à ces accusations que fabrique le régime, et aux outrances haineuses de ceux qui les relayent, en particulier depuis mon investiture comme candidat de mon parti à l’élection présidentielle prochaine, les militants et symphatisants du MRC ont été outrés par cette nième attaque.
Voici que la vérité s’est finalement imposée au pouvoir qui, sans honneur ni dignité vient de reconnaître que les crimes choquants dénoncés avec un courage exceptionnel par la jeunesse consciente du Cameroun et les organisations de défense des droits de l’homme étaient bien le fait d’éléments des forces de défense camerounaises.
Ainsi donc, la vérité a-t-elle éclaté au grand jour, mettant le MRC et moi-même hors de cause d’accusations mensongères et diaboliques
Depuis ces développement qui ont mis à nu le mensonge d’État dont toutes les conséquences politiques et militaires doivent être tirées, le Pr. Mathias Eric OWONA NGUINI est l’objet d’attaques personnelles inacceptables de la part de certains compatriotes. Je ne peux m’accommoder d’une telle violence verbale qui ramène les échanges publics dans notre pays à un niveau indigne des qualités intellectuelles des Camerounais.
J’en appelle à la responsabilité des uns et des autres ainsi qu’au respect de la dignité humaine de chacun. Notre vie publique ne peut être un champ de haine, de mensonges et d’injures.
Dans cette esprit, je condamne toute attaque qui porte atteinte à la vie privée, à la dignité et à l’honneur de M. OWONA NGUINI, ou de toute autre personne.
Je demande aux militants et sympathisants du MRC de se tenir éloignés de ces attaques. Je leur réitère de répondre à la haine par la tolérance, quelque difficile que cela puisse être, et aux injures par l’articulation de notre programme et la présentation de leur candidat que je suis.
Au lendemain du 7 octobre prochain nous demeurerons des Camerounais, filles et fils d’une même Nation. Et il faudra qu’on se retrouve ensemble entre compatriotes pour redresser et propulser notre pays au niveau où il mérite d’être. Pour ma part, je reste attaché à mon grand rêve de rassembler tous les Camerounais de bonne volonté pour moderniser ce beau et grand pays.
L’ancien Premier ministre (1996-2004) et président de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme regrette les violences perpétrées actuellement par des milices sécessionnistes dans la zone anglophone du pays.
Une concertation qui regroupait les membres de la Conférence des chefs traditionnels du Sud-Ouest (SWECC) et l’association des élites de cette région (SWELA) s’est tenue samedi dernier au Palais des Congrès de Yaoundé. Il était question de discuter sur la situation que vit cette région, au même titre que la région voisine du Nord-Ouest en ce moment. Selon Cameroon Tribune du lundi 13 Août 2018, il a fallu un peu plus de quatre heures d’échanges pour faire le point d’une situation jugée «préoccupante» par l’ancien Premier ministre, et non moins président de la Commission nationale pour la promotion du bilinguisme et du multiculturalisme, Peter Mafany Musonge, dans son mot introductif. Il a ainsi dénoncé les souffrances infligées à d’innocentes populations par des bandes armées. Peter Mafany Musonge a déploré que ces égarements n’épargnent même plus «les chefs traditionnels et les élites qui sont enlevés, torturés et tués comme si ceux-ci n’avaient pas le droit d’exister en tant qu’êtres humains». Il a regretté que le Sud-Ouest soit devenu un lieu d’expérimentation d’actes diaboliques : «Notre région est, hélas, devenue un endroit où rien de bien ou de positif ne peut être attendu». «Nous militons pour un Etat unitaire décentralisé, un et indivisible», a martelé l’ancien Premier ministre. Il était donc question pour les participants à la concertation de samedi dernier de devenir des solutions aux problèmes qui se posent dans leur région. Une dizaine de mesures ont été arrêtées à l’issue de cette rencontre et rendues publiques dans le communiqué final sanctionnant les travaux. Sur la «conférence générale anglophone» projetée pour la fin de ce mois et reportée en novembre 2018, les chefs traditionnels et les élites du Sud-Ouest trouvent l’initiative «prématurée». Les membres de la SWELA et ceux de la SWECC ont convenu de travailler en synergie en vue d’une sensibilisation des jeunes de la région sur les dangers du développement de la culture de la violence. Il est par ailleurs question de prendre les mesures appropriées en vue d’un retour de tous les chefs dans leurs lieux habituels de résidence, ceci de concert avec les autorités administratives. Les chefs traditionnels et les élites ont convenu de continuer à encourager le président de la République dans la prise de solutions pour résoudre définitivement la crise qui secoue les régions. Ils annoncent pour le 25 du mois courant, une autre concertation sur le thème de la paix et de l’unité à Buea.
Même s’il a changé de club, et aussi de pays, le sort de Fabrice Ondoa reste le même ; celui d’être confiné au banc des remplaçants. Même si le directeur sportif de son club actuel n’est nul autre que le sélectionneur avec qui il a remporté la Coupe d’Afrique des nations il y a 19 mois, il n’en demeure rien au fait que l’envie de l’international camerounais d’amasser du temps de jeu ne s’est toujours pas réalisé. Avec un nouveau staff technique à la tête des Lions, son destin risque d’y être différent.
Ce samedi, son club, le KV Oostende recevait le KRC Genk. Mais comme depuis le début de la saison, les choses ne se passent pas rondement. Genk va remporter la partie sur le score de 2 buts contre 0.
Source : Camfoot






Sunday, 05 June 2022 11:01