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Mfoungo

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Les forces de défense camerounaises affirment avoir tué au moins cinq combattants séparatistes et libéré un otage lors d’un assaut mené dans un camp séparatiste à Tali, dans le département du Lebialem, région du Sud-Ouest du Cameroun.Les forces de défense camerounaises ont déclaré qu’un raid a eu lieu aux premières heures du 15 août. Cette descente de l’armée s’est appuyée sur des renseignements faisant état de ce qu’une branche armée acquise à la cause de la sécession utilisait les locaux de l’école publique locale comme base pour contrôler un certain périmètre. L’assaut, précédée d’une infiltration pédestre qui a duré deux heures, a laissé au moins cinq présumés séparatistes sur le carreau. Cinq d’entre eux ont été blessés. Un otage a été libéré. Cette opération a permis de mettre la main sur des équipements suspects, notamment des armes et des munitions.
Depuis 2016, des actes de violence sont commis par une minorité des anglophones des régions Nord-Ouest et Sud-Ouest du Cameroun. Alors même que la majorité de la population de ces régions souhaite simplement pouvoir vivre dans la tranquillité, ces groupuscules sèment la terreur. Pourquoi? Qu’est-ce qui a initié un soudain niveau de ferveur nationaliste parmi ces quelques individus, dont le nombre est inversement proportionnel à leur capacité de nuire. La réponse pourrait se trouver tout simplement dans le sous-sol de ce que les séparatistes appellent “l’Ambazonie” : les hydrocarbures.

Un terrain riche en ressources naturelles

Une grande partie des richesses en pétrole et en gaz du Cameroun se situe dans les régions Nord-Ouest et Sud-Ouest du pays. Le développement de l’exploitation des hydrocarbures est essentiel, auquel se rajoute celle des mines d’or. Ces cadeaux de la nature suscitent forcément de nombreuses convoitises de la part de personnes, souvent situées à l’étranger, peu scrupuleuses et prêtent à manipuler une partie de la population, même minoritaire, afin de mettre la main dessus afin d’en revendre la concession aux plus offrants. Mais pour effectuer cette manœuvre, il leur est nécessaire d’organiser le chaos sur place.

Chaque jour 10 millions de dollars de pétrole

Le sol des régions anglophones permet en effet à des millions de dollars de matières d’en être extrait. Ainsi le pétrole qui sort du sol du Sud-Ouest et du Nord-Ouest représente l’équivalent de 10 millions de dollars. Le cynisme des responsables séparatistes touche ici un point fondamental. En effet, Amos Mudoh, qui est chargé, pour le gouvernement fantoche “ambazonien”, des affaires étrangères, affirme sans rougir que ce montant pourrait permettre la création d’écoles qui sont actuellement manquantes dans la zone, alors qu’en même temps, ses hommes menacent les élèves et les enseignants qui souhaitent reprendre le chemin des établissements scolaires.

 

Ceci démontre que le bien-être réel du peuple camerounais anglophone est le dernier des soucis des responsables séparatistes.

L’armée camerounaise a démantelé mardi un autre camp d’entraînement des secéssionnistes dans la région du Sud ouest a-t-on appris de sources sécuritaires.Le camp d’entraînement des sécessionnistes dans le petit village de Malende, arrondissement de Muyuka, dans le département du Fako (Sud ouest), a été pris d’assaut par le bataillon amphibie du Bir, une unité d’élite de l’armée Camerounaise. “De nombreuses exactions commises par les gangs armés sécessionnistes contre les civils étaient coordonnées depuis ce camp d’entraînement”, rapporte la division de la communication du ministère Camerounais de la défense. Le bilan fait état, d’au moins 16 sécessionnistes armés tués lors des combats. Plusieurs autres ont été capturés.Le 17 août dernier un camp d’entraînement des sécessionnistes était démantelé à Manyu un autre département du sud ouest devenu épicentre de la lutte armée dans le cadre de la crise anglophone. Les régions du nord ouest et du sud ouest sont secouées depuis octobre 2016 par des revendications corporatistes qui ont pris la coloration sociopolitique et identitaire Une infime partie des camerounais d’expression anglaise qui sont 20% de la population, revendique la sécession du pays et la création de l’État d’Ambazonie. Les violences entre séparatistes armés et forces de défense et de sécurité ont fait au moins 90 morts dans les rangs de l’armée régulière. Au moins 20 mille Camerounais ont fui ces violences pour se réfugier au Nigeria.
Le conseiller municipal de la commune de Douala 5ème constate l’échec de sa campagne pour le choix d’un candidat unique de l’opposition.
Parmi les invités du programme Club d’Elites (Vision 4) le 19 août 2018 figurait Abel Elimby Lobe conseiller municipal de la mairie de Douala 5ème. Chaud partisan d’une coalition des candidats de l’opposition à la prochaine élection présidentielle du Cameroun, il a de nouveau insisté sur la nécessité d’une alliance. Abel Elimby a rappelé que le temps presse désormais. Et pour cause. Il est important selon lui de décider au plus vite. Car en cas de choix de l’option de la coalition les postulants qui se seront désistés auront le temps de récupérer leur caution de 30 millions de francs CFA. Ce qui ne semble plus être possible puisque l’imprimeur des élections pourrait appeler à tout moment pour que les candidats donnent le bon à tirer. Et l’ancien du Social democratic front de fustiger l’attitude de ceux-là qui ont choisi de faire cavalier seul. « Tout le monde sait au Cameroun que nous ne perdons pas les élections parce que le régime travaille bien. Nous perdons les élections à cause de notre propre comportement : la dispersion de nos voix qui elle-même est la conséquence d’une prolifération des candidatures. Nous n’allons donc plus faire le débat. Parce que tout a été mis en place pour que nos candidats nous écoutent, qu’ils aillent dans le sens de nos aspirations, nous qui leur donnons des voix. Jusqu’aujourd’hui nous attendons », fait-il savoir. Elimby Lobe se montre outré par l’attitude de certains des 8 candidats opposés au président sortant du Cameroun Paul Biya. Il dénonce un comportement qui va faire gaspiller des votes.  « Quand on parle de la coalition des candidats, les impénitents viennent sur les plateaux de télévision pour parler de la coalition du peuple, la coalition des idées. Tout cela ne veut rien dire ! Cela signifie simplement que les gens s’entêtent à nous amener dans une manœuvre qui consiste à disperser une voix », explique-t-il encore.
Joseph Le s’est rendu dans cette grande école d’Etat le 18 août 2018.Selon l’une de nos sources, le ministre de la Fonction publique et de la réforme administrative est rentré satisfait de l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam) samedi dernier. Rappelons que des milliers de candidats frappent aux portes des sections Administrateurs des greffes et Prix, Poids et mesures,  tous cycles confondus de l’école. Le ministre a passé près d’une heure à visiter l’école pour voir de plus près les mesures mises en place pour la parfaite organisation de cette session qui a débuté, il y a de cela trois semaines. «Je suis satisfait de ce que je viens de voir. Tout se passe bien. Il y a plus de 2000 candidats qui sont face aux épreuves actuellement», s’est réjoui le ministre. Aux côtés du directeur général de l’Enam Linus Toussaint Mendjana, le ministre Joseph LE a passé en revue tour à tour les salles et les cellules de corrections et celles de la reprographie. Les candidats soumis à l’épreuve de culture générale centrée sur les sujets d’actualité politique, sécuritaire et les défis économiques actuels du Cameroun, ont été émerveillés à la vue du ministre. Joseph LE a souhaité le meilleur à tous les candidats. «Nous sommes là pour vous saluer et vous encourager. Bonne chance à tous», a lancé le ministre. «Je suis très content de cette visite du ministre. Ça fait du bien et nous donne espoir que tous les candidats ont la chance d’accéder à cette grande école d’administration et de magistrature. Vu la bonne organisation de ce concours», confie un candidat à la sortie de la première épreuve. Les épreuves du concours d’entrée à l’Enam vont s’achever le weekend prochain.
En ces temps des vacances scolaires, ils sillonnent les quartiers et les services administratifs de la ville proposant des articles et des vivres aux potentiels clients.La ville de Ngaoundéré connait depuis le début des vacances scolaires et académiques 2018, une ambiance particulière marquée par l’arrivée des «nouveaux» acteurs dans le business. Il s’agit pour la plupart des élèves des lycées et collèges et même des étudiants de la ville qui effectuent des stages de vacances au sein des entreprises. Ils sillonnent les quartiers de la ville à la conquête des clients. Les produits offerts par ces jeunes vont des produits de nettoyage aux services des assurances en passant par les produits de beauté et les offres de services des opérateurs de téléphonie mobile installés dans la ville. Cette activité, bien que permettant aux stagiaires de «préparer» leur rentrée n’est pas sans risques pour ces jeunes. Il faut parfois braver les intempéries surtout en ce temps de forte pluviométrie dans la région, car dans certains secteurs, le stagiaire est payé en fonction du chiffre d’affaire journalier. Ce qui pousse à un dépassement de soi. «Nous sommes obligés de parcourir les coins les plus reculés de la ville pour avoir un peu de client. Dans le centre, les gens connaissent déjà les produits. C’est mieux les sous quartiers», explique Nadia, stagiaire dans une compagnie de téléphonie mobile. Comme Nadia, ils sont nombreux ces jeunes qui arpentent les quartiers et certains services administratifs proposant leurs articles. «Je prépare comme ça ma rentrée. Il y a certaines choses que je ne peux pas demander à papa et à maman. Ils s’occupent de la tenue, des livres, des cahiers et autres accessoires. A la fin du stage, je peux acheter une ou deux paires de chaussures et ça diminue un peu la charge aux parents», justifie Youssoupha, qui fait dans la promotion des produits de beauté. A côté de ceux qui font dans le formel, il y a cette autre catégorie des vendeurs pour la plupart constitués des jeunes filles dont l’âge varie entre 8 et 17 ans qui parcourent les ruelles avec arachides, carottes et maïs sur la tête à la recherche des clients. Cette catégorie est généralement exposée aux abus de toutes sortes, ce d’autant plus qu’il existe des personnes de mauvaise foi. Les filles se retrouvent ainsi à la merci des abus sexuels, drogues et autres dangers. Pour Sébastien Nazilao, doctorant en Sociologie à l’Université de Ngaoundéré, «le monde d’aujourd’hui connait une dépravation accrue des mœurs. Parmi ceux sollicitent acheter le bien proposé par la vendeuse, il existe des personnes à la moralité douteuse. Les parents gagneraient mieux à occuper leurs enfants par les travaux champêtres et des activités ludiques». Dans la ville de Ngaoundéré où les phénomènes d’enlèvements d’enfants avec demande de rançon devient de plus en plus inquiètant, les parents sont davantage interpellés à faire preuve de responsabilité en occupant autrement leurs progénitures en ce temps de fin des vacances scolaires.
Son leader, Paul Alain Eboua, l’a fait savoir au cours d’un point de presse le 18 août 2018 à Douala.
Non partant pour la présidentielle du 7 octobre prochain, Paul Alain Eboua appelle à la candidature unique de l’opposition. Le leader du MDP l’a signifié au cours d’un point de presse samedi dernier dans sa résidence à Bonaberi (Douala 4). Muet depuis la convocation du corps électoral, il s’est dit ouvert à une coalition de l’opposition pour espérer battre Paul Biya, le chef de l’Etat sortant et candidat à sa propre succession. « Nous interpellons les huit candidats à s’unir le plus tôt possible pour envoyer rapidement un signal fort aux Camerounais qui attendent », a lancé Paul Alain Eboua, espérant que son message sera entendu. Il se dit ouvert à toute proposition de mutualisation de l’opposition. Mais en attendant cette probable coalition, le leader du MDP se réserve le droit de donner une consigne de vote à ses militants et sympathisants. Toutefois, il invite particulièrement les jeunes, inscrits sur les listes électorales de retirer leurs cartes et de voter pour « être maître de leur destin ». Même s’il n’est pas candidat, il entend engager le MDP, fondé depuis 26 ans par son feu père Samuel Eboua, dans la campagne électorale en portant sa voix à chaque fois qu’il la jugera nécessaire. D’après des analystes politiques, la coalition de l’opposition reste l’une des pistes sinon la seule solution pour envisager battre l’octogénaire Paul Biya, au pouvoir depuis 36 ans. Son est globalement jugé catastrophique par l’opposition et une partie de l’opinion. Le système électoral à un tour, la majorité électorale à 20 ans, l’absence du bulletin unique et l’indépendance querellée d’Elections Cameroon (ELECAM), chargé de l’organisation des élections, reste de l’avis des observateurs, des dysfonctionnements qui ne permettent pas  d’entrevoir une alternance politique. Trop divisée, l’opposition n’arrive toujours pas à s’accorder, en dépit de la volonté prononcée de ses leaders, sur une candidature unique pour prétendre battre le « vieux lion » d’Etoudi. Source : ActuCameroun
Le candidat du Social Democratic Front entame ainsi une nouvelle étape de sa course à l’élection présidentielle du 7 octobre prochain.
Joshua Osih présente ce mercredi à Douala son projet de société. A en croire Cameroon Tribune du mercredi 22 août 2018, celui-ci a principalement pour point d’ancrage toutes les descentes sur le terrain effectuées par lui ou les membres de son staff à travers le pays profond afin de toucher du doigt les réalités des populations. Il avait échangé avec elles. Et surtout, noté leurs propositions de solutions. C’est donc toute cette collecte éparse, examinée au peigne fin ces derniers jours par les experts des différents domaines (économie, social, culturel, etc.), qui fera l’objet de la rencontre de ce jour aussi bien avec les hommes de médias que tous les observateurs de la scène politique camerounaise. Rappelons que le 15 août dernier, Joshua Osih a présenté son QG de campagne, basé dans la capitale économique. Ce jour-là, son équipe de campagne avait été également présentée. Le candidat du SDF en avait profité pour se réjouir du fait que son parti politique avait déjà mobilisé 30.000 volontaires. Optimiste, il espérait qu’ils atteindraient 50.000 lors du lancement de la campagne, le 22 septembre prochain. D’ailleurs, chaque bureau de vote aura un scrutateur de ce parti politique, préalablement formé. Au cours de son échange avec la presse, Joshua Osih a parlé de la possibilité d’une coalition, tout en confiant avoir reçu un mandat pour gagner l’élection présidentielle. Il doit donc mobiliser toutes les personnes ou groupes de personnes qui peuvent l’aider à atteindre cet objectif. Comme l’a souligné le candidat du SDF, la décision de soutenir la candidature d’une autre personne ne peut être prise que par le congrès du parti et non par lui. Pour conclure, Joshua Osih a annoncé que certains candidats recalés l’ont approché pour lui manifester leur soutien.
C’est à la faveur d’un salon international qui sera organisé en marge de la compétition pour former le public dans les métiers du bois générateurs de revenus.
Promouvoir les métiers du bois à travers la fête du football. C’est l’objectif visé par les organisateurs du 2ème salon international dédié aux métiers du bois qui se tiendra du 28 juin au 14 juillet 2019. Baptisée « SABADE CAN DU BOIS 2019 », la plateforme de développement durable et de promotion de la croissance de la filière bois du Cameroun se déploiera dans les cinq villes qui abritent la Coupe d’Afrique des nations (CAN TOTAL 2019). Le but, selon son promoteur, Jean Claude Dongmo Tanda, est d’initier dans une ambiance bon enfant le public au bricolage, à la menuiserie, à l’ébénisterie, afin de permettre à chaque volontaire (supporter, touriste, amateur des arts plastiques) de dépanner par lui-même, soit son lit, sa table ou sa chaise à la maison sans recourir à un menuisier. Selon M. Dongmo, la tenue de ce salon se justifie par le constat selon lequel les métiers du bois se raréfient au fil du temps à cause du désintérêt affiché par des jeunes. A en croire cet ébéniste mondialement reconnu, quatre fois lauréat du Salon international de l’artisanat du Cameroun (SIARC), ces métiers sont pourtant générateurs d’emplois et de revenus non négligeables. Selon l’interprofession forêts-bois du Cameroun, plus de 30 milliards FCFA sont dépensés par an pour l’importation des meubles. « Alors qu’on pouvait créer facilement 500.000 emplois en un an, si nous réservons 10 à 20 milliards de FCFA de ce marché à l’industrie camerounaise, ça va amener les offres en formation, en création d’emplois, en usines et autres» a toujours affirmé Sylvestre Lebell Nyeck Nyeck, président l’interprofession forêts-bois du Cameroun. Il sera question, a-t-on appris des organisateurs lors de la conférence de lancement du SABADE le 16 août 2018 à Douala, de plaider auprès des pouvoirs publics pour que les meubles achetés par l’Etat soient désormais fabriqués par les artisans locaux pour générer de la valeur ajoutée. L’idée de fabriquer par les rebus de bois locaux le cadre du portait officiel du chef de l’Etat jusqu’alors fabriqué à l’étranger a été aussi évoqué. Globalement, soulignent les organisateurs, il est question de profiter de la CAN pour mener une réflexion importante sur la formation aux métiers du bois. Outre l’initiation au bricolage, la sensibilisation contre la coupe illicite et promotion de l’utilisation du bois légal et les causeries éducatives, le « SABADE CAN DU BOIS 2019 » primera le meilleur bricoleur du salon. L’évènement est parrainé par les ministères des Petites et moyennes entreprises, de l’artisanat et de l’économie sociale (MINPMEESA) et des forêts et de la faune.
Alors que tout semblait bouclé, Clinton Njie ne devrait finalement pas rejoindre le Sporting CP. Selon A Bola et Record, la visite médicale du Camerounais s’est mal passée… Clinton Njie au Sporting Portugal, tout était bouclé. Le joueur était même arrivé au Portugal mardi pour s’engager sous la forme d’un prêt avec son nouveau club. Mais l’ailier camerounais aurait été recalé lors de sa visite médicale à Lisbonne, d’après le quotidien portugais Record. L’info a été confirmée par A Bola. En provenance de l’OM, Njie aurait dû s’engager avec le Sporting Club Portugal pour un prêt payant d’une saison. Le club lisboète devrait prendre une décision ce mercredi. Pour l’heure, peu de détails ont filtré sur la nature des problèmes révélés à la visite médicale. Mais l’information paraît étonnante puisque le joueur était titulaire lors de la première journée contre Toulouse, puis dans le groupe à Nîmes. Reste désormais à savoir si l’OM tentera de trouver une nouvelle porte de sortie à Clinton Njie, l’arrivée de son remplaçant naturel étant bouclée avec l’international serbe Nemanja Radonjic… Le Lion indomptable est auteur de 7 buts la saison dernière en 22 rencontres de Ligue






Sunday, 05 June 2022 11:01