25/10
Christian Wangue, l’éphémère empire d’un journaliste africain « en congé »
14/10
Pratiques mafieuses au Cameroun : Mediapart remporte le procès contre Bolloré
23/09
Préparatifs Mondial 2022 : Toko Ekambi forfait pour le match Cameroun-Ouzbékistan.
21/09
La bataille d’équipementier conduit à un bashing entre Samuel Eto’o et Yannick Noah
25/07
L’Union Africaine se félicite de la reprise des exportations de céréales d’Ukraine et de Russie
21/07
Football: la FIFA condamne le Cameroun à payer plus d’un milliard de FCFA au portugais…
20/07
Affaire de mœurs: la sex tapeuse Cynthia Fiangan a passé sa première nuit en prison
19/07
Le Cameroun veut importer 400 000 tonnes de riz en 2022
19/07
Droits de l’homme: Le REDHAC vole au secours du Directeur de publication du journal Le…
19/07
L’ancien Lion indomptable Stéphane Mbia risque la prison en Espagne
19/07
Découvrez le programme du séjour du président français Emmanuel Macron au Cameroun
18/07
Les Lionnes indomptables qualifiées pour les barrages de la Coupe du monde 2023
18/07
Mea Culpa: les camerounais accepteront-ils les excuses de Gaëlle Enganamouit
18/07
Lettre ouverte/Calixthe Beyala au président Macron: «venez-vous pour adouber un homme pour la transition au…
18/07
Emmanuel Macron au Cameroun, c’est confirmé
15/07
Le président de la République nomme de nouveaux responsables au sein de l'armée
15/07
Administration territoriale: le président de la République nomme 14 nouveaux préfets et 57 sous-préfets
15/07
CAN féminine 2022: les Lionnes indomptables éliminées en quart de finale
14/07
Diplomatie: le président Emmanuel Macron annoncé au Cameroun
14/07
Match Cameroun-Nigéria: 5 raisons pour croire à la qualification des Lionnes indomptables
Mfoungo

Mfoungo

Selon le Centre pour les droits  humains et la démocratie en Afrique, 177 villages subissent les affres de la guerre depuis octobre 2017.Les conflits opposant l’armée camerounaise à des groupes armés sécessionnistes se poursuivent dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, impactant la vie des villages des deux régions. Ce sont précisément 177 villages qui s’en retrouvent affectés, révèle le Centre pour les droits humains et la démocratie en Afrique (Chrda) fondé par l’avocat Agbor Balla, après sa sortie de prison. Il avait été incarcéré pour son implication dans les événements ayant favorisé les tensions dans les régions anglophones. « Depuis octobre 2017 après le premier raid militaire, 106 villages ont été attaqués, brûlés et les populations ont partiellement ou complètement déserté leurs villages. 65 villages dans le Sud-Ouest et 41 dans le Nord-Ouest ont été attaqués et brûlés. Sur les 65 villages touchés dans la région du Sud-Ouest, 45 sont gravement touchés, tandis que sur les 41 dans la région du Nord-Ouest, 25 sont gravement touchés», fait savoir le Chrda dans une note parvenue à Journalducameroun.com. Ce sont notamment : Muntengene, Muea, Kwa-Kwa, Mbalangui, Ekona, Nguti, Tombel, Kumba-town, Konye, Babenge, Babensi… Dans le Nord-Ouest l’organisation cite Kumbo, Batibo, Bafut, Ambo, Mbengwi, Fundeng, entre autres. Le Chrda attribue aux militaires camerounais la responsabilité des actions qui ont conduit à la destruction, le pillage, l’incendie des propriétés privées et, dans une large mesure, des villages. L’organisation demande qu’une enquête soit ouverte et que les responsables répondent de leurs actes. De nombreuses organisations non gouvernementales ont souvent accusé l’armée camerounaise de toutes sortes d’actes de violation des droits de l’Homme dans le cadre de la lutte contre les groupes armés acquis à la cause de la sécession. Face à cela, le gouvernement est resté constant en  rejetant en bloc toutes les allégations.
Le candidat du SDF aux élections 2018 a présenté le programme politique, économique et social de son parti à la presse ce mercredi 22 juin 2018 à Douala.Le candidat du Social Démocratique Front (SDF) demande à tous les camerounais de se rendre aux urnes le 07 octobre prochain, afin d’avoir «le Cameroun de leurs rêves». 2 heures d’échanges avec les médias se sont montrés insuffisantes pour démontrer toute l’efficacité de son programme. Si certains y adhèrent sans hésiter, d’autres le trouvent surréalistes. Il revient toutefois à chaque camerounais de se faire son propre jugement. «Voici en bref quelques-unes des 24 mesures pour alléger la vie des Camerounais au cas où il siégerait à Etoudi, les 7 prochaines années: – Fédération à 10 états – Salaire minimum à 160mille en 5 ans – Salaires des fonctionnaires doublés en 5 ans – Réforme foncière – Suppression des avances dans le payement des loyers – Mesures spéciales pour les fonctionnaires des zones rurales ou difficiles – Soins médicaux gratuits de la grossesse à 2 ans, frais d’accouchement inclus – Assurance santé pour tous – Bourses scolaires pour les enfants défavorisés – Éducation gratuite et obligatoire jusqu’au premier cycle – Intégration des comités de vigilance à l’extrême nord avec les forces de police – Élection à 2 tours avec mandant de 5 ans – Relocalisation de la capitale de la région du centre – Délocalisation de certaines administrations dans des zones où elles seront le plus utiles – Réduction du nombre de ministères à 20 – Service militaire obligatoire – Candidature du Cameroun pour co-organiser la coupe du monde de 2030 Le programme politique, économique et social du Candidat Joshua Osih, candidat du SDF à la présidentielle de 2018 de 46 pages au total est disponible sur le site www.osih2018.com
Le nombre requis pour combler le déficit d’enseignants dans les trois régions septentrionales du Cameroun avant la rentrée scolaire 2018/2019, dont le coup d’envoi est prévu le 3 septembre 2018, s’élève à 6000 enseignants.Ces statistiques publiées ce jour ressortent du dernier pointage des différentes délégations régionales du ministère des Enseignements secondaires (MINESEC) du septentrion que sont les régions de l’Adamaoua, de l’Extrême-Nord et du Nord. A moins de deux semaines des carillons de la rentrée, la situation est jugée « préoccupante » pour dans ces régions dont le déficit d’enseignants décrié ne concerne que les établissements scolaires secondaires publics. D’après les sources concordantes, en plus de ce déficit, « plusieurs enseignants affectés dans cette partie du pays n’honorent pas leurs engagements professionnels, car une foi la prise de service effectuée, ils disparaissent laissant des élèves à leur propre sort ». Une situation qui amène souvent des responsables d’établissements publics à s’appuyer sur les associations des parents d’élèves, obligés d’engager des enseignants « bénévoles » pour assurer les enseignements à leurs enfants. Des enseignants généralement « peu outillés et peu qualifiés » pour dispenser des enseignements. Conséquence, la « baisse de niveau » est inéluctable, d’autant que pour s’en sortir, les chefs d’établissements sont obligés d’amasser des élèves dans une salle de classe, provocant des effectifs pléthoriques. Sur la base du classement des meilleurs établissements scolaires dressé par l’Office du baccalauréat du Cameroun (OBC) et dont le principal critère est le taux de réussite aux examens, les régions de l’Adamaoua, de l’Extrême-nord et du Nord figurent généralement au bas du classement.
Autant le dire, l’incivisme dans la circulation urbaine a pris des proportions inquiétantes à Douala. Aux heures de pointe, la capitale économique s’apparente à un capharnaüm. Il était temps de siffler la fin de la récréation, selon les autorités  administratives en charge du transport dans la région du Littoral, et les forces du maintien de l’ordre en collaboration avec La Communauté urbaine de Douala (CUD).Aux grands maux, les grands remèdes. Face la cacophonie installée dans le secteur du transport routier à Douala, la Communauté urbaine de la capitale économique a décidé d’activer le levier de la lutte participative, avec les forces du maintien de l’ordre, la délégation régionale des transports pour le Littoral, les syndicats et les associations de sécurité routière. La CUD a mis en place une plateforme de lutte contre l’incivisme. La méthode choisie est celle des descentes inopinées sur le terrain. Selon Honoré Beasso, Commandant du groupement de la circulation routière n°2, les conducteurs de motos et automobilistes qui n’ont pas de pièces en règle et ne respectent pas le code la route sont tous de suite interpellés. Les deux roues et véhicules usagés sont envoyés en fourrière. D’après Arlette Alemoka, chef du département de la circulation et des transports urbains à la Communauté urbaine de Douala, les excès de vitesse et mauvais dépassements sont également «sévèrement sanctionnés». Car ces agissements conduisent à des bouchons énormes dans la capitale économique et très souvent à de graves accidents de la circulation, quelques fois mortels. Les premiers résultats de cette opération font état d’une centaine de motocyclettes saisies avec une soixantaine de véhicules, tous envoyés à la Fourrière municipale. Les propriétaires de ces motos et automobiles pourront les récupérer une fois qu’ils seront en règle. Sur le terrain, les membres de cette plate-forme de lutte contre l’incivisme procèdent aussi à la sensibilisation des usagers en règle et ceux ayant commis des délits mineurs. Cette opération qui se déroule dans la probité et qui se veut pérenne ambitionne d’améliorer qualitativement la circulation dans la ville de Douala par une implication totale des usagers. Une action coriace qui intervient avant la signature d’une convention avec les auto-écoles prévue dans un futur proche.
« L’Olympique de Marseille indique qu’à l’issue des dernières discussions tenues ce matin avec le Sporting Club du Portugal, les deux clubs ne sont pas parvenus à un accord plein et entier sur les termes contractuels relatifs au prêt du joueur, Clinton Njie ». C’est en ces termes que l’OM a annoncé que son attaquant camerounais ne signera pas au Portugal. Parti la veille pour s’engager avec le Sporting, l’ancien de Tottenham a été annoncé recalé à la visite médicale par de nombreux médias lusitaniens. Si le club français ne confirme ps cette information, il est clair que le transfert a capoté et Njie n’évoluera pas en Liga Sagres. Et à moins d’une offre de dernière minute, le joueur passé par Lyon restera sur la Canebière cette saison.
La député du RDPC à l’Assemblée Nationale a entamé une tournée parlementaire dans l’arrondissement de Sangmelima, le 22 août dernier, dans l’optique de garder le contact avec son sommier politique.Fidèle à son calendrier d’activités parlementaires, la député du Dja-et-Lobo I est retourné dans sa base politique pour édifier les camerounais de cette partie du pays sur les dernières actualités non seulement à la chambre basse du parlement, mais aussi et surtout au Cameroun. «Je trouve que c’est très important pour ces populations d’être bien informées sur les enjeux électoraux car personne ne doit les tromper. Paul Biya est notre choix à nous tous», précise l’élue du peuple. Dans son rôle d’interface entre l’hémicycle et le peuple, la député a réussi à renouveler le rapport avec son électorat à qui elle a apporté un supplément vital, du matériel agricole et phytosanitaires, des produits de première nécessité, des médicaments essentiels et surtout des certificats de conformité pour des Groupements d’initiative Communes en dehors de l’argent en espèce et des précieux conseils. «On ne saurait venir vers les gens qui vous sont importants les mains vides. On a besoin des citoyens patriotes, raison pour laquelle le volet conseil occupe une place primordiale dans nos descentes sur le terrain», a fait savoir Marie-Thérèse Essame. Cette communion parfaite qui a débuté par le canton Mepho a permis au député de toucher du doigt les réalités de la base du parti. Dans sa démarche de toujours rendre compte des activités menées au Parlement, l’honorable Marie-Thérèse Essam parle de son premier bail à l’Assemblée Nationale en termes de «mandat du développement rural», malgré les contingences. Raison pour laquelle son action est essentiellement tournée vers l’arrière-pays.
Vendredi 17 août, plusieurs candidats se sont démarqués par des plaidoiries qui frisaient des show humoristiques, lors de l’audience relative à l’examen des recours pré-électoraux par le Conseil constitutionnel.« La politique est un jeu, mais pas un jeu ludique ». Ce rappel à l’ordre de Me Atangana Amougou, l’avocat d’Elecam, semblait nécessaire face à la tournure qu’a pris l’examen des candidatures recalées le 17 août dernier au Conseil constitutionnel. Lors des plaidoiries, en effet, le public présent au Palais des congrès a entendu des lignes de défense particulières, parfois n’ayant rien à voir avec l’objet du rejet desdites candidatures. Il s’agit notamment de celle de Geneviève Zeh Amvene, candidate recalée par Elecam. L’unique femme ayant déposé sa candidature à l’élection présidentielle, après le retrait de celle d’Issa Habiba de l’Upc, est sans conteste l’une des personnes ayant marqué les esprits lors de l’audience du Conseil constitutionnel. Celle-ci a, en effet, plaidé pour la validation de sa candidature, en invoquant le fait qu’elle était envoyée « par le Seigneur ». « En ma qualité de messie tant attendue par les vies, j’ai l’honneur de vous demander de m’aider à gagner le monde (…) si vous déclarez la guerre à Dieu vous aurez des problèmes. C’est pourquoi je vous ai écrit avant, car c’est moi qui devait trancher et pas vous », a lu Lekene Donfack, rapporteur de son dossier. A la suite de la lecture du rapport, Geneviève Zeh Amvene s’est elle aussi exprimé, avec un argumentaire non moins étonnant. « Je ne suis pas venue poser ma candidature. Je suis venue vous prier de me laisser faire, de peur de souffrir éternellement. Je suis la première personne à avoir dit que je suis le sauveur de l’humanité. Si vous dites que je ne peux pas faire ce que j’ai à faire, vous allez faire comment ? », s’est interrogée Mme Zeh Amvene devant les membres du conseil, sous les rires étouffés du public. Clément Atangana remettra très vite les choses en ordre en déboutant la plaignante.
Vendredi dernier, les populations Mabi, Batanga et Yassa qui attendent depuis plus de 4 ans que l’État les indemnisent suite aux projets de construction du port de Kribi et l’autoroute Kribi-Lolabé ont érigé des barricades au niveau du pont de la Lobé qui mène au port de Kribi.
Ces populations réclament au gouvernement leurs indemnisations, tout comme, elles revendiquent des recrutements dans les multiples secteurs d’activités au port autonome de Kribi. Selon les manifestants, la source de leur colère est dans les déclarations d’un directeur dont la structure est un gros partenaire du port de Kribi. «Ce monsieur a déclaré dans un média que plus de 80% des jeunes de Kribi travaillent au port, et qu’en ce moment, une centaine se forme à l’étranger. Quant aux indemnisations, il dit qu’on nous a déjà tout payé. Ces déclarations sont totalement fausses», fait savoir un riverain. Les propos de ce directeur avaient été diffusés le 15 août 2018.Deux jours après, c’est-à-dire le vendredi 17 août 2018, les populations ont érigé des barricades sur le pont de la Lobé. Les employés au port ainsi que ceux de l’autoroute n’avaient plus accès à ces différents sites. C’est après cinq heures de négociations avec les autorités administratives, les dirigeants du port et le sénateur Grégoire Mba Mba que les barrières ont été levées. Selon Cameroon Tribune du mercredi 22 août 2018, depuis le 17 août dernier, des réunions se succèdent afin de trouver des solutions aux problèmes d’indemnisations et de recrutements des jeunes dans les structures de la localité. Le journal révèle que le dossier a trainé parce qu’il y a eu trop d’erreurs. «On aurait déjà indemnisé ces populations. Mais, certaines personnes ont fait des requêtes pour mauvaise évaluation de leurs biens, et d’autres, dénonçant des personnes inconnues sur les listes. Alors, on a repris le travail», indique une source à la préfecture de Kribi.
Une concertation régionale entre les acteurs du processus électoral a eu lieu à Ebolowa le 22 août 2018.Les membres du conseil électoral d’Elecam étaient dans la capitale régionale du Sud pour faire le bilan de leur tournée régionale. Cette ronde à travers les quatre départements de la région a donné l’occasion à la délégation régionale d’Elecam d’asseoir les stratégies de son déploiement sur le terrain en rapport avec la présidentielle 2018. Selon l’honorable Cécile Mbomba Nkolo, membre du conseil électoral d’Elecam pour le Sud, «la satisfaction est générale après ces deux semaines de périple dans le Sud profond. On a insisté sur le retrait des cartes d’électeurs, l’organisation des bureaux de vote qui doivent être accessibles à tous». Au total, sur toute l’étendue de la région du Sud, la délégation régionale d’Elecam aura à gérer 1.470 bureaux de vote pour un effectif total de 275.000 électeurs. Au 22 août 2018, le compteur d’Elecam marquait 271.162 cartes distribuées. Des performances qui augurent de lourdes responsabilités pour Elecam. «Actuellement, les chefs d’agences départementales et les chefs d’antennes communales travaillent sur le choix des présidents de bureaux de vote. Ils doivent également prendre attache dans l’urgence avec les responsables locaux des partis politiques en lice pour la désignation de leurs représentants dans les bureaux de vote et surtout pour la constitution des commissions locales de vote», précise l’honorable Cécile Mbomba Nkolo. Dans ces conditions, tout porte à croire que dans la région du Sud, l’organe en charge de l’organisation des élections est engagé dans la dernière ligne droite avant l’échéance décisive du 7 octobre prochain.
mercredi, 22 août 2018 17:14

Pas de transfers pour Clinton Njié ?

Deux quotidiens portugais, A Bola et Record, ont annoncé que le transfert de l’international camerounais Clinton Njié de l’Olympique de Marseille au Sporting de Lisbonne a avorté. Des « problèmes physiques » auraient été détectés lors de la visite médicale et seraient la principale cause de la rupture de l’accord entre l’Olympique de Marseille et les Lisboètes. Le joueur de Ligue 1 française de 25 ans serait reparti le soir même de la capitale lusophone pour rentrer en Provence.
Mais les versions divergent pour la suite de l’histoire. Selon Record, le Sporting a fait une croix sur le joueur et cherche déjà son remplaçant. On rappelle aussi que d’autres joueurs ont été recalés pour les mêmes soucis médicaux ces dernières années comme Kevin Prince Boateng ou encore Sandro. D’après A Bola, tout se décidera ce mardi puisque la totalité des résultats des examens médicaux ne seront disponibles que plus tard en après-midi.
Source : Camfoot






Sunday, 05 June 2022 11:01