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Mfoungo

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Ce sont les principaux résultats à l’issue des huitièmes de finale disputés ce week-end.
New stars de Douala, le tenant du titre a été battu par Eding sport de la Lekié. (1-2). L’aventure s’arrête-t-elle aussi à ce niveau pour le finaliste de la dernière édition. UMS de Loum a été éliminé par Panthère du Ndé (2-3). Le classico entre l’Union de Douala et le Canon de Yaoundé a tourné en faveur des Gamakai (3-1). Le TKC de Yaoundé s’est défait de Foudre d’Akonolinga (2-1). Voici l’ensemble des équipes qualifiées pour les quarts de finale : Vendredi 17/08/2018 1- Coton 2-0 Colombe Samedi 18/08/2018 2- Feutcheu 1-2 Lion blesséDimanche 19/08/2018 3- TKC 2-1 Foudre 4- Canon 1-3 Union5- Unisport 1-0 YOSA 6- Eding 2-1 New star 7- Renaissance 6-0 Fédéral du Noum 8- UMS 2-3 Panthère
En visite dans la région du Nord-Ouest, le ministre de l’Administration Territoriale affirme que l’ordre et la paix règneront pendant l’élection présidentielle.
Face à la crise anglophone, Paul Atanga Nji affiche son optimisme.  Le ministre de l’Administration Territoriale (MINAT) était ce dimanche en visite de travail à Bamenda, la capitale régionale du Nord-Ouest, l’une des deux régions anglophones en proie à une grave crise sociopolitique depuis environ 2 ans. L’occasion pour Atanga Nji, lui-même originaire de la région, de passer le message d’encouragement du Chef de l’Etat aux forces de défense et de sécurité ainsi qu’aux autorités administratives pour le combat sans relâche  mené contre les séparatistes. Et pour le ministre, les choses rentrent progressivement dans l’ordre. « Globalement, la situation est sous contrôle. La région est calme », a-t-il déclaré avant d’ajouter que « le Chef de l’Etat m’a chargé de transmettre aux autorités administratives et aux forces de défense ses encouragements et ses félicitations pour le bon travail qu’ils font ». La visite du MINAT à Bamenda intervient 50 jours avant la tenue de l’élection présidentielle. Un scrutin que plus d’un observateur voit menacé dans les régions anglophones. Atangana Nji en a profité pour rassurer que le vote aura lieu dans les dix régions.
Le candidat du Social democratic front (SDF) à l’élection présidentielle du 7 octobre 2018 pense que le fédéralisme est la solution incontournable au problème.
La présentation du quartier général du Social democratic  front (SDF) pour la prochaine élection présidentielle le 15 août 2018 a été l’occasion pour son candidat Joshua Osih de parler de la crise anglophone. L’opposant a critiqué l’option choisie par le gouvernement pour la résoudre. « La crise actuelle dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest est une crise politique. On ne peut pas résoudre une crise politique avec l’armée. On peut calmer la violence avec l’armée, mais on ne peut pas résoudre la crise. Vous ne pouvez pas tuer une idée. Vous pouvez tuer des hommes, mais pas les idées », a-t-il déclaré, estimant que ce qui provoque cette crise n’est ni à Bamenda, ni à Buea, mais à Etoudi, siège de la présidence de la République du Cameroun. Il a soutenu que la solution pour que les Camerounais résolvent cette crise sans « mendier la paix à quelqu’un qui ne veut pas la paix » c’est de « voter le 7 octobre et de mettre quelqu’un à Etoudi qui a la volonté de résoudre cette crise ». Joshua Osih pense qu’on ne peut pas en faire l’économie. Il dit que le 7 octobre  « les Camerounais ont la responsabilité d’élire quelqu’un qui comprend cette crise et qui a une solution qu’on ne cache pas, qu’on a depuis le 26 mai 1990 : le fédéralisme ». Selon lui, on n’en serait pas au niveau où l’on se trouve si on était passé de 2 à 10 Etats par exemple. Il regrette un développement local qui « ne suit pas ». Le député croit que seul un système fédéral peut mettre un terme aux revendications et faire émerger le Cameroun. « Vous ne pouvez pas continuer à gérer un pays de la même façon depuis 1958 et vous pensez que les réformes institutionnelles sont taboues. La forme de l’Etat aujourd’hui, le système en place a été mis en place par les colons. Et donc pour se décoloniser il faut nécessairement avoir le courage de sortir de ce système et de remettre le pouvoir au peuple. Et le pouvoir au peuple. ça veut dire le fédéralisme. ça veut dire que les populations elles-mêmes se gèrent, gèrent leur développement et que la nation et les pays les plus forts, les plus unis dans le monde entier économiquement, militairement, socialement, ce sont des pays avec des systèmes de gouvernance fédérale en Afrique ou dans le monde », tente de convaincre Joshua Osih.
Le Directeur Général de l’Autorité Aéronautique précise dans sa note que les travaux seront structurés en deux phases. Le financement desdits travaux se fera sur la base des ressources mises à la disposition du Cameroun par la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement.
Le journal Défis Actuels du 16 août au 19 août 2018 nous renseigne sur une note signée par le Directeur Général (DG) de l’Autorité Aéronautique pour la sécurisation des aéroports du Cameroun. Ladite note est en fait un avis de sollicitation des manifestations d’intérêt, qui indique le cahier de charges que devra respecter l’entreprise adjudicataire de ce marché. Il s’agit de «réaliser l’étude, le contrôle et la surveillance de la fourniture, l’installation et la mise en service d’un système de vidéo surveillance et d’éclairage des aires de mouvement et de la clôture dans les aéroports internationaux de Yaoundé, Douala, Garoua et Maroua Salak». Pour ce qui est des travaux structurés en deux phases, dans un premier temps, ils vont porter sur la mission d’études. Il va s’agir de faire l’état des lieux, d’identifier les faiblesses en termes de sureté, d’analyser et de proposer des solutions techniques. Pour être un peu plus précis, le prestataire va s’atteler à la surveillance de toutes les zones de manœuvre des aéronefs et des voies y donnant accès, de veiller à la surveillance complète de la piste ainsi que de la clôture de sureté de l’aéroport. Sur ce dernier aspect précisément, le prestataire devra s’atteler à ce que l’éclairage de la clôture puisse permettre d’optimiser la prise de vue nocturne des caméras de surveillance. Il s’agira également de la surveillance de tous les espaces à accès réglementés de l’aérogare passager côté ville et côté piste, et des abords de l’aérogare passager côté ville avec des possibilités de prise de vue du parking payant public. Dans un deuxième temps, les travaux vont porter sur le contrôle et la surveillance. La note du DG de l’Autorité aéronautique indique qu’ici, la mission va débuter par la notification du marché à l’entreprise chargée de la fourniture et de l’installation des équipements. La mission consistera aussi à assister l’ingénieur du marché et le maître d’ouvrage en ce qui concerne: «la validation de la qualité du matériel et sa conformité par rapport aux spécifications techniques du marché et à l’offre de l’entreprise, le contrôle de l’effectivité et la qualité des travaux, etc». Source : ActuCameroun
Paul Georges Ntep, qui a fait toutes ses classes dans les sélections de jeunes de l’équipe de France, devrait rejoindre le groupe. Il a passé une partie de ses vacances sur sa terre natale, et cela a certainement ravivé en lui des souvenirs de jeunesse. Adrien Tamèze et Jérôme Onguené vont eux aussi fêter leur première sélection en Lions. Ils ont eu des parcours identiques en équipe de jeune de France.
L’histoire de Paul Georges Ntep est connue. Lorsqu’il est en santé, il peut être un élément dangereux à surveiller de près. Sa vitesse d’exécution, et sa vitesse balle au pied en font un ailier moderne. Même s’il a un caractère des plus bouillants, son apport en sélection peut être des plus apprécié.Jérôme Onguéné, 20 ans, est le plus jeune des trois. Sociétaire de Red Bulls Salzburg, il a la chance d’avoir un rôle en défense centrale puisque le club a vendu Caletta-Carr à l’Olympique de Marseille. Il a des capacités indéniables qu’il peut mettre au service du collectif, mais il lui faudra emmagasiner de l’expérience.Adrien Tamèze, 23 ans, s’est installé en milieu défensif de l’OGC Nice. Avec le départ de l’ivoirien Seri, il aura un rôle prépondérant à jouer.
Source : Camfoot
Le sélectionneur des Lions Indomptables, Clarence Seedorf a dévoilé ce lundi la liste des joueurs sélectionnés pour le stage préparatoire du match Comores vs Cameroun comptant pour la deuxième journée des éliminatoires de la CAN 2019. C’était lors d’une conférence de presse au siège de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) à Yaoundé.
Le nouveau sélectionneur des Lions Indomptables, Clarence Seedorf, et son adjoint Patrick Kluivert, ont dévoilé la liste des joueurs retenus pour le stage préparatoire du match Comores vs Cameroun lors d’une conférence de presse le 20 août 2018, à Yaoundé (c) Droits Réservés
GARDIENSDEFENSEURSMILIEUX DE TERRAINATTAQUANTS
Le président camerounais Paul Biya est “le seul responsable” du conflit dans les régions anglophones de son pays, a affirmé dans un entretien à l’AFP Joshua Osih, candidat du principal parti d’opposition à la présidentielle d’octobre.Les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, dont Joshua Osih est originaire, sont en proie depuis fin 2016 à une crise politique qui a dégénéré fin 2017 en un conflit entre forces armées et séparatistes anglophones. Il a fait des dizaines de morts, dont au moins 80 soldats et policiers, et a contraint environ 200.000 personnes à fuir de chez elles. L’ombre de ce conflit plane sur l’organisation en zone anglophone de l’élection présidentielle du 7 octobre à laquelle M. Osih et sept autres candidats affronteront Paul Biya, 85 ans, qui se représente après 35 ans au pouvoir. C’est la première fois qu’il se présente à ce scrutin pour le Social democratic front (SDF, principal parti d’opposition) qui était jusqu’alors représenté par John Fru Ndi, son leader historique. “Si le président de la République, commandant en chef des forces armées, envoie ses troupes tirer sur des Camerounais, c’est lui le seul responsable”, a déclaré M. Osih, rencontré à Douala (Ouest) au siège de campagne du SDF. Contrairement à d’autres candidats, il se dit “contre” une enquête sur les accusations d’exactions qui auraient été commises par l’armée dans les régions anglophones, car, estime-t-il, “il y a une responsabilité politique qui est de loin supérieure à la responsabilité de simples militaires”. – Biya “ne comprend rien” – “On ne peut pas déplacer le problème sur des individus sur le terrain alors que tout le corps (de l’armée) n’avait rien à faire là”, affirme le candidat du SDF. “Je ne veux pas que, parce que le chef des armées a envoyé l’armée faire une guerre qui n’est pas la sienne, on discrédite toute cette armée”. “La responsabilité de la violence dans la crise dite anglophone, c’est M. Biya”, martèle Joshua Osih, député et homme d’affaires métis de 49 ans parfaitement bilingue. “On a un président qui ne comprend rien à ce qui se passe au Cameroun, qui passe le plus clair de son temps à l’étranger et qui pense qu’envoyer l’armée (…) peut régler ce problème”, ajoute-t-il. Or, “il ne le peut pas”, car “on peut tuer les hommes, mais on ne peut pas tuer les idées”. Selon lui, “on est entré en guerre civile parce qu’on a un gouvernement qui est absent, on n’a pas de leadership, pas de président de la République: la nature a horreur du vide et donc ça s’est embrasé très rapidement et la spirale de la violence a pris le dessus”. Il note que “si on avait un leadership politique, le président de la République aurait au moins fait le déplacement dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest pour essayer de toucher du doigt les réalités locales et regarder comment apporter un début de solution”. “La seule sortie qu’il a eue, c’était celle de déclarer la guerre contre son propre peuple” ajoute-t-il, affirmant que “l’économie de la guerre profite à certains (au sein de l’armée et du régime, ndlr) et c’est ce qui fait que nous restons dans cette spirale de violence”. – Retour au fédéralisme – Paul Biya “croit pouvoir résoudre ce problème de façon militaire” et “ça veut dire qu’il reconnaît que soit il ne gouverne pas véritablement ce pays, soit il ne comprend pas encore que c’est un problème politique auquel il faut apporter des réponses politiques”. “La réforme institutionnelle majeure nécessaire pour apporter un début de solution à cette crise, c’est le fédéralisme”, affirme l’opposant. Cette forme d’organisation de l’Etat qui a existé de 1961 à 1972 au Cameroun, devenu depuis un Etat unitaire, est aujourd’hui fermement rejetée par le pouvoir central. Joshua Osih affirme qu’il existe dans son pays “une communauté linguistique qui a un contentieux historique réel et qui s’estime marginalisée à juste titre”. Les anglophones représentent 20% de la population du Cameroun, qui après avoir été sous domination allemande, a été colonisé par le Royaume-Uni et la France jusqu’à son indépendance en 1960 pour sa majorité francophone et en 1961 pour sa minorité anglophone. “Je crois qu’il n’y a aucun Camerounais qui ne soit pas d’accord avec les revendications politiques posées par le problème de marginalisation”, estime Joshua Osih, mais les anglophones “ont eu le courage de poser le problème sur la table”. Il juge la crise anglophone “très importante” et, selon lui, “les Camerounais attendent des réponses claires, simples et audacieuses pour en sortir”.
A quelques heures de la célébration de la fête de la Tabaski, la disponibilité du bétail reste le casse-tête majeur de la communauté musulmane de la ville d’Ebolowa, dans le Sud Cameroun.Bien malin le fidèle musulman de la ville d’Ebolowa qui peut avec autorité vous affirmer que le mouton sera au rendez-vous des agapes à l’occasion de la fête du mouton qui se célèbre demain, 21 août 2018. Si le reste des préparatifs se déroule sans anicroches, le rituel du sacrifice avec le mouton à immoler reste hypothétique. Pour Alassane, un musulman rencontré à Ebolowa, la situation est préoccupante: «cette situation m’a obligé à me référer à un collègue originaire d’un village environnant. Grâce à lui, j’ai pu m’acheter un mouton à 80.000 FCFA». A Ebolowa, la difficulté à s’offrir un mouton conforme aux exigences de l’islam trouve ses origines dans l’absence d’un espace marchand aménagé pour la cause. Selon Ali Hassan, un fidèle musulman, «si nous n’avons pas d’abord à Ebolowa un parc à bœufs, vous pouvez comprendre aisément que le parc à moutons n’est pas une priorité pour les autorités locales.  C’est dommage». Des commerçants rencontrés au quartier Haoussa à Ebolowa expliquent que cette situation est davantage entretenue à cause des difficultés d’acheminement des moutons des grands sites d’élevage vers le Sud du pays, notamment vers Ebolowa. «Vous connaissez bien la situation sécuritaire dans le grand nord», réplique Moussa. Des contraintes qui ont pour corollaires la disponibilité et les prix du bétail sur le marché de la capitale régionale du Sud. Un état des choses décrié les musulmans. «Ici à Ebolowa, quand même vous tombez sur un mouton en vente, le prix n’est pas à la portée de tous. Le plus petit mouton vous est vendu à 50.000 FCFA», se plaint Ibrahima. La fête du sacrifice, fête par excellence du partage dans la religion musulmane, se célèbrera donc à Ebolowa avec ou sans le mouton au menu, la Tabaski faisant partie des cinq piliers de l’islam.
C’est depuis le 15 août 2018 que le président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) et candidat à l’élection présidentielle 2018 parcourt les départements de la région de l’Ouest. Hier Maurice Kamto a organisé un grand meeting à la Place des fêtes de Mbouda. https://www.facebook.com/jeanbonheur.tchouafa/videos/2154991617845333/?t=0  
Le président Biya fait partie des leaders qui n’oublieront pas l’ancien secrétaire général de l’Onu, dont l’implication dans la résolution pacifique du conflit de Bakassi a permis d’éviter une guerre entre le Nigeria et le Cameroun. Paul Biya s’en est souvenu lors de l’hommage au diplomate ghanéen, « la disparition de Kofi Annan plonge l’Afrique dans la tristesse. Je garde de lui, le souvenir d’un homme de paix, qui aura apporté sa contribution précieuse, à la volonté commune du Nigeria et du Cameroun, de régler pacifiquement leur différend frontalier », écrit le président camerounais. La reconnaissance de la souveraineté du Cameroun sur la presqu’ile de Bakassi par un arrêt de la Cour international de Justice (CIJ) du 10 octobre 2002, au bout de plusieurs plaidoiries a toujours été perçue du côté de Yaoundé comme une grande victoire diplomatique du président Biya. C’est sous l’égide de Kofi Annan Secrétaire général des Nations Unies, en septembre 2002 à Paris, que les Présidents Obasanjo du Nigéria et Biya du Cameroun, s’engagent à respecter la décision de la Cour Internationale de Justice. Bien que débouté en 2002, c’est en 2006 que le Nigeria accepte la rétrocession de la presqu’il camerounaise. Le 14 Août 2008, le Nigéria rétrocède totalement la presqu’île de Bakassi au Cameroun, après un conflit frontalier de plus de 15 ans.Lettre de condoléances de Paul Biya au Président de la République du Ghana, S.E. Nana Akufo-Addo, suite au décès de M. Kofi Annan, ancien Secrétaire Général de l’ONU et Prix Nobel de la Paix.






Sunday, 05 June 2022 11:01