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Mfoungo

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Six chantiers prioritaires pour 24 mesures, le candidat Joshua Osih a lancé depuis le 22 août son programme campagne, avec de nombreuses mesures qu’il veut révolutionnaires.« 24 millions de rêves! ». C’est le slogan dévoilé par le candidat Joshua Osih le 22 août dernier, lors de la présentation de son programme de campagne, devant des dizaines de journalistes. Au menu de ce document de 74 pages, on note que le député du Wouri reprend la ligne historique de son parti le SDF, tout en y mettant du sien. Celà s’observe notamment sur le point du fédéralisme où Joshua penche pour 10 Etats fédérés plutôt que de 2, tel que prôné par le chairman Ni John Fru Ndi. L’objectif du candidat Joshua Osih est « de redonner aux camerounaises et aux camerounais, la fierté d’être citoyen de ce pays« , mais pour celà, il faut que les concernés acceptent ses différentes propositions. Pour y parvenir, Johua entend effectuer une tournée nationale dans les prochains jours, en vue de rallier le maximum de personnes à sa cause.
L’homme de Dieu est accusé d’avoir détruit certaines tombes pour y faire bâtir un nouvel établissement scolaire qui doit ouvrir ses portes à la rentrée scolaire prochaine. Une situation qui crée un tollé dans la ville de Kribi.Des tombes enterrées sous de mottes de terre et des accusations d’enterrement de plusieurs tombes. C’est la polémique que suscite cette situation dont le prélat serait l’auteur, au cimetière catholique de Talla. Cette situation qui indigne les populations n’est que la résultante de la construction du collège Pierre Monti dans la ville de Kribi, sur les cendres de l’ancien collège d’enseignement technique et moderne (Cetm) fermé cette année pour la cause. Selon certaines supputations, la fondation du côté gauche du bâtiment aurait été construite sur certaines tombes du cimetière qui jouxte ce nouvel établissement secondaire. Selon certaines indiscrétions, c’est quatre à cinq tombes qui ont été remblées par les maçons pour y bâtir la fondation du bâtiment R+2. Sur le site du chantier, c’est de l’omerta : Silence de cimetière. Chacun craignant certainement la malédiction de l’évêque du diocèse de Kribi, Mgr Damase Zinga Atangana, initiateur de ce projet de construction d’un collège de référence dans la ville balnéaire. Pour les populations, c’est l’horreur.Phobie« Même si c’est gratuit, mon enfant ne peut pas fréquenter un établissement qui est construit sur des tombes. Jamais. Ça c’est de la sorcellerie », estime Rachelle Mpelle, une riveraine qui fait un grand signe de croix, comme pour conjurer le mauvais sort. « Ça c’est de la haute magie et c’est une tradition typiquement catholique. Vous remarquerez souvent que leur église, ou cathédrale et d’autres structures sont construites à côté des cimetières. On dirait que ce sont des morts qui donnent du rayonnement à leurs structures », estime Jacques M, un habitant du coin. La phobie naturelle des morts et des cimetières vient en rajouter à cette situation qui défraie la chronique dans la ville de Kribi. Dans les chaumières, c’est devenu le sujet principal. Malgré cette phobie collective, certaines populations sont plutôt ravies de la construction de ce bâtiment. « Il le fallait. Le collège Pierre Monti est une référence en matière d’enseignement et Kribi n’en avait pas. Tout ce qui se raconte n’est que pure invention de certaines personnes », lance M. Eric Tankou, un habitant de Kribi.Un sacrifice bien blâmableHormis ce fait, il est reproché à l’évêque du diocèse de Kribi d’avoir ‘’tué’’ le Cetm de Kribi qui cède totalement ses bâtiments à Pierre Monti, hormis le nouveau bâtiment qui est entièrement construit. Il aurait cédé après des accords d’investissement de trois cents millions (300.000.000) de francs CFA avec la Congrégation des fils de l’Immaculée Conception, propriétaire du label Pierre Monti et St Benoit dans l’enseignement au Cameroun. Un véritable bras de fer s’est engagé entre les anciens du collège et l’évêque du diocèse de Kribi. « Je ne sais pas pourquoi le père évêque n’a vu que le site du Cetm pour venir mettre son projet. C’est vraiment dommage. Nous l’avons supplié, mais il n’a voulu rien entendre. Il nous a demandé d’aller construire au stade, si nous ne voulions pas que le collège disparaisse. C’était plutôt à eux d’aller construire au stade. Et non venir réhabiliter de vieux bâtiments. C’est eux qui ont de l’argent. Décidément quand on dit que l’argent c’est le diable, c’est très vrai », déclare, amer et courroucé, un ancien du Cetm il y a de cela plus de quarante (40) ans aujourd’hui. « Le Cetm faisait partie du patrimoine de la ville de Kribi, même s’il appartenait au diocèse de Kribi. On pouvait juste le réhabiliter ! Sacrifier les mémoires d’une ville au nom de l’argent c’est vraiment irresponsable et mesquin », estime un autre ancien du Cetm de Kribi. Pour les populations, la disparition du Cetm, ajoutée à cela la supposée construction du bâtiment de l’établissement sur les macchabées est de trop, mais pas pour l’Eglise catholique. « Pour commencer, le bâtiment là n’est pas construit sur les tombes. On n’a détruit aucune tombe, et même si on l’a fait ce serait pour une très bonne cause qui est l’érection d’une école de référence dans la ville de Kribi. Il n’y a pas de magie là-dessus. Vous savez sur quoi vos maisons sont bâties ? Kribi n’avait pas un établissement digne de ce nom, et la ville s’agrandit avec de gens nanties qui viennent de plus en plus s’installer ici. Et on a remarqué qu’après sa classe à l’école primaire et maternelle Sainte-Marie des anges, l’enfant était obligé d’aller à Douala ou à Yaoundé pour pouvoir avoir un enseignement de qualité. Le collège Pierre Monti est connu pour la qualité de son enseignement », explique un très proche collaborateur de l’évêque du diocèse de Kribi.PolémiqueEt de poursuivre, « le collège Cetm croulait sous de millions de dettes. Le diocèse ne pouvait plus faire face à cela. La Congrégation des Fils de l’Immaculée conception a proposé à l’évêque de Kribi une offre qu’il ne pouvait pas refuser. Eponger les dettes et investir dans la construction d’un nouveau bâtiment et réhabiliter les anciens. L’ouverture sur le Cameroun. Cela se chiffre à près de 600 millions FCFA qui seront investis pour un enseignement de qualité. Ce n’est pas l’évêque qui gère, c’est le Secrétariat à l’éducation (seduc), et les quotes-parts seront juste reversées. Les enseignants du Cetm sont même déjà reversés pour Pierre Monti avec leurs arriérés de salaires totalement épongés ». Dans la ville, la polémique continue, mais l’église catholique à travers le diocèse de Kribi est déterminée à faire de ce collège une référence dans la sous-région, pouvant rivaliser avec les plus grands collèges tels que Libermann, Alfred Saker, le collège Vogt, De la Salle ou même le collège la Conquête. La Congrégation des Fils de l’Immaculée conception est une congrégation catholique à vœux simples, hospitalière et enseignante, fondée le 8 septembre 1857 par Luigi Maria Monti et Cipriano Pezzini, avec l’ouverture d’un hôpital à Rome sous le vocable du Saint-Esprit. De droit pontifical depuis le 10 mai 1865, elle est composée de frères et de prêtres. Au début du XXe siècle elle ouvrit des maisons en Autriche, Pologne, Amérique du sud. En 2001, elle comptait 49 maisons pour 290 religieux.
Fabrice Ondoa semble prendre un grand plaisir dans les buts du KV Oostende. Le gardien international camerounais a inscrit une deuxième victoire à son second match de suite avec sa nouvelle équipe. Même si le match était mal embarqué après avoir encaissé à la 27eminute, les coéquipiers de Ondoa vont rapidement retablir la marque huit minutes plus tard avant de prendre Lelarge avec deux autres buts en seconde période.
W. Faes à la 35e minute, K. Vandendriessche, 62e et F. Sakala, 88e ont inscrit les buts des locaux.
Source : Camfoot
C’est la déclaration forte du candidat du SDF au sortir de la réunion extraordinaire du Comité Exécutif National du 23 août 2018.
Joshua Osih est confiant. Le candidat du Social Democratic Front croit en sa victoire au scrutin présidentiel du 7 octobre 2018. Le député a affiché son optimisme jeudi au sortir de la réunion du Comité Exécutif National (NEC), tenue à Yaoundé. « Nous sommes prêts à gouverner ce pays à partir du 8 octobre… nous sommes confiants, non seulement le SDF ira aux élections, mais le SDF gagnera ces élections », a affirmé l’homme politique de 49 ans. Pour l’heure, les résolutions du NEC qu’a présidé le chairman Ni John Fru Ndi, restent attendues. Joshua Osih en a surtout profité pour lancer des attaques contre le Président sortant, Paul Biya, 85 ans dont bientôt 36 passés au pouvoir. « Je souhaite signaler ici que les souffrances des Camerounais ne peuvent être quantifiées. Cette élection est un mémorandum pour la libération du peuple camerounais ; j’ai été à Kousseri jusqu’à Yokadouma. Les populations que j’ai rencontrées souhaitent mettre un terme à ces souffrances », a soutenu celui qui est aussi vice-président du SDF. L’opposant affirme que « quand M. Biya a pris le pouvoir, la plupart de ces populations n’étaient pas nées. Depuis lors, nous n’avons plus de paix, d’emplois. Ces gens m’envoient mettre un terme à cela », a-t-il ajouté. Joshua Osih s’est dit confiant de gagner malgré un environnement qu’il dit favorable au pouvoir en place. « Nous apprenons qu’ELECAM (organe en charge des élections), avec la complicité du Premier Ministre et certains responsables militaires, veulent changer la loi. Mais nous attendons que le gouvernement convoque l’Assemblée Nationale. Mais si l’Assemblée Nationale n’est pas convoquée pour changer le Code électoral, nous irons à cette élection et nous la gagnerons », a-t-il lancé.
C’est le vœu émis il y a quelques jours par les gardiens de la tradition dans la région du soleil-levant.
Dans quelle ville Paul Biya va-t-il lancer sa campagne électorale pour le prochain scrutin présidentiel ? Les militants de son parti, le RDPC, attendent la réponse avec impatience. En 2011, le Chef de l’Etat avait choisi Maroua, la capitale régionale de l’Extrême-Nord, pour effectuer sa première sortie officielle du candidat en campagne qu’il était. Cette année, le début de la campagne électorale est fixé au 24 septembre 2018. A juste un mois, c’est encore le mystère sur le programme de campagne électoral du président sortant. En tout cas, les chefs traditionnels de la région de l’Est lui demandent de le faire  dans leur région. C’est le vœu émis au cours d’un meeting du RDPC le 18 août 2018 dans la ville de Bertoua justement. « Nous invitons notre candidat Paul Biya, à venir lancer sa campagne électorale à l’Est, dans le département du Lom et Djerem et plus précisément dans l’arrondissement de Manjou », a déclaré le chef Kassala du 2e degré de Manjou, par ailleurs président de la section RDPC du Lom et Djerem. Cette invitation a été appuyée par sa majesté Aiba Ngari, chef de canton Gbaya. « Tous les chefs traditionnels du département du Lom et Djerem ainsi que leurs populations vont voter Paul Biya le 7 octobre 2018, à l’occasion de la prochaine élection présidentielle », a déclaré l’autorité traditionnelle. Reste maintenant à savoir si Paul Biya, actuellement en séjour privé en Europe, va répondre favorablement à cette demande.
A dix jours de la rentrée, librairies et points de vente sont peu achalandés au grand dam des parents qui s’impatientent.
La pénurie de manuels scolaires se fait ressentir sur le marché à la veille de la rentrée scolaire le 3 septembre 2018. A Douala, les parents ne savent plus où dénicher le précieux sésame. « Aucun livre trouvé depuis deux semaines », se plaint désespérément Francis, rencontré au lieu dit « Douala Bar » haut lieu de vente des matériels scolaires à Douala. Pour ce parent de six enfants, c’est la « galère » ! Rencontrée un peu plus loin au Carrefour Ndokoti, toujours dans la cité économique, Rachelle exprime le même désarroi. A la recherche de six manuels pour ses deux gosses admis respectivement en 6ème et en 5ème, elle n’en a trouvé que deux au bout de plusieurs recherches. C’est qu’à l’approche de la rentrée, la pénurie des manuels scolaires au programme est criarde à Douala. Ce serait le cas dans tout le pays selon des sources. Pour l’instant, les libraires vendent les manuels disponibles en attendant leur totalité. Pourtant le gouvernement avait assuré de la disponibilité du manuel scolaire avant la rentrée. Face à la persistance de la pénurie, le ministre des Finances (MINFI), Louis Paul Motaze avait commis un communiqué la semaine dernière pour demander aux principaux secteurs de la douane du pays « d’ouvrir exceptionnellement», et ce, depuis le 18 août 2018, les jours éventuellement déclarés fériés du mois d’août en cours  en vue de permettre aux importateurs de manuels scolaires de procéder aux opérations de dédouanement de ces ouvrages. Mais presqu’une semaine après le communiqué du MINFI, les manuels restent toujours indisponibles dans leur globalité. Il y a quelques semaines, le Conseil national d’agrément des manuels scolaires et des matériels didactiques (Cnamsmd) avait annoncé que les 1428 ouvrages proposés par 103 éditeurs, dans les deux sous-systèmes éducatifs anglophone et francophone, de la maternelle au secondaire, seraient disponibles dans les délais. Son secrétaire permanent a assuré que tous les livres seront disponibles dès le 27 août 2018. Président national du Syndicat des libraires et papetiers du Cameroun (Synalipac), Apollinaire Ngassa explique l’indisponibilité du livre par le retard pris pour l’homologation des ouvrages au programme, qui selon la règlementation doit intervenir «au plus tard cinq mois avant la rentrée scolaire». Or, pour cette année, regrette-t-il, ce n’est que le 13 juin que la liste des manuels pour l’année à venir a été homologuée, un délai jugé court pour permettre aux éditeurs, dont beaucoup sont à l’étranger, de confectionner les ouvrages homologués, de les faire embraquer, de les dédouaner, de les décharger avant leur mise sur le marché. La rentrée 2018-2019 consacrera la réforme du secteur du manuel scolaire au Cameroun, prescrite par la Banque mondiale et qui verra la réintroduction du livre unique dans les programmes en lieu et place d’une pléthore d’ouvrages, souvent pour une même discipline et à des coûts inabordables pour les couches défavorisées.
Le club de Ligue 1 de France, l’Olympique de Marseille, a finalement mis à pied l’international camerounais Henri Bedimo. Et cette manière brutale de terminer l’aventure était importante pour le club de la Provence. Pourtant, c’est à cause de ce genre de rupture cavalière qu’aucun joueur de renom ne veut plus jouer à Marseille. Depuis deux ans, les seuls joueurs qu’ils ont réussi à faire venir en club sont de vieux joueurs, dont Adil Rami, Dimitri Payet et Steve Mandanda qui n’ont pas su s’imposer en Angleterre.
On aprlait encore cette semaine de l’échec du recrutement de Balotelli, ou encore de l’échec du prêt payant de Clinton Njié au Sporting de Lisbonne. Tous ces échecs tireraient leur sédiment dans la manière avec laquelle ce club qui fut jadis grand, traite ses joueurs. Henri Bedimo ne va pas se laisser abrutir, et va porter l’affaire devant les Prud’hommes, comme le déclare le journal L’Équipe : « LOM me reproche d’avoir créé une académie à but social et éducatif au Cameroun avec Montpellier, un autre club que l’OM, explique le latéral gauche. Mais cela remonte plusieurs années en arrière ! J’ai commencé à négocier ce partenariat avec le MHSC en 2012, quand je jouais là-bas ».« Ils salissent mon image et ça, je ne peux l’accepter [...] Le motif est fallacieux et abusif. Je suis persuadé que le club a cherché par tous les moyens à résilier mon contrat sans que cela ne lui coûte rien »L’OM a répondu : « On a été totalement abasourdis par cette affaire, car le club n’a jamais été averti de cette initiative… Pour nous, il est donc totalement justifié d’interrompre le contrat de travail du joueur en question ».
L’international défenseur camerounais a porté l’affaire devant le tribunal des prud’hommes pour contester son licenciement.
Viré de l’Olympique de Marseille (OM) ce 24 aout 2018, Henri Bedimo dénonce les pratiques de ce club et compte bien poursuivre le club phocéen aux prud’hommes. Sur les colonnes du journal L’Equipe, le footballeur camerounais dit tout son dégoût pour l’OM. « Cela remonte à plusieurs années en arrière ! Je suis devenu parrain de cette académie en 2007 et j’ai commencé à négocier un partenariat avec Montpellier en 2012, quand j’étais joueur là- bas. Je n’ai signé à l’OM qu’à l’été 2016… On me reproche donc de mener un projet dans mon pays natal pour aider les jeunes Camerounais à avoir une vie meilleure à travers l’école et le sport ? Le motif est fallacieux et abusif. Je suis persuadé que le club a cherché par tous les moyens à résilier mon contrat sans que cela lui coûte rien. » Alors que son contrat avec l’OM court jusqu’en 2019, Bedimo s’étonne de ce divorce précoce avec son club français. « Les mots ne sont pas assez forts. Ils me considèrent comme un vulgaire tricheur. J’ai pourtant toujours eu un comportement irréprochable. En termes d’investissement, le staff ne m’a jamais rien reproché. Je n’ai jamais eu le moindre problème dans tous les clubs où je suis passé. Là, ils salissent mon image et ça, je ne peux pas l’accepter », confie-t-il à L’Equipe. L’OM se défend en disant que « le club n’a jamais été averti de cette initiative » de Bedimo. « On a découvert dans les médias qu’un de nos joueurs, qui a une obligation de loyauté et d’exclusivité, venait de créer un centre de formation au Cameroun avec un club concurrent. Pour nous, il est donc totalement justifié d’interrompre le contrat de travail du joueur en question. Nous sommes très sereins sur la suite de la procédure ». Accusé d’avoir ouvert une académie dans sa ville natale, Douala, avec le partenariat de Montpellier (jugé comme un club concurrent), c’est en juillet dernier que l’OM avait engagé une procédure de licenciement à son encontre.
Source : Camfoot

Originaire du Rwanda et de nationalité américaine, le nouveau représentant-résident du Fonds monétaire international (FMI) au Cameroun remplace à ce poste le congolais (RDC) Kadima Kalonji, qui rejoint le siège de l’institution à Washington aux Etats-Unis.

Le Cameroun n’est pas tout à fait un terrain inconnu pour Fabien Nsengiyumva, puisqu’il y a séjourné entre 2010 et 2012 comme économiste principal. Six ans après, c’est en qualité de responsable de l’institution financière au Cameroun qu’il va désormais exercer. Le nouveau promu dispose de tous les atouts nécessaires, lui qui traite des questions économiques depuis quatre décennies. Fabien Nsengiyumva arrive surtout à la tête de la représentation du FMI au Cameroun au moment où cette institution financière internationale y conduit un programme économique et financier triennal (2017-2019), assorti d’une Facilité élargie de crédit(FEC) d’un montant de près de 400 milliards de FCFA. Le nouveau Représentant résident du FMI  au Cameroun a été reçu en audience le 12 juin dernier par le ministre des Finances (Minfi), Louis Paul Motaze, pour une visite de courtoisie, avant sa prise de fonction effective. Les échanges selon Fabien Nsengiyumva, ont porté sur des questions liées aux missions qui lui sont assignées. Une mission qui porte  sur le  suivi du Programme de l’institution au Cameroun, au maintien de bonnes relations que le pays entretient avec le Fonds monétaire. Cette visite intervenait à la suite de la mission effectuée par une délégation du FMI au Cameroun du 27 avril au 14 mai 2018. Ladite mission avait mené des entretiens avec les autorités gouvernementales qui ont abouti à la conclusion d’un accord en ce qui concerne les mesures de politique économique et financière,  qui pourraient conduire à l’approbation de la deuxième revue du Programme triennal au titre de Facilité élargie de crédit.
Ce matin, le Bataillon d'Intervention Rapide (B.I.R.) a donné l'assaut sur un camp de terroristes sécessionnistes connus des autorités comme des preneurs d'otages dans la région de Adamawa. Le bilan de l'assaut : 3 preneurs d'otages ont été neutralisés 2 fusils d'assaut ont été récupérés (1 AK47  et 1 Galil) 9 chargeurs de munitions Une centaine de munitions Divers objets de campement  
Le chef du Parti S.D.F. et candidat à la présidentielle, Joshua Osih a indiqué le 23 août 2018 avoir été convié par l’ambassade de France à Yaoundé à une réunion privée. L’objet de la rencontre reste jusqu’ici inconnu. Cette rencontre avec S. E. Gilles Thibault est-elle de l'ingérence dans les affaires intérieures camerounaises ?Serait-il le chouchou de la France pour cette présidentielle de 2018? La France a-t-elle transmise à M. Osih des informations ou des fonds, dans le but de l'aider à conquérir les suffrages ? L’Agence Cameroun Presse enquête sur cette affaire et transmettra plus d’informations dans les meilleurs délais.






Sunday, 05 June 2022 11:01