Pied gauche fracturé, des dents cassées, des blessures à la tête et au poignet. C’est dans cet état que l’artiste Petit Pays a été admis cette nuit du jeudi 27 au vendredi 28 septembre 2018 à l’hôpital général de Douala.
Claude Alexandre Moundi y a été transporté d’urgence par des proches après avoir été victime d’un grave accident de la route non loin de son domicile au quartier Makepe, dans l’arrondissement de Douala 5e. « Il allait à pied quand il a été percuté à l’arrière par une moto qui roulait à tombeau ouvert. Il a perdu connaissance sur le coup. Mais, quelque temps après son admission à l’hôpital, le médecin a déclaré qu’il est hors de danger » confie un proche du célèbre musicien et producteur, âgé de 51 ans…
Le prophète Frankline Afanwi Ndiffor, représentant du Mouvement Citoyen Camerounais (MCNC) à l’élection présidentielle d’octobre dit être venu pour sauver le peuple camerounais. Il a réitéré cette position lors de sa tournée de campagne électorale dans la région de l’Adamaoua.
L’homme de Dieu candidat à l’élection présidentielle, aux yeux de ses militants dans la région château du Cameroun est un envoyé de Dieu pour sortir le pays de l’état dans lequel il se trouve.
Pour briguer le fauteuil présidentiel, Dieu reste et demeure le fondement des actions du candidat. «Tout ce qu’il fait rentre toujours dans la droiture, annoncer la bonne nouvelle. C’est quelqu’un est mieux placé pour notre pays. Il incarne le choix du Tout Puissant», nous confie Abbo Mohamadou, président régional MCNC dans l’Adamaoua.
Pour mieux se faire connaitre de la population, la stratégie adoptée par les responsables du parti accorde une place de choix au porte-à-porte dans les quartiers et autres lieux de forte concentration humaine.
«Nous sommes en train de travailler sérieusement sur le terrain, dans tous les arrondissements de Ngaoundéré et les départements. Nous avons nos membres. Nous avons espoir que nous allons enregistrer des bons résultats dans la région», renchérit-il.
En procédant à la distribution des exemplaires des bulletins de campagne, le Mouvement Citoyen National Camerounais espère occuper le fauteuil présidentiel pour les 7 prochaines années.
Ce rassemblement populaire sur la place publique n’a pas eu lieu. Et pourtant, des groupes de danse traditionnelle et l’orchestre de campagne du candidat Muna avaient commencé à chauffer l’ambiance depuis 10 heures, avant de s’enfuir vers 13 heures à cause d’une attaque sécessionniste.
« Les combattants ambazoniens s’en sont pris aux partisans du candidat Akere Muna. Face aux menaces, chaque militant a pris ses jambes à son cou. La panique s’est installée, obligeant l’équipe de campagne d’Akere à annuler le meeting » explique un témoin.
Finalement, c’est furtivement que le candidat a rencontré certains partisans courageux au lieu-dit Community field de Limbe pour une brève causerie éducative. «On a décidé d’avoir un meeting restreint parce qu’il y a eu des troubles à Buea et à Mutengene ce matin. On a tué vers 5h, quatre personnes. Donc, le tout pour nous ce n’est pas de faire un meeting», a expliqué le candidat du parti FPD dans un entretien avec nos confrères de la CRTV-Radio.
«C’est aussi de veiller à la protection de ceux qui viennent. Alors j’ai demandé qu’on ait un meeting restreint avec ceux qui sont là, au lieu d’un Méga meeting qui peut donner lieu à d’autres troubles», a-t-il poursuivi.
Si la rencontre avec ses partisans ne s’est pas déroulée comme il le souhaitait, Akere Muna entre dans l’histoire comme étant le tout premier candidat de la présidentielle 2018 à tenir une réunion publique en plein air dans les Régions anglophones en proie à une guerre de sécession.
Ce rassemblement populaire sur la place publique n’a pas eu lieu. Et pourtant, des groupes de danse traditionnelle et l’orchestre de campagne du candidat Muna avaient commencé à chauffer l’ambiance depuis 10 heures, avant de s’enfuir vers 13 heures à cause d’une attaque sécessionniste.
« Les combattants ambazoniens s’en sont pris aux partisans du candidat Akere Muna. Face aux menaces, chaque militant a pris ses jambes à son cou. La panique s’est installée, obligeant l’équipe de campagne d’Akere à annuler le meeting » explique un témoin.
Finalement, c’est furtivement que le candidat a rencontré certains partisans courageux au lieu-dit Community field de Limbe pour une brève causerie éducative. «On a décidé d’avoir un meeting restreint parce qu’il y a eu des troubles à Buea et à Mutengene ce matin. On a tué vers 5h, quatre personnes. Donc, le tout pour nous ce n’est pas de faire un meeting», a expliqué le candidat du parti FPD dans un entretien avec nos confrères de la CRTV-Radio.
«C’est aussi de veiller à la protection de ceux qui viennent. Alors j’ai demandé qu’on ait un meeting restreint avec ceux qui sont là, au lieu d’un Méga meeting qui peut donner lieu à d’autres troubles», a-t-il poursuivi.
Si la rencontre avec ses partisans ne s’est pas déroulée comme il le souhaitait, Akere Muna entre dans l’histoire comme étant le tout premier candidat de la présidentielle 2018 à tenir une réunion publique en plein air dans les Régions anglophones en proie à une guerre de sécession.
Nouvellement nommés dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, ils ont été installés dans leurs fonctions mardi dernier.
Les nouveaux officiers divisionnaires de Tinto, Alo, Upper Bayang, Dikome Balue, dans la région du Sud-Ouest, et Njinikom, Misaje et Ako ont tous été installés mardi en toute discrétion.
Les concernés ont été nommés le 19 septembre par le chef de l’État qui a également limogé certains administrateurs qui avaient déserté leur lieu d’affectation. Exception faite de Agiy Oscar Bame, le défunt sous-préfet de Misaje (Nord-Ouest) remplacé par Thomas Tchana.
L’information relative à la désertion des administrateurs avait été rendue publique le 12 septembre à travers un communiqué du secrétaire général de la présidence, qui instruisait au ministre Paul Atanga Nji, de procéder à la «réinstallation des autorités administratives dans les arrondissements du Nord-ouest et du Sud-ouest». On y apprend que ceux-ci avaient quitté leurs postes de travail du fait de l’intensification des violences dans les zones anglophones, lesquelles se manifestent par l’enlèvement des autorités locales.
Leur installation a eu lieu plus de dix jours après le délai fixé par le secrétaire général de la présidence.
Nous le rappelons que les ex sous-préfets avaient fuis leurs postes il y a quelque semaine pour des raisons de sécurité
La cérémonie d’enrôlement des tout premiers bénéficiaires de cette carte qui rentre dans le cadre du Plan Triennal Spécial jeune prescrit par les pouvoirs publics a eu lieu ce jeudi au Centre Multifonctionnel Régional de Promotion des Jeunes de Ngaoundéré. Les 50 premiers jeunes de la région ont été enregistrés.
Permettre aux jeunes inscrits à l’Observatoire National de la Jeunesse (ONJ) de bénéficier des facilités liées aux services de transport, de soins de santé, et autres, sont les objectifs qui sous tendent la détention de cette carte par les jeunes.
En procédant au lancement de la première phase d’enrôlement des jeunes issus des différents centres multifonctionnels de promotion des jeunes des 3 arrondissements de la ville de Ngaoundéré – les adhérents des CMPJ de la Vina et de la région -, le coordonnateur national de l’Observatoire National de la Jeunesse a rappelé le contexte de mise en place de cet outil facilitant l’épanouissement des jeunes.
Selon lui, il émane de la volonté du président de la République à faire de la jeunesse un acteur de développement de la Nation par la facilitation d’accès aux services. «Dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Triennal Spécial Jeunes prescrit par le chef de l’Etat depuis le 10 février 2016, les jeunes peuvent désormais profiter de la carte jeune biométrique, et que cette carte leur offre effectivement l’accès à certains services et produits au sein de nos structures partenaires. Elle est disponible sur toute l’étendue du territoire national», a indiqué Pierre MVEME ATANGANA, coordonnateur national de l’Observatoire National de la Jeunesse.
Au cours des échanges qui ont précédé la phase de l’enrôlement des jeunes, les membres de l’équipe que conduit Pierre MVEME ATANGANA ont laissé entendre que les réductions dépendent des partenaires et du prix du produit.
Dans l’Adamaoua, l’opération d’enrôlement des autres jeunes va se poursuivre en poste fixe dans les CMPJ mais aussi dans les différents arrondissements et départements de la région. En attendant la finalisation de la signature des partenariats avec d’autres structures notamment les services de santé, les auto-écoles, les détenteurs des récépissés peuvent déjà voyager auprès de Danay Express partout au Cameroun avec une réduction de près de 25% sur les coûts de transport.
Cette salle de contrôle, nantie d’équipements adéquats et reliée au système de caméras de vidéo-surveillance nationale a été inaugurée le 24 septembre 2018 par le secrétaire d’Etat à la Défense (Sed), Galax Etoga.
Selon le Sed, ce projet donne à la gendarmerie nationale «un outil de commandement en temps réel, en tout temps et en tous lieux». Et parlant toujours de cet outil qui vient d’être couplé au système national de vidéo-surveillance et à des postes de commandement mobile, le Sed ajoute: «cette importante infrastructure fournira ainsi, en s’appuyant sur le backbone de la fibre optique de Camtel, des moyens de communication en voix, données et images».
Pour Galax Etoga, cette évolution n’est rien d’autre qu’une nouvelle étape dans l’amélioration du cadre de travail des personnels de la gendarmerie nationale implémentée par «le haut commandement».
La modernisation des transmissions de l’armée commence il y a deux ans, quand le président Paul Biya acte le projet de doter la gendarmerie d’une salle de contrôle dernier cri. Le projet est confié au conseiller technique du président en charge des bataillons d’intervention rapide (Bir). Ce dernier travaille en étroite collaboration avec le service des transmissions de la gendarmerie sous le contrôle du général de brigade Elokobi, directeur central de la coordination de la gendarmerie.
A cet attelage est associée l’entreprise Israël Goran, le fournisseur technique de droit israélien. La présence des Bir dans ce projet laisse bien entrevoir que la modernisation des transmissions de l’armée se conjugue avec le renforcement de la sécurité sur l’ensemble du territoire national. Une priorité pour l’exécutif, qui a d’ores et déjà résolu de renforcer l’efficacité du système national de vidéo-surveillance, qui va passer de 700 à 1500 caméras dans les prochains jours.
En attendant, trois caméras longue portée ont été installées à Bamenda et dans ses environs, une zone considérée comme l’un des épicentres de l’insurrection armée qui déchire actuellement les deux régions anglophones du pays. Selon une indiscrétion puisée à bonne source dans le commandement militaire, la nouvelle infrastructure de la gendarmerie doit «fournir en priorité aux unités sur le terrain des opérations une communication efficiente avec le commandement afin de toujours prendre des bonnes décisions».
A côté de cette priorité, la gendarmerie nationale se dit aussi maintenant bien outillée pour assurer le contrôle pendant les grands évènements. Le patron de la gendarmerie n’en fait d’ailleurs pas un mystère.
Galax Etoga affirme que cette nouvelle infrastructure va améliorer de «manière substantielle l’efficacité de l’armée dans l’exécution de ses missions au quotidien, et en particulier dans la résolution des crises sécuritaires que traversent le Cameroun». Plutôt une bonne nouvelle pour le pays, qui se prépare à organiser la Coupe d’Afrique des nations (Can) de football l’année prochaine.
La modernisation des transmissions s’accompagne de l’acquisition de véhicules de terrain capables de suppléer les faiblesses des caméras de surveillance. Pour l’instant, l’exécutif a mis trois véhicules de ce type à la disposition des bérets rouges. Le premier servira dans la première région de gendarmerie à Yaoundé. Les deux autres ont été affectés dans deux autres régions militaires installées dans les villes de Douala et de Garoua.
La promesse a été faite, si on s’en tient aux indications d’une source anonyme, de doter les régions de gendarmerie de Bafoussam et de Maroua de commande cars dans les prochains mois.
Otric N.
Il est quasiment impossible pour les équipes techniques d’Eneo de se rendre dans cette région pour procéder aux dépannages nécessaires au retour de l’énergie électrique.
Les habitants de Kumba sont dans le noir depuis quatre jours. Les denrées alimentaires et autres objets de valeur coincés dans des réfrigérateurs se dégradent progressivement tandis que d’autres entreprises sont au point mort.
Les habitants de quatre départements de la région du Nord-Ouest – Donga Mantung, Ngohketunjia, Menchum et Bui – sont également dans le noir depuis plus de deux mois.
Une source à l’Eneo fait savoir que l’entreprise est consciente du problème. Mais menace sécuritaire qui plane dans la région empêche ses équipes techniques d’aller sur place pour un quelconque dépannage.
En effet, le problème de coupure de l’énergie électrique dans la région du Nord-Ouest est provoqué par une faille sur le réseau électrique de Bamenda à Ndop.
«Nos techniciens doivent aller sur le terrain pour identifier la ligne de faille exacte et remédier à la situation… d’autres transformateurs mineurs ont également un problème similaire… Nous essayons toujours de voir comment notre équipe peut être déployée avec l’aide des responsables de la sécurité sans lesquels ça va être difficile», confie un responsable d’Eneo au journal anglophone Mimi Mefo Info.
En ce qui concerne la situation à Kumba, les problèmes de sécurité ont également été évoqués. Le responsable de l’entreprise a déclaré que la ligne d’approvisionnement en énergie de Njombe s’étendait à travers Tombel à Kupe Manengouba via Muyuka jusqu’à Kumba. Il a toutefois assuré sans précision que le problème serait réglé.
Les régions touchées devront donc attendre qu’Eneo envoie ses techniciens sur le terrain. La date et l’heure restent incertaines.
Ces deux clips vidéo professionnelles, produit par le Collectif 237, montrent la joie dans laquelle les camerounais sont heureux et impatients d'accueillir la CAN 2019 dans leur pays qui est le Cameroun.
Le collectif 237 a ceci d’original qu’il ne veut mettre aucune personnalité en avant. Le seul objectif de ces musiciens professionnels, est d’apporter la joie et de permettre à tous de s’évader musicalement. Ce n’est pas un projet musical basé sur l’égo des musicien et - pour preuve - dans les clips vidéos mis en ligne il y a quelques jours, on ne voit pas les artistes.
Le collectif 237 est composé de musiciens camerounais de Buea, Douala et Yaoundé. Le remastering et les arrangements ont été faits dans un studio parisien.
« Nous avons choisi de parler du football et de la CAN dans nos deux premiers titres » explique Manuella, une des chanteuse. « Le football, au Cameroun, c’est la vie ! Et la CAN qui arrive, ça va être un évènement rassembleur et festif - un parfait décompresseur. Alors on a voulu lancer les festivités. On veut faire danser les Lions Indomptables et leur donner un peu de notre joie et beaucoup de notre motivation, pour garder la Coupe à la maison. »
D’autres titres seront mis en lignes dans les prochaines semaines et les prochains mois
https://www.youtube.com/watch?v=dJKUg0gRXoQ
https://www.youtube.com/watch?v=nUA8w-nBjP4
Les élections présidentielles approchent et beaucoup de camerounais n'ont pas récupérés leur carte d'électeur. c'est carte est indispensable pour aller voter
Comme le montre cette affiche ci dessous :
"Elections presidentielles du Cameorun. Si vous n'avez pas récupéré votre carte d'électeur, aller la chercher dès aujourd'hui une des stations où vos etes enregistrés pour voter. Pas de carte d'électeur, pas de changement"
Allez chercher vos cartes dès maintenant!
Pour plus d'information, visitez le site d'Elecam : http://www.elecam.cm/