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Ces bulletins de vote et bulletins de campagne doivent être déposés le moment venu dans environ 27 000 bureaux de vote.

 

Elections Cameroon (Elecam) est au four et moulin en ce moment. L’organe en charge de l’organisation des élections doit fournir aux bureaux de vote, le matériel nécessaire pour que les élections législatives et municipales du 9 février 2020, se déroulent dans de bonnes conditions et sans couacs techniques. Pour ce qui est de la production des bulletins de vote et de campagne, Elecam a choisi de s’offrir les services de la Société de presse et d’éditions du Cameroun (Sopecam), de l’imprimerie nationale et de plus petites unités de production dans la ville de Yaoundé.

Pour ce qui est de Sopecam, on apprend des colonnes du quotidien Le Jour que la commande reçue de ce côté est en fin de production. Il ne reste que les bulletins du Social democratic front à faire. « Les bulletins des législatives sont prêts et stockés depuis le 4 décembre dernier », déclare Ignace Claude Ozela, le Directeur de la production. Toutefois, le travail n’est pas fini. La cause se trouvant au fait que plusieurs listes de candidats ont été réhabilitées ou modifiées lors du contentieux pré-électoral.

L’imprimerie nationale pour sa part, a à produire 9 millions d’enveloppes de vote. Cependant la commande n’est pas encore achevée. La raison est que la deuxième machine de l’imprimerie, qui date de 1974, est tombée en panne dans la nuit de mardi à mercredi. L’entreprise de Walter Paul Komo devait encore fabriquer 825 000 enveloppes. La date line de livraison au passage était prévue pour le vendredi dernier, 10 janvier 2020. «La panne nous ralentit, mais il faut tenir l’échéance », a prescrit le directeur de l’Imprimerie nationale, Walter Paul Komo. Du coup, le rythme de travail a été accéléré. Les ateliers ont été contraints de tourner 24h/24. La confection des enveloppes a aussi été faite à la main par une cinquantaine d’agents temporaires.

 

Liliane N. 

 

Published in Institutionnel

Depuis l’annonce du décès de Patrick Ekema Esunge, les rumeurs vont bon train. Alors que les membres proches de sa famille parlent d’un Avc, certains se sont empressés de dire qu’il s’agit d’un empoisonnement

 

Les propagateurs de cette information, notamment affirment que les médecins camerounais ayant effectué les premiers tests médico-légaux auraient trouvé des taux de Botox 18 fois supérieurs à ce qui devrait être dans son estomac, son côlon et sa bouche. Ils auraient par ailleurs relevé des traces d’éthanol dans l’intestin grêle.

Ces derniers affirment également que le rapport médico-légal de Douala a été remis aux représentants de la veuve du regretté maire de Buea ainsi qu’aux représentants des autorités du conseil municipal de Buea lundi. Une copie du rapport a été obtenue exclusivement par la Cameroon Tribune, qui l’a communiquée à la CRTV avant publication.

Une fausse autopsie ou encore l’inexistence de cette dernière

C’est ainsi qu’on pourrait percevoir ce démenti publié par le quotidien gouvernemental il y’a quelques heures. Dans un communiqué dont la signature est attribuée à Marie-Claire Nnana, on peut lire que « le Directeur général de la Société de Presse et d’Editions du Cameroun (Sopecam), directrice de publication de Cameroon Tribune dément formellement et catégoriquement cette information qui relève de la pure affabulation et de l’intox. Ce pseudo papier attribué à Marline Eko Nalowa ne se retrouve dans aucune publication de la Sopecam et sa supposée auteure ne fait pas partie des personnels de la Sopecam… ».   

Poursuivant sur la même lancée, Marie Claire Nnana assure qu’ : « il importe de noter que dans son édition du lundi, 28 Octobre 2019, en page 5, Cameroon Tribune a relayé la nouvelle de la mort subite du regretté maire de Buea. Dans ce papier signé de notre collaborateur de l’Agence régionale de la Sopecam dans le Sud Ouest. Il y est simplement mentionné que sieur Ekema Patrick Esunge serait mort des suites de maladie… ».

Après combien de temps peut –on obtenir les résultats d’une autopsie au Cameroun ?

Une question qu’ils sont nombreux à se poser, en se référant sur certains cas qu’on a connu au Cameroun, notamment le décès par (assassinat) de Monseigneur  Jean–Marie Benoît Bala. Pendant longtemps, les prélats, les fidèles catholiques et tous les camerounais ont attendu qu’on leur dise ce qui était la cause de la mort de l’Archevêque de Bafia et pourtant…

Qu’est ce qui justifie la propagation de cette information, qui a fait le tour des réseaux sociaux et qui a permis à tous d’aller chacun de son commentaire, selon qu’on ait ou non apprécié la prise de position de cette autorité municipale qui a su démontrer que pour lui, le Cameroun est un tout et qu’il n’est pas envisageable de le découper pour assouvir les désirs pathologiques de ceux qui n’hésitent pas à faire couler le sang des citoyens qui n’aspirent qu’à une chose : Vivre en paix, malgré les vicissitudes de la vie.

  

Nicole Ricci Minyem

 

Published in Société

Dans son éditorial publié dans le quotidien « Cameroon tribune » du 06 mai 2019, la Directrice Générale de la Société de presse et d’éditions du Cameroun (SOPECAM), éditrice du quotidien gouvernemental « Cameroon Tribune », demande aux camerounais de se serrer les coudes pour consolider l’unité et la cohésion nationale, le développement, la sécurité et la démocratie. Bref, il nous faut cultiver la résilience collective.

 

Selon Marie Claire NNANA, le Cameroun n’a rien à cacher malgré  « l’image rocambolesque qu’ont donné du pays, le parlement européen et certains activistes de la toile ces derniers temps. » rappelle la patronne de la SOPECAM. Pour le Dg de la SOPECAM, l’accueil à Yaoundé la semaine dernière du haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, dans un contexte de mises en accusation grotesques et répétées sur le thème des droits de l’homme était nécessaire et essentielle car, écrit-elle, « le choix délibéré de faire voir et de faire entendre à ses partenaire, du moins ceux de bonne fois l’écho des actions déjà entreprises ou à venir, des difficultés et des avancées dans l’effort courageux de résolution des crises sécuritaires et humanitaires, est un signe indéniable d’ouverture et un parti pris de transparence. »

 

Toutefois, pense Marie Claire NNANA « cette interaction étroite entre partenaires onusiens et camerounais est bien plus productive que la publication de résolutions hostiles, basées sur les allégations des ONG, et dont on se demande si l’objectif véritable n’est pas d’ajouter de l’huile sur le feu. » pour cette dernière, quoi qu’il en soit, le Cameroun, pays pacifique, richement doté par la nature,  avec un taux de scolarisation au-dessus de la moyenne africaine et un leadership éclairé, qui déploie un plan de développement à moyen et à long terme, « devrait s’habituer à la récurrence et parfois à l’injustice des critiques et des attaques frontales de la part de ceux qui entendent influencer ou contrarier sa trajectoire vers l’émergence. »

 

Elle poursuit en soulignant qu’il devient donc urgent d’anticiper ces attaques pour ne pas les subir le moment venu. Bref, il faut « cultiver la résilience collective. » pour Marie Claire, notre pays aura besoin de cette résilience pour affronter le monde qui se dessine sous nos yeux. Car, écrit-elle : « si l’on devait tenter une explication à l’agression que subit le Cameroun de la part de certaines ONG et institutions, ce serait que le pays est pris en étau entre les puissances et les intérêts contradictoires (…). L’élite intellectuelle et dirigeante camerounaise ne devrait pécher ni par cécité, ni par angélisme à cet égard. »

 

La directrice générale de la Société de presse et d’éditions du Cameroun (SOPECAM), invite donc les camerounais en général, et les dirigeants en particulier à rester soudés, unis et vigilent. « Il importe pour les camerounais de se serrer les coudes pour consolider l’unité et la cohésion sociale, le développement, la sécurité et la démocratie. Il importe de construire la résilience collective. » Mais comment ? « En refusant que le droit de manifester se transforme en droit de vandaliser, que les revendications professionnelles soient instrumentalisées au profit de certains agendas politiques. En donnant une chance au dialogue et à la paix », indique-t-elle. « Il nous faut surtout cultiver la fierté nationale, reconnaitre les efforts et les succès du pays, malgré le chantier immense qui reste. Faisons donc confiance à nos dirigeants et à celui à qui nous avons confié librement le gouvernail du pays. Il est au travail malgré les vents et les tempêtes. », Peut-on lire.

 

Danielle Ngono Efondo

Published in Politique






Sunday, 05 June 2022 11:01