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Après avoir été expulsée de la Côte de d’Ivoire, la camerounaise a fait naître autour de sa personne un concert de sympathie à laquelle le Président de l’UFP a choisi de joindre sa voix.

 

Dans sa dernière sortie, le Président Olivier Bilé, par ailleurs leader du Mouvement pour l'Emancipation Monétaire de l'Afrique (MEIMA), qualifie l’expulsion de Nathalie YAMB d’inique. Il trouve en cette jeune activiste des qualités de courage et de bravoure dans son engagement panafricain. L’homme politique qui se positionne davantage depuis le début de cette nouvelle saison politique comme un panafricaniste. Il a pris son bâton de pèlerin pour mobiliser lui aussi de nombreux ressortissants du continent à bouter hors de nos économies, le Franc CFA. C’est la raison pour laquelle dans son adresse de soutien « il redit son indignation face à la répression que cette dernière ( Nathalie YAMB) a subie suite à ses prises de position déterminées en faveur de la fin du Franc CFA et de l'émancipation monétaire et économique du Continent Africain. » Son combat d’aujourd’hui.

« En tant que Leader de MEIMA, j'en appelle à une mobilisation plus dense en faveur de Mme YAMB afin que les comportements rétrogrades de certains gouvernements ne soient plus perpétrés contre les défenseurs des causes africaines les plus nobles. Notre sœur Nathalie a prouvé qu'elle en est l'une des portes étendards du combat noble et républicain en faveur de l'Afrique. Le Bureau de Coordination du Mouvement pour l'Émancipation Monétaire de l'Afrique et son Président, le Dr Olivier Bile condamnent cette expulsion inique avec fermeté et en appelle à la poursuite de la mobilisation en faveur de Nathalie YAMB ! »

Un appel qui manifestement trouve écho au sein de plusieurs acteurs politique et de la société civile africaine. Ils sont nombreux qui depuis quelques jours s’en prennent ouvertement au gouvernement français qui serait le commanditaire de cette expulsion d’une africaine d’un pays d’Afrique pour avoir « manqué de respect » à un Président français qui lui aussi parlait de l’Afrique. Incompréhensible ! le Dr olivier Bilé et les autres panafricanistes mènent aujourd’hui une lutte acharnée contre le nouvel impérialisme qui maintient les populations africaines dans la paupérisation. Un combat auquel les africains adhèrent de plus en plus. D’où le sentiment anti français qui est de plus en plus présent au sein des populations du continent. Et des Nathalie YAMB, il y en aura encore beaucoup plus.

Lire aussi : Côte d’Ivoire : Nathalie Yamb, suisse et camerounaise expulsée du pays 

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Politique

Le Président de l’Union pour la Fraternité et le Prospérité (UFP), le Dr Olivier Bilé pointe un doigt accusateur sur le procureur de la République près des tribunaux d’Abong Mbang. Ce dernier s’est illustré par une série de comportements qui sont contraires à la pratique de la démocratie en obstruant consciemment le processus de constitutions des listes UFP de la circonscription.

 

D’après le Président de l’UFP, tout se passe le lundi, date limite de dépôt des dossiers de candidatures auprès des instances d’Elecam. En date du 25 novembre 2019, le procureur d’Abong-Mbang, en présence de plusieurs de ses collaborateurs, oriente Mr Olivier Bilé en personne vers le greffier de service pour l’introduction des dossiers de Bulletin N°3 et certificat de nationalité. Il est environ 21 heures. « Dès notre première rencontre dans son bureau autour de 19 heures, ce dernier avait déjà manifesté une bruyante hostilité à l’endroit de mes collaborateurs et de moi-même. En ignorant sans doute les réalités complexes du terrain politique, il nous reproche avec véhémence de venir solliciter des services à une heure aussi tardive, alors même que des instructions issues de la hiérarchie prescrivaient la disponibilité des services publics jusque 24 heures. » Précise Olivier Bilé.

Une manœuvre inacceptable de ralentissement du traitement des pièces des candidats de ce parti concernant les Législatives est entreprise afin de prétexter une éventuelle arrivée en retard. Présentes dans les bureaux du palais de justice depuis 18h pour les dossiers des Municipales, les équipes de l’UFP  introduisent le dossier Législatives autour de 21 heures. La précision en vaut la peine. Ceci après beaucoup d’insistance du Président du parti. « Lorsque, à l’exclusion de notre fait, minuit arrive, le procureur estime que le temps est forclos. Il renvoie mon équipe avec la même arrogance, déclarant « qu’il va voir comment un parti politique de l’opposition sera en compétition à Abong-Mbang. Que cela n’aura jamais lieu tant qu’il y est procureur ».

Je souligne que toutes les autres administrations de l’Etat sollicitées se sont montrées parfaitement courtoises et disponibles. En raison de nos diverses contraintes de terrain, elles nous ont pratiquement toutes servis après 18 heures. D’abord celle des impôts qui nous reçoit autour de 20 heures ; celle de la justice qui nous reçoit autour de 21 heures pour les dossiers Législatives et attend minuit  pour nous renvoyer sans même nous remettre les documents que le procureur a refusé obstinément de signer, celle de la sécurité avec le commissaire spécial qui nous reçoit pour légalisation des signatures vers 23 heures. Les documents de toutes ces administrations essentielles figurent bel et bien dans notre dossier déposé ELECAM. » Nous rapporte le patron du parti. Ils apprendront ce mercredi matin en retournant auprès du procureur récupérer les dossiers non signés, ils sont surpris par la réponse de l’homme de droit qui leur fait savoir que ces pièces ont tout simplement disparu. Un véritable calvaire.

Le Dr Olivier Bilé vient d’écrire une lettre au directeur d’Elecam pour décrier cet état des choses.

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Parti politiques

Depuis quelques temps, le Terminal à conteneurs du Port autonome de Douala (PAD) est au cœur des batailles opposant le Groupe Bolloré au nouveau concessionnaire, l’opérateur Terminal Investment Limited (TIL). Depuis jeudi dernier, un document en circulation venant de la présidence de la République fait état de ce que le Chef de l’Etat a instruit la suspension du processus de cette nouvelle concession, celle-ci sensé pourtant être effective à compter de janvier 2020. 

 

Dans le document émanant de la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, le secrétaire général de cette institution précise d’emblée, qu’il s’agit d’un ordre du Président de la République Paul Biya. En effet, celui-ci instruit au Directeur général du PAD à, « suspendre les travaux de finalisation des termes du contrat de concession avec la Société Terminal Investment Limited ». Il est question par cette suspension, d’attendre « les conclusions définitives de l’affaire opposant le groupement APMT/Bolloré au PAD, l’affaire étant pendante au tribunal administratif du Littoral à Douala », peut-on lire dans le document. 

L’UFP, quelques jours après, réagit non seulement sur la question mais, aussi sur la visite de Jean Yves Le Drian, le chef de la diplomatie française au Cameroun. Et voici l’intégralité la réaction.

L’avis de l’UFP sur la rencontre avec Jean Yves Le Drian 

« Qu’il s’agisse de Bolloré, Le Drian et les autres vendeurs d’illusions, tous sont du bonnet blanc blanc bonnet. Tant que l’Africain et le Camerounais en particulier ne choisira pas des représentants porteurs de véritables projets civilisationnels détachés de cet occident colonisateur et exsangue économique, le peuple en paiera encore et encore le prix fort. C’est dans cette perspective de détachement que l’exigence préalable d’enquêter SERIEUSEMENT sur le PROFIL OCCULTISTE de nos leaders politiques s’impose à nous, PEUPLE SOUVERAIN pour le choix objectif de nos futurs dirigeants.

Aussi, tant qu’il est irréfutable que l’allégeance servile et esclavagiste de nos politiciens fraters encore sous le diktat colonial occidental par des manœuvres occultes et démagogie monétaire sagement dissimulé dans le franc CFA depuis près d’un siècle et aujourd’hui en voie d’être rééditée dans cette supercherie nommée ECO de la CEDEAO qu’ils projettent étendre sur toute la zone Franc, à en croire Rfi ce matin, donc selon nous à l’Union pour la Fraternité et la Prospérité (UFP), les mêmes causes produiront les mêmes effets. 

Les leaders affilés et affidés des courants rosicrucien et maçonnique sont et seront toujours au service du colon qui n’a de cesse de s’engraisser sur l’Afrique. A bon entendeur… », estime l’UFP par l’entre genre de son Président Olivier Bilé. 

 

Innocent D H

 

Published in Entreprises

Au cours d’une conférence donnée à Yaoundé, le Dr Olivier Bilé, président de l’UFP, a présenté la nouvelle formule politique pour sortir l’ Afrique de la pauvreté.

 

La pauvreté est souvent présentée comme la source des fléaux sociaux en Afrique. La Banque mondiale nous apprend qu’en 2015, les pauvres vivaient, pour plus de la moitié, en Afrique subsaharienne, et pour plus de 85% en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud. Par suite de la réduction rapide de la pauvreté en Chine, les pauvres qui étaient concentrés en Asie de l’Est dans les années 1990, puis en Asie du sud en 2002, le sont depuis 2010 en Afrique subsaharienne où leur nombre total ne cesse d’augmenter. Sur les 27 pays les plus pauvres de la planète, 26 se trouvent en Afrique subsaharienne.

 

S’agissant des crises sociopolitiques, alors que la proportion des pauvres diminue à l’échelle mondiale, les observations indiquent que l’extrême pauvreté est de plus en plus souvent associée à des situations de fragilité institutionnelle et de conflit. En 2015, les personnes vivant dans un Etat fragile ou touché par un conflit se trouvaient majoritairement en Afrique (54%). En général, il existe une corrélation négative entre taux de pauvreté et solidité des institutions. Les pays qui affichent un taux de pauvreté élevé ont plus difficilement accès aux services financiers, le climat des affaires y est moins favorable, l’état de droit plus fragile, la corruption plus perceptible, la tendance et les velléités pour l’émigration plus élevés.

 

D’une manière générale, les principaux problèmes de l’Afrique actuelle se manifestent en effet sous les symptômes du sous-emploi massif, en particulier des jeunes, d’une pauvreté structurelle qui s’amplifie tous les jours malgré les divers efforts consentis, de velléités toujours plus grandes d’émigration vers l’occident avec toutes les conséquences connues en matière de crises migratoires, d’un exode rural croissant, de crises sociopolitiques et socio économiques interminables, etc. Le dénominateur commun à ce kaléidoscope de problèmes est incontestablement la Monnaie. Elle est la question la plus essentielle sur laquelle les attentions des Africains devraient être prioritairement mobilisées car il est mortel, comme on le voit dans nos pays, de confondre la source du mal avec les symptômes. La source des problèmes ne réside pas dans les nombreuses crises qui surgissent çà et là, qui ne sont que les diverses manifestations extérieures d’une pathologie bien plus profonde dont il faut prendre conscience. Il est urgent pour les Africains d’agir sur ce qui est essentiel, sur le cœur du mal : la monnaie !

 

Lire aussi : Olivier Bile lance un nouveau mouvement Panafricaniste dénommé MEIMA 

 

La compréhension par les hommes en général et par les Africains en particulier du phénomène monétaire a été depuis longtemps compromise par un certain nombre de contrevérités. Ces dernières ont du reste contribué à entretenir des conceptions erronées ayant occasionné une véritable phobie des Africains à l’égard de la question monétaire. L’une des principales idées fausses prévalant dans cet imaginaire africain sur la monnaie est ‘qu’il est d’abord nécessaire de construire une économie suffisamment solide pour garantir et soutenir la monnaie à créer’. Autrement dit, ‘un système de production robuste et consistant doit précéder la monnaie’. Si on pouvait y arriver sans une monnaie créée et orientée à cet effet, pourquoi éprouverait-on le besoin de se défaire du F CFA ? Combien de temps faudrait-il à une telle monnaie pour réaliser une si robuste économie lorsque l’on voit la situation globale des Etats de la zone franc 75 ans après la création de cet espace monétaire ?

 

« Mais être convaincu ne suffit plus si l’Afrique veut minimiser les retombées d’une crise économique de moins en moins évitable en raison de la profondeur de ses causes. L’action est urgente… L’action en matière monétaire demande …non seulement que le responsable ait une idée claire et simple de ce qu’il fait, mais encore, et surtout, que cette idée soit bien comprise par ceux que l’action intéresse et sans l’adhésion de qui aucun objectif ne peut être atteint : les citoyens… Il convient que la monnaie cesse d’être l’affaire de quelques ‘technocrates’ au langage hermétique, souvent irresponsables devant les peuples. Phénomène social par essence, source de progrès des économies modernes… la monnaie devrait pouvoir être comprise par tous ceux que le fonctionnement du corps social intéresse, économistes ou pas ». MSL, J Tchundjang Pouemi.

 

Extraits du discours du Dr Olivier Bilé

Par Stéphane NZESSEU

Published in Tribune Libre

La conférence inaugurale du Mouvement pour l’Emancipation et l’Intégration Monétaire de l’Afrique (MEIMA) s’est tenue à l’hôtel Azur de Yaoundé devant la presse.

 

Après sa candidature manquée à la présidentielle de 2018, le Dr Olivier Bilé avait pratiquement disparu de la scène politique. Son absence au cœur des joutes électorales lui aura finalement fait plus de bien que de mal. Durant ces longs mois, au lieu d’apprécier le spectacle des meetings des autres candidats en course pour le fauteuil présidentiel, le Dr olivier Bilé s’est livré à une intense activité de réflexion et de méditation sur l’avenir du Cameroun et de l’Afrique.

 

De cette profonde réflexion a jaillit ce nouveau mouvement sociopolitique, MEIMA. Le Mouvement pour l’Émancipation et l’Intégration Monétaire de l’Afrique, comme son nom l’indique a pour but ultime la formation des différentes couches africaines pour qu’elles prennent conscience de l’enjeu suprême de l’intégration monétaire. Gage du développement fiable et durable du continent noir.

 

Pour le Dr Olivier Bilé « L’avenir le plus décisif de l’Afrique se joue ces dernières années devant nous. Le privilège de le vivre s’accompagne aussi d’un défi à la fois exaltant et angoissant. Jamais auparavant, la question de la monnaie n’avait à ce point cristallisé et mobilisé l’opinion publique. Des chefs d’Etats et de gouvernements, y compris non africains, des dirigeants politiques à divers niveaux, des diplomates, des universitaires, des chefs d’entreprises, des acteurs de la société civile, des organes médiatiques, les réseaux sociaux, des citoyens et activistes de tous bords se manifestent chaque jour dans ce débat sur la problématique du franc CFA et de la monnaie en Afrique. Assurément, la grande actualité de ce débat vient nous rappeler le caractère crucial, voire existentiel d’une superstructure monétaire digne de ce nom, pour des Etats aspirant à sortir du bourbier d’un sous-développement structurel et tenace. Elle nous révèle aussi à quel point la monnaie est, plus que jamais, au cœur des grands problèmes contemporains et comment, dans le cas de nos Etats de la zone franc, elle charrie des enjeux d’influence géopolitique et géo économique pas toujours en phase avec les légitimes aspirations à l’indispensable expansion économique dont ces Etats ont cruellement besoin. Assurément, elle n’est point l’unique facteur explicatif de nos misères, mais en constitue toutefois un des déterminants structurels majeurs. »

 

Le précurseur du foisme politique engage un combat qui n’est pas nouveau pour lui. C’est d’ailleurs son ambition de voir les africains s’émanciper qui l’avait convaincu de faire le pas pour devenir l’homme politique qu’il est aujourd’hui. Le combat ne fait que commencer.

 

Stéphane NZESSEU

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01