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Le ministre des Arts et de la Culture, et le Directeur général de cette compagnie ont eu un entretien vendredi dernier sur les préparatifs de cet évènement littéraire qui aura lieu le 22 mai à Yaoundé.

 

Le Cameroun va vivre un moment inédit dans l’univers littéraire africain. Le 22 mai prochain, la cérémonie de remise du tout premier Prix Orange du livre en Afrique se tiendra à l’Hôtel Hilton à Yaoundé. La Fondation Orange, en partenariat avec le ministère des Arts et de la Culture, est à l’origine de cet événement placé sous le très haut patronage du chef de l’Etat et présidé par le ministre des Arts et de la Culture (Minac), en sa qualité de représentant personnel du président de la République.

 

Dans l’objectif de peaufiner les lignes de ce rendez-vous du 22 mai, indique Cameroon Tribune, Frédéric Debord, Directeur général de Orange Cameroun et Président du conseil d’administration de la Fondation Orange a rendu une visite de travail vendredi dernier au Minac. Dans sa délégation, le Secrétaire général de la Fondation Orange, Elizabeth Ehabe.

 

Pour le ministre Bidoung Mkpatt, les efforts émis par ses hôtes pour favoriser la promotion de la culture « sont incommensurables et devraient inspirer d’autres compagnies. » D’après Frédéric Debord, la Fondation Orange Cameroun a obtenu la tenue de cette cérémonie après une longue bataille.

Pour lui, il est important de servir à tout le continent une démonstration d’efficacité. « Il faut qu’on mette la barre suffisamment haut pour que cette toute première édition au Cameroun marque de façon indélébile l’histoire de ce concours », a-t-il déclaré, avant d’admettre que le pays de Calixthe Beyala et Léonora Miano est une excellente terre d’accueil à ce Prix Orange.

 

Le Prix lancé en octobre 2018 répond à la volonté de la Fondation Orange de valoriser des talents littéraires africains et l’édition locale. Cette distinction sacre un texte de fiction écrit en langue française par un écrivain africain et publié par une maison d’édition basée sur le continent. La périodicité de publication des livres admis à participer était fixée entre le 1er janvier 2017 et le 30 octobre 2018.

 

Plus de 60 auteurs ont soumis leurs ouvrages. Six livres finalistes sont en lice pour ce tout premier Prix Orange parmi lesquels « Munyal, les larmes de la patience » de la Camerounaise Djaïli Amadou Amal. Elle se retrouve en compétition face à un Ivoirien, deux Marocains, un Tunisien et un Sénégalais.

Le vainqueur aura une dotation de 10.000 Euros (6.500.000 FCFA) et bénéficiera d’une campagne de promotion de son ouvrage. Cette cérémonie vient consacrer 10 ans d’activités au Cameroun de la Fondation Orange engagée dans les trois domaines de mécénat que sont l’éducation, la santé et la culture.

 

Otric N.

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L’écrivaine a été reçue en audience le 25 avril dernier par le ministre des Arts et de la Culture (Minac). Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt a signifié à son hôte ses attentes pour la mise en place imminente de plusieurs projets culturels.

 

A en croire Cameroon Tribune, au cours de cette audience d’une vingtaine de minutes aux allures plutôt conviviales, le ministre des Arts et de la Culture a rendu hommage à la romancière pour l’ensemble de son œuvre et les différents lauriers glanés tout au long de sa carrière.

Cette femme de lettres engagée est la lauréate du Grand prix littéraire de l’Afrique noire pour « Maman a un amant » en 1994. Elle a également obtenu en 1996, le Grand prix du roman de l’Académie française pour « Les Honneurs perdus » et le Grand prix de l’Unicef pour « La Petite Fille du réverbère », en 1998.

Calixthe Beyala a également été rassurée du soutien de l’Etat pour son engagement en faveur de la défense de la patrie, ses combats auprès des minorités, la promotion de la francophonie et la lutte contre le sida.

Au cours de cette rencontre, le ministre des Arts et de la Culture a sollicité la contribution de la lauréate du Grand prix du roman de l’Académie française sur les chantiers de la restructuration et de la reconstruction du mouvement artistique et culturel camerounais qu’il entend mettre sur pied. « L’action de la femme de lettres est particulièrement attendue sur le volet littérature », précise Cameroon Tribune.

Bidoung Mkpatt a émis le souhait d’en faire l’ambassadrice, notamment pour ce qui est de la réalisation du projet de construction de « la Cité de l’émergence ». Il s’agit d’un temple de la culture qui abritera bibliothèque, médiathèque, cinémathèque, archives, etc. En retour, Calixthe Beyala a exprimé sa satisfaction quant à la volonté du ministère des Arts et de la Culture de l’impliquer elle, enfant du pays, dans l’animation de la vie culturelle.

Surtout qu’en général, fait-elle remarquer, « on n’a presque jamais été prophète chez soi ». Au-delà de son émotion, elle a promis de donner tout ce qu’elle a pour participer au rehaussement de l’image du Cameroun, mais surtout pour accompagner sérieusement les jeunes écrivains. D’autant qu’elle a reconnu qu’« au Cameroun, il y a plein de talents. Il leur manque simplement des directeurs, c’est-à-dire des gens capables de les suivre au quotidien pour qu’ils fassent de bons romans ».

 

Otric N.

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Le ministre des Arts et de la Culture indique que le gouvernement en détectant les talents, souhaite éviter une rupture brutale de la production littéraire. Il est donc question de pérenniser cet art.

 

Le ministère des Arts et de la Culture (Minac) actuellement dirigé par Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt a lancé le 13 mars 2019, la quatrième édition du Concours littéraire national jeunes auteurs, dans les genres de la nouvelle et de la poésie. Dans une interview accordée au quotidien gouvernemental Cameroon tribune, le ministre apporte des précisions sur l’édition de cette année.

Cette compétition s’inscrivant comme une activité importante de son département ministériel, Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt déclare «il est tout d’abord important de rappeler que le Concours littéraire national jeunes auteurs a pour principal objectif de déceler et de promouvoir les talents littéraires dont regorge notre pays. Cette activité s’inscrit en droite ligne de l’une des plus grandes missions du Ministère des Arts et de la Culture, qui est d’assurer une production littéraire de qualité, dans le but d’éviter une rupture brutale avec ce que les icônes camerounaises de cet art ont gravé dans la mémoire collective. Ceci, pour rappeler qu’en cinq décennies, pas moins de 14 de nos compatriotes sont lauréats du Grand prix littéraire d’Afrique noire sur la quarantaine que compte cette prestigieuse compétition internationale depuis sa création ».   

Le Concours littéraire national jeunes auteurs va se dérouler du 13 mars au 31 mai 2019. Il est ouvert aux jeunes camerounais des deux sexes qui résident dans le pays et à l’étranger. Les jeunes visés par cette compétition doivent être ceux qui n’ont jamais été publiés même par un éditeur numérique. Ce qui apparaît comme une innovation pour cette quatrième édition est l’âge des compétiteurs revu à la baisse. Les enfants âgés de 16 ans peuvent concourir.

« Le but du Concours littéraire national jeunes auteurs est certes de stimuler plus de jeunes à l’écriture, mais aussi de les projeter vers l’excellence, afin de raffermir le leadership du Cameroun en matière de littérature en Afrique noire. Par exemple, la consécration en 2017 du jeune compatriote Blick Bassy comme lauréat Grand prix littéraire d’Afrique noire avec son premier roman Le Moabi cinéma, vient confirmer cette qualité reconnue à nos différentes générations d’écrivains et susciter la nécessité de la préserver. D’où cette préparation à la base qui vise à faire éclore les relais futurs », explique Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt.

 

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La coopération culturelle a été au centre des échanges qui ont eu lieu lors de l’audience du 15 février 2019 entre le Minac et Medhat K. El-Meligy l’ambassadeur de la République arabe d’Egypte au Cameroun.

 

La rencontre entre Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt et Medhat K. El-Meligy l’ambassadeur de la République arabe d’Egypte au Cameroun a été l’occasion idoine pour les deux personnalités, de se mettre d’accord sur les liens de la coopération culturelle qui doivent être resserrés entre leurs deux pays. Le ministre des Arts et de la Culture (Minac) et son hôte ont donc de ce fait parler des domaines de l’archéologie préventive pour les travaux d’infrastructure, la valorisation des sites culturels et les monuments historiques, le développement des industries culturelles et créatives, le renforcement des capacités des acteurs du sous-secteur culture. Il en est qu’il s’agit là des domaines qui ont besoin d’être améliorés dans la relation bilatérale qu’entretient le Cameroun et l’Egypte.

Il a été reconnu que pour parvenir à cette amélioration du volet culturel de la coopération, il faut passer à la matérialisation des multiples projets existants cependant restés dans les tiroirs. Surtout qu’il convient de le préciser l’Egypte assume la présidence de l’Union africaine (Ua). A titre de rappel, ces six dernières années, il y a eu plusieurs échanges portant sur le domaine artistique avec pour principal vecteur, le Ballet national qui s’est rendu à plusieurs reprises au Caire. L’Egypte prend aussi part au Festival « Ecrans noirs » organisé depuis plus de 20 années à Yaoundé la capitale.

Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt et Medhat K. El-Meligy ont par ailleurs et de façon générale reconnu que la coopération entre le Cameroun et l’Egypte se porte bien. Le Diplomate égyptien a indiqué qu’elle est même « l’une des meilleures au regard de la place prépondérante et stratégique qu’occupe le Cameroun dans la sous-région Afrique centrale ».

Cette coopération dure depuis 1960. L’amitié et la collaboration entre l’Egypte et le Cameroun remontent aux années d’indépendance. L’Egypte a été le premier pays africain et arabe à établir une relation diplomatique avec le  Cameroun après l'indépendance en 1960. Les deux pays sont liés par plusieurs accords dans les domaines comme l'énergie et l'électricité. Au plan politique, les deux pays collaborent étroitement au sein des organisations internationales dont ils sont membres comme l'Union africaine ou l'Organisation de la Conférence Islamique. 

Pour citer parmi tant d’autres une action de ce pays, en août 2017, l’Egypte a fait don à travers son ambassade au Cameroun, de soixante chaises roulantes et une vingtaine de matériels servant à la rééducation pour les hôpitaux. Cette oeuvre avait pour but d’accompagner les malades sur le chemin de la guérison, et le corps médical dans ses activités, tout en améliorant les conditions d’accueil des patients dans les formations sanitaires.

Liliane N.

 

Published in Politique
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Sunday, 05 June 2022 11:01