L’avocat Christian Ntimbane Bomo pense que le retrait du Chairman Ni John Fru Ndi de la tête du Social democratic front peut être exploité positivement par le parti.
Pour Me Christian Ntimbane Bomo, le départ de Ni John Fru Ndi du Social democratic front (SDF) bien exploité, peut propulser le parti au rang de première formation politique du Cameroun. L’avocat international pense que le Chairman en se retirant de la direction du SDF, laisse ainsi entre ouvert de nouvelles possibilités qui pourraient faire beaucoup de bien au parti de la balance. Entre autres avantages que le parti de Fru Ndi pourrait glaner après son départ, il y a qu’il peut redevenir une véritable alternative dans la succession du président Biya. Il y a aussi que la crise anglophone pourrait bien prendre fin.
Egalement Me Christian Ntimbane Bomo pense qu’il y a un impératif de se réinventer qui se pose au SDF. Et dans cette réinvention, l’avocat recommande que tous ceux qui ont été au-devant de la scène avec le Chairman dans la direction du parti, se mettent de côté pour céder la place à une nouvelle dynamique.
Retrouvez ci-dessous la tribune de Me Christian Ntimbane Bomo
Le SDF a actuellement un bon coup à jouer et peut devenir la première force politique du Cameroun. L'annonce faite par Ni John Fru Ndi de quitter la direction du Sdf pourrait ouvrir de nouvelles perspectives à ce parti et propulser à nouveau le Sdf au-devant de la scène politique et en faire une véritable alternative dans la succession de Paul Biya. Voire une aubaine pour la paix dans le Noso.
À son avantage :
- L'imprenable bastion des régions du Noso, occupées politiquement par défaut, par le Rdpc.
- Ces nombreuses voix francophones qui se sont toujours levées pour demander aussi l'élection d'un anglophone à la présidence de la République du Cameroun.
- La posture centriste adoptée par le Sdf ces dernières années qui pourrait lui donner une image de parti conciliateur dans un contexte de division politique marquée et heurtée.
- La posture républicaine du Sdf qui a toujours défendu l'unité du Cameroun.
Mais pour ce, le Sdf doit absolument se réinventer en faisant une mue interne.
Les anciens du parti, les proches du chairman même ceux occupant des fonctions électives doivent se mettre en posture secondaire et laisser de nouvelles figures émerger et prendre les rênes du parti.
Le Sdf doit recruter de nouvelles têtes qui apporteront de la modernité à ce parti quelque peu flétri. La logique des anciens pour succéder à Fru Ndi doit céder sa place à la nouvelle dynamique gagnante. Osih, Nintcheu et les autres devraient se faire violence pour sauver leur parti.
Ainsi la venue d'un jeune anglophone, politiquement vierge, charismatique, intellectuellement calé, compétent, parfaitement bilingue, francophile, défendant un Cameroun indivisible, pourrait rassurer davantage. La réussite dans le choix de ce futur président du Sdf sera l'élément catalyseur d'un nouvel engouement populaire pour le Sdf. A contrario un mauvais choix ou fade, l'enterrera définitivement.
SDF: Ni John Fru Ndi prendra dans bientôt sa retraite en politique
Pour cette sortie, l’homme qui vit au-delà des frontières du Cameroun a arboré la casquette d’acteur de la Société Civile Critique et croit savoir, dans un texte publié ce jour qu’il s’agit là d’une :
« Perspective de la naissance d’un grand parti d’opposition au Cameroun…
Un constat est clair, la machine partisane actuelle du MRC à elle seule ne peut pas parvenir à libérer le Cameroun du régime et système Biya.
Il faut refonder, mieux muscler ce parti pour en faire un parti qui va mobiliser et canaliser toutes les personnes Maurice Kamto, Mrc- compatibles ou qui luttent pour un changement véritable au Cameroun.
Ce nouveau Mrc est une réalité un groupement politique et idéologique, une dynamique pour le changement.
Il doit être un groupe d'hommes et de femmes qui rassureront par leurs qualités respectives leur capacité à être prêts à prendre en mains la destinée du Cameroun sans que cela puisse susciter quelques craintes.
Le Mrc est aujourd'hui comme le parti socialiste français de 1969 qui a eu besoin d'intégrer en son sein, en 1971, toutes les forces de gauche françaises, pour arriver à la victoire de François Mitterrand en 1981. Il faut une sorte de congrès d'Epinay du MRC qui verra la naissance de ce grand Mrc.
Il est dorénavant clair qu'au Cameroun, il y a deux courants qui s'opposent : les forces du changement qui se reconnaissent en Maurice Kamto et reconnaissent la justesse de son combat, même sans faire partie du Mrc et celles du parti au pouvoir Rdpc, alliés, compatibles ou accompagnatrices dans son funeste dévoiement de la démocratie camerounaise.
La fusion des forces les plus marquantes du changement dans le Mrc permettra des véritables cohésions et implication dans la lutte.
Le schéma du MRC et ses alliés doit disparaître pour laisser naître le grand MRC dont l'objectif sera clair: créer une nouvelle dynamique pour mettre fin au système Biya- Rdpc- France.
C'est donc un parti de mission.
Ce grand Mrc doit intégrer aussi à son sein, même de façon ponctuelle, la société Civile et les idéologues, intellectuels de changement.
Il s'agit dès lors de l'acceptation de la perte de leurs positionnements par les responsables actuels du Mrc et la création autour de Maurice Kamto, l'incarnateur de la lutte, d'une machine de victoire.
Par exemple le duo Maurice Kamto-- Alain Fogue qui certes a permis de bâtir ce parti pourra évoluer vers une equipe : Maurice Kamto-- Penda Ekoka, Yondo Black- Alice Nkom, Albert Nzongang, Gervais Nitcheu, Ntonga, Alice Sadio... et même certains jeunes issus d'autres partis, mais à la volonté de changement manifestée.
Ce grand Mrc doit donc être un consensus.
Des cadres supérieurs du MRC devront accepter de céder leur place à de fortes personnalités représentatives venant d'autres partis ou de la société civile.
Nous voyons par exemple l'arrivée de brillants intellectuels encartés pas sympathisants comme Abdelaziz Moundé, Martial Bissog,Jean-Pierre Dupont, Fridolin Nke, Joseph Léa Ngoula, Crépin Nyamsi, Franklin Nyamsi, Aristide Mono et bien d'autres encore.
Le secrétaire général de ce grand pourrait voir l'arrivée de fortes personnalités anglophone ou francophone comme le Dr Fomunyung, Akere Muna, Agbor Bala, Dr Boutche, Mamadou Mota, l'ancien gouverneur Abacar Mahamat... si tant est que pour certains d'entre eux, leur aspiration profonde est de créer une véritable force alternative au Cameroun.
Au niveau de la diaspora, les mouvements comme la Bas, amazones, Bobi Tanap doivent même ponctuellement s'intégrer dans la dynamique partisane du grand Mrc.
Ce qui éviterait les luttes de leadership, les divisions, mais plutôt une coordination directe de leurs activités par les instances dirigeantes du parti.
Cette refondation verra aussi la création d'une sorte de ministère des finances au sein du parti dont la mission serait de placer des millions de cartes du parti et de collecter des dons.
Car l'une des faiblesses de l'opposition camerounaise face au Rdpc, c'est la modicité des moyens financiers.
Un parti qui démontre qu'il a de gros moyens suscite un fort l'intérêt auprès des populations.
Cette image des partis financièrement faibles est cassante.
Le grand MRC doit avoir des moyens colossaux comme tout parti qui veut accéder au pouvoir.
Un poste comme celui là pourrait être occupé par un financier de la trempe de Christian Penda EKOKA dont la rigueur et la connaissance dans le domaine des finances n'est plus à démontrer.
Pour atteindre une mobilisation maximale, il faudra mener des campagnes d'explication et de nouvelles élections qui vont épouser la configuration sociologique du Cameroun, et la nouvelle vision de ce grand parti selon des critères qui seront soigneusement définis par les instances dirigeantes du parti ».
N.R.M
Sur sa page Facebook, celui qui cette fois a porté la casquette d’acteur de la Société Civile Critique a interpellé ceux qui ont facilement pardonné à Francis Nganou « le frère du village » alors qu’ils continuent de s’en prendre verbalement au Pichichi National.
« Il faut arrêter avec cette discrimination tribale.
La présence de Francis Nganou dans un camp du Bir situé dans le Noso était un acte politique, une prise de position en faveur de l'option militaire adoptée par le régime de Yaoundé dans la guerre qui y est menée.
Il n'a pas choisi le Bir de Limbé fortuitement.
Car si Nganou avait séjourné auprès des troupes du Bir stationnés dans l'Extrême-Nord et qui luttent contre boko haram, son acte aurait été patriotiquement salué et vu comme neutre.
Pour dire simplement les choses, Nganou est allé au Bir de limbe, en pleine zone de guerre, pour blanchir le régime accusé de mauvaise gestion du conflit identitaire qui oppose une partie du peuple anglophone au pouvoir francophone de Yaoundé.
Il y était pour dire aux camerounais que Paul Biya a raison de faire la guerre en lieu et place des négociations qui siéent pourtant dans le règlement des crises identitaires.
Curieusement, après une levée de boucliers de quelques activistes camerounais sur les réseaux sociaux, pour dénoncer son comportement, Francis Nganou est si vite pardonné.
Une certaine jeunesse bamileké des réseaux sociaux, je précise bien bamileké, que j'ai pris soin d'observer les agissements à la suite de ce feuilleton, a décidé de sauver et de protéger Nganou parce qu'il est leur frère.
Le célèbre activiste et lanceur d'alerte Nzui Manto se plaindra d'ailleurs de subir d'énormes pressions de bamileké des réseaux sociaux pour le cas Nganou.
Que ne lit-on pas ce jour, après le passage de Nganou à Équinoxe :
« Nganou a bien parlé, il s'est fait pardonner, la prochaine fois il doit bien communiquer... ».
Nganou est devenu le petit innocent manipulé.
Samuel Eto’o lui ne bénéficiera jamais de circonstances atténuantes, après avoir appelé au vote de Paul Biya lors de l'élection présidentielle de 2018.
Malgré toutes les explications et déclarations qu'il a faites pour s'amender, il n'a jamais été pardonné, au point où ce champion de football, autrefois très populaire, rase pratiquement les murs dans son pays.
La Société Civile appelle donc cette jeunesse bamileké des réseaux sociaux à éviter ces comportements et postures grégaires, à géométrie variable basés sur des critères tribaux.
La République ne se construit pas avec le tribalisme ».
N.R.M
L’homme qui se présente comme le pasteur de la république a engagé une campagne d’apaisement au sein de ce groupe qui au cours des dernières années a démontré sa ferme volonté de détruire le Cameroun et ses Institutions, à travers des actes barbares.
« En ma qualité de Pasteur de la République, j'ai engagé une vaste campagne de médiation et d'apaisement des cœurs au sein de la révolution camerounaise de la diaspora.
Car il faut bien comprendre qu'au-delà de tout ce qu'on voit et fait, pour libérer le Cameroun, il y a le volet spirituel. Et il est un secret de polichinelle que le régime de Yaoundé utilise le spiritisme, la sorcellerie et l'ésotérisme pour zombifier les camerounais.
Il serait donc naïf de croire que le climat et le vent de division au sein de la révolution n'a pas pour origine les incantations des faux prophètes et sectaires du régime de Yaoundé.
Malheureusement pour eux, la révolution est une œuvre de justice sociale pour le bien des camerounais à savoir libérer le peuple camerounais de l'exploitation coloniale par l'usage des gouverneurs français à la peau noire.
J'ai à cet effet parlé à plusieurs révolutionnaires qui m'ont promis l'apaisement.
Hier soir, je me suis entretenu avec Calibri Calibro et Max Senior Ivoire, deux des plus grands symboles et forces de cette révolution combattante.
Je leur ai dit qu'ils n'avaient pas à partir de Facebook, car c'est un puissant instrument de communication que Dieu a donné aux camerounais et les peuples opprimés interdits de médias publics pour se sensibiliser et se libérer.
Aussi que les coups qu'ils prennent sont aussi des sacrifices pour le pauvre peuple du Cameroun pour lequel ils se battent.
C’était très émouvant quand ils me racontaient ce qu'ils ont subi dans cette lutte.
Calibri Calibro et Max Senior Ivoire, m'ont promis qu'ils reviennent sans délai sur Facebook pour sensibiliser davantage notre peuple. Ils ont compris que lâcher la sensibilisation profite au statu quo et freine la lutte qui va à sa fin victorieuse.
Nous avons à cette occasion évoquer le grand sit in de la diaspora camerounaise qui aura lieu le 26 juin 2020 devant le siège de l'assemblée nationale française et qui sera le point de départ des grandes mobilisations de la diaspora pour demander à ces pays de respecter leurs engagements internationaux de démocratie vis à vis du Cameroun, notamment en France, la résolution du 18 Avril 2019 du parlement européen demandant au Cameroun dans le cadre des accords de Cotonou ACP- UE dont il est signataire, de faire adopter un système électoral consensuel avant la tenue de nouvelles élections.
Nous serons donc des milliers ce 26 juin 2020 devant les parlementaires français, pour demander à la France de faire appliquer, en sa qualité de membre influent du Conseil Européen, cette résolution du parlement européen. Ce n'est pas une faveur, mais un droit.
Soyez donc rassurés que la révolution est protégée par Dieu.
Aucune force des ténèbres ne détruira cette belle œuvre de justice et de bien pour le Cameroun… ».
N.R.M
L’homme, incarcéré à la prison principale de Yaoundé et considéré comme lanceur d’alerte aurait besoin de la somme de huit cent mille (800 000) selon Me Christian Ntimbane Bomo.
C’est à travers une lettre ouverte rédigée avec un ton caustique que « l’avocat » a tenu à faire passer son message, arguant que cette somme va permettre de s’acquitter des émoluments des avocats chargés de le défendre.
Des confrères et autres amis de Paul Chouta affirment que « son incarcération est une injustice car il n’est pas aisé de donner les raisons pour lesquelles il est encore maintenu derrière les barreaux ».
Peut être que le paiement de la somme sollicitée va permettre d’en savoir plus sur cette affaire avec l’aboutissement souhaité par les proches du lanceur d’alerte.
La lettre
« N'oublions pas Paul Chouta !
Chers compatriotes, Notre ami et frère Paul Chouta, courageux et incorruptible activiste des réseaux sociaux, est toujours illégalement emprisonné à la prison de Kondengui, et ce, depuis environ 01 an pour des faits supposés de diffamation et propagation de fausses nouvelles, à la suite d'une grossière plainte sans tête, ni queue de l'ex- écrivaine Calixte Beyala, une femme, au bras long et très introduite comme le démontrent ses apparitions aux côtés des pontes gouvernementales du régime dans un pays où, la justice est institutionnellement soumise à l'exécutif.
Sur le strict plan du droit, l'infraction de diffamation est punie de la peine maximale de 06 mois. Celle de propagation de fausses nouvelles par voie cybernétique est de 02.
Etant bien entendu qu'en droit pénal, la propagation de fausses nouvelles quelque soit le moyen de sa diffusion, ne concerne que les cas d'atteinte à la sûreté de l'Etat.
En quoi donc madame Beyala est assimilable à l'Etat ? C'est pour dire que fautif ou pas, Paul Chouta est depuis 06 mois environ, en séquestration abusive à la prison de Yaoundé. Depuis son incarcération, l'affaire de Paul Chouta est renvoyée pour des raisons bizarres de procédure
Nous pouvons donc conclure qu'il est un prisonnier politique. Depuis qu'il est arrêté, Paul Chouta, vit des soutiens multiples, malheureusement qui ne peuvent pas lui permettre de payer ses Avocats. Il a besoin de la somme de huit cent mille (800.000) FCFA pour payer ses Avocats.
Soutenons aussi ces courageux Avocats qui ont accepté de le défendre, dans un contexte où défendre une personne publique qui critique le régime, fait de l'avocat l'ennemi du régime.
D'ailleurs de nombreux Avocats ont décliné l'offre de défense de Paul Chouta. Je communiquerai dès demain, après consultation avec la famille de Paul Chouta, les coordonnées d'envoi d'argent par ceux qui souhaiteraient le soutenir dans cette injuste épreuve ».
Nicole Ricci Minyem
« Qu'on le veuille ou pas, qu'on l'aime ou pas, Maurice Kamto a démontré hier qu'il a la stature d'un homme d'Etat non seulement par ce charisme qu'il dégage, mais aussi par son discours rassembleur, sans projections de rancœurs ou de rancunes contre ses adversaires politiques, son bilinguisme et la bonne maîtrise des questions tant politiques, institutionnelles qu' économiques de l'heure.
1- Sur son charisme. On a vu un homme qui parlait avec assurance et conviction. Bref il imposait du respect.
2- Sur son discours rassembleur.
Son parfait bilinguisme, sa maîtrise des zones reculées du Cameroun du nord au Sud, de l'est à l'ouest. Par exemple quand il a dit qu'il s'est rendu à Oveng, ce petit arrondissement oublié du Dja et Lobo, à la frontière avec la République gabonaise, dont peu de camerounais connaissent l'existence, y compris de nombreux djalobiens. Ou encore quand il a dit qu'il a été plus de 03 fois à Yokadouma à l'est du Cameroun (Il faut y aller pour savoir de quoi il parle), dans des petites bourgades de l'extrême-nord et de l'Adamaoua.
Il a aussi martelé sur son refus de vengeance.
Enfin, jamais on aura assisté à une telle mobilisation médiatique du peuple camerounais pour suivre un événement politique. Même la diffusion des audiences au conseil constitutionnel lors de l'élection présidentielle du 07 octobre 2018 n'avait atteint des pics d'environ 26.000 vues sur facebook et plus de 15.000 vues sur you tube, comme observée hier nuit. Certains vidéos publiées sur des réseaux montrent des camerounais dans les bars en train de suivre cet entretien. Le Cameroun s'est un peu arrêté hier pour le suivre. C'est vraiment l'homme qui fait actuellement la météo politique au Cameroun.
3- Il serait sur abondant, voire redondant de faire mention de sa pertinence lorsqu'il aborde le fonctionnement des institutions. Il a démontré hier nuit qu'il avait une parfaite maîtrise des questions économiques et monétaires.
Ses analyses sur les données et économiques et monétaires notamment du CFA ont été remarquables. Il ne s'est pas arrêté à faire des diagnostics, mais a fait beaucoup de prospective.
4- Sur la question anglophone.
Son plan de sortie de crise était très cohérent. Il en a détaillé les voies et moyens notamment un fédéralisme à plusieurs États et le rejet catégorique du sécessionnisme alors qu'on lui a souvent prêté de faire le jeu des sécessionnistes.
Pour tout dire, il a beaucoup rassuré, même dans la fermeté de ses positions et postures sur les enjeux politiques tels que la nécessité d'adoption d'un code électoral et le règlement de la crise anglophone, avant toute élection.
On a vu finalement un homme apaisé, loin de clichés de va t-en- guerre qu'on lui a toujours prêtés à dessein. Même son chargé de mission Jean De Dieu Momo a reconnu qu'il s'est fait passer en quelque sorte pour un saint.
Je dis Bravo à ce leader politique pour cette belle prestation qui a effectivement apaisé et rassuré les Camerounais… ».
N.R.M