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Selon le directeur technique de la société de renseignement sur la cybercriminalité Hudson Rock qui révèle cette fuite, ce sont 106 pays dans le monde qui sont concernés. En effet, c’est une base de données de 533 millions d’utilisateurs Facebook dont 1 997 658 au Cameroun qui circulent librement sur la toile depuis le 3 avril 2021.  

 

Parmi les données des utilisateurs du réseau social Facebook qui sont actuellement en circulation sur internet, figurent le nom complet, le numéro de téléphone, l’identifiant du compte, la dernière localisation, la date d’anniversaire, l’adresse e-mail, la date de création du compte, la biographie, le statut relationnel.

Ces informations constituées en base de données équivalent d’un énorme annuaire peuvent être utilisées par des pirates. Ceux-ci peuvent s’en servir pour réaliser des attaques ciblées de type phishing, par SMS ou par e-mail. Compte tenu de cet état de choses, les internautes concernés par cette fuite sont donc appelés à redoubler de vigilance.

Comment savoir si l’on est concerné par cette fuite de données ?

Troy Hunt, le créateur du site HavelBeenPwned.com, a procédé à la récupération de la totalité de la base de données. Ainsi, il est possible à partir de ce site internet, de savoir si son mail ou son numéro de téléphone y figure. Pour la recherche, il faut entrer le numéro de téléphone en format international, c’est-à-dire avec l’indicatif, renseigne-t-on.

Cette fuite de données numérique est la plus importante de l’histoire du réseau social Facebook. L’on se rappelle que 419 millions de personnes ont été piratées en 2019 et 267 millions de décembre de la même année. L’Egypte (44 millions d’utilisateurs), la Tunisie (39 millions) et l’Italie (35 millions), sont les pays les plus affectés par ce piratage de données en ligne.

 

Innocent D H

Published in Télécommunication

Structure chargée de la production cinématographique au Nigeria, Nollywood a surmonté plusieurs obstacles à ses débuts. Il est devenu aujourd'hui, l’industrie cinématographique la plus prolifique au monde grâce au rôle indéniable que jouent Internet et le Smartphone.

 

La production des films au Nigeria déjà florissante depuis les années 1960, Nollywood, l’industrie nationale de la vidéo a fait un bond spectaculaire en 1992 avec la sortie du film à suspense et à succès « Living in Bondage ». Ce film écrit par Kenneth Nnebue et Okechukwu Ogunjiofor, raconte l’histoire d’un homme d’affaires qui a tué sa femme lors d’un rituel de sacrifices humains qui l’a rendu riche du jour au lendemain, mais qui était ensuite hanté par le fantôme de sa femme. "Living in Bonsage" est devenu  la toute première superproduction nigériane.

 

Selon l’écrivain nigérian, Steve Omanufeme, après des décennies de faible croissance, Nollywood est aujourd’hui l’une des plus grandes industries cinématographiques au monde en termes de nombre de films produits.

 

Nollywood se classe ainsi au deuxième rang derrière Bollywood (Inde), en termes de nombre de films produits. Cette industrie cinématographique conserve toutefois sa troisième place au classement mondial, avec Hollywood aux Etats-Unis et Bollywood en Inde, occupant respectivement les première et deuxième positions.

 

 Actuellement, l'industrie présente 853,9 milliards de nairas (environ 3 milliards de dollars), soit 1,42% du PIB du Nigeria. Elle emploie à elle seule plus d’un million de personnes directement ou indirectement. 

 

"Compte tenu de la quantité et de la qualité des films réalisés, les observateurs économiques considèrent que Nollywood est l’un des principaux outils permettant de diversifier l’économie nigériane ", a indiqué Steve Omanufeme dans un article publié par le magazine Finances et Développement du FMI.

 

Nollywood a mûri, puis fait adoption de la technologie moderne dans la production de ses films. Elle a récemment attiré l’aide étrangère et locale pour développer son secteur. A titre d’exemple, le secteur a connu une explosion en 2018 et les acteurs, ainsi que les producteurs l’ont vite reconnu. 

 

Innocent D H

 

Published in International

"Jeunes et Réseaux Sociaux : Comment optimiser le potentiel créatif des étudiants et étudiantes des universités camerounaises ?" C’est le thème général choisi, pour conduire les travaux qui s’ouvrent ce mercredi, au campus de l’Université de Yaoundé II – Soa. Pendant deux jours, les participants, parmi lesquels six étudiants leaders de chaque institution, vont apporter diverses contributions au cours des travaux en atelier en plus des débats et des discussions.  

 

L’organisation a choisi des thématiques, qui viennent remettre au devant de la scène, les différentes problématiques que pose l’utilisation des réseaux sociaux en milieu estudiantin : Fonctions caractéristiques et utilité fonctionnelle des Réseaux Sociaux : Comment tirer profit des avantages pour optimiser le potentiel créatif des étudiants ? - Dangers et risques des réseaux sociaux numériques : Comment prémunir les étudiants ? - L’usage pertinent et sécurisé des réseaux sociaux : civisme et responsabilité.   

 

 

Malgré la cherté des heures de connexion à Internet, le mauvais débit, l'absence d'infrastructures de pointe et les coupures intempestives du courant électrique, l’on a observé comme une addiction des étudiants à l'égard des réseaux sociaux. Ils y vont généralement soit pour se faire des relations, communiquer avec autrui, chercher du travail, soit pour des raisons d'immigration, trouver l'âme-sœur, faire des cottages de paris sur le football ou pour des raisons académiques (...).

 

Les téléphones portables et toutes les options qu’ils offrent ont certes pris le dessus sur l’utilisation des tickets dans des cybers café, mais, dans certaines zones, les cop’s ont encore recours à ce que certains considèrent comme des techniques d'adaptation, de bricolage et de détournement, notamment l’utilisation minutieuse et, à plusieurs reprises des tickets jusqu'à épuisement des heures de connexion. On évoque aussi les emprunts contractés auprès des camarades.

 

Par ailleurs, les résultats d’une étude menée par de nombreux organismes en 2018, font ressortir le fait que le contexte socio-économique au Cameroun ne facilite pas la démocratisation d'Internet pour les étudiants. Selon le Programme des Nations Unies pour le Développement, un Camerounais vit avec moins de 1,25 dollar par jour. Or les coûts d'accès à Internet restent paradoxaux quant-au niveau de vie des camerounais, surtout pour les étudiants dont les revenus sont très négligeables. Puisque, ces derniers doivent généralement se munir de près d'un Euro, pour bénéficier de deux heures de connexion à Internet ou de deux Euros pour cinq heures. Des tarifs susceptibles d'être revus à la hausse et à la baisse en fonction du lieu et du débit de connexion.

 

Quelques réalisations des jeunes startup - peurs camerounais

 

Toutefois, malgré ce qui précède, ils sont nombreux, les jeunes étudiants camerounais, regroupés ou non dans des startups, qui ont réalisé de très belles choses :

Sukuloo une plateforme qui garantit aux parents le suivi scolaire des élèves et étudiants

 

Maviance mise sur le payement instantané des factures

 

GiftedMom met les TIC au service de la santé maternelle et infantile

 

Will & Brothers pour l’usage des drones civils

 

lalala.com permet aux agriculteurs de trouver des débouchés dans le monde

 

- Himore Medical a mis au point le Cardiopad, la première tablette médicale africaine

 

Djangui facilite les transactions des adhérents éparpillés à travers le monde, qui veulent gérer les tontines en ligne

 

Novazen développe la première application pour réservation des taxis en Afrique centrale

 

- Ease Travel Services lance l’application MyAirport Cameroun pour diffuser les programmes des vols

 

Kiro’o Games installe le Cameroun sur le marché high-tech des jeux vidéo

 

Amla Metrics se propose de mettre au point une application pour combattre la contrebande…

 

Le Forum des étudiants des universités du Cameroun qui s’ouvre ce jour, sera présidé par le Ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement Supérieur, le Professeur Jacques Fame Ndongo qui, pour la circonstance, sera accompagné par de nombreuses autres personnalités.

 

Nicole Ricci Minyem

 

Published in Education

A titre d’illustration, 1 Giga octet de données Internet a coûté 9,2 % du revenu mensuel moyen sur le continent.

 

En Afrique, 1 GB de données Internet a coûté 9,2 % du revenu mensuel moyen en 2018. C’est ce que  révèle la cinquième édition du rapport annuelle de l’association Alliance for Affordable Internet (A4AI) sur l’accessibilité à Internet sur le continent africain.

Selon l’étude, le coût de la donnée Internet est plus cher en Afrique qu’en Asie et en Amérique. D’après A4AI, dans le pool régional composé de l’Amérique latine et des Caraïbes, 1GB d’Internet coûte seulement 2,8 % du revenu mensuel. En Asie, il faut débourser seulement 1,5 % du revenu mensuel pour se procurer le même volume de données Internet.

Mais l’Afrique n’est pas seulement en retard sur les autres continents. Le coût de la donnée sur le continent, en 2018, a augmenté par rapport à l’année précédente de 8,8%. Les récentes augmentations des taxes sur la donnée Internet, dans certains pays africains, peuvent expliquer ces statistiques selon le rapport.

Comment réduire ce coût d’accès à internet dans les pays africains ?

Alliance for Affordable Internet préconise en  gros pour ce faire de miser sur l’infrastructure et la coopération entre pays afin de réduire les coûts de transits et les tarifs d’interconnexion pour les pays sans littoral. S’agissant des infrastructures en particulier, A4AI recommande, pour rendre l’accès à internet plus abordable sur le continent, la mise à jour de celles existantes et l’investissement dans de nouvelles plus performantes.

Accès internet au Cameroun et Afrique centrale

Selon le rapport Digital, Social Media, Mobile et E-commerce, le Cameroun comptait en 2018 environ 19 millions d’abonnés à la téléphonie parmi lesquels 6,13 millions d’internautes. Soit environ 25% de la population connecté. Toujours selon ce rapport,  le mobile reste le terminal privilégié des internautes camerounais avec 5,7 millions d’utilisateurs actifs d’internet mobile, soit un peu plus de 93% des 6 millions d’internautes camerounais.

Avec un taux de pénétration d’internet évalué à environ à 25%, le Cameroun reste largement en dessous de la moyenne africaine évaluée en 2018 à 34% (435 millions d’internautes africains sur ses 1,2 milliards d’habitants); mais deux fois plus que la moyenne régionale d’Afrique centrale évaluée à 12% seulement.

L’Afrique centrale reste la région avec le taux de pénétration d’internet le plus faible au monde (12%), loin derrière l’Afrique Australe (51%), l’Afrique du Nord (49%), l’Afrique de l’Ouest (39%) et l’Afrique de l’Est (27%), du fait notamment des pays comme le Tchad, la RDC  et le Congo qui affichent respectivement 5%, 6% et 12% de pénétration d’internet. 

 

Lien utile : What are the policies needed to accelerate progress on the path to affordability? 

 

Published in International

A la faveur de la journée mondiale contre la censure sur  Internet, célébrée tous les 12 mars, la question se pose et la réflexion sur l'opportunité de censurer les acteurs d'Internet au Cameroun est lancée. Quelle attitude adopter face à la montée de la haine et de la diatribe sur la toile dans notre pays ?

 
 
Interdit d'interdire. Tel est le leitmotiv de cette journée initiée par l'organisation internationale Reporters Sans Frontières (RSF) en 2008. L'objectif des journalistes est de libérer la parole sur Internet dans plusieurs pays du monde qui continuent de museler la parole publique sur la toile. Seulement, si cette célébration est fondée pour certains États du Proche-Orient et de l'Asie en général, c'est une journée mal reçue dans nombres de pays africains, dont le Cameroun.
 
A ses origines, cette journée a pour but de dénoncer la cybercensure dans le monde, la répression des internautes et précisément les blogueurs qui seraient croissante et les fermetures des sites web toujours plus nombreuse.
 
La journée internationale pour la liberté d’expression sur internet n'est pas encore vraiment célébrée au Cameroun. Et pourtant notre pays n'est pas épargné par ces questions de censures sur internet. Si l'activité de censure n'est pas encore très visible, il n'en demeure pas moins qu'elle apparaît de plus en plus comme une nécessité. L'on peut aisément comprendre pourquoi les autorités de la République n'ont pas encore intégré cette autre journée dans le corpus de celles qui retiennent l'attention des départements ministériels.
 
 
S’il y’a bel et bien un endroit au Cameroun où la limite entre la liberté et le libertinage est complètement floue, c’est sur les réseaux sociaux. Il n'est pas rare d'y voir chaque jour des hommes et femmes commettre des  outrages à Chef d'Etat. C'est le terreau de l'invective, de la calomnie et de la diffamation. Chacun peut se cacher derrière son écran, disposer d'un ou de plusieurs faux profils et profiter de cette réalité virtuelle pour se transformer en véritable cybercriminel. Les discours de haines, le tribalisme et le sectarisme le plus poussé et encouragé. C'est à corps et à cri que les victimes de ces comportements rétrogrades appellent à la censure.
 
D'un autre côté, la toile a fait naître dans notre pays de nouvelles formes de "journalismes". Reporter Sans Frontières même aurait d'énormes difficultés à se reconnaître dans ce qui est considéré comme journalisme via internet dans notre pays. Mis à part des sites tel www.agencepressecameroun.com et quelques autres qui se donnent le devoir de diffuser de l'information fiable et correcte, de nombreuses pages n'existent que pour l'invective, la délation et la diffamation.
 
Certes démocratie rime avec liberté. Mais la liberté d'expression sur internet gagnerait à subir la censure pour le bien commun et pour la nécessité de la construction de notre jeune société.
 
 
Stéphane Nzesseu
Published in Société
Le Cameroun s'est joint à la communauté internationale ce 12 mars pour se souvenir qu'Internet aussi est un espace d'expression des libertés et que celles-ci doivent y être préservées.
 
 
Encore appelée journée mondiale contre la censure, la journée internationale pour la liberté d’expression sur internet est célébrée depuis 2008 chaque 12 mars de l’année. Elle est créée par Journalistes sans frontières (JSF) pour dénoncer la cybercensure dans le monde, la répression des internautes et notamment des blogueurs qui serait croissante et les fermetures des sites internet toujours plus nombreuses. Le fait est que internet offre de nombreuses possibilités d'expressions. De plus le fait de se cacher derrière un pseudonyme ou un faux profil peut donner l'impression au rédacteur qu'il ne sera pas identifié et lui donne comme le pouvoir de dire des choses qu'il n'aurait jamais pu dire à visage découvert.
 
Si l’on apprécie à juste titre le fait que l’information est facilement véhiculée via les réseaux sociaux, que chacun se sente un peu plus camerounais derrière son écran de téléphone ou d’ordinateur, difficile est de ne pas constater que  la liberté d’expression sur internet a des tendances de libertinages. S’il y’a bel et bien un endroit au Cameroun où la limite entre la liberté et le libertinage est presque inexistante c’est sur les réseaux sociaux.  Ici, un internaute peut se permettre de parler du Président de la République sans aucun égard, avec déconvenue, comme s'il parlait de son voisin de palier ou d'une personne quelconque.  Au Cameroun comme ailleurs, la toile a contribuer à briser le mythe de la  fonction d'État.
 
L'un des terrains d'expérimentation de ces joutes communicationnelles fut les élections présidentielles d’octobre 2018, les discours de haine, les discours empreints de toute sorte de vulgarités à l’endroit des principaux dirigeants de l'État ont déferlé sur la toile. Avec une utilisation plus importante chaque jour des réseaux sociaux par nombres de Camerounais, on s'est retrouvé dans un tourbillon de propos discourtois voir injurieux dans différents camps Paris les acteurs en scène.
 
La liberté allant de pair avec la démocratie, il est donc à retenir que les comportements tels le libertinage démesuré à travers internet sont répréhensibles au regard des dispositions de la constitution et d'autres lois camerounaises. Par conséquent le citoyen doit veiller au respect scrupuleux des dites lois. S’il est vrai que la jeunesse camerounaise trouve dans les réseaux sociaux une tribune pour s’exprimer librement, ils doivent le faire de façon citoyenne et responsable car autant les sociétés numériques peuvent fédérer les homme, autant peuvent-elles  également les diviser. Il revient donc de la responsabilité de tout un chacun de s'auto-censurer une fois devant son terminal numérique.
 
 
 
Published in Société

Le forum africain sur le Peering et l’Interconnexion (AfPIF) est un événement annuel qui fait office de plate-forme pour le développement de l’Internet en Afrique

 

 

L’Internet Society et l’Association Africaine des points d’échanges de l’Internet, (AFIX) ont annoncé que la 10e édition du forum africain sur le Peering et l’Interconnexion (AfPIF) se déroulera à Port Louis (Maurice) du 20 au 22 août 2019, en collaboration avec l’hôte local, Rogers Capital.

L’AfPIF est un événement annuel qui fait office de plate-forme pour le développement de l’Internet en Afrique. Il rassemble les principaux fournisseurs d'infrastructures, de services et de contenus afin d'améliorer l'interconnexion des réseaux, de réduire les coûts de connectivité et d'augmenter le nombre d'utilisateurs d’Internet dans la région. Organisé pour la première fois en 2010, l’événement a été créé pour sensibiliser la population au fait que la majeure partie du trafic Internet africain provient de l’extérieur du continent ou en sort.

L’an dernier, plus de 400 participants ont assisté à la neuvième édition de l’AfPIF au Cap, en Afrique du Sud. La manifestation a rassemblé des fournisseurs de transport, de transit et de contenus internationaux, régionaux et infrarégionaux, ainsi qu’une vingtaine d’opérateurs de points d’échange Internet (IXP). Cette année, les organisateurs s’attendent à une hausse de la participation.

« L'élimination des obstacles à la disponibilité et à la distribution des contenus aura un impact significatif sur l’Internet en Afrique. Cela améliorera l’accessibilité des contenus internationaux existants », a expliqué Michuki Mwangi, responsable principal du développement pour l’Afrique à l’Internet Society. « L’AfPIF est le seul événement organisé en Afrique à être axé sur le développement de l’Internet par l’établissement de relations. Il joue un rôle clé en réunissant différentes parties en vue d’accroître les échanges de trafic local au sein du continent », a-t-il ajouté.

Kyle Spencer, coordinateur adjoint de l’Association Africaine des points d’échanges de l’Internet a déclaré : « Notre objectif est de localiser 80 % du trafic Internet de l’Afrique d’ici 2020, et je crois que nous sommes sur la bonne voie. Packet Clearing House indique que l’Afrique connaît actuellement la plus forte progression au monde de la bande passante domestique ; le continent est en effet passé de 410 Gbps à 786 Gbps au cours des 12 derniers mois, soit une augmentation de 92 % - un chiffre corroboré par nos données de référence internes. C’est une période passionnante pour l’Afrique et nous sommes impatients de poursuivre sur cette lancée à Maurice. »

« Nous sommes ravis d’accueillir l’AfPIF 2019 à Maurice, d’autant plus que l’édition de cette année coïncide avec la célébration de ses 10 années d’existence. En tant que pôle d’affaires diversifié et sophistiqué de la région, nous pensons que Maurice peut favoriser l’ouverture de nouvelles perspectives d’affaires pour les délégués de l’AfPIF. Nous sommes impatients d’accueillir les délégués en août 2019 et d’apporter notre soutien au développement de l’infrastructure internet en Afrique », a déclaré Dev Hurkoo, directeur général de Rogers Capital-Technology.

Published in Economie






Sunday, 05 June 2022 11:01