Ces conseillers régionaux reprochent au parti politique une absence de dialogue.
Alors qu’on est rendu à quelques jours des élections régionales prévues le 6 décembre 2020, 12 conseillers régionaux décident de quitter le Front pour le Salut National du Cameroun (FSNC), le parti politique d’Issa Tchiroma. Ces conseillers municipaux regroupés au sein d’un collectif, sont de la Commune d’arrondissement de Maroua 2e. Ils ont fait parvenir au président national de leur désormais ancien parti, une lettre de démission collective.
La raison pour laquelle, les 12 conseillers municipaux ont décidé de quitter le bateau du FSNC est un manque de dialogue avec la base du parti politique. « En effet, depuis quelque temps, il nous est apparu impossible de prendre attache et de dialoguer avec nos responsables politiques dans la région, rendant ainsi notre travail d’élus locaux impossible dans nos localités respectives…Après moult recherches à l’amiable pour ramener lesdits responsables à nouer le dialogue en vain, nous sommes au regret de vous annoncer, monsieur le président, notre départ définitif du parti», ont-ils écrit.
Jusqu’à ce jour, le FSNC n’a pas encore réagi après le départ de ses rangs des 12 Conseillers municipaux de la Commune d’arrondissement de Maroua 2e. Toutefois, cette désertion des rangs du FSNC impacte négativement les plans du parti d’Issa Tchiroma Bakary. Parce que déjà il y a un possible retournement de ces conseillers vers un autre parti représenté dans la commune. Car, jusqu’avant la démission, le FSNC comptait 25 sur 35 conseillers de la Commune de Maroua 2e contre 6 pour le Rdpc, 2 pour l’Andp 2 et 2 pour Undp. Si les conseillers démissionnaires basculent vers une autre formation politique, cette formation deviendrait alors majoritaire, et le maire FSNC Abdoulaye Sinele pourrait se retrouver à diriger la commune sans majorité.
Liliane N.
Il s’agit de l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (Undp) et du Front pour le salut national du Cameroun (Fsnc) en lice pour les régionales 2020 dans cette partie du pays. Ces formations politiques de l’opposition ne comptent pas jouer les figurants le 06 décembre prochain, date prévue pour la tenue de ce scrutin, le tout premier au Cameroun.
Un trait commun semble caractériser les stratégies de campagne des partis politiques de l’opposition dans la région du Nord. Il s’agit d’un contact direct avec les électeurs (campagne de proximité). C’est le cas de l’Undp en lice dans la Bénoué et le Mayo-Louti comme le témoigne Sadou Maïdadi, tête de liste de la Bénoué, « Les élections à suffrage indirect là où il y a les grands électeurs sont des élections très stratégiques. Nos stratégies sont très bien huilées et elles seront efficaces. Je suis convaincu que l’Undp va atteindre ses objectifs ».
Dans la Bénoué et le Mayo-Louti, est aussi présent, le Fsnc qui est engagé dans une stratégie de porte à porte question de faire vendre son offre politique. « Nous allons auprès de chaque électeur présenter le plan d’action du Fsnc essentiellement tourné vers l’amélioration des conditions de vie des populations et la promotion de la paix, le vire ensemble pour un développement harmonieux », déclare Issa Mbamsi, membre du bureau politique du Fsnc.
Il faut souligner que l’Undp et le Fsnc ont en face d’eux un adversaire de poids qui n’est pas moins que le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), disposant une majorité confortable de conseillers municipaux. Toutefois, ces partis politiques restent déterminer à conquérir des sièges du conseil régional à venir.
Innocent D H
Le journal le Jour en date du 27 avril 2020 a relayé l’information sur un mémorandum des problèmes des fils du Septentrion qui sembleraient se désolidariser du Président Paul Biya pour se rallier au MRC et à son dirigeant. A la suite de ce sujet qui a fait la une de l’actualité récemment, Issa Tchiroma, le président national du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC) vient de monter au créneau pour un recadrage.
Dès l’entame de ses propos, Issa Tchiroma Bakary rappelle les faits qui ont marqué l’actualité concernant le sujet au moment où le Cameroun. « Pendant que notre pays, à l’instar d’autres Nations, ploie sous la menace existentielle d’un ennemi d’autant plus redoutable et cruel, qu’invisible et implacable, le journal « Le Jour » dans sa parution du 27 avril 2020, jette un gros pavé dans la mare de la classe politique, de la société civile, mettant ainsi un terme à la nécessaire trêve des confiseurs, observée par tous, au nom de l’Union sacrée, rempart et antidote à ce terrible virus », rappelle-t-il.
Le président national du FSNC, pose la nécessité de mobiliser toutes les énergies pour vaincre cet ennemi commun et cruel, car dit-il, « il y a un temps pour tout », notamment « un autre temps pour la politique politicienne ».
Le Choix du FSNC
« Je voudrai en ma qualité de président du FSNC, l’un des pères fondateurs de la coordination des partis politiques de l’opposition lors de la période dite de braises, l’un des pères fondateurs et modérateur de la coalition des Partis politiques de l’opposition des années 2000(…). Je commence d’abord par réaffirmer pour dissiper tout doute et tout malentendu que le FSNC dont je préside à la marche, à l’humanité de ses dirigeants, a choisi d’accompagner le Président Biya jusqu’à la fin heureuse de sa carrière politique », martèle Issa Tchiroma Bakary.
Parlant de la géopolitique septentrionale, l’ancien ministre de la communication, souligne pour le rappeler qu’à la faveur de la convocation de tous les partis politiques présents à l’Assemblée nationale pour la concertation et la coordination de la lutte contre la pandémie de Covid-19, par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, « les partis politiques, porteurs de la légitimité du septentrion que sont le RDPC, l’UNDP, le FSNC et le MDR ont renouvelé au Premier Ministre leur soutien total à la politique menée par le Président de la République à la tête de notre Nation, et ont demandé au Premier Ministre, Chef du Gouvernement de rassurer le Président de la République de leur soutien total et indéfectible. Qui en dehors des dirigeants de ces partis politiques, détiendraient légitimité élective et autorité morale pour décider de la rupture ou de la consolidation d’une alliance ? », s’interroge Issa Tchiroma.
L'ingénieur SUPMECA parlant du Septentrion questionne pourquoi le Grand Nord suscite tant de convoitises ? Il réalise après réflexion qu’en démocratie, démographie est synonyme de pouvoir ; parce que 50% des pauvres et parfaitement illettrés disposent du pouvoir de désignation de celui qui présidera aux destinées de la Nation, parce que de son poids démographique de 1992 à ce jour, le vote du septentrion a été déterminant pour la désignation du Président de la République. De ce fait, Tchiroma pense que « quiconque aspire à gouverner notre Nation par voies démocratiques ne resterait indifférent ou à l’écart de ce vivier électoral. Je comprends pourquoi les thuriféraires du MRC ont estimé utile, par les artifices et des mises en scène dignes des impresarios hollywoodiens, d’annoncer urbi et orbi le divorce de l’alliance Septentrion-RDPC-Paul Biya ».
Issa Tchiroma Bakary dans la conclusion de ses propos, invite les Camerounais dans leur ensemble à s’inscrire massivement sur les listes électorales. « C’est ça la panacée universelle à tous nos problèmes », conseille-t-il.
Innocent D H
Progressivement rendus publics par les Commissions communales de supervision de vote, les premiers résultats font savoir que le Rassemblement démocratique du peuple camerounais s’en sort avec une majorité relative à Garoua Ier, IIème et IIIème. Un constat se dégage, ces premières statistiques changent légèrement la carte politique dans cette partie du Cameroun.
Dans l’arrondissement de Garoua Ier, c’est un sentiment du devoir accompli qu’affichent les membres de la Commission communale de supervision de vote. Dirigée par Lucien Tabi Otou, tous se disent satisfaits de la qualité du travail abattu.
« Les travaux se sont bien déroulés dans l’ensemble. Tout le monde était unanime sur les résultats. Le RDPC a obtenu la majorité relative. La Commune de Garoua Ier compte 35 sièges répartis comme suit : le RDPC a obtenu 25 sièges, le FSNC 5 sièges et l’UNDP 5 sièges également », précise Abdouramane, le chef d’antenne ELECAM de Garoua Ier, par ailleurs membre de la Commission de vote.
Ces résultats permettent au parti du flambeau ardent de consolider ses acquis dans l’arrondissement de Garoua Ier. Une logique de consolidation des acquis a plutôt échappé à l’UNDP dans l’arrondissement de Garoua IIème car il revient désormais au RDPC de conduire l’exécutif municipal avec 26 conseillers municipaux, pendant que le parti de Bello Maïgari a droit à 6 conseillers. Le FSNC quant à lui s’en sort obtient 3 sièges.
Dans l’arrondissement de Garoua IIIème, le RDPC continuera de régner à la tête de l’exécutif communal. 23 sièges reviennent au parti de Paul Biya, alors que le FSNC a droit à 6 conseillers municipaux, pendant que l’UNDP se contente de 2 sièges.
Voici pour l’instant les résultats des municipales dans les trois arrondissements de la ville de Garoua. Cependant, il ne faudrait pas oublier que le contentieux post-électoral pourrait apporter des changements dans le cadre de la loi électorale.
Innocent D H
Le président du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC) promet à l’électorat de cette circonscription, la création des emplois pour la jeunesse et la réalisation des projets d’envergure dans les domaines éducatif, hydraulique, sanitaire entre autres. Un meeting vient de se tenir au quartier Marouaré sous la bannière de Issa Tchiroma Bakary.
Pour les élections locales jumelées du 09 février prochain, le FSNC de Issa Tchiroma Bakary s’est donné pour principal cheval de batail dans la circonscription électorale de Garoua IIème, obtenir la majorité des suffrages aux municipales et législatives.
« Après dix ans, il faut dresser le bilan. Qu’a fait le parti qui était aux affaires pour les populations ? Je suis triste parce que ceux qui n’ont pas semé se préparent à récolter. Ils viennent acheter les voix des populations moyennant billets de banque et bières. Moi, je dis à la population prenez votre responsabilité en main », souligne le président du Front pour le salut national du Cameroun.
Il faut signaler que durant plus d’une heure, le président du FSNC a communié avec les militants et sympathisants de sa formation politique. « Il est temps pour vous d’oublier les tristes séquences du passé afin d’embrasser un présent où tous les habitants de Garoua IIème se sentiront plus épanouis », martèle en outre Issa Tchiroma Bakary.
Promesse
L’homme politique promet aux jeunes de Garoua IIème, la création de nombreux emplois et aux populations, la réalisation des projets sociaux d’envergure afin que celles-ci tournent définitivement la page de la pauvreté. Il les invite par ailleurs, à voter massivement les listes du FSNC le jour du double scrutin pour une victoire écrasante du parti aux législatives et municipales.
Innocent D H
L’actuel ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle de Paul BIYA est en course pour un mandat de député. C’est un homme qui connaît bien le Parlement qui veut y retourner.
Il a déjà une fois été membre de l’Assemblée Nationale. Issa Tchiroma Bakary était du nombre des 180 de la 5e législature. Homme politique habile, le natif de Garoua demande le suffrage des populations de cette ville pour conduire un mandat de député de la nation. Une orientation que d’aucun qualifie déjà de refuge politique, ou de retraite politique. Car, tous les observateurs de la scène politique camerounaise estiment qu’Issa Tchiroma est dans un ministère de seconde zone d’un point de vue politique. Or, l’ancien cheminot est un leader. Et il préfère jouer les premiers rôles. Il est donc naturel de constater qu’il est prêt à laisser derrière lui la charge de Ministre de la République pour aspirer aux responsabilités de représentant du peuple.
Le Président du FSNC, le Front pour le Salut National du Cameroun, entre en campagne ce samedi à Garoua. Pendant deux semaines, il ira à la rencontre des militants et des populations de cette circonscription administrative pour espérer leur suffrage. D’un autre côté, il faudra également réussir des négociations avec le RDPC qui est en pole position dans la région, s’il souhaite vraiment avoir un siège. Même si c’est à la proportionnelle.
Caractérisé par son franc parler et sa proximité avec la presse, il y a une certaine garanti de ce que rien ne passera au sein du parlement sans que les camerounais n’en soient véritablement informé. Il fera à chaque fis entendre sa voix au sein de la chambre basse pour l’intérêt des citoyens. Enveloppé par son immunité parlementaire, il fait partie de ceux qui seront capables si de besoin d’initier des enquêtes parlementaires pour rendre compte aux camerounais de la gestion de la chose publique. De plus c’est un homme qui a le cœur dans la main, pour le grand bien des populations.
Issa Tchiroma Bakary, né vers 1949 à Garoua, dans le nord du Cameroun, est un ingénieur des chemins de fer et homme politique camerounais, député, ministre des Transports du 27 novembre 1992 au 19 septembre 1996, puis ministre de la Communication à partir du 30 juin 2009. Il fait à nouveau partie du gouvernement Philémon Yang, du 31 mars 20153 au 4 janvier 2019. Suite au remaniement survenu le 4 janvier 2019, il est nommé ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle dans le gouvernement Joseph Dion Ngute. Il est président du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC), parti politique minoritaire, un parti qui se veut allier du RDPC.
Stéphane NZESSEU
En sa qualité de président du Front pour le Salut national du Cameroun, Issa Tchiroma Bakary a entamé une tournée politique dans les régions du Nord et de l’Extrême-Nord.
Tout comme le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), au sein du parti politique d’Issa Tchiroma Bakary, le Front pour le Salut national du Cameroun (Fsnc) a déjà les yeux rivés sur les prochaines élections. C’est ce qui justifie la tournée entamée par son président national. Voulant remobiliser ses troupes, il s’est rendu premièrement dans la région de l’Extrême-Nord. Là-bas, il est allé voir les militants du Fsnc qui sont Bibé-miré, Djamboutou, Ouro Wourso, Nassaro, Laïnde, etc), avant de mettre le cap sur Guider dans le Mayo-louti, Djalingo dans l'arrondissement de Garoua III et Maroua.
Lors de cette récente tournée, Tchiroma qui avait à ses côtés Jeanne Nsoga Sone Secrétaire général du parti et plusieurs hauts cadres, a indiqué qu’il est plus que jamais déterminé à conquérir des postes électifs, locaux dans plusieurs circonscriptions électorales lors des prochaines échéances électorales.
Issa Tchiroma a saisi l’occasion pour prêter attention aux militants et sympathisants. Ceux-ci ont présenté leurs doléances. Leurs plaintes ne sont pas tombées dans les oreilles d’un sourd. Car le président les a fait savoir qu’il va les transmettre aux différentes administrations concernées par les problèmes soulevés. « Pendant que les autres partis politiques viendront vous promettre des choses contre vos votes, nous au Fsnc, réaliserons même ce qui n'a pas été promis au préalable », a-t-il déclaré.
Dans la région du Nord où il s’est aussi rendu, Issa Tchiroma a tenu des assises restreintes avec les commissions départementales de son parti politique. Lesdites assises ont été suivies aussi par les membres du bureau politique et au comité central. Galvanisés, les démembrements locaux du Fsnc n'attendent désormais que la convocation du corps électoral.
Liliane N.
Les militants du Mrc n’échappent pas aux démissions massives et ralliements collectifs au parti de Issa Tchiroma Bakary dans le département de la Bénoué dans la région du Nord. Une vague de démissions massives et de ralliements collectifs 350 militants et militantes du Mrc déferle sur le parti du Fsnc dans les arrondissements de Garoua 1,2 et 3 depuis la relance des inscriptions sur les listes par Elecam dans la région du Nord.
Quelques jours, après le séjour du président du Front pour le salut du Cameroun, Issa Tchiroma Bakary au Nord, les résultats sont déjà visibles sur le terrain. C’est à une véritable danse bafia que se livrent les acteurs du landerneau politique nordiste. Entre démissions massives ou individuelles et ralliements collectifs, la transhumance politique est un phénomène actuellement à la mode dans le milieu politique nordiste. Reçus en grande pompe par le secrétaire à l’organisation du Fsnc accompagné du président de base du Fsnc de Garoua, les démissionnaires du Mrc avaient justifié leur départ du parti de Maurice Kamto par les démarches de vouloir à tout prix, prendre le pouvoir par la force de leur désormais ex-leader.
Des raisons assez gravissimes selon eux pour aller voir ailleurs, c’est-à-dire, rejoindre une autre formation politique où on espère trouver de l’herbe encore plus verte et les privilèges qui vont avec. « La transhumance est la migration périodique d’une part du bétail de la plaine vers la montagne ou de la montagne vers la plaine, d’autre part des abeilles d’une région florale à une autre, et ce, en fonction des conditions climatiques et de l’alternance des saisons. Mais lorsque l’on parle de transhumance politique au Nord, c’est surtout pour désigner ces personnes qui du jour au lendemain passent d’un parti politique à un autre, d’une idéologie à une autre, très souvent pour des intérêts égoïstes », explique un analyste politique à Garoua.
Le Fsnc continue de piocher au sein du Mouvement pour la renaissance du Cameroun. L’urgence d’un assainissement du milieu politique s’impose. Les partis politiques doivent probablement en plus de la formation doctrinale et idéologique des militants, mettre également un accent sur l’éthique et l’honneur.
Félix Swaboka
Au terme de son séjour dans la région du Nord, le président du Front pour le Salut national du Cameroun Issa Tchiroma Bakari à appeler les jeunes à s’inscrire sur les listes électorales.
Incontestablement la démission de 350 militants du Mrc majoritairement les jeunes dans la région du Nord pour rejoindre les rangs du Front pour le salut national du Cameroun de Issa Tchiroma Bakary est l’un des signes fort qui prouve que le parti qui fait du partage et celui des couleurs bleu et blanc est entrain de vouloir changer de position dans le classement des partis politiques dans le Nord.
Au terme de sa visite de travail d’une semaine dans le Nord, le président national du Fsnc, Issa Tchiroma Bakaray, par ailleurs ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, à visiter son fief politique. Pour redynamiser les comités des bases et les structures opérationnelles de son parti.
Le président national du Fsnc s’est rendu successivement à Adoumri et Bibémi, dans l’arrondissement du même nom, pour rencontrer les militants de son parti. Sur place, il a tenu une séance de travail avec les leaders politiques et les jeunes de la localité. Au cours des travaux, Issa Tchiroma Bakkary a invité tous les jeunes de l’arrondissement de Bibémi à s’inscrire massivement sur les listes électorales.
Il a profité également de sa présence dans cette localité frontalière avec le Tchad, pour lancer un appel vibrant aux jeunes afin « qu’ils demeurent citoyens et qu’ils ne cèdent pas à la facilité ». Une constance ne peut pas échapper aux analystes de la vie politique dans le nord .Le front pour le salut national est entrain de prendre l’envergure.
« Il est tout petit comme vous le connaissez mais il a commencé à vous faire du bien, avant qu’il ne naisse et jusqu’aujourd’hui il continue de partager vos peines et souffrances .cela vous indique quelques choses .si c’est du Fsnc que je parle, devinez le et rendez vous compte que c’est le parti qui prend en compte vos désirs et avec le quel vous pouvez bâtir sans crainte votre avenir et celui de vos progénitures », déclare face à la presse à Garoua la secrétaire générale du Fsnc.
S’il faille encore se rappeler des réalisations mieux des bienfaits du parti pour les populations du nord particulièrement, on pourra passer des heures sans épuiser la liste énumérative. Les bénéficiaires qui l’estiment trouvent qu’au delà de la politique le Fsnc est aujourd’hui un abri pour eux.
« je me rappelle que le ministre Issa Tchiroma Bakary agissant au nom de son parti m’a donné à manger pas à moi mais à bien d’autres personnes et en plus il était difficile pour nos sœurs d’aller rapidement dans les centres de santé mais nous n’ avons plus ce problème puisqu’il nous a offert une ambulance ce geste seul suffit pour que nous accompagnions le président national du Fsnc », s’exprime Djabou Rode au quartier Foulberé à Garoua.
Félix Swaboka