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La délégation régionale affirme avoir un taux de couverture de programme de 100% pour les établissements confessionnels et 95% pour les établissements publics.

Si l’année dernière, la région du Centre avait présenté aux examens officiels un effectif de 190 192 élèves, en 2021 il y a 226 091 apprenants. Gilbert Kingue Moudoute, le sous-directeur des examens, des concours et de la certification au ministère des Enseignements Secondaires, a apporté une explication sur la différence observée entre 2020 et 2021.

 «Le taux d’échec a augmenté depuis cinq ans au niveau du second cycle. Les classes de Seconde, Première et Terminale hébergent également beaucoup de candidats libres. Il y a cumul d’effectifs. Néanmoins, nous sommes sereins quant à la préparation des examens officiels», a-t-il déclaré dans l’édition de ce 10 mai 2021 du quotidien gouvernemental Cameroon tribune.

Pour ce qui est du niveau de couverture des programmes, les autorités de la région du Centre, affirment qu’il est satisfaisant.

«Nous avons effectué des cours en salle et à distance. Et quand nous additionnons ces deux approches, nous nous rendons compte que les confessionnels sont à 100% et les établissements publics à 95%. On peut conclure que les programmes ont été couverts de manière convenable», déclare Jean Paul Marcellin Mebada le Délégué régional.

Ne pouvant pas oublier le fait que les examens de cette année encore vont se dérouler dans un contexte marqué par la crise sanitaire due à la pandémie du Coronavirus, les autorités de la région du Centre affirment que les dispositions ont été prises. Il se trouve que Pauline Nalova Lyonga le ministre des Enseignements Secondaires, «a mis à la disposition de la délégation régionale 140 000 masques de protection, 1 820 cartons de savon et gels hydro-alcooliques. Les kits seront distribués à partir de la semaine prochaine dans tous les établissements publics et privés», rapporte Cameroon tribune.

Liliane N.

 

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Cette application vise à éviter entre autres la présence des doublons.

 

L’office du Baccalauréat du Cameroun (Obc) veut résoudre les couacs qui ont souvent entaché par la publication des résultats des examens officiels, dont il a la charge. A titre de rappel, les examens pilotés par l’Obc sont les Probatoires d’enseignement général et technique de toutes filières confondues et les Baccalauréats. Pour ce qui des couacs évoqués, on peut citer entre autres : les candidats déclarés admis puis déchus, la mauvaise gestion du numéro vert, le 8070, l’absence des listes de candidats de certains établissements.   

 

Avec la mise en place de l’application «swift exam», les responsables de l’Obc espèrent résoudre les problèmes ci-haut cités. Déjà fonctionnelle, l’application sera utilisée tout au long du processus allant des inscriptions aux délibérations qui précèdent les résultats. « C’est une application qui gère les examens, en commençant par les inscriptions. Ce ne sont plus les candidats qui remplissent leurs dossiers. Maintenant ce sont les chefs d’établissement qui ont rempli les informations de leurs candidats. Et lorsqu’ils ont fini, ils transmettent le Cd au point focal, c’est-à-dire aux délégués départementaux. Puis les informations digitalisées dans un Cd parviennent au point focal de la délégation régionale. Et nous les installons tout simplement dans notre application swift exam. Nous les avons fusionnés pour avoir la liste de tous les candidats pour qu’on ait plus à saisir quoique ce soit », explique Urbain Mvoula responsable de la communication de l’Obc dans les colonnes d’Essingan du 24 juin 2019.

 

Il convient de rappeler qu’en date du 09 au 10 mai 2019 dans la localité de Mbankomo à Yaoundé, les acteurs qui ont été au cœur de ce processus de digitalisation qui a abouti à la mise en place de «swift ewam», se sont retrouvés pour mieux étudier le sujet. « Les recommandations qui ont été faites à l’issue de ces travaux vont être mises en œuvre pour qu’avant les délibérations de la prochaine session, nous ayons des applications adaptées aux résultats issus de cette concertation avec tous les maillons de la chaîne des délibérations. Il s’agit entre autres recommandations en amont, de gérer les absences des candidats ou les démissions, de renforcer les capacités des teneurs de procès-verbaux numériques bien qu’étant tous des informaticiens », expliquait Etienne Roger Minkoulou le Directeur de l’Obc dans les colonnes du quotidien gouvernemental Cameroon Tribune.

 

Liliane N.

 

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Ces candidats poursuivent la phase écrite de leurs examens débutée le 21 mai. Dans quelques sous-centres de la ville de Garoua, c'est un climat serein qui prévaut.

 

Ambiance studieuse au Lycée technique de Garoua Bibémiré. Dans les salles de classe, les candidats au baccalauréat, probatoire industriel et brevet de technicien affrontent les épreuves écrites. Dans la cour de l'établissement, quelques candidats rencontrés aux termes des premières épreuves de la journée se disent avoir bien composé dans l'ensemble.

 

Dans cet établissement qui accueille 162 candidats pour les probatoires F et BT, 123 pour les baccalauréats, tout se passe sans incident majeur. "Les deux jours, on a fait les matières d'enseignement général pour le probatoire et le baccalauréat. Tout se déroule bien depuis hier. On a les gendarmes qui sont là, les policiers, les gardiens également avec les détecteurs de métaux. Les comités de vigilance sont disposés à mettre hors de l'établissement tout suspect", rassure Oumarou Zaou, proviseur du lycée technique de Garoua Bibémiré.

 

Au lycée technique de Garoua Marouaré, c'est aussi une atmosphère sereine qui prévaut, en dehors de quelques cas d'absences enregistrés. Sali Souaïbou, proviseur explique : "jusqu'à là tout se déroule sans souci. Nous avons huit spécialités pour le baccalauréat. Toutes ces spécialités, ont un effectif de 232 candidats. Nous n'avons enregistré qu'une seule absence. Au probatoire de BT, nous avons un effectif global de 447 candidats avec 9 absents. On a une nouvelle spécialité qui est géomètre topographe".

 

Pour cette session d'examens de l'enseignement technique, la région du Nord, enregistre au total 10348 candidats au probatoire F et Brevet de technicien, 585 candidats au baccalauréat pour les deux spécialités.

 

Innocent D H

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L'appel lancé à l'endroit des responsables des enseignements secondaires est du gouverneur de la région du Nord, Jean Abate Edi'i, qui présidait à Garoua la réunion sectorielle dans le sillage des examens et concours pour le compte de la session 2019.

 

Principale ambition affichée par les principaux maillons de la chaîne des enseignements secondaires de la région du Nord présentes aux assises, améliorer la 9ème position occupée par le Nord lors de la dernière session des examens avec un taux de 51,36%. "Il faut une sérieuse formation des apprenants et des conseils pratiques pour les élèves. Ils ont eu à traiter les épreuves des examens des années antérieures pour que les résultats soient améliorés", s'exprime Hadidjatou Sadjo le délégué régional des enseignements secondaires pour le Nord.

 

Pour l'atteinte de cet objectif, des dispositions sécuritaires sont prises. Et le gouverneur de la région qui a présidé les travaux de cette sectorielle rassure : "Nous avons pris des mesures nécessaires pour faciliter les différents déplacements et permettre que les examens programmés dans la région du Nord se déroulent dans le calme et la sérénité".

 

La réunion sectorielle a été enrichie par des exposés qui ont porté sur l'état des préparatifs des examens et concours officiels et sur les stratégies de prévention et de gestion des conflits au sein d'un établissement scolaire.

Pour la session 2019 des examens relevant des enseignements secondaires, la région du Nord a enregistré plus de 85.000 candidats.

 

Innocent D H

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Mardi à Yaoundé, le ministre des Enseignements secondaires (Minesec), Nalova Lyonga, a présidé une réunion en vue de garantir le bon déroulement des examens certificatifs, avec un accent particulier dans les régions en proie à l’instabilité.

 

Au lycée technique de Nkolbisson à Yaoundé, le ministre des Enseignements secondaires (Minesec), Nalova Lyonga, a réuni les responsables de son département ministériel et des organismes placés sous sa tutelle. L’objectif général de cette concertation était de mettre en place une stratégie permettant d’assurer le bon déroulement des examens et concours officiels pour le compte de la session 2019.

Pour y parvenir, rapporte Cameroon Tribune, les cadres des Enseignements secondaires ont passé en revue l’année scolaire écoulée ainsi que de celle en cours, rendue à la quatrième séquence didactique. Des différents points inscrits à l’ordre du jour et des exposés qui ont suivi, trois ont particulièrement retenu l’attention de participants. Notamment, « l’évaluation du suivi pédagogique dans toutes les régions du pays, l’état des préparatifs aux différents examens et les inscriptions en ligne ».

Pour Cathérine Marie Awoundja, inspecteur général des Enseignements, au terme de la quatrième séquence, « le taux de couverture des programmes est globalement satisfaisant sur toute l’étendue du territoire car il est au-dessus de la moyenne ».

Seul bémol, les deux régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest à cause de l’instabilité sociopolitique qui y règne. Si la situation est louable à l’Extrême-Nord avec 81% de couverture des programmes scolaires, elle est moins reluisante au Sud-Ouest où ce taux d’environ 40%. Au Nord-Ouest, la situation est plus préoccupante. L’encadrement psychopédagogique des élèves y est effectivement problématique, a affirmé l’inspecteur général des Enseignements.

Pour la rentrée du 3e trimestre, le 16 avril dernier, seuls les établissements des centres villes ont ouvert leurs portes. D'après les informations relayées par plusieurs médias locaux, « avant le départ en congé, les apprenants étaient obligés de dissimuler leur tenue scolaire dans des sac de marché pour se rendre dans leur école ». « Ils s’habillent parfois en tenue de champs et s’échangent une fois à l’école pour fuir toute répression. Les lundis, il n’y a pas classe. Ils vont à l’école le samedi pour rattraper cette journée-là ».

Selon Cameroon Tribune, sur les 7561 enseignants attendus, seuls 1455 ont répondu présents. Conséquence, le pourcentage de couverture des programmes est de 09.52%. L’implication directe de cette situation est le faible taux d’inscription des candidats aux différents examens officiels. Les délégués régionaux ont relevé certaines insuffisances liées notamment aux inscriptions en ligne.

Il s’agit notamment de la mise à disposition tardive des fonds, des multiples tracasseries administratives et de la maîtrise approximative de la procédure. Malgré ces contraintes ce département ministériel est prêt à relever le défi des examens de fin d’année.

 

Otric N. 

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Ce sont des établissements primaires, secondaires et de formation professionnelle qui ont choisi de mettre à profit cette période trêve à travers des cours de rattrapage, de remise à niveau, ainsi que des travaux dirigés (TD).

 

Douze heures ce jeudi au Collège franco-arabe de Garoua, le soleil est au zénith et la chaleur accablante. En classe de terminale "D", rien ne décourage les locataires de cette école que sont ces élèves qui sont à l'ouvrage et qui ne connaissent pas de repos pendant ces congés dits de deuxième trimestre. Dans cette classe, un cours de physique-chimie est dispensé par monsieur Youssoufa Moussa, enseignant. La leçon s'inscrit ainsi dans le sillage des cours de rattrapage institués par cette école.

D'autres établissements secondaires de la ville de Garoua permettent aussi pour l'occasion, à leurs apprenants de sacrifier leurs congés en faveur des cours et des travaux dirigés.

Monsieur Boubakary, principal dans un collège privé de la place nous livre que durant l'année, il y a eu l'accumulation des heures de retard dans plusieurs disciplines. Ces moments de congés se trouvent être les seuls instants devant permettre aux enseignants et aux élèves de rattraper le temps perdu. Bien que cela demande beaucoup de sacrifices de la part non seulement des enseignants, mais aussi des de ces élèves. Ceux-ci qui sont parfois contrariés quand ils voient d'autres camarades consommer normalement leurs congés. Ce qui compte, c'est que malgré tout, tout le monde adhère  finalement à la démarche de ces cours de rattrapage, de remise à niveaux et des TD.

Ces séances ont toutes pour viser commun,  permettre aux élèves principalement des classes d'examens de mieux se préparer à affronter dans les prochains mois, les examens officiels avec sérénité. "Ces cours et travaux dirigés nous permettent d'être à même de boucler  les programmes d'enseignement et de s'assurer que les apprenants disposent déjà en moyenne le niveau requis pour se présenter aux différents examens en fin d'année".

Voilà donc qui rassure que ces congés mis à profit pourront produire le moment venu des résultats attendus au niveau de la prestation annuelle des élèves et surtout lors examens officiels et concours. 

 

Innocent D.H

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Lesdits décrets datent respectivement pour le General Certificate of Education Board et l’Office du Baccalauréat du Cameroun du 22 octobre et du 18 octobre 2018.

Avec les décrets présidentiels, le General Certificate of Education (GCE) Board change de statut. Cette instance devient un établissement public administratif doté de la personnalité juridique et d’une autonomie financière. Il a donc désormais dans son organigramme, un conseil d’administration avec des membres nommés par le Président de la république et qui sont issus de différentes institutions administratives.  

L’Office du Baccalauréat du Cameroun (OBC) connait aussi un changement dans son fonctionnement. L’OBC est désormais sous la tutelle d’un Conseil d’administration. Celui-ci est composé de sept membres dont un représentant de la Présidence de la république, un représentant des services du Premier ministre, un représentant du Ministère des Enseignements secondaires et un représentant du personnel de l’office. Ce dernier sera élu par ses pairs. Tous ses membres sont nommés par le Chef de l’Etat pour un mandat de trois ans, renouvelable une fois. Le décret portant réorganisation de l’OBC indique par ailleurs que l’instance est dirigée désormais par un Directeur général (DG) et non plus par un Directeur. Le DG est assisté d’un Directeur général adjoint. En outre il faut savoir que l’Office est doté d’une personnalité juridique et d’une autonomie financière. Avec ces dispositions il a donc le statut d’établissement public à caractère administratif.

Il faut en outre savoir que cette réorganisation de l’OBC du point de vue technique la place sous la tutelle du Ministère des Enseignements secondaires. C’est à ce département ministériel que revient la charge de s’assurer que les activités menées par l’Office vont en droite ligne avec les orientations des politiques publiques du gouvernement. A ce niveau il faut préciser que cela se fait sous réserve des compétences reconnues à son Conseil d’administration. Sur le plan financier le Ministère des Finances devient la tutelle de cette instance. Le Ministère se rassure de la conformité des opérations de gestion à incidence financière de l’Office à la réglementation sur les finances publiques d’une part et de la régularité à posteriori des comptes d’autres parts. En plus le département ministériel dirigé par Louis Paul Motaze veille aussi à la régularité des résolutions du Conseil d’administration à incidence financière, de la soutenabilité des engagements financiers et de la cohérence générales des plans de performance de l’Office aux programmes sectoriels.  

A titre de rappel le GCE Board est l’instance qui s’occupe de l’organisation des examens du GCE Ordinary Level, du GCE Advanced Level, du Technical and Vocational Educational and Professional Certificate Examinations. Et l’OBC se charge de l’organisation des examens officiels du second cycle du sous-système éducatif francophone.

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01