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Destitué de ses fonctions de président du Conseil national de la jeunesse du Cameroun (CNJC), Jean Marc Afesi Mbafor revient au sein de l’institution, à travers une décision du ministre de la Jeunesse et de l’Education.

 

Jean Marc Afesi Mbafor est le nouveau président du Comité consultatif national du Bureau exécutif national du CNJC. C'est un organe chargé d'émettre des avis sur les questions de jeunesse ou sur la stratégie à mettre en œuvre pour la bonne marche du CNJC ainsi que toutes autres préoccupations qui leur sont posées aussi bien par la tutelle que par le Bureau exécutif national du CNJC.

Outre le président, le Comité est constitué d’Ayissi Essono Clovis J. (Rapporteur) et de Abdoulaye Abdoulrazack, Epuma Ngando Synthia, vaho Mbiada Hervé, tous des membres. La décision du Minjec précise que leurs fonctions sont gratuites. Toutefois, « ils peuvent bénéficier des facilités de travail nécessaires à l’accomplissement de leur mission ».

La création du CNJC découle du décret présidentiel de 2005 organisant le ministère de la Jeunesse (MINJEUN). Le MINJEUN est, selon les termes de ce décret, chargé d’organiser les mouvements de jeunesse afin d’impulser et de soutenir la solidarité nationale et internationale par et pour les jeunes.

Structure fédérative des associations et mouvements de jeunesse, le CNJC a pour but de porter auprès des pouvoirs publics, les aspirations et les préoccupations de cette catégorie sociale.

Au Cameroun comme dans la plupart des pays, les jeunes de 15 à 35 ans représentent la majorité de la population et constituent la force motrice essentielle pour le développement de la nation. « La situation de la jeunesse » présentée dans le document de politique nationale de la jeunesse qui sera opérationnalisé par le Plan jeunesse atteste que cette tranche de la population est confrontée à de nombreux défis aux rangs desquels, l’exclusion, les conflits de génération, les problèmes de formation, d’emploi, d’accès aux soins de santé, des addictions, la prostitution, les infections sexuellement transmissibles, le Vih/Sida…

 

Otric N.

 

Published in Institutionnel

Depuis l’annonce du grand dialogue national et le début des premières consultations effectuées par le Premier Ministre Joseph Dion Ngute, on note quelques points dans la procédure et dans la manière de conduire les échanges qui inquiètent quelques observateurs avant le jour du dialogue.

 

Lorsque les listes des organisations et des personnalités devant être reçues par le Chef du gouvernement a été rendu public, plusieurs observateurs ont décelés quelques éléments qui relèvent tantôt de la légèreté dans la préparation ou alors des labsis révélateurs des intentions voilés des différents organisateurs dudit dialogue.

Dans ce document, le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) est logé à une enseigne différente des autres partis politiques. En effet, on peut bien voir inscrit sur ce document le Secrétaire Général du Comité Central du RDPC au rang des institutions comme le Conseil National de la Jeunesse du Cameroun (CNJC) ou le Conseil National de la Communication (CNC). Considérer le RDPC comme une institution et non comme un parti politique ordinaire trahit bien le caractère supérieur des avis qui seront émis par le parti du flambeau en comparaison aux avis des autres acteurs politiques qui assisteront audit dialogue.

D'un autre côté, on note quelques incongruités dans l’organisation des visites chez le Premier Ministre. Toujours dans ce document en circulation, les partis politiques sont reçus dans un premier temps en tant que tel et dans un autre jour, le secrétariat du Premier Ministère invite à nouveau les leaders de ces partis politiques intuiti personae. Une notation qui est visiblement une erreur dans la programmation de personnalités qui devraient être entendues par le Premier Ministre. Une erreur qui sera corrigée, mais ce sera suffisant pour interroger le sérieux des membres de l’administration dans la préparation de cette grande rencontre nationale. 

 

Manifestement, les délais d’organisation est serré pour le personnel administratif du Premier Ministère qui semble ne pas maîtriser l’intensité des activités que leur département vient de connaître d’un coup. Une accélération des événements qui a le mérite de sortir certains agents de l’Etat de l’immobilisme régulier et l’attentisme auquel ils sont habitués. Ce n’est pas évident de quitter d’un régime de travail de 30% à un régime de 65% tout d’un coup. Les conséquences se font ressentir sur la qualité des documents produits et de manière générale, sur la fluidité du service.

La crainte est que ces lacunes des agents de l’Etat vienne ternir le travail de concertation national par la mauvaise tenue des documents devant être produits à l’issue dudit dialogue. Ce qui serait un véritable gâchis. Ce qui pourrait être considérés comme une fraude au dialogue.

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Tribune Libre

C’est au cours d’une rencontre avec la presse mardi dernier, que la présidente du bureau exécutif du CNJC, Fadimatou Iyawa Ousmanou a annoncé le lancement de l’année académique 2019-2020 du CNJC Social Program.

 

« Nous lançons un recrutement ouvert pour 4200 bourses à la jeunesse camerounaise toute entière. L’innovation de cette année, c’est la nationalisation du CNJC Social program. L’année passée, nous avons lancé les bourses du CNJC Social program. Mais, c’était limité à la région du Centre, réduit à Yaoundé. On a eu des sollicitations de la jeunesse camerounaise de tous bords, de toutes les régions du Cameroun…Et nous avons répondu à ces sollicitations. C’est la raison pour laquelle, dans le cadre de la nationalisation du CNJC Social Program, nous lançons le recrutement de 4200 bourses pour la jeunesse camerounaise dans le cadre de ce programme», a déclaré Fadimatou Iyawa Ousmanou.

De fait, plusieurs filières sont ouvertes, dont «le secrétariat comptable, topographie, sécurité incendie, journalisme, délégués médicaux, l’agropastoral… La formation a une durée d’un an avec 10 mois de formation et deux mois de stage dans plusieurs entreprises différentes…Les délais d’inscriptions sont fixés au 27 septembre 2019». Rapporte le quotidien Le Jour, dans son édition du mercredi 28 août 2019.

Organe de concertation et de consultation des aspirations de la jeunesse, le Cnjc a été au cœur des actions menées pour l’insertion des jeunes dans la vie de l’Etat. Conduit depuis le 1er avril 2018 par Fadimatou Ousmanou Iyawa, le Conseil national de la Jeunesse est né le 19 décembre 2009 avec pour objectif général, la participation au dialogue entre la jeunesse et les pouvoirs publics.

Depuis, il n’a cessé d’être un acteur majeur à l’amélioration de la vie des jeunes de tout bord. Parmi ses plus grandes réalisations, on compte la bourse Panafricaine de l’économie numérique grâce à laquelle 6000 jeunes parmi lesquels les étudiants, les élèves du primaire et du secondaire, les fonctionnaires de police, le personnel des gendarmeries, et les pensionnaires de prisons ont reçu une formation complète.

 

Danielle Ngono Efondo

 

Published in Société
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Mettre sur pied des passerelles afin de véhiculer des statistiques fiables sur les opportunités en faveur des jeunes de la région du Nord. C’est l’un des principaux objectifs de la réunion de mise en œuvre de la plateforme multisectorielle de coordination des interventions en direction des adolescents et des jeunes qui vient de se tenir à Garoua.

 

Les jeunes adolescents de la région du Nord ne disposent pas très souvent des facilités informatives suffisantes sur la diversité des offres socio-économiques les concernant. C’est donc fort de cette réalité que la délégation régionale de la jeunesse et l’éducation civique du Nord, a organisé ce conclave réunissant les acteurs intervenant en direction des adolescents. Martin Kami Bouba, délégué régional donne quelques objectifs visés: « il est question de répondre à ces exigences de l’heure pour que les différents acteurs puissent faire véhiculer et communiquer leurs interventions et comment concevoir une passerelle pour permettre à ce que les jeunes puissent bénéficier de tout ce que nous sommes en train de leur présenter comme offre ».

 

Les atouts de la réunion

La réunion a permis aux acteurs venus des secteurs impliqués dans l’encadrement et l’insertion des jeunes notamment, des  enseignants secondaire et du supérieur, des ONG et autres associations d’échanger sur les mécanismes de création des passerelles devant leur permettre d’être plus proche de la couche jeune.

Les participants comptent traduire dans les faits, les résolutions prises. Alexis Blama, représentant de l’université de Ngaoundéré annexe de Garoua compte transmettre le message au sein de communauté estudiantine : « nous allons accentuer la sensibilisation au niveau de l’université et faire en sorte que les jeunes se sentent impliqués dans cette république et qu’ils soient informés des programmes de politique qui sont mis en avant dans leur intérêt ». Pour le Président régional du Cnjc pour le Nord, Abdel Aziz Alpha : « à notre niveau, on va essayer de répertorier les différentes associations qui sont membres du Cnjc qui font dans le volet santé et promotion socio-économique des jeunes afin de mutualiser nos forces. Nous allons également travailler avec les différents partenaires ». 

Un forum WhatsApp va être créé par les participants pour exposer les différents problèmes auxquels est confrontés la jeunesse du Nord, ainsi que les sollicitations à l’endroit de celle-ci. A terme, il est question de mettre en place, un guide d’orientation des jeunes au niveau régional.

 

Innocent D H

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Le premier forum des jeunes du Sud s’est ouvert le 06 Août 2019 à Nkolandom près d’Ebolowa. L’initiative est de permettre aux jeunes de cette localité d’envisager des solutions idoines aux problèmes qu’ils rencontrent.

 

Le constat établit renvoie aux divisions de clans, aux mésententes, aux querelles inutiles dans les milieux des jeunes. La branche régionale du Conseil National de la Jeunesse du Cameroun pour le Sud voudrait mettre les jeunes devant leurs responsabilités et envisager de nouveaux paradigmes. Elle cherche à trouver des solutions aux problèmes des jeunes. 

Pour Cyrille Ngo’o Ateba, le président régional du CNJC du Sud, « l’opportunité est déclinée à deux extrémités opérationnelles. Nous avons jugé utile qu’il est temps de mobiliser les jeunes autour des idéaux de la république. Afin que ces jeunes contribuent efficiente et efficace au projet de société impulsé par le Chef de l’État. Nous avons donc développé cet agenda local pour répondre à ces dérives qu’on a pu observer. Il est temps de permettre aux jeunes de trouver des solutions aux problèmes qu’ils rencontrent ». 

A travers les prises de parole, les exposés et les travaux en ateliers les différents intervenants ont laissé transparaître une volonté et une détermination de parler d’une même voix avant d’opérer un diagnostic lucide sur les enjeux de l’heure.

Les jeunes de la région du Sud ont décidé de faire corps avec le Président de la République, Son Excellence Paul Biya, pour relever les défis de l’émergence. La responsabilité des jeunes a donc été mise en exergue dans le but d’une prise en compte effective des recommandations qui seront prises au terme de ces travaux. Selon Félix Nguele Nguele, Gouverneur de la région du Sud, « c’est une initiative louable. Je l’assimile à une université d’été où les jeunes se réunissent et reçoivent des enseignements. Je crois que c’est une opportunité pour les jeunes de mieux apprendre leurs responsabilités en tant qu’acteurs de développement ».

 Plusieurs thématiques sont abordées durant les deux jours des travaux notamment l’insertion socioprofessionnelle des jeunes, l’orientation à la base, la consommation des drogues et de l’alcool. Des enseignements portés dans la leçon inaugurale donnée par le Professeur Mathias Éric Owona Nguini ont  permis aux jeunes de mesurer l’ampleur du travail à abattre pour sortir de l’ornière. Selon lui, « Ma leçon inaugurale a porté sur la question de l’engagement des jeunes du Sud pour faire corps avec les grandes opportunités. Comme on le sait, les grandes opportunités sont le pacte-programme sur la base duquel le Président de la République a été élu. Il est donc question pour la jeunesse du Sud de s’imprégner ».

Le premier forum des jeunes du Sud est donc une plateforme d’expression libre qui va permettre aux jeunes de d’arrimer à une nouvelle vision des choses.

 

Innocent D H

 

Published in Société
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En prélude au forum régional des jeunes du Nord (FOREJEN) prévu du 06 au 08 août 2019, le président du conseil national de la jeunesse du Cameroun pour le Nord, Alpha Abdel Aziz était face à la presse le vendredi 02 août à la salle des réunions du Village artisanal de Garoua lors d’une conférence de presse.

 

Cette conférence de presse avait pour fil conducteur : « L’entrepreneuriat agropastoral des jeunes », thème retenu pour le FOREJEN. Le président du bureau régional du CNJC-Nord Alpha Abdel Aziz a tenu à expliquer aux hommes et femmes des médias exerçant dans le nord, le prétexte qui préside à l’organisation de ce forum. Dans son propos liminaire, il a déclaré que le secteur agropastoral est porteur de richesse, capable de faire propulser la jeunesse de la région du Nord vers des lendemains meilleurs et de s’autonomiser. Il précise par ailleurs que le forum régional qui se prête à l’horizon : « va mettre l’accent sur l’agriculture de seconde génération ».

Trois modules de formation seront ainsi dispensés aux participants. Il s’agit du module 1 sur les opportunités qui existent dans les domaines de l’agriculture et de l’élevage. Le deuxième sera axé sur la production laitière et le troisième sur les procédures d’obtention des terres par les jeunes.

 

Echange avec les journalistes

Après les propos liminaires du président du Bureau régional CNJC-Nord, les journalistes vont poser des questions. A la question de savoir quelles sont les personnes habilités à prendre part à ce forum régional, Alpha Abdel Aziz a répondu : « Le forum concerne exclusivement les jeunes, étudiants, élèves ou non. Ceux-ci ont l’opportunité de s’enregistrer chaque jour avant la date de la tenue de l’événement au siège du CNJC-Nord ».

La conférence de presse a également permis aux hommes et femmes de média, d’émettre des suggestions dans l’optique d’améliorer et d’enrichir les contenus du prochain FOREJEN, qui sera à sa toute première édition.

 

Innocent D H 

 

Published in Agro-Industrie
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Les centres d'écoute, d'orientation, de conseil et d'accompagnement en abrégé Ceoca, migrent dans ces parties du pays en bureaux d'emplois municipaux.

 

La nouvelle est tombée à l'issue de l'atelier de consultation participative de deux jours tenu à Garoua, à l'initiative du ministère de l'Emploi et de la Formation professionnelle (Minefop) avec l'appui du Pnud, le Programme des Nations unies pour le développement . Il était ainsi question de permettre à travers les travaux dudit atelier, l'amélioration des conditions d'accès des populations vulnérables et les femmes aux opportunités d'emplois dont est porteur le nouveau septennat du Chef de l'Etat.

 

Présents à l'atelier, les membres de la société civile, les maires des communes de l'Extrême-Nord, du Nord et de l'Est. Pour Esther Yafo, maire de la Commune de Garoua Boulaï : "la commune qui est à la lisière de la République centrafricaine. La commune de Garoua Boulaï a reçu plus de 60.000 réfugiés et en majorité des jeunes ".

Dorénavant, les Centres d'écoutes, d'orientation, de conseil et d'accompagnement vont opérer une migration en bureaux d'emplois municipaux pour une réponse mieux adaptée aux attentes des jeunes. " Les besoins recensés en matière d'emplois des jeunes dans l'Arrondissement de Garoua 2ème sont énormes ", a soulignée Mounira Tizerma, présidente du Cnjc de Garoua 2ème.

Les travaux de l'atelier de Garoua offrent donc une possibilité d'élargissement des compétences transférées au communes pour impacter positivement leur développement.

 

Innocent D H

 

Published in Economie






Sunday, 05 June 2022 11:01