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Le Tribunal de Première Instance de Yaoundé Centre administratif a condamné Georges Gilbert Baongla à payer aussi une amende de 25 millions de FCFA.

 

Le verdict du Tribunal de Première Instance de Yaoundé Centre administratif dans l’affaire qui oppose Georges Gilbert Baongla à Jean Pierre Amougou est connu depuis hier 10 juin 2020. Celui qui a pris l’habitude de se présenter comme “le fils du Président”, a écopé d’une sentence de 2 ans de prison et d’une amende de 25 millions de FCFA à payer.

A titre de rappel, Georges Gilbert Baongla le Directeur de publication du journal Le démenti était poursuivi pour escroquerie et diffamation. Il y a eu plusieurs plaintes déposées contre lui. L’auteur d’une de ses plaintes est le président Directeur général du groupe L’Anecdote. C’est donc le 29 mai 2019, qu’il a été interpellé à Yaoundé et conduit à la Direction de la police judiciaire à Yaoundé.. Le 03 juin 2019, il a été écroué à la prison centrale de Yaoundé-Kondengui.

 

Liliane N.

 

Published in Judiciaire

Le président du Parti Républicain a fait un malaise en fin de journée de vendredi dernier. Il est dans un état critique au sein de la prison centrale de Kondengui. George Gilbert Baongla partage sa chambre avec Mamadou MOTA qui présentait quelques signes du Covid il y a quelques jours. Ce qui laisse craindre que le Fils de Paul BIYA soit lui aussi contaminé.

 

La prison centrale de Kondengui est le terreau du coronavirus depuis quelques semaines maintenant. Malheureusement, la réaction tardive et inadéquate du gouvernement camerounais a mis à mal un centre névralgique du risque de contagion du virus. Un terreau qui donnera au virus de mieux se mouvoir et commettre le maximum de dégâts sur la population carcérale.

Malgré la décision de libérer un certain type de tôlard, la grande majorité de prisonniers sont toujours entre les murs de Kondengui. De toute évidence, il y n’aura pas une décongestion réelle comme le souhaitait l’OMS aux Etats, et comme le visait la décision du Chef de l’Etat. Ils sont donc très nombreux qui seront condamnés à la contamination, voir à la mort.  

Il faut dire concernant Georges Gilbert Baongla que ce dernier se sentait tellement mal qu’il s’est écroulé vendredi dernier. Nous n’avons pas encore eu les détails sur les causes réelles de son malaise. Seulement, il n’est pas exclu que le Président du P.R. soit contaminé au coronavirus. Considérant les facteurs aggravant et accélérant la progression du virus au sein de la prison, il est fort possible que Georges Gilbert Baongla, soit lui aussi contaminé.

Sans parler de l’insalubrité et des conditions précaires d’hygiène. De plus, du fait de son âge, il serait une personne que la maladie peut emporter. Ce d’autant plus que le Président souffre d’autres pathologies qui fragilisent son immunité. Il faut rappeler que Georges Gilbert BAONGLA partage le même local au quartier 3 de cette prison avec MAMADOU MOTA, le Vice-Président du MRC qui présentait il y a encore quelques temps les symptômes du Covid19 et est pour sa part sous auto médication.

Cameroun – Covid 19 : On passe à la désinfection des prisons  

On n’est pas à l’abri de pas bonnes nouvelles venant de nos prisons et singulièrement de Kondengui. Au jour d’aujourd’hui, 8 personnes seraient déjà décédées dans ce pénitencier à cause du coronavirus et des dizaines de cas testés positifs sont enregistrés. En attendant une réelle décongestion, des mesures urgentes sont nécessaires pour traiter tous ceux qui seront contaminés à la prison, sans qu’ils n’aient besoin de sortir et d’être en contact avec plus de personnes.

Rappelons que Georges Gilbert BAONGLA avait été écroué à la prison centrale de Kondengui le 03 juin 2019 suite à la plainte du PDG du groupe Anecdote, Jean Pierre AMOUGOU BELINGA. Une affaire qui suit son court.

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Corona Virus

Le Mouvement Progressiste 3 (MP3) est un mouvement politique mis en place par le journaliste Morgan Palmer. Une initiative qui intervient un mois après avoir tenté de destituer George Gilbert Boangla du parti Républicain.

 

Sur la vision de ce nouveau mouvement politique Morgane Palmer,  le créateur déclare : « Ce nouveau mouvement souhaite RASSEMBLER (au-delà des accointances partisanes), RECONCILIER (les camerounais) pour RECONSTRUIRE (le Cameroun). Nous comptons sur toutes les personnes  volontaires désireuses d’intégrer cette dynamique du progrès qui commence ce matin sans haine, ni rancœur. Mais plutôt avec le respect que nous devons aux autres mouvements politiques qui nous ont précédés sur la scène et dont nous sollicitons la bénédiction, dans la mesure de leurs possibilités. Que Dieu Bénisse le Cameroun ».

Rappelons que le créateur du MP3 annonçait le 18 novembre  sur les ondes de Sky One Radio et Magic FM de Yaoundé : « Mes chers amis, nous avons été à l’écoute de vos idées et de votre volonté de voir notre scène politique camerounaise s’enrichir d’une nouvelle force politique plus rassembleuse. Nous avons donc l’honneur de vous présenter le MP3-Mouvement Progressiste 3 ».

Après l’annonce faite de Morgan Palmer, George Gilbert Baongla ne vas pas hésiter un seul instant de réagir. Il avait écrit, « Les Militants du parti informent l’opinion publique nationale et internationale qu’ils se désolidarisent formellement de la déclaration erronée contenue dans un document en circulation prétendument signé par son vice-président Morgan Palmer mis en mission en France par le président fondateur Georges Gilbert Baongla ».

A en croire certaines indiscrétions, Morgan Palmer, journaliste et chroniqueur avait tenté de destituer son patron le 29 octobre 2019. Il a été nommé le vendredi 07 juin au poste de vice-président par Georges Gilbert Baongla.  Malgré tout, Palmer pensait que son ancien patron faisait « l’objet d’une longue détention préventive et d’un feuilleton judiciaire à l’issue incertaine » ce qui pouvait selon lui avoir des risques vu « le calendrier électoral et ses contingences », ce qui l'aurait donc poussé à créer le MP3. 

 

Innocent D H

 

Published in Parti politiques

Le vice président du parti de George Gilbert Baongla vient de démissionner du parti dont il a pris les rennes il y a 06 mois. C’est le point de chute d’une série de tensions liées aux dissensions et différences de vision entre le fondateur dudit parti et la génération portée par Morgan Palmer.

 

C’est par un communiqué rendu public ce vendredi 01er novembre que Morgan Palmer fait savoir qu’il quitte les rangs du Parti Républicain. Une aventure politique démarrée au cours du mois de Mai 2019. Au début, personne ne vendait chère la peau de ce journaliste féru des questions politiques. Il n’est pas courant de voir un analyste de la scène politique réussir comme homme politique. Et Morgan palmer l’a appris à ses dépens. Il le dit si bien, « raillé au tout début par certains, méprisé par d’autres. Pas grand monde n’y croyait. Même pas certains membres historiques de la famille nucléaire du Parti Républicain ayant contribué à sa légalisation. »

Seulement, force est de constater que le journaliste a su mettre en œuvre ses observations pour positionner le Parti Républicain sur l’échiquier politique camerounais. « Avec humilité, une grande force de caractère, un contexte d’adversité féroce et mes seuls moyens quelques militants et moi, nous avons bataillé dur pour donner au Parti Républicain un visage mémorisable, une identité remarquable. Agrégeant progressivement une foule silencieuse de militants et sympathisants. »

La pomme de discorde, la décision du vice président de prendre le risque d’engager le parti dans les joutes politiques à venir, question de sortir le Parti Républicain de sa simple existence rhétorique pour lui donner de devenir une véritable force de proposition et de transformation du paysage camerounais par la mise en œuvre de son projet politique à travers des députés et conseillers municipaux voir régionaux. Un choix stratégique que n’a pas accepté le fondateur dudit parti Georges Gilbert Baongla. La gloire qui s’annonçait a réveillé les véritables intentions des fondateurs, reconnaît Morgan Palmer. « Une fois arrivé le début des grâces, l’intérêt grandissant du public a commencé à côtoyer l’intérêt vorace des revendicateurs de paternité étrangement invisible auparavant. La victoire a beaucoup de père. La défaite est orpheline. Ce chant de revendications se faisant persistant à nos oreilles, je me suis donc offert un petit retour dans le passé proche, pour bien me souvenir d’ou je venais afin de savoir ou j’allais. Je me suis rappelé être entré en politique par hasard. En venant secourir un frère fébrile que la justice populaire et institutionnelle tenait isolé à tort ou à raison l’avenir nous dira. »

Fort de ces dissensions, le vice président choisit de claquer la porte du parti. Un acte qui donne de comprendre qu’effectivement, il existe de nombreux partis politiques qui sont créés juste pour le plaisir de ses fondateurs. Sans véritable assise politique et n’ayant même pas l’intention d’en avoir. Toutes choses qui interrogent sur la sincérité de certains acteurs politiques camerounais.

Stéphane NZESSEU

 

Published in Parti politiques

Le président du Parti Républicain était devant la justice dans le cadre de l’affaire de diffamation pour laquelle il est inculpé. Accusation portée contre lui par le Président du groupe l’Anecdote et patron de la télévision Vision4. Morgan Palmer, constatant l’attitude de la chaîne de télé au cours du procès d’hier se demande si « Vision4 est une hyper puissance » au-dessus de la loi.

 

Selon Morgan Palmer, « dans le traitement de l'affaire qui oppose le Président du Parti Républicain au Président de leur chaîne, ils font plus de la communication que du journalisme depuis le début. Ne donnant jamais la parole à la partie adverse pour équilibrer l'information, en revanche ils se sont permis à plusieurs reprises de venir filmer Georges Gilbert BAONGLA et ses proches dans l'enceinte du tribunal. C'était encore le cas hier. Qui autorisé ça? Pourquoi se sentent-ils ce droit? Est-ce l'expression sous-jacente d'une hyper puissance ? Sont-ils prêts à assumer jusqu'au bout la culture du Far West qu'ils sont en train d'ériger par ces jubilations qui méprisent les règles du droit à l'image ? Comme ce sont des jeunes frères pour la plupart, je vais mettre cet égarement au compte exclusif d'un mauvais encadrement... »

En effet, il est difficile de comprendre la façon de faire des acteurs de la télévision Vision4. Alors que le geste est interdit, les caméras de la télévision de Nsam choisissent autant que possible d’humilier leur adversaire dans le procès en cours devant les tribunaux. Des attitudes et d’autres qui ne servent pas la profession de journaliste.

Par ailleurs, Morgan Palmer rappelle que « quand la justice dans un pays commence à produire de l'injustice, on assiste alors à la montée de tous types d'extrémismes. Les tenants du pouvoir judiciaire camerounais doivent savoir qu'ils ne sont un pouvoir que parce que le peuple du Cameroun leur a accordé une délégation. Si chacun de nous se sentant lésé, commence à réparer ses torts à sa manière, alors en lieu et en place du pouvoir judiciaire, l'on aura le pouvoir de l'hémoglobine. Et personne n'est immunisé contre ça. Au Parti Républicain, nous militons pour que l'avenir soit réconciliateur et non vengeur, nous appelons donc les uns et les autres a cesser d'exacerber les haines et les antagonismes. »

Le procès a été renvoyé à vendredi, et un nouveau juge a été affecté à l’affaire sans qu’au préalable la partie adverse soit prévenue.

 

Stéphane NZESSEU 

 

Published in Parti politiques

C’est le contenu d’une communication du Vice Président du Parti Républicain, Morgan Palmer. Faisant suite aux coupures intempestives d’énergie électrique dans la ville de Yaoundé, le parti qui se veut proche des populations est monté au créneau pour rappeler à l’ordre le ministre de l’eau et de l’énergie, Gaston Eloundou Essomba.

 

Depuis le 07 Août dernier, Yaoundé broie du noir. Et pour cause, un incendie a embrasé les transformateurs de la société de distribution de l’énergie électrique au quartier Melen. Jeudi de la semaine dernière, le ministre de la communication et le ministre de l’eau et de l’énergie ont promis aux camerounais de remettre cet énergie dans la ville au bout de 07 jours.

« Depuis plusieurs semaines, nous avons observé la reprise du rationnement électrique à Yaoundé. Cette situation (que des voix officielles lient à une panne de transformateur au quartier Melen), plonge de nombreux quartiers dans le noir et ceci parfois plusieurs journées d’affilées. 
Bien que les accidents soient du domaine du naturel, nous ne pouvons nous empêcher de questionner la vision stratégique de la majorité actuelle. Comment a-t-elle pu placer le destin de toute une ville entre les mains d’une seule installation technique, sans un système alternatif pouvant pallier aux facteurs contra-cycliques ? Après l’obscurité épaisse qui entoure leur avenir avec le gouvernement actuel, les camerounais sont à nouveau plongés dans le noir. »

De plus, le Parti Républicain s’interroge sur les mensonges autour des grandes annonces de productivité des barrages hydro électriques de Memve’ele.

« Le Parti RÉPUBLICAIN se montre par ailleurs, extrêmement préoccupé par le flou informatif qui entoure le bilan du projet Memve'ele.
Censé apporter 211MW d’énergie supplémentaire au Cameroun, seul 80 MW d’énergie électrique sont produit par ce barrage à ce jour, (et apparemment c’est pour toujours). Le contribuable camerounais qui a payé 426 milliards pour 211MW, n’est-il pas en droit de savoir les raisons de cette tromperie sur la marchandise? »

Face à cette situation et dans l’objectif de défendre les intérêts du peuple camerounais, le Parti Républicain menace de traduire les responsables de ce projet devant les tribunaux du Cameroun.

« Le Parti RÉPUBLICAIN demande au Ministre de L’Energie un bilan détaillée du projet Memve'ele, en se réservant le droit d’ester en justice, pour dénoncer ce qui s’apparente déjà à une énième forfaiture ou à de l’incompétence de la majorité actuelle. Depuis Kondengui, son lieu d’embastillement arbitraire, le Président Fondateur du Parti Républicain, Georges Gilbert BAONGLA et moi même n’avons cesse de solliciter les égrégores ancestraux, afin qu’ils aident à la libération du peuple camerounais otage de ses dirigeants actuels.
Heureusement qu’un autre chemin est possible, avec le Parti RÉPUBLICAIN. »

 

Stéphane NZESSEU

 

Published in Tribune Libre

L’homme qui se fait appeler le « fils du Président » Paul Biya est depuis mercredi dernier dans les geôles de la police judiciaire. Il fait l’objet d’une accusation portée à son endroit par le Président Directeur Général du Groupe l’anecdote, Jean Pierre Amougou Belinga.

 

Le film de l’arrestation …

Visiblement, Gilbert Baongla faisait l’objet d’une filature depuis plusieurs jours. Depuis son expulsion d’un domicile à Yaoundé, il logeait à l’hôtel Mont Febe de Yaoundé. Au sortir de son hôtel ce mercredi, il va croiser Emmanuel Jonas Kana, ancien journaliste de la CRTV (la télévision nationale du Cameroun) et depuis peu en service à Vision 4. Les deux hommes se saluent brièvement. Baongla quitte l’hôtel pour Etoa-Meki (un quartier de Yaoundé). Il est escorté comme à son habitude par ses hommes de main et un cortège de véhicules. C’est au quartier Etoa-Meki que Georges Gilbert Baongla va être interpellé par des agents de la police judiciaire en civil. Face à cette situation, ses gardes du corps tentent de s’opposer. Ils bloquent les véhicules de la police et empêchent que leur patron soit emmené vers les cellules de la Police Judiciaire. Il va s’en suivre des échauffourées entre hommes de mains de Baongla et les agents de la police. Le rapport de force va tourner en faveur des agents de la police judiciaire.

 

Selon les témoignages de Aloys Parfait Mvoum, après son arrestation, passant par les rues d’Etoa-Meki pour se rendre à la PJ, ils aperçoivent à nouveau Emmanuel Jonas Kana. Ce dernier fera encore irruption une fois Baongla à la PJ.  Et comme ce fût le cas lors de son expulsion spectaculaire, la chaîne de télévision de Jean Pierre Amougou Belinga sera la première sur les lieux. Une équipe spéciale de reportage chargée d’immortaliser ces séquences en vue de l’humiliation de Georges Gilbert Baongla.

 

Alors qu’une confrontation était envisagée entre Gilbert Baongla et Amougou Belinga pour le même jour, celle-ci va être reportée à samedi à la demande du PDG du Groupe l’Anecdote. En attendant, la défense de Gilbert Baongla est allée à la rencontre du procureur pour envisager une demande de mise en liberté provisoire question de lui permettre de comparaître libre. Malheureusement, le procureur n’était pas en poste.

 

Gilbert Baongla a déjà passé deux nuits dans les cellules de police judiciaire du centre. Il est possible qu’il y passe le week-end.

 

Stéphane Nzesseu 

Published in Tribune Libre






Sunday, 05 June 2022 11:01