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Mfoungo

Mfoungo

La crise qui sévit depuis deux ans dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest n’ont pas échappé au discours de Paul Biya ce samedi 29 septembre 2018 à Maroua. Le président sortant, candidat à sa propre succession, tenait dans la capitale régionale de l’extrême-Nord son premier meeting pour la présidentielle du 7 octobre prochain.

«Il nous reste évidemment à restaurer la paix dans nos régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, meurtries par les exactions des sécessionnistes», a reconnu Paul Biya, évoquant la situation sécuritaire actuelle du Cameroun.

Pour lui, il est désormais question d’apporter à nos compatriotes de ses deux régions «toutes les satisfactions qu’elles sont en droit d’attendre et en les protégeant contre les excès de ces soi-disant libérateurs. Nous démontrerons que leur avenir se trouve bien au sein de notre République».

Pour y arriver, «il nous faudra pour cela rester unis et solidaires, manier à la fois la fermeté et le dialogue et demeurer fidèle à notre idéal démocratique», avoue le président de la République.

En ce qui concerne spécifiquement la région de l’Extrême-Nord, maintenant que l’ennemi [Boko Haram, NDLR] a été repoussé hors de nos frontières, «il nous revient de reconstruire, de faciliter le retour des déplacés et de tout faire pour recréer les conditions d’une vie normale sous ses différents aspects, administratifs, scolaires, économiques et sociaux».

Dans le domaine de l’énergie, Paul Biya a fait savoir que «les anciens barrages hydro-électriques seront remis à niveau. D’autres entreront en service. Des installations solaires, plus faciles à mettre en œuvre, viendront les compléter». La région de l’Extrême-Nord disposera ainsi de l’énergie indispensable à l’électrification des zones rurales et au fonctionnement des industries.

Le sous-sol de la région étant riche en minerais et en pétrole, il conviendra de donner un nouvel élan à la prospection et, par la suite, à l’exploitation, a-t-il promis. Pour le candidat du RDPC, en développant les cultures industrielles à grande échelle -- suivant les zones, du riz et du coton dont il faudra étendre les emblavures – «nous ferons ainsi reculer les pénuries alimentaires et donnerons à notre industrie textile la taille qui devrait être la sienne, avec les retombées prévisibles pour l’emploi».

«Je dois également mentionner vos grands espaces propres à l’élevage et à la production de lait et de viande, ainsi qu’à la culture des céréales. Sur ces différents points, des progrès sont manifestement possibles», a-t-il ajouté.

En ce qui concerne le tourisme, dès que la paix sera partout consolidée, il conviendra également de lui redonner une nouvelle chance. Les parcs et réserves de la région de l’Extrême-Nord n’ayant en effet rien perdu de leur attrait. Tout ceci nécessitera la construction d’infrastructures diverses qui font parfois encore défaut : routes, ponts, entrepôts, installations frigorifiques, etc.

L’autre promesse de Paul Biya est la réalisation prochaine de la ligne de chemin de fer reliera N’Gaoundéré à N’Djamena via Kousseri. «Je vous laisse imaginer l’impact d’une telle réalisation pour votre région et pour les échanges avec nos voisins».

Otric N.

Des tas d’immondices jonchent le sol des rues de cette ville logée dans la région de l’Ouest du Cameroun.

A cause de la rareté des camions de la société d’Hygiène et de salubrité du Cameroun (Hysacam), Bafoussam croule sous le poids de ses ordures. Il est difficile de sillonner les quartiers de cette ville sans tomber sur un tas d’immondice. Par exemple au lieu-dit Brigade de gendarmerie de Baleng dans l’arrondissement de Bafoussam 2ème, trois tas d’ordures jonchent un espace de moins de 100 mètres. Et à l’entrée de ladite gendarmerie c’est un important tas d’ordures qui accueille les usagers. Du fait du trop-plein de détritus qu’on retrouve dans la ville, un carrefour de Bafoussam a été baptisé «Carrefour ordures». Henri Lontsi habitant du quartier Baleng-Bafoussam 2ème déclare «depuis deux ans nous n’avons jamais vu les camions d’Hysacam dans cette zone. A chaque saison sèche nous essayons de regrouper les ordures que nous brulons afin de libérer un peu la route. Au fur et à mesure que le temps passe, nos efforts n’influencent en rien la quantité de ces ordures. Nous sommes exposés aux maladies en cette saison de pluies».

Conscient du fait que l’épidémie de choléra peut bien frapper à la porte de la ville de Bafoussam, le Comité régional de la région de l’Ouest de lutte contre cette maladie a récemment siégé. Il a été question d’être en éveil pour pouvoir apporter une riposte efficace dans le cas où le choléra arrivait à être détecter dans cette zone du Cameroun. Dr Simo prenant part à ces assises a indiqué que la lutte contre cette épidémie est le combat de tout le monde. Cependant quand on regarde la présence des ordures dans les coins et recoins de Bafoussam, on a l’impression que la situation semble ne pas être préoccupante pour tout le monde. Au service d’hygiène et d’assainissement de la Communauté urbaine de Bafoussam, des sources non officielles expliquent que le non-ramassage d’ordures est causé par un problème de finances.

Pour la prévention de cette épidémie le Dr Simo suggère la création et la pérennisation des systèmes efficaces de collecte et de gestion des déchets dans les zones urbaines et les lieux publics. Toutefois il martèle que prévenir le choléra passe essentiellement sur le respect des mesures d’hygiène individuelle et collective.

A titre de rappel des cas de choléra ont été déclarés le 14 juillet 2018 dans la région du Nord. Et pour aider le Cameroun a fait face à l’épidémie, l’Etat d’Israël a offert au pays 10 machines de purification d’eau. La cérémonie de réception desdites machines a eu lieu le 18 septembre 2018 au Ministère de la Santé. A propos de ces machines, il faut savoir qu’elles ont une capacité de traitement de 8 litres d’eau par minute. Avec une durée de vie de 3 années, elles s’auto nettoient et ne fonctionnent pas avec l’énergie électrique. Avec l’aide de ces partenaires à l’instar de l’Unicef, le Cameroun compte acquérir encore une quarantaine.

Liliane N.

Le candidat à la présidentielle Maurice Kamto a signé un accord hier avec l'artiste de musique Urbaine Valsero en vue de la création d'une milice urbaine appelé "LES ENFANTS DE LA RÉVOLUTION".

Ces enfants de la révolution ont reçu des instructions très drastiques; en effet ils devront, après les élections, descendre dans les rues si les candidats du RMC ne sont pas élus président de la République du Cameroun

 

 

 

 

Mesdames, Messieurs,

Laissez-moi d’abord vous remercier, et à travers vous, l’Extrême-Nord, pour les cadeaux symboliques qui nous ont été offerts, à mon épouse et à moi-même.

Monsieur le Gouverneur de la région de l’Extrême-Nord,

Monsieur le Délégué du Gouvernement auprès de la Communauté urbaine de
Maroua,

Monsieur le Président de la Coordination régionale de la Campagne dans
l’Extrême-Nord,

Autorités traditionnelles et religieuses,

Mes chers compatriotes de l’Extrême-Nord,

Mesdames, Messieurs,

Permettez-moi tout d’abord de remercier le Délégué du Gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Maroua pour ses chaleureux mots de bienvenue. Ils expriment les liens profonds qui m’unissent aux populations de l’Extrême-Nord, dont le soutien ne m’a jamais fait défaut.

Mes remerciements vont également au Président de la Coordination régionale de la Campagne dans l’Extrême-Nord pour les mots aimables qu’il vient d’avoir à mon endroit et à celui de mon épouse. Nos relations ont toujours été empreintes de franche cordialité et de confiance. Merci pour la chaleur de votre accueil.

Mes chers compatriotes de l’Extrême-Nord, Merci d’être venus si nombreux m’accueillir ici à Maroua. Vous avez bravé le soleil, la chaleur et les distances, pour venir à ma rencontre. De tout cœur, je vous dis merci. Merci pour toutes vos marques d’amitié et d’attachement fraternel qui reflètent bien les belles traditions d’hospitalité et de fidélité de votre région.

Si j’ai choisi de venir en campagne chez vous, à Maroua, c’est pour vous dire toute l’estime que je porte à votre région. Et vous dire aussi mon engagement à lui faire profiter des grandes opportunités qu’offre actuellement notre pays. Au cours des dernières années, vous avez été en première ligne. Et vous n’avez pas cédé.

Face à un envahisseur barbare qui détruisait, brûlait, tuait, vous avez résisté autant qu’il était possible.

Vous avez soutenu nos forces de défense et de sécurité. Les comités de vigilance ont joué un rôle essentiel dans votre résistance.
Maintenant que l’ennemi a été repoussé hors de nos frontières, il nous revient de reconstruire, de faciliter le retour des déplacés et de tout faire pour recréer les conditions d’une vie normale sous ses différents aspects, administratifs, scolaires, économiques et sociaux.
Il nous faudra toutefois rester vigilants, les terroristes n’ayant pas renoncé à fomenter des attentats-suicides toujours difficiles à prévenir.

Mes chers compatriotes de l’Extrême-Nord, Maintenant que la menace s’éloigne, une tâche exaltante se présente à nous dans le proche avenir. Ce n’est ni plus ni moins que gagner, ensemble, la bataille du développement.
Vous ne manquez pas d’atouts.
Dans le domaine de l’énergie, les anciens barrages hydro-électriques seront remis à niveau.

D’autres entreront en service. Des installations solaires, plus faciles à mettre en œuvre, viendront les compléter. Vous disposerez ainsi de l’énergie indispensable à l’électrification des zones rurales et au fonctionnement de vos industries.
Tout laisse penser que votre sous-sol est riche en minerais et en pétrole. Il conviendra de donner un nouvel élan à la prospection et, par la suite, à l’exploitation.

Certaines de vos terres sont fertiles et se prêtent à des cultures industrielles à grande échelle. C’est le cas, suivant les zones, du riz et du coton dont il faudra étendre les emblavures.
Nous ferons ainsi reculer les pénuries alimentaires et donnerons à notre industrie textile la taille qui devrait être la sienne, avec les retombées prévisibles pour l’emploi.

Je dois également mentionner vos grands espaces propres à l’élevage et à la production de lait et de viande, ainsi qu’à la culture des céréales. Sur ces différents points, des progrès sont manifestement possibles.
Dès que la paix sera partout consolidée, il conviendra également de redonner au tourisme dans votre région une nouvelle chance. Nos parcs et nos réserves n’ont en effet rien perdu de leur attrait.

Tout ceci nécessitera la construction d’infrastructures diverses qui font parfois encore défaut : routes, ponts, entrepôts, installations frigorifiques, etc.
Et pourquoi ne pas le dire : est-il irréaliste de penser que d’ici peu une ligne de chemin de fer reliera N’Gaoundéré à N’Djamena via Kousseri ? Je ne le crois pas. Je vous laisse imaginer l’impact d’une telle réalisation pour votre région et pour les échanges avec nos voisins.
Soyez assurés que je ne perdrai pas ces problèmes de vue.
Mes chers compatriotes l’Extrême-Nord, Les prochaines années seront capitales pour le Cameroun et en particulier pour votre
région.

Nous avons traversé bien des épreuves pour arriver là où nous en sommes. La plupart nous ont été imposées par l’environnement international : la crise de 2008, la chute des cours du pétrole et des matières premières notamment.

D’autres, à partir de notre voisinage immédiat, telles les attaques de Boko Haram ou les incursions des bandes armées à notre frontière orientale.
Et enfin, celles qui tiennent à l’insécurité provoquée par un mouvement sécessionniste dans nos régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.

Je crois pouvoir dire que nous avons surmonté le plus dur de ces épreuves. Mais, il nous reste évidemment à restaurer la paix dans nos régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, meurtries par les exactions des sécessionnistes.

En apportant à nos compatriotes de ses deux régions toutes les satisfactions qu’elles sont en droit d’attendre et en les protégeant contre les excès de ces soi-disant libérateurs, nous démontrerons que leur avenir se trouve bien au sein de notre République. Nous pourrons alors poursuivre notre marche en avant en saisissant toutes les «grandes opportunités» qui s’offrent à nous. Mais, il nous faudra pour cela rester unis et solidaires, manier à la fois la fermeté et le dialogue et demeurer fidèle à notre idéal démocratique.

Dans ces conditions, je pense que rien ne pourra faire dévier notre grande et belle Nation de sa route vers la prospérité et le progrès social.
Je sais pouvoir compter sur vous pour faire, le 07 octobre prochain, le choix qui nous permet d’avoir de notre côté « la force de l’expérience ».

Vive la Région de l’Extrême-Nord !
Vive la République !
Vive le Cameroun !

Nom: Kamto
Prénom: Maurice
Date de naissance: 14 février 1954
Lieu de naissance: Cameroun –  Région Ouest – Département de la Mifi – Commune de Bafoussam
Statut marital : marié à Suzanne Julie Fatchom
Parti politique: Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) fondé le 13 août 2014 par Maurice Kamto
Précédente participation à l’élection présidentielle : aucune

BIOGRAPHIE:

Né à Boufassam, la capitale de la région Ouest, il poursuit de brillantes études durant toute sa scolarité, puis entame des études de droits à l’Université de Yaoundé et devient titulaire d’une licence en droit public, et se spécialise en droit public fondamental et décroche en 1980 un diplôme d’études approfondies dans ce domaine. À Nice, il s’inscrit à la faculté de droit et obtient un diplôme d’études approfondies de droit international, puis à Paris, en 1982, il reçoit son diplôme de l’IIAP (Institut international d’administration publique).

 

Un an plus tard, il devient docteur d’état en droit de l’Université de Nice. Son parcours ne s’arrête pas là, et en 1988, il est le récipiendaire du Prix de l’Académie des sciences d’outre-mer, et dans la foulée, il est agrégé des Facultés françaises de droit.

 

Cette trajectoire brillante lui a ouvert les portes du poste de doyen de la faculté des sciences juridiques et politiques de l’Université de Yaoundé.
Son activité professionnelle se concentre essentiellement autour de l’enseignement du droit, que ce soit à l’Université de Ngaoundéré, et à partir de 1994, à l’université de Yaoundé II.
Son parcours l’a également mené à enseigner à l’IRIC (Institut des relations internationales du Cameroun), et à l’ENAM (École nationale d’administration et de magistrature) de Yaoundé.

 

Au moment de la création de la CPI (Cour pénale internationale) en juillet 1998, son expertise a été requise en tant que conseiller juridique dans le comité de rédaction, et ses vastes connaissances lui ont permises de devenir membre de la Commission de droit international des Nations unies.
Dans le conflit frontalier entre le Cameroun et le Nigeria sur la question de la presqu’île de Bakassi, dont la revendication était partagée par les deux nations, Kamto fut l’avocat du Cameroun auprès de la CIJ (Cour internationale de Justice).

 

Une fois la souveraineté camerounaise reconnue sur la presqu’île, il fut nommé en décembre 2004 au poste de ministre délégué auprès du vice-Premier ministre, ainsi que ministre de la Justice et garde des Sceaux.
En novembre 2011, il quitte ses fonctions gouvernementales afin de préparer, avec d’autres responsables politiques, ce qui deviendra le 13 août 2012 le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun.
L’objectif est de proposer une plateforme permettant de réunir l’opposition camerounaise, éparpillée sur 200 partis, et d’effectuer un changement de pouvoir dans des conditions pacifiques.

 

LES PROMESSES DE CAMPAGNE: 

président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun propose cinq chantiers pour la Renaissance Nationale

  • Institutionnel et Politique

Avec une élection présidentielle à deux tours, le mandat du président de la république renouvelable une fois. L’âge électoral ramené à 18 ans; la séparation des pouvoirs et la réforme de l’État avec un débat sur sa forme

  • Éducation et Jeunesse

Maurice Kamto entend créer 360 centres de métiers dans toutes les communes qui vont former les jeunes non scolarisés. La création de 58 instituts de formation professionnelle dans tous les départements pour la reconversion vers les métiers ouverts à l’emploi décent. La réforme totale du système éducatif.

  • Production, Mécanisation de l’Agriculture: Ce qui implique la création d’un semencier national ainsi qu’un millier d’emplois dans le secteur agricole- Le désenclavement des bassins de production agricole.

La libéralisation du secteur énergétique et l’accroissement de l’offre énergétique. La création d’un fond de garantie pour le financement de l’économie, des centres d’incubateurs dans les 10 régions pour le développement de l’économie numérique.

  • Social et de Solidarité

La création des hôpitaux de référence dans chaque région.

La création d’un fonds de solidarité et de fraternité. 5% de places réservées aux personnes vivant avec un handicap dans tous les concours et intégration à la fonction publique.

Des césariennes gratuites pour les mamans.

L’Éducation obligatoire pour les enfants jusqu’à 16 ans

L’Assurance maladie universelle minimum et l’âge de la retraite générale à 60 ans mais 65 ans pour les enseignants.

La réforme du code du travail orienté vers une vie décente du travailleur

  • Diaspora et Partenaires Internationaux

Création d’une agence nationale pour la diaspora camerounaise

Introduction de la multiplication nationalité

Représentation de la diaspora dans tous les secteurs de la vie nationale

Suppression des APE

Renégociation de tous les accords de tous les partenariats nouveaux et anciens

Incitation par les stratégies gagnantes gagnantes pour le retour des cerveaux

Développement des partenariats nouveaux avec le Nigeria.

 

Nom: Muna Prénom: Akere Tabeng Date de naissance: 18 août 1952 Lieu de naissance: Cameroun -  Région Nord-Ouest - Département de la Momo - Commune de Ngyen-Mbo Statut marital : marié à Beverly Bird, fille de V.C. Bird, ancien premier ministre d’Antigua-et-Barbuda, deux filles Parti politique: Front Populaire pour le Développement (FPD) Précédente participation à l’élection présidentielle : aucune

BIOGRAPHIE:

Akere Muna est née à Ngyen-Mbo, un village du nord-ouest du Cameroun. Akere Muna est le fils de Solomon Tandeng Muna. Il est le septième de huit enfants. Son père, Salomon, était Premier ministre du Cameroun occidental, puis vice-président de la République fédérale du Cameroun, et il est devenu président de l'Assemblée nationale jusqu'à sa retraite en 1987.  La famille Muna est l'une des familles les plus importantes du Cameroun. Son frère, Bernard Muna, s’est présenté à l’élection présidentielle camerounaise de 2011 en tant que candidat de l’Alliance des Forces Progressistes.

 

Akere Muna a terminé ses études primaires et secondaires au Cameroun avant de se rendre à l’école de service international (SIS) de l’Université américaine de Washington, où il a obtenu en 1975 son diplôme de sciences en relations internationales. Il a ensuite déménagé en Angleterre rejoint la “Honourable Society of Lincoln’s Inn”. Il a été admis au barreau en Angleterre en 1978. La même année, il est retourné au Cameroun pour y pratiquer le droit dans le cabinet de son frère, Bernard Muna.

 

LES PROMESSES DE CAMPAGNE: 

À cette activité professionnelle s’est associées des fonctions dans la société civile, aussi bien dans son pays, que dans des organisations internationales. Il a par la suite été élu président de l’association du barreau camerounais en 1997, dans une coalition réunissant des avocats venant de toutes les régions du pays. En 2000, il fonde la section camerounaise de Transparency International (TI), l’ONG de lutte contre la corruption. Alors que certains craignaient des représailles du gouvernement, les autorités ont constitué une commission afin de lutter contre la corruption à laquelle Akere Muna a été associé en tant que président du barreau.

 

En 2004 il est élu au conseil d’administration de TI, et l’année suivante, vice-président de ce même conseil, poste qu’il a occupé jusqu’en 2014. Il a alors été nommé président de l’IACC (International Anti-Corruption Council). Ses autres activités comprennent la création du PALU (Pan Africain Lawyers Union), la position de membre du Conseil Economique, Social et Culturel au sein de l’Union Africaine.

 

Akere Tandeng Muna : Front Populaire pour le Développement a pour slogan de campagne: Vers une Nouvelle République

 

  • Il entend offrir aux Camerounais un contrat social qui repose sur une approche consensuelle de la gestion des affaires publiques, la promotion de la bonne gouvernance, la gestion et la distribution équitable des richesses.

  • Les camerounais sont au centre de la gouvernance et un nouveau contrat defini par le rôle de l’État

  • Des infrastructures de base en vue de l’amélioration de leur niveau de vie au quotidien

  • La mise en place des politiques pour un pays prospère et exempt de corruption où la quête de l’excellence est permanente

  • Le respect des droits de la personne

  • La Création des emplois rémunérés grâce à l’amélioration du climat des affaires

  • L’augmentation des investissements étrangers et la promotion de la création des emplois grâce à l’existence de la liberté et de la justice

  • La mise en place des politiques qui promeuvent le potentiel des femmes et des jeunes filles

  • La construction de nouvelles structures de santé, convenablement équipées qui vont offrir des services de base dans les communautés, grâce à la couverture santé universelle

  • La diaspora camerounaise sera encouragée à contribuer à la construction d’un Cameroun libre et prospère.

Le candidat à l’élection présidentielle 2018 vient de poster sur la toile une vidéo dans laquelle, il apporte des précisions sur son programme politique.

 

Toutefois il convient d’indiquer le programme politique du candidat du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) est axé sur cinq chantiers. L’un des cinq chantiers porte sur la santé. Maurice Kamto promet de rendre gratuite la césarienne dès 2019, aussi tous les soins de santé de base.

 

 

Un message a été publié dans ce sens le 25 septembre. Les Canadiens à l’étranger sont invités à prendre des précautions lors de leurs déplacements.

Les autorités canadiennes s’inquiètent pour leurs ressortissants installés au Cameroun ou qui envisagent de s’y rendre. Le contexte sécuritaire n’y est pas de nature à rassurer. Pour éviter des drames, un message a été publié le 25 septembre dernier à l’intention des canadiens qui vivent à l’extérieur de leur territoire national ou désireux d’aller en vacances.

« Évitez les zones où des manifestations et de grands rassemblements ont lieu. Suivez les instructions des autorités locales et écoutez les médias locaux pour obtenir les dernières informations ». Ce sont les principaux conseils adressés aux ressortissants canadiens.

Dans leur message, les autorités canadiennes ont fait un bilan de la situation sécuritaire et de tous les fléaux majeurs qui minent le Cameroun. Des régions anglophones au septentrion en passant par la région de l’Est, ils ont présenté les crises sociopolitiques qui sévissent actuellement au Cameroun.

La crise anglophone, qui embrase les régions anglophones du Cameroun depuis 2016, fait l’objet d’inquiétudes pour de nombreux acteurs de la diplomatie. Cette sortie des autorités canadiennes n’est qu’un échantillon de la psychose qui règne actuellement au Cameroun.

L’attaque remonte à la nuit du mardi 25 septembre au mercredi 26 septembre 2018.

D’après des informations de dernière heure, les forces de l’ordre sont toujours à la recherche de certains séparatistes anglophones auteurs de l’attaque à la prison de Wum située dans la région du Nord-Ouest. On parle de 80 qui manquent encore à l’appel après que 29 se soient rendus eux-mêmes aux autorités.

Sur le déroulement de l’attaque le gouverneur du Nord-Ouest Adolphe Lele Lafrique et des sources sécuritaires dignes de foi indiquent que «les assaillants armés ont escaladé le mur de la prison par une échelle avant d’ouvrir le feu une fois à l’intérieur». Au nombre de combien étaient ces assaillants, c’est l’information que ne donnent ni les autorités ni les sources sécuritaires. «Le gang armé qui a surpris les forces de sécurité, a réussi à ouvrir les portes de la prison et à libérer plus d’une centaine de prisonniers», déclare une source sécuritaire.

Dans cette attaque on sait quand même que les séparatistes ont emporté des armes et des munitions. Les forces de sécurité dans leur riposte, ont toutefois réussi à neutraliser deux membres du gang armé. Peu après cet incident, les entrées et les sorties de la ville ont été sécurisées par les forces de sécurité.

Rappelons que ce n’est pas la première fois où les éléments de la république imaginaire d’Ambazonie commettent une attaque de ce genre. Cela s’était déjà passé au mois de juillet 2018

Les acteurs de l’éducation du département du Moungo, dans la région du littoral, se disent préoccupés par l’insécurité qui règne dans la région, en particulier dans les écoles.

Conscient de la proximité du Moungo par rapport à la région du Sud-Ouest touchée par la crise anglophone, les acteurs de l’éducation ont adopté des mesures pour assurer une année académique 2018/2019 en toute sécurité aux élèves.

Lors d’une réunion de coordination de la sécurité à Nkongsamba, tenue le 26 septembre 2918 et présidée par le délégué de départemental de l’enseignement secondaire, Emmanuel NZOKI, les acteurs de l’éducation ont échangé des connaissances sur la manière de guider les apprenants contre la criminalité et les pratiques violentes.

Selon NZOKI, les instructions venaient du ministre de l’Enseignement secondaire, et exigeaient que les acteurs de l’éducation soient sensibilisés au contexte difficile et à la tâche qui les attendait.

Selon lui, la réunion a été un moyen de rapporter les difficultés rencontrées par les écoles du Moungo, qui accueillent désormais un grand nombre d’apprenants déplacés de la région du Sud-Ouest.

Des responsables scolaires nouvellement nommés dans le département du Moungo ont également reçu des directives pour leur permettre d’éviter tout problème de sécurité conséquent.

Des mesures ont été adoptées pour sensibiliser les élèves à la prudence. Ces derniers ne devront pas se faire transporter par des moto-taximen qu’ils ne peuvent pas identifier. Cette prudence les sauvera des mains des ravisseurs.

Certaines écoles ont mis en place des cartes d’identité pour les élèves afin de repérer les intrus. On s’attend toutefois à ce que ces mesures soient pleinement mises en œuvre pour la sécurité des enseignants et des apprenants du Moungo.







Sunday, 05 June 2022 11:01