L’attaque remonte à la nuit du mardi 25 septembre au mercredi 26 septembre 2018.
D’après des informations de dernière heure, les forces de l’ordre sont toujours à la recherche de certains séparatistes anglophones auteurs de l’attaque à la prison de Wum située dans la région du Nord-Ouest. On parle de 80 qui manquent encore à l’appel après que 29 se soient rendus eux-mêmes aux autorités.
Sur le déroulement de l’attaque le gouverneur du Nord-Ouest Adolphe Lele Lafrique et des sources sécuritaires dignes de foi indiquent que «les assaillants armés ont escaladé le mur de la prison par une échelle avant d’ouvrir le feu une fois à l’intérieur». Au nombre de combien étaient ces assaillants, c’est l’information que ne donnent ni les autorités ni les sources sécuritaires. «Le gang armé qui a surpris les forces de sécurité, a réussi à ouvrir les portes de la prison et à libérer plus d’une centaine de prisonniers», déclare une source sécuritaire.
Dans cette attaque on sait quand même que les séparatistes ont emporté des armes et des munitions. Les forces de sécurité dans leur riposte, ont toutefois réussi à neutraliser deux membres du gang armé. Peu après cet incident, les entrées et les sorties de la ville ont été sécurisées par les forces de sécurité.
Rappelons que ce n’est pas la première fois où les éléments de la république imaginaire d’Ambazonie commettent une attaque de ce genre. Cela s’était déjà passé au mois de juillet 2018