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Les fonds sont mis à la disposition du Programme national de Développement participatif (Pndp) par l'Union européenne à travers son mécanisme du Fed qui est administré par l’Agence française de développement (Afd). Ce sont au total, 12 départements qui sont concernées par ces plans territoriaux dans les régions de l’Adamaoua, de l’Est, Extrême-Nord et du Nord. Pour la matérialisation de ce projet, le Pndp est à la recherche d’un partenaire.

 

Cette action du Pndp s’inscrit dans le cadre de la 3ème phase du Programme national de Développement participatif lancé depuis 2016. Le projet fait la part belle à l’aménagement du territoire en appuyant sur la spécificité de chaque territoire et l’appui aux filières agropastorales locales.

Ces plans territoriaux s’inspirent des transferts de compétences aux communes dans le sillage du développement des infrastructures de désenclavement notamment les routes communales, pistes rurales, ouvrages de franchissement. En outre, cette nouvelle orientation dans la mise en œuvre du Pndp se sert des appuis aux filières agricoles, animales et végétales à travers la construction des magasins de stockage, des ateliers de transformation ou des couloirs de passage.

Les bureaux d’études, Organisations Non Gouvernementales, consultants individuels, ou des bureaux d’études et organisations de la société civile, sont les acteurs auxquels s’adresse cet appel à manifestation d’intérêt lancé le 10 février dernier.

Indiquons que le Pndp de depuis son lancement il y a quatre ans, est un programme dont la contribution est non négligeable dans l’amélioration des conditions de vie des populations à la base. A mettre à l’actif du Pndp, le renforcement des capacités techniques et opérationnelles des acteurs, ainsi que du cadre institutionnel, législatif et réglementaire en matière de la décentralisation. De sources officielles indiquent que ce programme a permis le financement de 6 500 microprojets dans les volets : éducation, santé, électrification, hydraulique entre autres. Ce sont également, 329 plans communaux de développement qui ont été produits grâce à l’appui du Programme national de développement participatif.

Innocent D H

Published in Finances

Le projet va être lancé par le Programme national de développement participatif (Pndp) piloté par le Ministère de l’Economie de la Planification et de l’Aménagement du Territoire (Minepat). Il est question de redonner pleine vie au tissu économique de la région de l’Extrême-Nord, lessivé ces dernières années par les attaques des terroristes de Boko Haram.

 

Les 6 000 emplois seront générés par 30 micro-projets fiancés grâce à un appui financier de la France, d’un montant de 9,6 milliards de francs CFA, apprend-on de sources bien introduites. Le Projet Haute intensité de main d’œuvre (Himo) est une approche qui met en exergue, l’utilisation de la matière première et de la main d’œuvre locale. Ses activités ont une incidence majeure sur le développement local.

A en croire, Médard Kouatchou, responsable de l’unité Himo au Ministère de l’Economie, dans les projets réalisés suivant cette approche, 70 à 80% du budget reste dans la localité qui accueille le projet. Le 1er juillet 2020, le Cameroun a validé le programme national intégré d’aménagement des Collectivités territoriales décentralisées (CTD) à travers le modèle Himo. Le programme a pour objectif, de créer dans les collectivités territoriales décentralisées, environ 100 000 emplois au cours de la période 2020-2025.

De mars à décembre 2018 par exemple, l’approche Himo a été implémentée dans la localité de Mallam Petel, située dans la commune de Pétté se trouvant à environ 57 kilomètres de la ville de Maroua, chef-lieu de la Région de l’Extrême-Nord. Ainsi, une mare artificielle a été réalisée dans cette localité selon le projet Himo avec les efforts conjoints des bailleurs de fonds, des forces publiques et des communautés bénéficiaires elles-mêmes. 

Cette initiative avait permis de résoudre deux problèmes majeurs : l’exode rurale résultant du manque d’emploi des jeunes et la réduction du cheptel bovin due aux pénuries en eau pour les éleveurs pendant la saison sèche. Elle consistait à recruter les jeunes (femmes et hommes) vivant dans un rayon de 3 km du site de construction de la mare et dont l’âge est compris entre 18 et 35 ans pour la réalisation d’une partie des tâches (Exemple : Transport des terres, travaux de fouille…).

Innocent D H

Published in Société

Ce sont les meilleures communes en matière d’implémentation des directives du Programme national de développement participatif (PNDP). Chacune, a présenté sa prime ce vendredi à Garoua au cours d’une cérémonie présidée par le Gouverneur de la région du Nord Jean Abate Edi’i, en présence du coordonnateur régional du PNDP pour le Nord Dr Ousmaïla Mohamadou Boboy. 

 

Les guichets performances organisées par le PNDP vise à booster les projets de développement portés par les collectivités territoriales décentralisées. Et c’est la commune de Baschéo dans le département la Bénoué, région du Nord qui est sortie vainqueur national des guichets performances 2019. Cette commune qui a obtenu 92 points sur 100, est résolument engagée dans la politique des grandes opportunités. « Cette réussite est le résultat d’un travail collectif. Lors du dernier conseil municipal, la commune a décidé de réaliser 7 forages dans différentes localités avec les 50 millions obtenus des guichets performances », confie le maire de la commune de Baschéo, Souaïbou. 

Outre la commune de Baschéo qui a reçu 50.000.000 de FCFA du PNDP, les communes de pitoa toujours dans le département de la Bénoué et celle de Tcholliré dans le Mayo-Rey, ont occupé respectivement les 2ème et 3ème place avec 50.000.000 et 25.000 de FCFA chacune. 

Les primes reçues par les trois communes ont été présentées ce vendredi à Garoua. « Il est question de mettre en compétition toutes les communes du Cameroun dont celles de la région du Nord pour voir les meilleures communes. Les deux meilleures communes ont été primées à hauteur chacune de 50.000.000 de FCFA. Cet argent va permettre le financement des micro-projets conformément aux procédures du PNDP », précise Dr Ousmaïla Mohamadou Boboy, le coordonnateur régional du PNDP pour le Nord. 

Le Gouverneur de la région du Nord, Jean Abate Edi’i qui présidait la cérémonie de présentation des primes, a salué les efforts fournis par les exécutifs communaux. Il a également saisi l’occasion pour appeler les autres communes à la célérité et au travail bien fait afin d’être éligibles aux prochaines éditions des guichets performances. 

 

Innocent D H

 

Published in Société

Le Programme national de développement participatif (Pndp) rendu à sa troisième phase permet au Document de stratégie pour la croissance et l'emploi (Dsce) d'être appliqué au service du développement des communes.

 

Instrument au service des communes du Cameroun dans l'accompagnement de leurs projets d'envergure, le Programme national de développement participatif, est un élément indispensable dans la mise en œuvre du document de stratégie pour la croissance et l'emploi.

La troisième phase dudit programme étant passée à son implémentation avec la signature le 03 février 2016, de l'accord de crédit du Pndp III. Elle intervient ainsi, après deux premières phases appuyées par des fonds propres de l'Etat du Cameroun, de la Banque mondiale, l'Agence française de développement, entres autres.

 

Cette troisième phase du Pndp se décline en trois composantes : la première porte sur l'appui au développement local, la deuxième concerne l'appui institutionnel et le renforcement des capacités, tandis que la troisième composante est axée sur la coordination, la gestion, le suivi-évaluation et la communication.

Ces composantes présentées comme innovations majeures du Pndp, visent un impact direct sur le chemin du développement et de la décentralisation, notamment l'autonomisation des communes et la mise en place d'une fonction publique communale. Outre son extension à l'ensemble des 360 communes du Cameroun, la troisième phase dite de consolidation, concentrera plus de financement aux communes septentrionales et de l'Est, confrontées à la pauvreté et à l'insécurité. Il y a aussi, le financement des micro-projets et la promotion des critères de transparence, de recevabilité et d'appropriation de la démarche participative promue par le Pndp.

Plus qu'une boussole, le Dsce implémenté par le Pndp sous tutelle du Ministère de l'économie, de la planification et de l'aménagement du territoire, est un véritable levier de développement.

 

Innocent D H

Published in Economie

Le 10 octobre 2018 le Programme national de développement participatif a présenté au cours d’un atelier organisé dans la ville de Yaoundé, les résultats de son étude sur cette problématique.

L’étude est intitulée «Dispositifs d’entretien et de maintenance des ouvrages communautaires». Dans ladite étude le Programme national de développement participatif (PNDP) indique que sur 6000 microprojets socioéconomiques réalisés sur l’ensemble du territoire national, de nombreux projets en zone rurale font face à des problèmes de maintenance et d’entretien. Il s’agit des projets réalisés dans le domaine des infrastructures comme les bâtiments, les réseaux électriques, les routes, les forages, les puits, les salles de classe, les hangars de marché, les cases sociales et magasins, les blocs de boutique et bien d’autres. Les résultats de l’étude montrent qu’il y a des ouvrages construits qui ne fonctionnent à moitié, en dessous de leurs performances ou même encore presque pas du tout. Charles Bwemba consultant indépendant dans le cadre du travail réalisé par le PNDP dans le journal Le Quotidien de l’Economie du 11 octobre 2018 présente ses objectifs.

«A travers cette étude il est question de définir les dispositifs d’entretien et de maintenance des ouvrages communautaires construits dans le cadre du PNDP. Ce qui fait problème, c’est que plusieurs ouvrages réalisés font face à des difficultés d’entretien et de maintenance. Des comités de suivi et de gestion ont été mis sur pied. Ils sont censés assurés le suivi de l’entretien et de la maintenance des ouvrages. Sauf que pour le faire, il faut des moyens. Or pour certains ouvrages, il faut collecter les fonds pour pouvoir assurer l’entretien et la maintenance. Il fallait donc mettre sur pied les dispositifs en termes de description, d’acteurs, de moyens de financement et de conditions de succès», déclare Charles Bwemba. Le consultant souligne que dans le cadre de l’étude, sur dix régions, juste six ont été prises en considération. A savoir le Nord-Ouest, le Centre, l’Est, l’Adamaoua, l’Ouest et le Nord.  Le PNDP veut par ce travail arriver à définir les mécanismes de gestion, d’entretien et de maintenance des ouvrages communautaires, qu’il a construits.

Dans son souci de résoudre le problème, le PNDP veut mettre à la disposition des communes, une nouvelle stratégie d’entretien et de maintenance des ouvrages avec plusieurs variantes dont les articulations prendront en compte le type d’infrastructures, le dynamisme communautaire, les réalités culturelles, la population et les capacités financières des commune, les réalités culturelles, la population et les capacités financières des communes.

«Les ouvrages il faut les séparer. Il y a des groupes qui peuvent se prendre en charge tout seul. Car, il y a des contributions venant des populations locales. Vous avez par exemple des boutiques, il y a des loyers qui sont payés  et qui sont réservés au niveau de la commune. Ainsi, on peut utiliser l’entretien et la maintenance. Seulement il faudrait que la commune programme et suive. Il y a les puits et les forages qui sont mis à la disposition des populations qui rapportent une contribution. A ce niveau les communes doivent suivre, veiller à ce que les populations contribuent, veiller à ce qu’il y a assez de pièces de rechange au niveau de la commune pour pouvoir réaliser les réparations», déclare Charles Bwemba.

Liliane N.   

 

Published in Economie






Sunday, 05 June 2022 11:01