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Martin Mbarga Nguele le Délégué Général à la Sûreté Nationale se satisfait des mesures sécuritaires mises en place lors de la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations.

Pour Martin Mbarga Nguele le Délégué Général à la Sûreté Nationale (DGSN), la 6ème édition du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) organisée par le Cameroun, a démontré que notre pays a les capacités pour abriter des compétitions sportives de haute envergure. Prenant part à la réunion d’évaluation du dispositif sécuritaire déployé autour du CHAN, le DGSN a indiqué que le Cameroun a tenu le pari.

«Je crois que la preuve est là que le Cameroun peut abriter toutes les compétitions sportives dignes d’intérêt. Et s’il s’agit d’un défi, ce défi a été relevé», a déclaré le DGSN.

Il convient de rappeler qu’avant le début du CHAN 2020, les sécessionnistes avaient fait planer sur cette compétition, des menaces. Le Dr Samuel IKOME SAKO, président par intérim de la république fédérale de l’ambazonie a dans son message de fin d’année 2020, interdit formellement la tenue du CHAN sur leur prétendu territoire. La ville de Limbe qui a abrité les matchs de la poule D était la cible de ces troupes séparatistes. Samuel SAKO avait indiqué que des lettres officielles ont été envoyées à tous les pays participants, les informant que: «le CHAN a été interdit sur tout le territoire national de l’Ambazonie».

Il avait indiqué que «l’Arnbazonie est en guerre et n’est ouverte à aucune activité sportive de plein air jusqu’à nouvel ordre».

«Concernant le Cameroun français, l’organisation prévue de leur compétition CAF – CHAN 2021 dans certaines parties de notre nation l’Ambazonie, du 16 janvier au 7 février 2021, Cela ne doit pas arriver sur notre territoire II! Nous avons déclaré tous les joueurs, officiels des matchs et entraineurs persona non grata en arnbazonie. (…) Nous voulons avertir toutes les structures retenues -hôtels et / ou particuliers, les personnalités publiques et facilitateurs qui pourraient envisager de participer à cette compétition à n’importe quel niveau à s’abstenir», avait écrit le Dr Samuel IKOME SAKO.

Finalement, le CHAN s’est déroulé sans couac. Les séparatistes n'ont pas pu mettre en exécution leurs menaces. Yves Landry Galax Etoga, le Secrétaire d’Etat à la Défense chargé de la Gendarmerie (SED) qui a pris part à cette réunion a pour sa part salué la collaboration police-gendarmerie.

 «On pense que les dispositions ont été prises, en liaison police-gendarmerie. Je dois souligner que le dispositif sécuritaire de première ligne était justement assurée par la gendarmerie nationale et par la sûreté nationale conformément aux directives de la CAF, et nous avons tout mis en œuvre pour que nos invités puissent jouir d’une fête parfaite», a-t-il déclaré Yves Landry Galax Etoga.

Liliane N.

Published in Défense

Il s’agit de l’inspecteur de police de 1er grade Bertrand Christian Ntsama. Celui-ci est suspendu de ses fonctions pour une durée de trois mois. Voilà qui montre que le Délégué général à la Sûreté nationale (DGSN) ne fait pas de concession quand il s’agit d’un écart de comportement observé dans les rangs surtout lorsqu’il s’agit du combat national contre la funeste pandémie du coronavirus. 

 

C’est le 19 octobre 2020 que le patron de la Police camerounaise a signé une décision portant suspension de ses fonctions pour une durée de trois mois, de l’inspecteur de police de 1er grade Bertrand Christian Ntsama Betoukou en service au Commissariat central numéro 3 de la ville de Yaoundé. Ce dernier est puni pour « insubordination hiérarchique et manquements aux consignes par non-respect des mesures barrières liées au Covid-19 et refus de port du masque facial », précise la décision du DGSN qui indique également que les faits ont été constatés depuis le mois d’août dernier.

Cette mesure conservatoire ne dispense naturellement pas le policier suspendu de sa traduction devant le Conseil de discipline de la Sûreté nationale. « Pendant la durée de la suspension, l’intéressé ne percevra aucune solde ni accessoires de solde, sauf le cas échéant la totalité des indemnités pour charges de famille », apprend-on.

Cette sanction se présente donc comme un élément dissuasif pour le reste des éléments de la sûreté nationale qui seraient tenter de se soustraire à l’observance des mesures barrières contre la Covid-19. On le sait bien tous notamment, le port du masque reste obligatoire dans les espaces publics jusqu’à nouvel ordre. Une mesure réitérée avec force par le Chef de l’Etat Paul Biya lors de son adresse à la Nation le 19 mai 2020. C’était au soir de la Fête nationale de l’Unité qui n’a pas cette année connu de manifestation publique à cause de la menace imposée par le coronavirus.

Innocent D H

 

Published in Judiciaire

Ces commissaires et officiers de police issus de la promotion 2018-2020 viennent de recevoir leurs épaulettes à l’Ecole nationale supérieure de Police de Yaoundé. C’était au cours d’une cérémonie qui a connu la présence du Délégué général à la sûreté nationale (DGSN), Martin Mbarga Nguelé et du représentant du secrétaire général de la Présidence de la République.

 

Du sang neuf dans les rangs de la Police camerounaise. 264 commissaires et officiers de police de la promotion 2018-2020 viennent de triompher au cours d’une cérémonie déroulée dans le strict respect des mesures barrières à cause de la pandémie du coronavirus. Cérémonie empreinte de sobriété marquée par la présence de Martin Mbarga Nguelé, délégué général à la sûreté nationale et celle du représentant du Secrétaire général de la Présidence de la République.

Notons que les 10 premiers de chaque contingent ayant obtenu une moyenne comprise entre 15 et 17,5/20 ont reçu leurs épaulettes et des exemplaires du code de déontologie policière des mains du DGSN. Pour ce qui est des 95 commissaires et officiers de police de nationalité congolaise ayant interrompu leur formation à cause du coronavirus, ils seront fixés sur leur jour de triomphe dans les prochaines semaines à Brazzaville, la capitale de leur pays, apprend-on.

Au moment où l’on enregistre de plus en plus des cas d’insécurité dans les villes du Cameroun, ces nouveaux hommes et femmes viendront considérablement renforcer les ressources humaines déjà existantes. Rappelons qu’en septembre 2019, 4894 élèves gardiens de la paix arrivés en fin de formation au Centre d’instruction et d’application de la Police de Mutenguene avaient reçu leurs épaulettes. Sur la rigueur de la formation reçue, le commissaire divisionnaire, Pierre Nith confiait : « nous avons mis l’accent sur les différents aspects liés à la formation professionnelle, à savoir le renseignement, la police judiciaire, la sécurité publique, le maintien de l’ordre. Mais nous avons insisté sur le contexte sécuritaire dans le cadre de la formation militaire, afin que les élèves s’adaptent au nouveau contexte et qu’ils ne soient pas surpris par l’environnement hostile qui les attend sur le terrain ».

Innocent D H

Published in Judiciaire

Martin Mbarga Nguelé, le délégué général à la sûreté nationale (Dgsn) vient d’éventrer un réseau de corruption qui entoure les procédures de délivrance du passeport. Ce qui permet d’ailleurs de se rendre compte qu’il n’existe pas de passeport express au Cameroun.

 

Selon les informations puisées à bonnes sources, la mafia autour du passeport camerounais a été éventrée quand « une étudiante camerounaise qui réside au Canada, arrive au Cameroun pour renouveler son passeport. Elle pose le problème à l’une de ses connaissances qui est policière. Cette dernière lui fait savoir qu’elle a un contact qui peut lui faire établir un passeport « express » en deux jours à condition qu’elle lui donne 400 mille FCFA ». 

A la suite de cette proposition, l’étudiante qui trouve le montant exorbitant décide de saisir le délégué général à la sûreté nationale. Martin Mbarga Nguelé, va immédiatement ordonner l’ouverture d’une enquête en vue du démantèlement du réseau de corruption concerné, raconte l’enquêteur en chef du cabinet du Dgsn, le commissaire Vincent de Paul Meva’a. Cette enquête a permis de mettre aux arrêts deux fonctionnaires de police. 

Procédure

Sur la procédure d’obtention du précieux document, un officier de police ayant requis l’anonymat nous confie, « au Cameroun, pour établir un passeport biométrique, le coût normal est de 75 milles FCFA et il faut attendre 03 mois, voire plus. Cependant, tu peux faire un passeport express à 150.000 FCFA délai 01 à 03 semaines maximum. Mais en réalité, le passeport « express » n’existe pas. Il existe juste des personnes qui permettent d’accélérer la procédure et écourter les délais et cela s’appelle la corruption », note-on. 

A titre de conseil, cet officier déclare, « maintenant, commencez vos démarches en temps et en heure pour ne plus vous retrouver à donner des sommes d’argent de dessous de tables à des personnes véreuses et escrocs ».  

A propos du mode opératoire du réseau de mafia, l’officier cité haut souligne, « certains employés de la Dgsn profitaient de la forte demande pour faire ce qu’ils appellent passeport « express », afin de soutirer le plus d’argent aux usagers. Par exemple, ces arnaqueurs opéraient en sollicitant 75.000 FCFA pour le passeport normal, délivré en 06 mois après dépôt de dossiers. 200.000 FCFA pour le passeport « express » délivré un mois après dépôt des dossiers. 300.000 FCFA, passeport « express », délivré une semaine après dépôt de 500.000 FCFA, le passeport « Turbo » quelques heures après le dépôt d’un million de FCFA. Passeport « Turbo terminator », tu envoies un sms avec tes données d’identité et une photo passeport, 30 minutes après, tu as ton passeport », découvre-t-on. 

 

Innocent D H

 

Published in Politique

Depuis le 08 juillet 2019, la police interpelle les chauffeurs qui ne respectent pas les feux de signalisation.

 

Sur instruction de Martin Mbarga Nguele le Délégué général à la sûreté nationale (Dgsn), les éléments de la police sont en route pour lutter contre la violation des feux de signalisation. Ils le font dans le cadre d’une opération qui a débuté à Yaoundé la capitale et va s’étendre plus tard dans les autres villes du Cameroun. Dans les colonnes de Cameroon tribune le quotidien gouvernemental, Christophe Fokwa Mikem Commissaire de police principal, chef de la brigade des contrôles à la division spéciale des contrôles des services à la Dgsn fait savoir qu’au premier jour de cette opération, il y a 57 contraventions enregistrées. Toutefois rendu à plus de deux semaines, les chiffres commencent à baisser. « A Yaoundé, ils n’en font qu’à leur tête. Ce qui est à l’origine de plusieurs accidents de la circulation. Le chef de corps a ainsi demandé qu’on y mette un terme », déclare Christophe Fokwa Mikem.

 

Il faut souligner que les personnes arrêtées en flagrant délit, en guise de contravention, sont tenues  de verser la somme de 25 000 F au Trésor public. Et sur les lieux du délit, aucune transaction financière entre policiers et automobilistes n’est visible. Pour que cette opération de lutte contre la violation des feux de signalisation réussisse, il a été associé au Groupement régional de la voie publique et de la circulation du Centre,  la police des polices qui est aussi sur le terrain.

 

On note également que pour la réussite de ladite opération, dans l’optique de contrecarrer les velléités de trafic d’influence et de corruption, entre autres, la vidéosurveillance a été mise à contribution. Edouard Betchem Commissaire de police, Commandant de la compagnie de surveillance de la voie publique, fait savoir que la vidéo est là pour les usagers qui ne reconnaissent pas avoir violé le feu. Cela signifie que la police est mieux parée et a les yeux partout. D’où la nécessité de respecter le Code de la route.

 

Liliane N.

 

Published in Société

Moment de partage et de célébration du vivre-ensemble harmonieux, la fête nationale de l’unité célébrée le 20 mai de chaque année, va au-delà de toutes les politiques, ethnies ou religions.

 

La fête nationale constitue un moment de grande communion entre les Camerounais de toutes les couches sociales. Tout commence le 20 mai 1972, lorsque le premier président du Cameroun, Ahmadou Ahidjo organise un référendum. Objectif : mettre fin au système fédéral en vigueur jusqu’à cette époque. Ainsi, le référendum fut largement gagné et le 20 mai devint la fête nationale d’un Cameroun qui s’appellera désormais « République Unie du Cameroun ».

 

Pour les Camerounais, ce moment de communion qui rassemble toutes les catégories dans les dix régions, vise à : Commémorer la République du Cameroun, Célébrer la paix, Magnifier la réunification du Cameroun anglophone et du Cameroun francophone, Exalter le caractère indivisible de la République du Cameroun.

 

Ce lundi 20 mai 2019, le pays vibre au rythme de cette fête nationale sur toute l’étendue du territoire. À Yaoundé, la capitale, la réception des Camerounais d’horizons divers au palais de l’Unité marquera le clou de l’événement après la grande parade du défilé militaire et civil au boulevard du 20 mai. Une cérémonie présidée par le chef de l’État, Paul Biya.

 

Malgré la situation sécuritaire toujours préoccupante dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, la 47e édition de la fête nationale du Cameroun se célèbre dans un contexte marqué par une décrispation et de l’espoir suscités par les descentes du Premier ministre, chef du gouvernement, dans les deux régions affectées par la crise socio-politique.

 

Dépêché par le chef de l’Etat pour délivrer le message de paix, écouter et recueillir les opinions des forces vives de ces deux régions, Joseph Dion Ngute s’est ouvert et a donné la parole à toutes les couches socio-professionnelles et socio-politiques des deux régions.

 

Pour un bon déroulement des différentes parades à travers le pays, les autorités en charge de la sécurité ont pris des mesures adéquates. Au ministère de la Défense, c’est tout le gratin des forces de sécurité camerounaises qui s’est récemment retrouvé autour du patron des lieux, Joseph Beti Assomo, pour évaluer la situation sécuritaire dans le pays et à l’extérieur.

 

Du côté de la police, une source renseigne qu’une batterie de mesures a été prise, en tenant compte des nouvelles menaces ; Martin Mbarga Nguele était au four et au moulin… Du côté de la gendarmerie, les patrouilles mobiles se sont intensifiées en région pour assurer la tranquillité des populations. Galax Yves Landry Etoga a donné des instructions particulières pour que la sécurité dans les zones à forte tension soit renforcée.

 

Otric N.

Published in Société






Sunday, 05 June 2022 11:01