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La Police a exécuté plusieurs tirs de gaz lacrymogène ce jeudi à Bonanjo le quartier administratif de Douala, afin de mettre un terme à une  confrontation entre les agents de la Cud et ceux de la mairie de Douala 1er  qui a attiré  une grande foule.

 

Les habitants de la capitale économique du Cameroun, ont vécu ce jeudi 27 juin 2019 dans la matinée, une scène de panique qui a fait craindre le pire. A l’origine de cet incident, une violente confrontation entre les agents de la Communauté urbaine de Douala (Cud), et leurs confrères de la Commune d’arrondissement de Douala 1er. Deux vidéos devenues virales sur les réseaux sociaux montrent suffisamment le degré de violence entre les deux parties.

 

Tout serait parti, d’un désaccord lors de leur déploiement dans le cadre de la lutte contre le désordre urbain. Les employés de la Cud qui ont effectué une descente à Bonanjo, le quartier administratif situé dans l’arrondissement de Douala 1er, sont congédiés à leur arrivée par les agents de ladite mairie, qui vendaient des tickets de parking payant. Une activité pourtant interdite jusqu’à nouvel avis, par le Délégué du gouvernement auprès de la Cud, Dr Fritz Ntonè Ntonè, dans un communiqué qui date du 26 juin dernier.

 

C’est ainsi que les deux parties ont engagé une bataille violente, qui a attiré une grande foule. La Police est  alors intervenue pour rétablir l’ordre. Un colonel du Groupement spécial d'opérations (GSO), une unité spéciale de la police a exécuté  à plusieurs reprises, des tirs de   gaz lacrymogène pour disperser le public. Prise de panique dans cette confusion, la foule s’est lancée à la quête d’un refuge. Une scène qui a créé plus de peur que de mal, parce qu’aucun blessé, n’a été enregistré, selon le sous Sous-préfet de l'arrondissement de Douala 1er, Jean Marie Tchakui. Après ces tirs, Bonanjo a repris son ambiance habituelle.

 

Pour rappel,  ce différend qui oppose la Cud et la Mairie de Douala 1er, est la conséquence  d’un communiqué du Délégué du gouvernement auprès de la Cud. Dans cette note, la Cud relève que des « individus non identifiés »  font de la vente de tickets de parkings payants et le remorquage illicite de véhicules sur les voies publiques. Des activités qui selon elle, sème  le trouble et le doute dans l'esprit des usagers de la route. Pour y mettre un terme,  la Cud a  interdit ces opérations  jusqu'à nouvel avis. « Tout individu surpris en train de vendre des tickets ou faire du remorquage illicite sera interpellé et les tickets saisis ou sa remorqueuse immobilisée et mise en fourrière », a averti Dr Fritz Ntone Ntone. De son côté, la Mairie de Douala 1er, a estimé que ces  opérations ne relèvent  pas de la gestion de la Cud.  

Marie MGUE

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Des difficultés financières rencontrées par la Communauté urbaine de Douala en ont perturbé le déroulement.

 

Lors de la visite de divers chantiers, Maison de la culture Sawa, Cité des Cinquantenaires et crématorium du Bois des singes, le jeudi 6 juin 2019, le délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala (CUD), Dr Fritz Ntonè Ntonè, a expliqué que l’institution traverse une situation financière difficile. Ce qui se traduit par un ralentissement des travaux de la Cité des Cinquantenaires et du crématorium.

 

Néanmoins, a-t-il indiqué, ces difficultés pourraient passer d’ici peu, et les chantiers en cours pourront connaître une accélération, avant l’arrivée des grandes pluies.

 

Le projet de la « Cité des Cinquantenaires » à Douala a pour site l’ancienne « Cité des Douanes » face à la Polyclinique SOPPO PRISO à Bonapriso, il se développe sur une assiette foncière de 20 161 m². C’est une opération immobilière initiée par la Communauté Urbaine de Douala (CUD), qui en est le Maître d’ouvrage.

 

Il y sera construit neuf bâtiments, notamment des R+ devant abriter 900 appartements, 6000 m2 de centre commercial, 5000 m2 d’espaces verts, des parkings et autres lieux de loisirs, etc. La fin des travaux est prévue pour décembre 2018.

 

La CUD a confié la maîtrise d’ouvrage déléguée à sa filiale la SAD (Société d’Aménagement de Douala). L’Architecte et Maitre d’Œuvre du projet est le Cabinet BISSEK, qui a conçu un ensemble dont les composants sont des immeubles de logements grands standing, de bureaux, de commerces, le tout agrémenté d’espaces de loisirs (piscines, espaces de jeux), de promenade (espaces verts) de circulations (piétons et voitures), de parkings aériens et souterrains.

 

Concrètement, la phase 1 va comporter six bâtiments pour 400 appartements, de types T1, T2 T3, etc. Les deux premiers bâtiments, Twins 1 et 2, sont déjà sortis de terre pour ce qui est de l’ossature. Lors d’une séance de travail, Fritz Ntonè Ntonè s’est voulu rassurant au sujet du processus de commercialisation des logements – on en est à environ 40% – et sur la poursuite normale des travaux. Le délégué a d’ailleurs précisé que les travaux avaient repris pour ne plus s’arrêter, sauf cas d’intempérie.

 

Quant au crématorium du Bois des singes (espace d’attente, de veillée funèbre ou de célébration eucharistique), le taux d’exécution avoisine les 50%, pour une consommation des délais de 200%, après une interruption de sept mois. Au vu de ce qui a été réalisé jusquelà, il ne reste que la couverture et l’aménagement de ce cadre pour qu’il soit plus accueillant.

 

Pour ce qui est de la Maison de la culture Sawa, le délégué du gouvernement a appelé à l’implication de tous les habitants de la ville. Il a sollicité la contribution, si minime soit-elle, de tous les « Doualais » pour le parachèvement des travaux qui se poursuivent. Fritz Ntonè Ntonè a aussi profité de cette occasion pour annoncer les prochaines journées portes ouvertes pour une autre levée des fonds.

 

Otric N.

 

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C'était lors d'une rencontre qu'il a eue avec les habitants du quartier le 31 mai dernier.

 

Suite à des allégations d'expulsion imminente qui ont provoqué des troubles publics le 17 mai dans le quartier de Makepe-Missoke à Douala, le délégué du Gouvernement au Conseil municipal de Douala, Fritz Ntone Ntone, a effectué une visite de terrain et tenu une réunion avec les habitants.

 

A en croire Cameroon Tribune, il s'est avéré qu'il s'agissait d'un problème d'incompréhension puisque le délégué du gouvernement a déclaré que leur objectif était d'arrêter les inondations et d'améliorer les conditions de vie des habitants dans le cadre du projet Douala, ville durable cofinancé par l'AFD et le Fonds français pour l'environnement mondial (FFEM).

 

Le projet, dont le coût s'élève à quelque cinq milliards d'euros, consiste à construire des égouts, un réservoir pour retenir l'eau de pluie avant qu'elle ne se déverse dans le Wouri et à fournir des équipements sociaux tels que routes, eau et électricité. 

 

Le projet, a-t-il dit, se déroulera en trois phases : l'identification des habitants de la région, les études de faisabilité avant les travaux proprement dits qui vont encore prendre du temps. Ce n'est qu'après des études de faisabilité qu'ils connaîtront les personnes qui seront touchées par la démolition et que les victimes seront indemnisées malgré l'absence de titres fonciers.

 

"Nous allons limiter autant que possible les démolitions, a-t-il dit. Des troubles ont éclaté lorsqu'une certaine Madame Eyenga a posté une note affirmant que les maisons du quartier seraient démolies d'ici le 02 juin, provoquant une réaction de colère de la part des habitants qui ont manifesté et envoyé une pétition au délégué du gouvernement. 

 

C'est en réaction à la pétition que le délégué du gouvernement s'est rendu sur le terrain pour discuter avec la population. Le délégué du gouvernement a promis de tenir de telles réunions d'information avec la population au début de chaque phase du projet.

 

Pour l'instant, l'acquisition de terrains ou la construction de nouvelles maisons est interdite dans le quartier afin de ne pas permettre à certaines personnes de construire des maisons dans le but de bénéficier de la compensation. Désormais, les gens doivent acquérir le titre foncier et le permis de construire avant de construire des maisons dans la région. 

 

Il a appelé la population à collaborer au recensement et à ne reconnaître que les documents dûment signés par lui. Étaient présents à la réunion le représentant du Gouverneur de la Région du Littoral, l'Officier Sous-Divisionnaire pour Douala V, le représentant du Maire et le chef traditionnel de la localité.

 

Otric N.

 

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L'activité de ramassage, transport et traitement des déchets effectuée par cette entreprise dans la ville de Douala n'a bénéficié d'aucun règlement financier durant tout l'exercice échu. Montant des impayés : 4 milliards de FCFA. Hormis les arrières de 2017 qui s'élève à 500.000.000 de FCFA, rapportent nos confrères de Eco Matin.

 

Les rapports entre la société Hysacam et ses partenaires publics, les collectivités territoriales décentralisées précisément, restent tendues. Du fait des prestations impayées de l’entreprise en charge de la collecte, du transport et du traitement des déchets. Le cas de la Communauté urbaine de Douala est le plus révélateur. 14 milliards de FCFA, soit 25% de son chiffre d’affaires, l’équivalent de 7 mois d’arriérés de salaires: c’était le montant total de l’enveloppe due par l’Etat du Cameroun et les collectivités territoriales décentralisées à Hysacam. Révélation faite le 4 décembre 2018 dernier par son directeur général, Michel Ngapanou.

Au cours d’une autre sortie effectuée le 14 décembre 2018 par Garba Ahmadou, le responsable de la communication d’Hysacam, l’opinion publique apprenait que l’entreprise traînait une importante dette auprès de trois banques de la place : la Société générale  du Cameroun (SGC), la Banque internationale du Cameroun pour l’Epargne et le Crédit (Bicec), et Ecobank. Montant, 6 milliards de FCFA.

Rendu au 30 janvier 2019, si la dette gouvernementale est quasiment apurée d’après des informations reçues à bonnes sources, les collectivités territoriales décentralisées demeurent mauvais payeurs. Cas de la ville de Douala. Les derniers chiffres rendus publics lors d’une séance de travail entre les responsables d’Hysacam et l’exécutif de la Communauté urbaine de Douala dévoilent des arriérés de paiement de près de 5 milliards de FCFA redevables par la CUD: « des problèmes de trésorerie », indique Fritz Ntone Ntone, le délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala.

L’institution a  pourtant achevée l’exercice 2017 avec une dette: un reste à payer de 500.000.000 de FCFA. « Hysacam n’a rien reçu de la Communauté urbaine en 2018. Ils  ont travaillés sans être payés », confirme le Délégué du gouvernement, qui évalue ces prestations non-réglementaires à 4 milliards de FCFA. Soit un total de 4.500.000.000 de FCFA.

Hysacam est également confrontée à d’autres sérieux problèmes structurels et techniques : matériel bloqué au Port autonome de Douala, pièces de rechange coincées dans les soutes de bateaux, approvisionnement laborieux en carburant pour les véhicules de ramassage en rotation, mauvaise qualité des routes en zone d’intervention, vandalisme sur le matériel Hysacam, saturation des décharges, etc. Réduisant sa capacité d’intervention. Cette morosité financière intervient au lendemain de la décision de l’Etat du Cameroun de  réorganiser le ramassage des déchets dans les centres urbains.

Otric N.

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Ils ont reçu leurs attestations et certificats ce 31 janvier 2019 au 21ème Régiment du Génie Militaire de Douala.

Après un séjour de 90 jours au Centre multifonctionnel de Bépanda (Cmf) et au Centre spécialisé d'instruction, d'application et de perfectionnement du Génie militaire de Douala (Csiap Gen), 157 agents de la police municipale sont arrivés en fin de formation.

La cérémonie de clôture était présidée par Bertrand MACHE, le Préfet du Wouri, en présence du Dr. Fritz Ntone Ntone, le Délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala, des sous-préfets  de Douala 1er, 2ème, 3ème, 4ème, 5ème et 6ème, des maires de Douala 2, 3 et 4. Y ont également assistés, plusieurs autorités des forces de l'ordre dont le Commandant de la 2ème Région de gendarmerie du Littoral et le Commandant de la Légion de Gendarmerie du Littoral.

Dans son discours de circonstance, le Directeur de l'instruction du 21ème Régiment du Génie militaire, responsable pédagogique de la formation des stagiaires, dévoile quelques modules d'enseignement auxquels ont été soumis les nouveaux agents municipaux : notions en Droit avec l'appui du  parquet de Douala, des modules de police judiciaire et gendarmerie et des sessions de sport etc... "leurs missions étant des missions délicates, il était essentiel qu'ils s'imprègnent de quelques notions pratiques en droit. Notre objectif c'est d'avoir des agents municipaux bien formés pour le bien-être des populations", a précisé le Dr. Fritz Ntone Ntone.

Avec une moyenne générale de 12,90, ces gardiens de la ville sont désormais munis des instruments techniques, pédagogiques et physiques pour participer à la lutte contre le désordre urbain dans la ville de Douala. D'où cet appel lancé par le Délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala en faveur de leur "discipline et civisme", au risque d'être "puni", précise le Dr. Fritz Ntone Ntone.

La formation de ces  nouvelles recrues de la Cud au Centre spécialisé d'instruction, d'application et  de perfectionnement du Génie militaire de Douala avait pour principal objectif de leur inculquer des capacités physiques, patriotiques, l'esprit de discipline, l'harmonisation de leurs connaissances techniques sur la gestion des affaires de la cité, apprendra-t-on encore de leur formateur militaire.

Rappelons qu'après la cuvée de 2015, celle de 2018 marque la deuxième promotion de cet ordre, baptisée " Cuvée de l'espoir ".

450 dossiers ont été reçus dans les services de la Cud depuis le lancement de l’opération. La première phase a consisté en l’étude des dossiers et la visite médicale. Les aptitudes physiques des candidats étant des critères très importants au vu des missions qui sont les leurs. Le délégué du gouvernement a clarifié certains points et expliqué les critères de recrutement, afin d’éviter des malentendus et des incompréhensions.

Pour ce qui est des critères de recrutement donc, le postulant doit être de nationalité camerounaise, avoir entre 25 et 30 ans, bénéficiant d’une forme physique à toute épreuve, être titulaire d’un brevet d’études du premier cycle (Bepc) ou autre diplôme équivalent, être de bonne moralité, avoir un casier judiciaire vierge. Pour terminer, les candidats retenus vont signer des engagements.

Otric N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01