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The Moderator of the Presbyterian Church Cameroon, PCC, the Rt Rev. Samuel Fonki Forba has appealed to God to reward Ambazonia fighters in Bali accordingly to the "disgrace" brought to the Church by banning its activities in that part of the country.

“Enough is enough! We don’t have to pamper anybody at this time” That was the phrase used by the PCC Moderator while concluding his discourse Sunday September 05 in reaction to separatist fighters’ ban on activities of the Church in Bali Nyonga, Mezam Division of the North West region of Cameroon.

The PCC boss who appeared calm at the beginning of his declaration became fast adopted a serious tone while expressing discontentment with the order of things in the Anglophone regions and more precisely the current fate of the PCC in Bali.

“If the Gospel in the land of Bali cannot be preached by the PCC, we can move out of Bali quietly and let the other churches continue to grow the Church of God and to nurture the people of Bali. We should not be discouraged. Christianity has not been wiped out of Bali, just the PC that has been stooped…” Rev. Samuel Fonki Forba told his PC Christians.

If he is okay with moving out of Bali reported to have been the headquarters of the Basel Mission in Cameroon, whose departure led to the birth of the Presbyterian Church Cameroon, the Rt Rev. Samuel Fonki Forba is far from having swallowed the bitter pill of the disgrace brought about by the ban on the Church activities. The man of God has appealed to God to leave room for his wrath to befall the separatists behind the ban.

“The disgrace the Bali boys have brought to this Church; I leave them all to God because vengeance is the Lord’s…” He said with a stern tone and a loud voice that belied his usual caring appearance.

As to what could possibly lead to a way out of the Anglophone crisis that is at the origin of the problem, the Moderator of the PCC has for the umpteenth time appealed for a ceasefire.

“There should be a ceasefire in this country as far as this problem is concerned. The Government of Cameroon thought that in a few days they would crush Anglophone Cameroon and stop the crisis. We are getting to the fifth year. The barrel of a gun will not solve this problem until we sit down as a family and sort out our problem we will not solve this problem…”

The Anglophone crisis, which started as a street protest by teachers’ trade unions and lawyers associations, will enter the fifth year this November. Hostilities between Government forces and separatists have led to thousands of deaths and chased hundreds of thousands away from their comfort zone.

 

Ariane Foguem

Published in Société

Une vidéo, filmée à la mi-mai 2019 selon Human Rights Watch qui ne l’a pas publié, montre des séparatistes armés torturant un homme dans une école abandonnée dans la région du Nord-Ouest du Cameroun.

 

Selon l’ONG internationale, cette vidéo, authentifiée par une dizaine de sources, dont cinq personnes qui ont reconnu l’école et sa localisation, vient corroborer de précédents témoignages faisant état d’actes de torture et d’occupations d’écoles par les séparatistes armés, et documentés par Human Rights Watch.

 

« Une fois de plus, des documents circulent qui confirment les allégations selon lesquelles les séparatistes armés commettent des exactions à l’encontre des civils », a déclaré Lewis Mudge, directeur pour l’Afrique centrale à Human Rights Watch. « Les dirigeants séparatistes devraient donner immédiatement à leurs combattants et à leurs partisans l’ordre de cesser ces attaques, en particulier les actes de torture et les autres abus visant les civils », a-t-il ajouté.

 

La vidéo montre au moins quatre combattants séparatistes menaçant et torturant leur victime, qui est en sous-vêtements, le forçant à s’asseoir sur des morceaux de papier enflammés et le frappant à coups de bâton et de machette.

 

En en croire Human Rights Watch une analyse du dialogue contenu dans la vidéo révèle que la victime est un chauffeur de camion du village de Bali, qui transportait des produits pour une société brassicole de la place à laquelle les séparatistes sont opposés. Ils ont interdit les ventes, les achats et le transport de ses boissons dans les zones qu’ils contrôlent.

 

« Dans la vidéo, on entend les séparatistes accuser le conducteur de vendre les produits des brasseries dans les secteurs de Bali et Batibo, dans la région du Nord-Ouest », rapporte Human Rights Watch. La victime, qui n’a pas encore été identifiée, supplie ses tortionnaires de cesser, mais au contraire, ils menacent de « le laver à l’essence », sous-entendant qu’ils vont le tuer.

 

Les agresseurs et leur victime s’expriment en mungaka, un idiome répandu parmi les communautés de Bali. La vidéo semble avoir été filmée à l’École technique secondaire publique de Bali, comme l’indiquent des inscriptions apparaissant sur un bureau 5 minutes et 41 secondes après le début de la vidéo. Cinq résidents de Bali, qui connaissent bien cette école, auraient affirmé à Human Rights Watch que c’est bien cet établissement qu’on voit sur la vidéo.

 

Ces résidents auraient également affirmé que les séparatistes y retenaient des personnes en otages et leur faisaient subir des exactions. L’école, qui a une capacité de plus de 800 élèves, est fermée depuis le milieu de l’année 2017, à cause des violences et du boycottage de l’éducation imposé par les séparatistes.

 

Otric N.

 

Published in Défense

Selon les sources sécuritaires, les éléments des forces de défense et de sécurité ont neutralisé 17 terroristes parmi lesquels le général Sisa et, un otage a été libéré

 

Un véritable coup de maître, pour les éléments du Bataillon d’ Intervention Rapide qui, pendant cette descente ont récupéré du matériel militaire, notamment : trois AK 46 – deux P.A de fabrication artisanale – trente armes de fabrication artisanale – deux semi automatiques – cent vingt huit munitions de 5,56 – douze munitions calibre douze – trois canons  dont un chargé – un képi – du chanvre indien.

 

Les forces de défense et de sécurité camerounaises ont ainsi pu détruire, une autre base de ces individus qui, malgré les appels incessants du gouvernement à un retour à la paix persistent dans ce chemin qu’ils ont tracé.  Des criminels qui se complaisent dans cet engrenage de sang et de larmes, qui refusent de tenir compte des cris et des pleurs de ces maman qui, pendant la descente du premier ministre chef du gouvernement il y’a quelques jours, ont crié leur raz le bol d’enterrer les leurs.

 

Ils se sont retranchés dans des lieux qu’ils croient inaccessibles, comme dans cette commune située dans la région du Nord Ouest, département de la Mezam. Ils apparaissent juste pour commettre leurs forfaits, se croyant invincibles à cause de leurs fétiches et des drogues qu’ils ingurgitent.

 

Une armée républicaine

 

Fort heureusement, face à ces individus sans foi ni lois, assoiffés de sang et dont on n’arrive pas à percer les motivations, des êtres qui bénéficient des soutiens occultes, il y’a cette armée républicaine. Elle s’attèle nuits et jours, à protéger l’intégrité du pays, ainsi que ces camerounais qui sont descendus nombreux dans les rues, lorsque Joseph Ndion Ngute est allé transmettre le message de paix, de réconciliation, de vivre ensembles, malgré les divergences de points de vue.

 

Une armée qui comporte peut être en son sein, quelques brebis galeuses qui ne sauraient atténuer le travail de titan dont peut se prévaloir la grande majorité de ceux qui, au détriment de leurs vies personnelles, de leur famille, se sont résolus à protéger les camerounais.

 

Un otage libéré

 

Même si l’on n’a pas donné l’identité de ce dernier, voilà une personne qui a recouvré la liberté et est repartie dans sa famille. Nul ne peut connaître l’état d’esprit dans lequel elle a vécu depuis qu’elle a été kidnappée. Peut être avait – elle déjà perdu l’espoir de revoir les siens un jour, croyant ses dernières arrivées, quand on connait le sort qui est réservé à ceux qui malheureusement finissent entre les mains des ambazoniens.

   

   

 

La contribution des populations est impérative

 

Et, c’est cet appel qui est lancé, aujourd’hui plus que jamais par les forces de défense et de sécurité camerounaises. Ce sont les chefs traditionnels qui connaissent l’identité de ceux qui vivent dans leur unité administrative, ce sont les parents qui peuvent supplier leurs enfants d’abandonner les armes afin d’intégrer les programmes mis à leur disposition par le gouvernement camerounais. Or, « ceux qui vont persister sur le chemin de la criminalité, vont nous trouver en face d’eux, nous sommes formés pour ça et, nous sommes prêts à nous sacrifier pour le Cameroun », dixit l’un des responsables du Bataillon d’Intervention Rapide qui a préféré gardé l‘anonymat.

 

Nicole Ricci Minyem  

 
 
Published in Défense






Sunday, 05 June 2022 11:01