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Jonathan

Jonathan

The international medical humanitarian organisation, Doctors without Borders has announced the withdrawal of its team from the crisis-hit North West region of Cameroon, putting at risk the lives of thousands of people.

In a release issued Tuesday August 3, the international humanitarian non-profit organisation says it is quitting the region following nearly eight months of suspension by Cameroonian authorities.

After nearly eight months of suspension by Cameroonian authorities, medical humanitarian organisation, Médecins Sans Frontières/Doctors Without Borders(MSF) has been forced to withdraw its teams from the North West region, an area badly affected by years of armed violence between security forces and armed separatist groups…” Part of the release reads.

In effect, activities of the medical humanitarian body were suspended some eight months ago in the North West region by authorities of the region on grounds that it has been helping separatist fighters.

We cannot stay any longer in a region where we are not allowed to provide care to people"…Said Emmanuel Lampaert, MSF’s operations Coordinator for Central Africa. "Unfortunately, we cannot keep our staff on stand-by any longer so we have no choice but to withdraw our teams."

Conscious of the need for medical assistance that is more and more increasing in the region due to renewed violence from both sides, the Operations Coordinator said the organization will keep a small liaison office in Bamenda to continue dialogue with the authorities for a positive way out.

MSF has been among the few NGOs providing free emergency medical care and ambulance service to the region since 2018 until December 2020 when Cameroonian authorities suspended its activities after accusing the organisation of cooperating with separatist fighters and talks with the Government has visibly yielded no fruits, reason why the humanitarian organisation is withdrawing its teams.

The close to five years of conflict in the region and neighbouring South West has displaced hundreds of thousands of people and left many healthcare facilities no longer functional as many struggle to have access to the remaining open healthcare facilities due to financial, security and geographic constraints.

S.K.

Une étude publiée par la Sagaci Research, basée sur la collecte de données quotidienne auprès de plus de 20,000 consommateurs adultes au cours des 12 derniers mois de l’année révèle que le Cameroun est le deuxième pays en Afrique ou la consommation de vin est élevée, derrière le Togo.

Selon cette étude réalisée via l’application mobile SagaPoll et qui s'étend sur la période allant du mois de juin 2020 au mois de juin 2021, les trois premiers pays avec la plus forte proportion de leur population adulte consommant du vin sur le continent africain sont le Togo, suivi de près par le Cameroun et ensuite la Côte d'Ivoire.

L’étude de Sagaci Research indique que 25% de la population adulte camerounaise a consommé du vin au cours des quatre dernières semaines de la recherche, faisant du pays le deuxième consommateur de vin sur le continent, après le Togo tel que mentionné plus haut qui lui arrive en tête du classement avec 26%.

« Le Togo occupe la première place en termes de consommation de vin, suivi de près par le Cameroun et la Côte d'Ivoire, avec respectivement 26%, 25% et 23% de la population adulte du pays ayant consommé du vin au cours des quatre dernières semaines. Bien que le Togo ne soit pas le plus grand consommateur de vin du continent en termes de volume, une plus grande proportion de sa population adulte consomme du vin que dans d'autres pays africains », peut-on lire dans une partie des résultats de l’étude publiée sur le site Internet de Sagaci Research le 26 juillet dernier.

L’étude démontre également qu’en dehors de l'aspect marketing, des habitudes culturelles d'un pays ainsi que ses croyances religieuses qui influencent sa tendance de consommation de vin, les pays francophones dominent le tableau de la consommation, notamment pour les 10 premiers du fait de leur histoire commune avec la France.

Il faut tout de même préciser que sur les 54 pays que compte l’Afrique, l’étude n’a portée que sur 29 et était basée sur le pourcentage des adultes ayant consommés du vin récemment, et non selon la quantité de vins consommés dans chaque pays concerné par ladite étude.

S.K.

Emilienne Tiako Essombe, porte-étendard de la team Cameroun aux jeux Olympiques de Tokyo 2020 au Japon qui tirent progressivement à leur fin reste l’ultime espoir de médaille du pays après l’élimination en série de ses collègues.

Après plusieurs jours de compétition, la team Cameroun toujours bredouille, pourrait repartir de Tokyo sans la moindre médaille. Sur les 12 athlètes qui sont allés défendre le vert rouge jaune à Tokyo au Japon dans le cadre des jeux Olympiques de 2020, le Cameroun ne compte plus qu’un seul athlète, Emilienne Tiako Essombe, la porte-étendard du pays.

Parmi les 11 éliminés, aucun n’est monté sur le podium. Certains ont laissés entrevoir quelques motifs d’espoirs qui ne se sont malheureusement pas concrétisés. Le dernier à avoir quitté la compétition est le sprinteur Emmanuel Esseme Alobwede qui a bénéficié d’une invitation pour ces jeux. Il a été éliminé au premier tour du 200m ce matin.

Les autres, Albert Mengue Ayissi 69Kg, Dieudonné Wilfried Seyi Ntsengue 75Kg, Maxime Yengnong Njieyo +91Kg en boxe, Jeanne Gaëlle Eyenga Mbo’ossi categorie 76Kg et Clémentine Mekeugni Noumbissi 87kg en haltérophilie, Arrey Sophina Ntui categorie 70kg et Hortense Vanessa Mballa Atangana +78kg en Judo, Yves Charly Ndjoume Ehowe Epoh 50m nage libre, Emmanuel Esseme 200m nage libre et Elisabeth Milanesi Norah 50m nage libre et enfin Sarah Hanffou Nana au tennis de table sont progressivement sortis de la competitions.

Tous les espoirs sont désormais portés sur la lutteuse Emilienne Tiako Essombe qui entre en action jeudi 05 aout dans la catégorie des 53Kg.

La majorité des membres de la délégation de Tokyo sont déjà rentrés au Cameroun. La compétition s’achève le 8 aout.

S.K.

Georges Mouliom, father to 19-year-old Erica Mouliom who died last July 15 in a car accident involving popular musician Tenor has urged all those in charge of the case pending before court to address it as though it were their daughter.

Speaking at his daughter’s burial ceremony over the weekend in the Noun Division, West region of Cameroon where she was interred, Georges Mouliom said the circumstances sorrounding Erica’s tragic departure remain very uncertain.

« How come a person who was declared dead burned be found without scratches? How can an injured person who is described to have been projected from the back seat through the windshield be found without any injuries?" These are the questions Georges Mouliom said shouldn’t remain unanswered.

He called on those in charge of the complaint filed by the family against the artiste for manslaughter to make decisions taking into consideration the fact that it could have been their daughter.

According to the desperate father, his daughter was victim of practices common to University milieu where some lawless people spend their time derailing young girls.

On that faithful July 15, Erica died on the spot after the car Tenor was allegedly driving in a drunken state had a serious accident. The vehicle hit an electric pole, rolled o the road before catching fire.

Erica’s body was transported to the Laquintinie Hospital Mortuary but the father removed it from there that very day and took it to Bamoun where it was discovered that the body suffered no injury despite the serious nature of the accident.

After accusing Tenor of killing the daughter, the family filed a complaint and following his recovery from the accident, Tenor was incarcerated at the Douala New Bell prison over charges of manslaughter.

Reports have it that he will remain there for at least six months renewable as investigations are oncourse.

 S.K.

 

 

Les professionnels de la santé des promotions 2013 des facultés médicales du Cameroun, fatigués d’attendre leur intégration à la fonction publique se sont rendu hier aux services du Premier ministre à Yaoundé pour exprimer leur ras-le-bol.

« Nous sommes au chômage depuis un an après sept années de formations, que faisons-nous. » « Les malades meurent et les médecins sans-emplois, quel paradoxe ! » Non à la surexploitation par le privé. » « Non à la suspension verbale de l’intégration. » C’est muni de pancartes affichant ces revendications et frustrations que les quelques 700 médecins sont allés revendiquer leur droit devant les services du Premier ministre à Yaoundé hier lundi 2 aout.

« Nous sommes ici pour montrer notre frustration par rapport à notre situation. Nous sommes 700 médecins au chômage, 700 médecins qui sont livrés à la sur exploitation dans le privé et sous-payés. Nous avons demandé une audience a maintes reprises au Ministère de la Santé trois fois déjà, la troisième fois on nous a dirigé vers un responsable qui ne nous a pas donné d’informations claires, précises et officielles, aujourd’hui nous voulons un résultat clair. » a indiqué l’un des médecins grévistes.

Sortis de l’école en 2020, pour exercer en tant que médecins dans divers domaines, les professionnels de la santé comprennent mal le fait que même après les audiences au ministère de la santé, ils restent toujours sans suite. « Nous n’avons jamais été notifiés de façon écrite du fait que nous ne serons pas intégrés à la fonction publique. Donc nous avons besoin d’un certains nombres de réponses. » souligne un autre médecin gréviste.

Tel que précisé par les médecins, l’arrêté qui soutient leur concours est estampillé par le visas de la primature, comme tel est le cas pour d’autres concours d’intégration directe raison pour laquelle ils ont décidé de se rendre aux service du Premier ministre pour enfin avoir une suite favorable. Ils ont d’ailleurs adressé une lettre à ce dernier, demandant une audience.

Les médecins grévistes ont également envoyé un cri de détresse au Chef de l’Etat pour une reposes plus favorable. « Les concours des médecins se font en fonction des besoins sur le terrain. Nous sommes sortis de grandes écoles de formations d’Etat et au sorti de ces formations, nous ne sommes pas encore intégrés. Nous avons déjà rencontré les autorités compétentes mais sans suites favorable. Nous désirons que le chef de l’Etat se penche sur la question d’intégration des médecins. »

Au vu de leur sort, certains d’entre eux craignent le pire pour leurs cadets académiques étant donné que l’on est passé de 800 à 960 candidats en moyenne par concours.

 S.K.

United States-based rights group, Human Rights Watch has raised an alarm o the urgent need to protect civilians at risk in the crisis-hit North West and South West regions of Cameroon and to hold those responsible for abuses to account.

In a report published Monday August 2, the rights group documents fresh attrocities committed by both soldiers and separatist fighters against civilians, including rape, torture, unlawful killing, desecration of palaces, destruction of artefacts and kidnappings.

The report reads that Cameroonian security forces killed two civilians, raped a 53-year-old woman, destroyed and looted at least 33 homes, shops, as well as a traditional leader’s palace in the North-West region on June 8 and 9, 2021.

Meanwhile, armed separatist fighters in the South-West region killed a 12-year-old boy on June 6, a 51-year-old teacher on July 1 and in the North-West region kidnapped four humanitarian workers and held them overnight on June 25.

Human Rights Watch indicates that to get the above information, it conducted telephone interviews with 10 victims and witnesses to human rights violations by security forces, as well as with 18 relatives of victims, journalists, and civil society activists and as well interviewed a family member of the teacher killed by separatist fighters.

As for details on security forces’ abuses, the rights group says witnesses revealed to them that in the very early hours of June 9, about 150 soldiers from both the regular army and elite Rapid Intervention Battalion conducted a security operation in and around Mbuluf village in the North West region. As the forces approached the village on foot, fearful residents allegedly fled to the nearby bush.

Security forces reportedly stopped a group of six – a husband and wife, their two children, another man, and another woman – in the vicinity of the village and enquired on the whereabouts of separatists.

We said we didn’t know,” the wife said. “They said my husband had a gun. We said we had no gun. They said they would kill us, and then one of them raped me.”

These are just few out of the many abuses Human Rights Watch says civilians are victims of in the Anglophone regions. The rights group has called on Cameroonian authorities to investigate and prosecute attackers and their commanders, and urged the UN Security Council and other regional and international partners to impose targeted sanction against those responsible for the serious human rights violations.

S.K.

Il est attendu d’abondantes précipitations pour les 10 prochains jours dans certaines villes du Nord et de l’Extrême Nord du Cameroun avec risques d’inondations selon les prévisions du dernier bulletin de l’Observatoire national sur les changements climatiques (Onacc).

L’Observatoire national sur les changements climatiques, (Onacc) annonce de fortes pluies accompagnées de vents violents avec un risque important d’inondations dans les régions du Nord et de l’Extrême Nord notamment suite au débordement des rivières.

Dans le Nord, les villes concernées sont; Guider, Tcholliré, Garoua, Rey Bouba, Pitoa et Lagdo et Kousserie, Waza, Maroua, Gamboura, Kaele, Maga et Bogo dans l’Extrême Nord.

D’après l’Observatoire national sur les changements climatiques ces précipitations seront bien plus abondantes que celles enregistrées à la dernière décade du mois de juillet.

Dans les autres régions telles que l’Ouest, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, le Centre, Sud, Adamaoua et dans le littoral, la situation sera plus ou moins stable.

Ces inondations pour la plus part ont toujours un impact direct sur le secteur des travaux publics, avec la dégradation des routes et les destructions des ponts et autres ouvrages de franchissement dans les localités les plus touchées.

S.K.

Former Nigerian President, Chief Professor Olusegun Obasanjo who arrived Cameroon last July 30 has praised the Information and Communication Technology, ICT University for the quality education offered by the institution to students across Africa.

He was speaking at the graduation ceremony of the 6th batch of ICT University that took place last Saturday July 31 on the school premises and was presided at by the Minister of State, Minister of Higher Education, Chancellor of academic honors, Prof Jaqcues Fame Ndongo.

Ahead of the graduation ceremony of the batch he was Godfather, Chief Olusegun Obasanjo who once served as chair of the African Union arrived Cameroon Friday July 30 and was received at the Yaounde Nsimalen International Airport by the Minister of External Relations, Lejeune Mbella Mbella on behalf of the Head of State.

Olusegun Obasanjo, aged 84 ruled Nigeria twice, first as a military ruler from 1976 to 1979 and later as a civilian leader from 1999 to 2007. He is well known by Cameroonians for his involvement in the resolution of the decades-long border dispute opposing Cameroon to Nigeria over the sovereignty of the Bakassi Peninsular from 1993 to 2006.

He had agreed to hand the narrow strip of land over to Cameroon by signing the Grentree agreement during talks led by the then UN Secretary General, Kofi Annan in the presence of four other States who acted as witnesses, including the United States, the Federal Republic of Germany, Great Britain and Northern Ireland’s United Kingdom and France.

On Sunday August 1, the former Nigerian States man who wrapped four lives into one as a soldier, a farmer, a President and now a preacher was guest on the flagship program, Cameroon calling over the National Station where he came back on the resolution of the Bakassi border conflict.

He stated clearly that: “Koffi Annan, Paul Biya and myself did not resolve the conflict for a noble peace prize, but for the good of our people…”

 S.K.

 

 

 

Security elements have laid hands on a tank containing 350 liters of suspected illicit fuel en route to Bamougoum in the West region of Cameroon.

The tank transported by a truck was halted by security elements with the collaboration of officials from the National Brigade for the Control of Petroleum Products on its way to Bamougoum, a locality in the Mifi Division, West region.

According to a member of the National Brigade for the Control of Petroleum Products, they were alerted by a network of credible informants after which they informed security elements.

They monitored the road and as expected, a truck carrying a big container en route to the West region passed by and was halted. Reports say the truck owner who was aboard the engine was not in possession of his car document.

Questioned, the driver said he got the fuel from Douala in the Littoral region and was simply driving to Bamougoum where it was expected for sale.

The 350 liters of fuel of doubtful quality has been taken to the Cameroon Petroleum Depot where its quality will be checked.

This is not the first operation security elements around the country to crackdown on the importation and distribution of illicit fuel in the country. There have been reported cases of arrested individuals and thousands of liters of fuel around the North West, South West, Centre and West regions especially.

S.K.

L’honorable Isaac Ngahane, député du Wouri Est s’est éteint hier dimanche dans une clinique à Douala des suites d’une courte maladie.

L’Assemblée nationale devra désormais faire sans l’un de ses membres, l’honorable Isaac Ngahane, député du Wouri Est, décédé le samedi 31 juillet 2021 dans une clinique de la capitale économique, Douala.

Selon des sources familiale, l’honorable était en bonne santé jusqu’à jeudi soir lorsqu’il a été victime d’un malaise. « Il était épuisé, on a appelé son médecin qui lui a demandé de passer le voir. On s’est rendu à l’hôpital ou on a fait une prise de sang pour un examen. Ils ont constaté qu’il avait une baisse de sang et aussitôt on a pris les dispositions pour faire une transfusion. Vendredi après-midi, on est rentré à la maison. On a eu le temps d’échanger un peu bien qu’il était toujours affaiblit. On a dû le ramener à l’hôpital en urgence ou il a finalement rendu l’âme » relate son fils ainé.

L’honorable Isaac Ngahane était le Président de la commission pour l’éducation et la formation professionnelle des jeunes. Tout au long de sa mandature, il s’est investi dans le développement participatif.

Le membre actif du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) est né le 9 août 1954 à Bagangte dans la région de l’Ouest. Il a grandi à lowe et a Manjo dans le département du Mungo avant de migrer à Douala.

Avec sa disparition, l’Assemblée nationale enregistre un huitième décès depuis février 2020. Le 13 février, Djibril Kaou, député RDPC pour le Mayo-Tsanaga Sud, région de l’Extrême-Nord s’en est allé. En décembre, c’est le député Yacouba Yaya du Mayo Sava du même parti, région de l’Extrême-nord qui décédait. Plus tôt, en juillet 2020, Harouna Bougue, député du Mayo Louti, région du Nord meurt dans un accident de la circulation, suivi de l’honorable Bernadette Saraou, député RDPC pour le Mayo Kani dans le Nord.

Le 24 mars, c’est le député Prince Mikody de la Boumba et Ngoko dans la région de l’Est qui tirait sa révérence, suivi de l’honorable Emilia Monjowa Lifaka, député RDPC pour le Fako dans le Sud-Ouest et enfin Marinette Ngo Yetna, député RDPC pour la Sanaga Maritime, région du Littorale.

S.K.

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Sunday, 05 June 2022 11:01