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Liliane N.

Liliane N.

Le Tribunal de première instance de Douala-Bonanjo a décidé d’accorder la liberté provisoire à Tenor, pour lui permettre de suivre «une rééducation pour son bras cassé».

Poursuivi pour homicide involontaire dans l’accident de circulation qui a couté la vie à la jeune Erica Mouliom, jusqu’à la date du 26 septembre 2021, le ciel restait obscur pour Tenor. Hier lundi 27 septembre 2021, l’artiste incarcéré à la prison centrale de New-Bell à Douala depuis le 30 juillet dernier a eu une bonne nouvelle au Tribunal de première instance (TPI) de Douala Bonanjo. Le TPI lui a décidé de le libérer sous caution. On aura appris que ladite décision a été prise pour permettre au mis en cause de suivre «une rééducation pour son bras cassé». Toutefois, il devra attendre le 27 octobre 2021 pour connaître le verdict de son affaire.

Il convient de souligné que dans un premier temps, Tenor avait plaidé coupable et demandé à être provisoirement mis en liberté. Cependant, à l’audience du 6 septembre 2021, il était revenu sur ses positions en plaidant tout d’abord coupable et en renonçant à sa mise en liberté provisoire. C’est un nouveau jury qui a renvoyé l'affaire au 27 octobre 2021. Il faut souligner que Georges Mouliom le père de la défunte Erika avait récusé le premier juge qui examinait l’affaire. Il reprochait à celui-ci de ne pas laisser la liberté aux avocats des ayants-droits de s’exprimer librement. Avec ses avocats, ils avaient demandé une requalification des faits. Parce que le père de la défunte suspectait l’impartialité du juge dans cette affaire. Il se basait notamment sur le refus de celui-ci de leur permettre de faire leur déclaration afin d’apporter des éléments probants visant à démontrer qu’Erika aurait été victime d’un meurtre.

Liliane N.

   

De l’Ambassadeur de France au Cameroun, en passant par les hommes politiques sans oublier la société civile, tous affirment que le pays perd un monument de son histoire.

Depuis l’annonce de son décès survenu ce 27 septembre 2021 à l’hôpital américain de Paris, c’est tout le monde qui s’empresse de rendre un hommage au Roi des Bamouns Ibrahim Mbombo Njoya. Pour S.E Christophe Guilhou l’Ambassadeur de France au Cameroun, le Sultan était quelqu’un qui a travaillé pour la protection et la valorisation du patrimoine Drapeau du Cameroun.

«Décès de Sa Majesté, Ibrahim Mbombo Njoya, Sultan, Roi des Bamoun. C’était un grand ami de la France ainsi qu’un promoteur de la protection et de la valorisation du patrimoine Drapeau du Cameroun. Toutes mes condoléances à sa famille, ses proches, au peuple Bamoun et aux camerounais», a-t-il écrit sur son compte Twitter.

Pour Serge Espoir Matomba le premier secrétaire du Peuple uni pour la rénovation sociale (Purs), le Sultan mérite d’être célébré. Il le décrit comme un monument.

«Vive le roi ! Célébrons la vie du Sultan des Bamouns, le  roi Ibrahim Mbombo Njoya, qui vient de s’éteindre, loin de nos frontières et de son peuple fidèle.  Une légende urbaine raconte qu’un Roi est semblable à un Lion: il ne meurt jamais...Je m’incline donc devant ce monument de notre culture qui s’effondre pour  céder la place aux contes des griots sur sa vie. Mes condoléances les plus sincères à la grande famille Bamoun nichée à travers le monde ainsi qu’à sa famille biologique.  Vive le roi !», a-t-il écrit sur sa page Facebook.

Pour Joseph Ateba cadre du MRC, il faut garder du Sultan Mbombo Njoya, l’image de l’unique personnalité à avoir dit la vérité au président Biya sur le Grand dialogue qu’il avait convoqué pour la résolution de la crise anglophone.

« Le roi est mort, vive le roi. L’histoire retiendra qu’il est le seul à avoir tenu un langage de vérité lors du grand monologue organisé par Paul Biya en demandant un dialogue franc et sincère et en réclamant la réforme consensuel du système électoral », écrit l’homme politique sur sa page Facebook.

Pour David Eboutou de la société civile, le Sultan Mbombo Njoya était un grand républicain.

« Il était encore l’un des rares….. À pouvoir rencontrer le Président de la République quand il le voulait et surtout, l’un des rares à lui tenir un discours un discours franc. Ils étaient de la même génération (S.E Paul Biya son aîné de 04 ans) Assurément une grosse perte pour le Cameroun ! C’était un grand Républicain ! Repose en Paix Sultan Ibrahim Mbombo Njoya », a-t-il écrit sur sa page Facebook.

Liliane N.

 

 

 

Par la plume de son président Maurice Kamto, le Mouvement pour la renaissance du Cameroun accuse le régime de vouloir mettre sur son dos, un plan d’achat d’armes pour la déstabilisation du pays.

Le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) a décidé de mettre en garde solennellement le régime. Par la plume de son leader Maurice Kamto, le parti de l’opposition affirme avoir subi depuis sa création, de nombreuses attaques de tout genre. Il cite les arrestations arbitraires et la détention illégale de ses militants, la torture qui se veut systématique. En outre, il note qu’aujourd’hui, le régime conduit un plan pour mettre dans les esprits des camerounais que le parti achète des armes pour déstabiliser le pays. Et c’est cette autre accusation que le MRC dit rejeter solennellement.

Retrouvez ci-dessous la mise en garde du MRC    

Depuis son lancement en 2012, notre parti, le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), est l'objet de toutes sortes de provocations et d'attaques récurrentes de la part du régime en place au Cameroun. Déjà courantes avant 2018, ces attaques, fondées sur des montages grossiers, se sont intensifiées après le scrutin présidentiel historique d'octobre 2018.

Outre les arrestations arbitraires, la torture systématique,   tant physique que morale, de nos militants et sympathisants, leur détention illégale devenue une prise en otage politique, le MRC fait face à toutes sortes d'attaques criminelles orchestrées par le pouvoir. Parmi ces attaques figurent en bonne place les fausses accusations, notamment celles relatives aux achats d'armes pour déstabiliser le pays.

Souvenez-vous que pour mettre en application son projet criminel et antipatriotique visant à m'empêcher de venir en aide, à travers l'initiative humanitaire Survie Cameroon Survival Initiative (SCSI), aux populations abandonnées à  elles-mêmes alors que la  Covid-19 faisait rage, le pouvoir  avait  répandu et soutenu sans vergogne que  l'argent collecté pour ce programme était  destiné à l'achat des armes pour le compte du MRC. De nombreux représentants du pouvoir aussi bien dans certains médias traditionnels que sur les réseaux sociaux avaient abondamment relayé ce mensonge d'État.

Que l'on se souvienne aussi qu'une initiative de certains activistes camerounais réunis en Allemagne en 2019 et exprimant ouvertement leur soutien aux sécessionnistes a été imputée au MRC par le régime.

L'opinion doit savoir que depuis plus de deux ans, un dossier qui porterait sur l'achat d'armes via internet est pendant devant le Tribunal militaire de Yaoundé. Dans ce dossier, le pouvoir tente de faire avouer à des personnes qu'elles auraient été en contact avec le MRC pour une prétendue opération d'achat d'armes. En revanche, alors même que nous avions dûment informé l'appareil sécuritaire de l'Etat de ce que des individus identifiés et remis entre les mains des services de sécurité compétents nous avaient contacté dans le but de nous associer à une prise du pouvoir par les armes au lendemain de l’élection présidentielle d'octobre 2018, non seulement cette initiative antirépublicaine et antipatriotique n'a jamais été rendue publique par le pouvoir, mais les individus en question n'ont jamais été jugés et condamnés,  à ma connaissance ! C’est donc un terrible traquenard qui nous avait été tendu.  Bien qu’on n'y soit pas tombé, grâce à nos convictions républicaines viscérales et notre attachement profond au changement dans la paix et par les urnes, le pouvoir ne s'est pas découragé. Il poursuit son dessein maléfique de persuader les Camerounais et le monde que nous voulons prendre le pouvoir par la violence ou par les armes. Il n'y arrivera jamais, parce que nous aimons notre pays et sommes profondément démocrates.

En effet, plusieurs fois, des citoyens ont été forcés, en vain, malgré la torture atroce dans divers services de police et de gendarmerie, de déclarer qu'elles sont mêlées à de telles affaires d'achat d'armes alléguées en lien avec le MRC et moi-même.

C'est dans le même but obsessionnel que circule actuellement une vidéo dans laquelle un individu s'exprimant en langue fulfulde, prétend avoir été contacté par les " gens de KAMTO" pour acquérir des armes via la RCA afin de déstabiliser la partie septentrionale de notre pays, à partir de Garoua Boulaï pour remonter à Meiganga et continuer à Ngaoundéré, Garoua et Maroua (voir la vidéo [https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=4821154594562342&id=100000035479707] et la transcription ci-jointe des propos qui y sont tenus).

Ayant échoué dans son plan de pousser le MRC à la clandestinité, comme le pouvoir colonial le fit à l'UPC dans les années 1950, et dans son entreprise visant à briser la formidable détermination de la Résistance Nationale, le cabinet noir mis en place au sein de l'appareil étatique ne se résigne pas.

Aussi, je voudrais condamner avec la plus grande fermeté ces pratiques d'un autre âge qui ressemblent à de la voyoucratie, pratique indigne de notre pays. Je mets en garde solennellement celui où ceux qui, souhaitant être dans les bonnes grâces du pouvoir en place tentent maladroitement de rééditer des opérations conduites par le passé sur d'autres cibles avec l’échec que l'on connaît.

 Je demande formellement que le triste personnage qui, en se mettant en scène dans la vidéo en question, s'est prêté à ce jeu à la fois burlesque et sinistre orchestré par le pouvoir, soit arrêté immédiatement et traduit en justice.

Le Sultan Ibrahim Mbombo Njoya en évacuation sanitaire en Europe a rendu l’âme ce lundi 27 septembre 2021, à l’hôpital américain de Paris.

La triste nouvelle fait l’objet de plusieurs partages sur la toile. Ibrahim Mbombo Njoya le Roi des Bamouns est mort. Selon nos sources, le Sultan a rendu l’âme ce lundi 27 septembre 2021 à l’hôpital américain de Paris. Il avait été évacué au milieu de ce mois de septembre, après une hospitalisation au Centre des urgences de Yaoundé, pour un coup de fatigue, précisaient des proches du Sultan qui s’étaient plutôt montré rassurant quant à son état de santé.

«Sa Majesté souffre de plusieurs maladies. Ce qui n’est pas une surprise compte tenu de ses 84 ans. Mais, la semaine dernière, son état de santé s’est davantage dégradé. L’on pense que la pandémie de l’heure, le Coronavirus, s’en est aussi mêlé. Tout le monde a jugé opportun son évacuation», déclarait une source du confrère Cameroon info net présentée comme proche du Roi des Bamouns.

Fils de Seidou Njimouluh Njoya, Sultan des Bamouns, Ibrahim Mbombo Njoya, est né le 27 octobre 1937 à Foumban. Il est, depuis 1992, le sultan, Roi des Bamouns au Cameroun. Au terme d’études primaires à Foumban, sa ville natale, il ira poursuivre ses études secondaires en métropole Française, puis reviendra les parachever au Lycée Général Leclerc de Yaoundé. Après son Baccalauréat, il poursuivra ses études supérieures au Sénégal, à l’Institut d’Etudes Administratives Africain de Dakar. Il y obtiendra un diplôme du deuxième degré.

Administrateur civil de formation, la carrière, du jeune prince commence effectivement durant la première décennie suivant l’indépendance, lorsqu’il avait vingt ans. Il a occupé tout d’abord le poste secrétaire d’Etat à l’information de 1960 à 1961. Par la suite, il a été Directeur du Cabinet du Ministre des forces armées (1961-1964), puis commissaire général à la jeunesse, aux sports et à l’éducation (1964-1965).

De 1965 à 1970, il devient vice-ministre de l’Education Nationale, de la culture de la jeunesse et des sports. En 1970, le destin le conduira dans la diplomatie où il séjournera pendant environ dix ans. Il est tour à tour nommé ambassadeur en Guinée Equatoriale (1970-1974), puis en Egypte (1974-1980).

En 1980, il revient au gouvernement comme vice-ministre des affaires étrangères, mais pour un séjour fugace. En janvier 1982, il est muté aux postes et télécommunications. C’est au cours de cette année que le président Ahidjo décide de quitter le pouvoir au profit de son successeur constitutionnel Paul Biya, qui en 1983 renouvelle sa confiance au jeune prince Ibrahim en le nommant Ministre de la jeunesse et des sports.

De 1986 à 1988, il est ministre de l’information et de la culture puis celui de l’Administration territoriale (1988-1990). En 1990 il revient au poste de ministre de la jeunesse et des sports, preuve de la maîtrise et la bonne gestion de la chose.

Son père Sa Majesté NJIMOLUH Seïdou est mourt le 27 juillet 1992.

Liliane N.

Des soupçons de bourrage d’urne ont été à l’origine de ces affrontements qui ont eu lieu le samedi 25 septembre 2021.

Tout comme dans l’arrondissement de Bengbis où la résidence du sous-préfet a été incendiée, dans la région de l’Ouest particulièrement à Bagangté dans le département du Ndé, les tensions nées de l’opération de renouvellement de base au Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) ont été très vives ce weekend. Dans la nuit du samedi 25 septembre 2021, les partisans du maire de Bagangté Eric Niat et ceux du ministre de l’Habitat et du Développement urbain Célestine Ketcha Courtès se sont affrontés à coups d’armes blanches, à la maison du parti de Bangangté. Il faut noter que ces deux personnalités sont les seuls candidats au poste de Président de la Section RDPC Nde-Nord.

Durant les affrontements, la maison du parti et le matériel électoral ont été saccagés. Un confrère affirme qu’il y a eu au moins deux personnes blessées au cours desdits affrontements. Celles-ci sont mêmes hospitalisées à la suite de la bagarre. La situation a été telle que Awa Fonka Augustine le gouverneur de la région de l’Ouest a dû prendre ses quartiers à Bagangté hier dimanche 26 septembre 2021. Une source indique dans toute cette région, cette ville est considérée comme l’épicentre des tensions dans le cadre des opérations de renouvellement des organes de base du parti au pouvoir.

«De toutes les sections que compte ce département, deux sont particulièrement convoitées. Il y a la section Nde-Nord à Bangangte et la section Nde-Ouest dans l’arrondissement de Bazou. Là-bas, le climat est aussi très tendu » affirme une source du confrère Cameroon info net.

Liliane N.

  

Le président d’Apar Célestin Djamen demande à ceux qui pensent que Samuel Eto’o ferait un mauvais manager à la tête de la Fédération camerounaise de football, de ravaler leur jalousie.

Célestin Djamen s’était déjà prononcé sur la question de la double nationalité soulevée pour écarter Samuel Eto’o Fils de l'élection du président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot). L’homme politique s’était offusqué de ce que certains arrivaient à refuser à Eto’o Fils la nationalité camerounaise alors qu’il a défendu les couleurs du pays à l’époque où il était à l’équipe nationale. Aujourd’hui où le concerné a officiellement déclaré sa candidature, Célestin Djamen s’en prend à ceux qui déclarent qu’il ferait un piètre manager.

Retrouvez ci-dessous la tribune de Célestin Djamen

Premièrement votre avis on s'en moque vous n'êtes pas électeur. Ok?

Deuxièmement sur quel fondement Samuel serait un piètre manager ?

Troisièmement quel non-footballeur a été à la hauteur à la fécafoot depuis qu'elle existe? ISSA, j'en doute ? IYA a fini piteusement où vous savez.

Petit rafraîchissement :

Michel Platini, ex-ballon d'or Européen, a été un très Grand Manager.

Kalusha BWALYA, ex-ballon d'or africain a été un Grand Manager à la tête de la Fédération Zambienne de football.

Georges WEAH, ex-ballon d'or Européen est aujourd'hui au sommet du  Managment High level +++++...

Serge Blanco, icône du Rugby, star parmi les stars, a été un très grand Manager et a révolutionné le Rugby français.

Pouvez-vous donc arrêter vos coh-nneries et ravaler votre jalousie négroïde sur Samuel Eto'o svp. Qui êtes-vous d'ailleurs pour changer le destin d'un homme ? Pauvres d'esprit...je vous plains.

 

Le célèbre journaliste Amobe Mévégué sera inhumé le samedi 25 septembre 2021, dans son village natal Nkolbogo.

Amobe Mévégué a véritablement commencé son dernier voyage ce vendredi 24 septembre 2021. Dans la matinée de ce jour, la levée de son corps a eu lieu à l’hôpital général de Yaoundé. Cette cérémonie a été suivie en plus des membres de sa famille, de plusieurs personnalités qui ont fait le déplacement.

Selon le programme rendu public par la famille, il y aura ce soir, un culte œcuménique à la Basilique Mineure de Mvolyé avant le départ funèbre pour le village Nkolbogo par Sa’a, département de la Lekié. Et c’est demain samedi 25 septembre 2021, que le journaliste sera enterré dans son village natal.

Il faut dire qu’avant la levée du corps, il y a eu hier 23 septembre 2021, une cérémonie d’hommage au palais des Congrès de Yaoundé. Des artistes tels que Georges Seba, Indira et ceux du cinéma ont célébré Amobe Mévégué l’ambassadeur de la culture africaine.

«Tout était modestie chez lui, même sa tenue vestimentaire. Je l’aimais comme mon propre fils», a déclaré Gérard Essomba, acteur de cinéma.

«Amobe a appartenu au Cameroun tout entier, c'était un grand monsieur, applaudissons-le », a déclaré Grégoire Piwele qui a salué le travail titanesque abattu par le natif de Nkolbogo I de son vivant.

« Il me considérait comme un grand frère, il était certes une étoile comme on l'a dit mais c'était une étoile filante. Amobe a fait et rempli sa mission », a déclaré le ministre du Travail et de la Sécurité sociale Grégoire Owona.

A titre de rappel, Amobe Mévégué est décédé le 8 septembre 2021 en France des suites de maladie. Il était âgé de 53 ans.

Liliane N.  

 

Thomas Assienne le présumé violeur et meurtrier de la jeune Gloria a été interpellé le 21 septembre 2021, par les éléments de la Division régionale de la police judiciaire du Centre. Ils ont bénéficié du concours du commissariat du 15e de Yaoundé.

C’est dans les locaux de la Division régionale de la police judiciaire du Centre (Drpj), que le dénommé Thomas Assienne présumé violeur et meurtrier de la jeune Gloria âgée de 13 ans, médite sur son sort. Il était recherché pour le viol et le meurtre de sa cousine Gloria. Les éléments du Commissaire divisionnaire Moïse Emane Emane affirme qu’il est l’unique suspect. Actuellement, il est encore sous exploitation à la Drpj.

En fait, le visage de Thomas Assienne a été publié sur la toile avec un texte qui présente qui il est. Il est cité dans une affaire de viol et meurtre qui a suscité l’émotion de plusieurs internautes sur les réseaux sociaux.

«Thomas Assienne est le cousin de la petite Gloria., et avait été recueilli par les parents de la fille. Mais après plusieurs années, et à cause de son mauvais comportement, il fut répudié par son oncle », raconte un proche de la famille éplorée dans l’édition de ce 24 septembre 2021, du confrère Le Messager.

Après avoir promis à son oncle, qu’il a changé, Thomas Assienne a été admis à regagner le domicile. C’est alors qu’il va commettre le pire.

«Dans la nuit, alors que tout le monde était endormi, l’oncle voulait satisfaire un besoin naturel. Pendant qu’il était à la douche, il va suivre des cris étouffés sortant de la chambre de sa fille. En ouvrant la porte de la chambre, l’oncle aperçoit Thomas qui sort à travers la fenêtre et s’en fuit…Thomas venait de violer la petite Gloria avant de lui porter six coups de poignards», conclut le membre de la famille.

La petite Gloria transportée de toute urgence à l’Hôpital général de Yaoundé, y a passé juste quelques jours avant de rendre l’âme. Toutefois, avant de quitter ce monde, elle a révélé que c’est depuis l’âge de 10 ans que son cousin Thomas Assienne la viole.

Liliane N.

 

Par la plume de Marie Mbala Biloa la présidente de leur association, les femmes Bayam selam du Cameroun affirment que Samuel Eto’o Fils a les compétences requises, pour diriger la Fédération camerounaise de football.

Même si leur association est apolitique, les femmes Bayam selam du Cameroun ont décidé de se prononcer sur l’élection du nouveau président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot). Elles ont déjà fait leur choix et il porte sur l’ancien capitaine des Lions indomptables Samuel Eto’o Fils.

«Nous sommes apolitiques mais nous soutenons ceux qui travaillent bien pour changer les choses, le Cameroun a besoin de changer le système de pensée. Eto’o est notre fils, nous portons son image dans notre pagne depuis 13 ans. Ce n'est donc pas un hasard ou une coïncidence de soutenir sa candidature aujourd’hui. La maman d'Eto'o était Ballam Selam comme nous», peut-on lire dans la correspondance des femmes Bayam selam du Cameroun.

En plus de trouver que Samuel Eto’o Fils est un travailleur, les femmes Bayam selam salue la moralité de ce dernier. Pour elles, c’est quelqu’un de bien introduit dans le monde du football. Elles affirment qu’il a une expérience approfondie des mécanismes du développement du football y compris dans l’exercice, le management, les lobbies et les influenceurs qui peuvent aider non seulement le Cameroun mais l'Afrique toute entière.

«Samuel Eto'o est un citoyen d’une haute moralité, d’une  grande impartialité et d’une  parfaite intégrité. En dehors de ses qualités reconnues sur le terrain, Eto'o Fils remplit les conditions requises pour occuper les plus hautes fonctions comme Président de la FECAFOOT. En choisissant cette icône du football, le Cameroun va connaître une ascension fulgurante et certaine dans les prochaines années», ont-elles écrit.

Liliane N.

 

 

 

 

L’économiste Dieudonnée Essomba continue de penser que la solution militaire et l’Etat unitaire ne peuvent pas mettre fin à la crise anglophone.

Après l’annonce de l’armée de procéder à un changement de paradigme dans les opérations en cours dans les régions anglophones, du fait du nouvel armement utilisé par les Ambazoniens, l’économiste Dieudonné Essomba affirme qu’on fait clairement fausse route. L’expert maintient qu’une solution militaire ne peut pas finir cette guerre encore moins la montée en puissance de l’armée.

«Les Ambazoniens ont commencé avec des machettes et des frondes, et personne ne leur donnait 2 semaines.  Aujourd’hui, ils en sont à attaquer des engins lourds en massacrant des militaires d’élite. Le Gouvernement a décidé de réagir en montant en puissance, mais on peut légitimement se demander si la logique de l’escalade est la bonne décision», a-t-il écrit dans sa nouvelle tribune.

L’expert en question d’économie Dieudonné Essomba rappelle qu’il y a de cela une année, où l’armée avait initié l’opération Clean qui consistait à mettre hors d’état de nuire les leaders ambazoniens. Cependant il observe que d’autres leaders ont fait surface et aujourd’hui les séparatistes sortent un armement de pointe.

«Il n’y a pas un an, on nous a parlé des opérations CLEAN qui devaient mettre hors d’état de nuire les Amba Boys : Bamenda Clean, Buea Clean, etc. Cette opération a pu éliminer certains chefs sécessionnistes, mais de nouveaux ont apparu, plus rusés, plus féroces et plus déterminés encore, avec pour conséquence la multiplication d’attentats plus sophistiqués et plus sanglants. Aujourd’hui, nous voyons des chars et certainement nous verrons probablement les avions. Peut-être que cela conduira aux résultats… je dis bien, peut-être, mais se pose une question fondamentale : de quelle garantie disposons-nous pour croire qu’en réaction, la Sécession ne montera pas en force à son tour pour le contrer ? Ni l’Armée Nationale, ni la Sécession ne fabrique des armes. Les deux s’approvisionnent à l’étranger. Les avions et les chars que le Gouvernement va opposer à la Sécession sont fabriqués par les mêmes industriels que les missiles que la Sécession va opposer au Gouvernement ! Qui nous garantit que le résultat sera en faveur du Gouvernement ?», a-t-il écrit.

Pour Dieudonné Essomba, tant que le mot unitaire restera dans la Constitution, la guerre au Nord-Ouest et au Sud-Ouest ne prendra pas fin. Il affirme encore qu’il faut aller au fédéralisme.

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01