C’est ce dimanche en après-midi que la directrice générale de l’Unesco a été reçue en audience par le Président Paul Biya; Un entretien de 30 minutes au cours duquel les deux personnalités ont abordé “ les grands sujets de coopération historique et actuelle”.
En sortant de son entretien avec le Président de la République, Audrey Azoulay s’est confiée à la presse, en revenant sur les deux principaux sujets qui ont été abordés au cours de ce tête à tête:
L'Éducation
Concernant ce point, la Directrice générale de l'Organisation des Nations unies pour l'Éducation, la Science et la Culture a relevé que “ Le Cameroun est l’un des pays avec lequel l’organisme dont elle assure la direction a mieux travaillé, pour assurer la continuité pédagogique, à travers l’enseignement à distance…
L’expérience du Cameroun, ajoute t - elle, “ Est aujourd’hui utile pour toutes les zones où l’éducation est encore difficile car, nous sommes très attachés à défendre le droit à l’éducation pour toutes et pour tous”.
Invitée à s’exprimer sur la question de l’éducation dans les Régions du Cameroun en proie à des crises sécuritaires, la Directrice Générale de l’Unesco a simplement souligné “ le Droit de tout enfant à l’éducation…” et que “ Toute atteinte à ce droit est un crime contre la Nation;L'École est un lieu d’apprentissage et de protection pour les enfants”.
Développement des radios communautaires
A ce propos, l’invitée du Président de la République a indiqué que ces dernières sont “ importantes pour avoir une présence dans la diversité des langues, des cultures et des territoires, surtout avec une implication forte de la société civile, des jeunes, des journalistes, du monde culturel et du monde associatif…”.
Nicole Ricci Minyem
Il s’agace de la “nazification” dont il ferait l’objet. “Il n’y a pas de nazis dans mon équipe” et “il faut arrêter avec cette insulte”, a réclamé le candidat d’extrême droite à la présidentielle ce lundi sur France Inter.
“Il faut arrêter avec ce cirque, la nazification commence à bien faire, me nazifier moi…. Ma famille est née en Algérie, je suis un français de confession juive”.Je croyais naïvement que les nazis voulaient exterminer les juifs, qu’est-ce que les nazis ont à voir avec un juif dont les parents sont nés en Algérie?”, s’est interrogé l’ancien polémiste.
Le RN vise particulièrement le soutien que manifestent à Eric Zemmour des membres du Parti de la France, fondé en 2009 par Carl Lang et des anciens du Front national. A droite, le camp de Valérie Pécresse (LR) reproche aussi au candidat Reconquête ! des accointances avec ce parti.
N.R.M
Telle est la principale problématique que pose l’ancien gouverneur dans son nouvel ouvrage, intitulé “ Nous sommes presque tous des déplacés internes”
Il estime qu’après avoir eu la confirmation, "À son grand désarroi, que ce n’est pas une réalité exclusivement Camerounaise”, il dit avoir eu “la conviction que c’était notre maléfique malédiction.
Résumé de l’ouvrage proposé par les “ Editions du Midi”
“ Mais pour de vrai, en prenant en compte les réalités Camerounaises dans leur nudité première, qui peut se sentir ou s’estimer chez - soi sans risque de se faire rappeler à l’ordre et à la triste vérité?
Si un Camerounais peut s’estimer être chez - lui partout où il se trouve, il se trouvera, un jour, quelqu’un pour lui rappeler qu’il n’est pas chez lui parce que vivant dans une région qui n’est pas celle d’où il est originaire. s’il se rend dans son Arrondissement d’origine situé pourtant dans le même Département, il pourrait penser pouvoir enfin, être en paix parce qu’il est chez - lui.
Malheureusement, il pourrait lui être démontré, au moment où il s’y attend le moins, qu’il n’est pas chez lui parce que ses parents sont originaires d’un village de brousse, bien éloigné du chef - lieu de l’Arrondissement qui n’est pas le chez - lui.
Arrivé dans le village de ses parents, alors qu’il se croit en sécurité parce qu’il est au “village”, on lui rappellera qu’il n’est pas chez lui parce que le quartier d’origine de ses parents est plutôt celui situé au bout dudit village.
Après ce long parcours, il sera enfin chez lui pour s’être établi au quartier d’origine de ses parents. Malheureusement, au détour d’une dispute, un cousin lui rappellera, sans aucune élégance, qu’il n’est pas chez lui dans “ cette concession” parce que la maison héritée par son père, actuellement dans un état de délabrement total était sur le terrain vague juste à côté de tel arbre vers le cimetière du village. Par conséquent, il n’est pas chez lui, ici, chez ses oncles.
Alors, personne n’est, en réalité, chez - soi. Nous sommes tous des Déplacés Internes, déambulant de “ chez les gens” au “ chez les autres” qui peut pourtant être le “ chez les siens” sans pouvoir être vraiment le “ chez - soi” alors que, légitimement, il se croyait depuis trop longtemps être partout “ chez - lui” dans le pays…”.
Nicole Ricci Minyem
C’est ainsi qu’on pourrait résumer en peu de mots, l’ouvrage que propose Valentin A. Ateba qui, en dehors de sa casquette d’écrivain, est éco - manager ( Environnementaliste).
“ Pour un management de la durabilité de la vallée du Nyong” traite des questions de la durabilité, notamment celle des actions ou alors des mesures à prendre afin de mieux gérer et exploiter les ressources de ce fleuve situé dans la Région du Sud Cameroun; long de 690 km et qui se jette dans le Golfe de Guinée.
Du point de vue de Valentin A. Ateba, cet ouvrage qui sera publié par les “Editions du Midi”, entend élaborer et analyser les problématiques de gestion durable des richesses de la Vallée du Nyong à travers une nouvelle approche, plus dynamique, mieux rentable notamment pour des activités pérennes.
L’auteur poursuit en affirmant que face à la montée des périls dont les conséquences se font de plus en plus ressentir, “Pour un management de la durabilité de la Vallée du Nyong” se présente comme un “ vade mecum qui trace le chemin à suivre afin d’assainir et sauver le site, abandonné à son sort dramatique. Les menaces, aussi réelles que multiples, sont chaque jour encore plus grandissantes.
Pour cela, une partie de l'œuvre est consacrée à la proposition d’une gamme de mesures à prendre mais aussi d’actions à mener, pour une gestion soutenable des ressources dont regorge cette zone écologique, à travers un modèle d’activités éco compatibles”.
Autres informations sur Valentin A. Ateba
L’auteur de “ Pour un management de la durabilité de la vallée du Nyong” est actuellement Responsable Environnement dans une entreprise des BTP dans le cadre d’un projet routier.
Il est par ailleurs auteur de plusieurs romans et essais dont le plus illustratif dans le domaine des sciences environnementales est “ Le fleuve Nyong face aux menaces écologiques, naturelles et industrielles”.
Nicole Ricci Minyem
La décision est tombée ce vendredi et il est dit en substance que: “ le Tribunal Arbitral de Sport invalide la décision rendue le 17 Juin 2021 par la Commission d’Éthique de la Fifa…
“ La sentence du Tas, rendue sans frais fait suite à l’appel introduit le 24 Août 2021 par Issa Hayatou, président de la Confédération Africaine de Football de 1988 à 2017 et président par intérim de la Fifa d’Octobre 2015 à Février 2016…”.
Condamnation de la Fifa
La Fédération Internationale de Football Association est par ailleurs contrainte de s’acquitter des contributions liées “aux frais de justice de Issa Hayatou qui est réputé, suivant la sentence du Tas, n’avoir violé aucune disposition du code de la Fifa”.
En rappel,
Issa Hayatou, président d’honneur de la Confédération Africaine de football et vice - président de la Fédération Internationale de Football Association avait été suspendu pour un an, de toute activité liée à cette discipline sportive.
La Commission d'Éthique considérait en outre que Issa Hayatou s’était rendu coupable d’une violation de l’Article 15 du Code d'Éthique de la Fifa en signant seul, sans l’aval du Comité Exécutif de la Caf, le contrat accordant à la Société Lagardière Sport, la commercialisation des droits médias et marketing de la Caf…
La même commission retenait que Issa Hayatou avait enfreint toute procédure d’appel d’offre applicable. Il aurait ainsi violé son obligation de loyauté à l’égard de l’institution qu’il présidait”.
Nicole Ricci Minyem
Interrogé par nos confrères de la presse française, l’un des plus grands gardiens du Cameroun revient entre autres sur les causes de l’échec des Lions Indomptables et estime que le challenge de la Coupe du monde doit désormais être leur seul objectif
En fait, on ne gagne pas avec le potentiel, on gagne avec ce qu’on a développé; Donc oui, l’équipe au plus fort potentiel a perdu, mais l’équipe la plus forte c’est celle qui a maîtrisé l’autre. Malheureusement pour les Camerounais, ce sont les egyptiens.
Les Camerounais, il faudrait qu’ils regardent leur jeu et qu’ils se demandent qu’est ce qu’ils n’ont pas fait de bien, parce que pour ce qu’ils ont fait de bien, ça n’a pas suffit.
Quand un joueur dit ça, on ne saurait le contredire puisqu’il vit à l’intérieur du groupe mais nous, ce qu’on les a vu faire, on n’a pas vraiment vu ça; Je n’ai pas vu de joueur qui a refusé le ballon à son coéquipier…
Cependant, en tant que capitaine, il ne doit pas le regretter après le match, ils vivent ensemble depuis bien longtemps, il aurait dû voir ça, soulever le problème, crever l’abcès et proposer une solution.
Je dois aussi dire une chose qui, de mon point de vue, est très importante. Les joueurs répètent la plupart de temps, ce que dit leur encadrement et ils ne s’en rendent pas compte.
Lorsque Vincent Aboubakar dit par exemple que Salah ne l’impressionne pas, son encadrement a certainement dû le répéter à plusieurs reprises; Si le meilleur joueur d’une équipe ne vous impressionne pas, vous croyez que vous avez prêté attention au reste de l’équipe? Forcément pas.
Ca veut donc dire qu’au sein de l’équipe du Cameroun, le capitaine est entrain de nous révéler qu’on n’a pas pris l’Egypte au sérieux, qu’on n’a pas étudié le jeu de l’Egypte et qu’on a été surpris sur le terrain…
Il ne suffit pas de dire que Mohamed Salah n’a pas marqué, donc on a réussi à le contenir. Non, beaucoup d’équipes l’ont fait avant le Cameroun. C’est la raison pour laquelle j’insiste sur le fait que le Cameroun a le devoir de se poser les bonnes questions.
La question est ailleurs. L’encadrement Camerounais a t -il préparé ce match pour aller au bout? Je ne crois pas que les Camerounais aient envisager d’en arriver au penalty. Ils ont certes tiré des penaltys, mais sans conviction.
Ou sinon, les trois qui sont rentrés sont - ils rentrés pour tirer les penaltys? Si la réponse est positive, qu’est ce qui peut justifier que tous les trois ont raté? Ça veut donc dire qu’il y’a quelque chose qui ne va pas.
Soit l’entraîneur ne les a pas vus à l’entraînement, soit eux-mêmes n’y pensaient pas du tout. Je pense que le Cameroun n’a pas été mentalement préparé correctement.
Ce n’est pas du tout une consolation. S’il y’a quelque chose à faire, c’est de se concentrer pour le match de Coupe du Monde qu’ils vont jouer en mars. Ce sera une autre fête du football qui sera aussi belle que celle - ci.
Le moment venu, tout le monde voudra en être et donc, ils ont la chance de pouvoir se qualifier. Ce match contre le Burkina Faso est simplement la première étape de préparation du match qu’ils vont livrer contre l’Algérie.
Arrivé à Yaoundé - capitale politique du Cameroun il y’a quelques heures, le champion du monde de Savate - Boxe française a accepté de répondre à quelques questions
De 2017 à cette date, il y’a beaucoup de choses qui se sont passées au niveau international et moins au niveau Camerounais, ce que nous regrettons un tout petit peu mais, maintenant que nous avons un nouveau président, qui m’a proposé un poste de directeur technique, je crois que je vais donner tout ce que je peux pour la savate Camerounaise.
Il faut peut être rappeler que je suis premièrement un expert mondial de la savate boxe française. J’ai fait valoir mes compétences techniques à plusieurs niveaux et dans de nombreux pays. En 2018, lorsque je suis venu au Cameroun, c’était pour une expertise, faire un état de lieu de la fédération Camerounaise de savate;
Travail que j’ai fait avec le nouveau président de cette fédération sportive qui, à ce moment-là, était encore l’entraîneur national de la savate - boxe française. Nous avons fait le tour des clubs et c’est peut être à partir de ce moment là qu’il a été convaincu de mes compétences, c’est peut être à ce moment qu’il s’est dit que je suis en mesure de l’accompagner, de contribution à l’évolution de la savate dans notre pays aujourd’hui qu’il est le président de la fédération Camerounaise de savate.
Vous avez certainement raison mais, c’est le passé et il faut savoir avancer. Vous voyez par exemple aujourd’hui, des clubs qui naissent un peu partout, vous avez un programme qui détermine la politique qui est mise en place afin qu’au sein des établissements scolaires, des clubs naissent.
Un programme qui s’inscrit dans la durée avec l’expansion des activités sur l’ensemble du triangle national avec des représentations tant sur le plan régional que départemental mais aussi dans les arrondissements; Il y’a donc du pain sur la planche et la savate va renaître de ses cendres.
Bien sûr, nous y avons travaillé ensemble étant donné que je suis le directeur technique. je puis vous assurer que nous allons travailler avec professionnalisme.
Oui bien sûr. j’ai apporté du matériel qui va nous servir lors des entraînements, quelques petites astuces qui vont permettre aux entraîneurs nationaux d’affiner leur compétence et de pratiquer la savate tel qu’on le voit sous d’autres cieux. Avec le travail de fond qui sera fait, nous sommes certains que les résultats vont suivre.
Vous savez, j’ai un regret. Je suis champion du monde de savate boxe française et malheureusement, mon pays n’avance pas comme je l’aurais souhaité; Aujourd’hui qu’une nouvelle dynamique est mise en place et grâce au travail que je vais faire avec les entraîneurs nationaux, nous allons rapidement remédier à cette situation.
De très bons rapports. J’ai remis ma ceinture de champion du monde de savate au Cameroun; elle est d’ailleurs bien visible de ce côté là. Un cadeau que j’ai fait à ce pays que j’aime.
J’aurais pu laisser cette ceinture chez moi afin que mes enfants, lorsqu’ils rentrent à la maison la voient mais j’ai choisi de la remettre au Cameroun. J’ai de très bons rapports avec le ministre qui sait d’ailleurs que je suis là.
J’invite simplement les Camerounais à rejoindre les clubs de savate, c’est une très bonne discipline sportive et qui peut être pratiquée par tout le monde. La savate contribue par exemple à l’éducation des enfants.
Tous les corps de métier pratiquent la savate en France et nous souhaitons que ce soit pareil chez nous. Rien que du positif.
Nicole Ricci Minyem
“Nous souhaitons établir un véritable conseil Schengen pour piloter l’espace Schengen, à l’image de ce que nous avons su faire pour la zone euro”, a expliqué Emmanuel Macron - président français à Tourcoing (Nord) devant les ministres européens de l’Intérieur.
Ceux - ci doivent plancher sur le sujet au cours des prochaines 48 heures. Le président français a déploré l’absence « d’une réelle politique concertée d’anticipation et de planification » face aux crises aux frontières extérieures.
Réunissant régulièrement les ministres compétents autour d’un “coordonnateur”, un conseil de pilotage pourrait se tenir pour la première fois dès le 3 mars, date de la prochaine réunion des ministres, a-t-il souhaité. « Ce conseil peut devenir le visage d’une Europe forte », a-t-il insisté.
“De graves vulnérabilités”aux frontières
La commissaire européenne aux Affaires intérieures, Ylva Johansson, a salué une “très bonne idée”: “Aujourd’hui nous avons de graves vulnérabilités. L’année dernière Frontex a estimé que 39 millions de gens étaient entrés dans l’espace Schengen sans avoir fait l’objet de vérifications dans le système d’information Schengen”, a-t-elle indiqué.
Autre préconisation développée par Macron, la création “d’un mécanisme de solidarité et d’intervention rapide en cas de crise aux frontières extérieures de l’Union”.
“Cette plateforme serait, au fond, le bras armé du nouveau conseil Schengen sur le terrain”, a expliqué le président français. Elle permettrait une “mobilisation rapide des ressources européennes et bilatérales dans les situations de crise, en complémentarité de l’action de Frontex”.
Un soutien « aux pays de première arrivée des migrants »
Troisième proposition : “Se doter d’une politique commune d’asile et d’immigration”. Conscient des divisions entre pays européens à ce sujet, il a proposé une approche progressive, en commençant par un soutien financier aux pays de première arrivée des migrants. Son objectif, “une convergence accrue des systèmes d’asile”, en commençant par régler “les dysfonctionnements évidents des règlements de Dublin”.
Enfin, l’UE doit appliquer “une politique plus opérationnelle et plus unie”en matière d’expulsion des migrants illégaux vers leur pays d’origine. “Ceci suppose de travailler avec les pays de départ et de transit”pour “adapter notre politique de visas à l’égard de pays tiers non coopératifs en matière de réadmission, mais de manière européenne et coordonnée”.
Le sommet entre l’Union Africaine et l’Union européenne les 17 et 18 février “sera l’occasion d’une impulsion forte en la matière”, a-t-il dit.
N.R.M
Cette unité communale souffre depuis des lustres d’un faible déploiement des agents, pour la mobilisation des recettes propres de la municipalité qui peuvent leur permettre de faire face aux exigences financières quotidiennes de cette institution.
Pour remédier à cette situation, Jean Yves Bak - le Maire de la Commune d’Atok qui, convient -il de le rappeler est située dans le Haut Nyong a signé un Arrêté Municipal qui vise entre autres l’implémentation des projets tels que:
L'équipement du Campement touristique - La construction des logements communaux, tous portés dans le budget 2022 déjà approuvé…
De plus, les localités telles que Makogou - -Akok - Maka - Souombou sont désormais en barrières municipales qui vont permettre de contrôler la régularité des transporteurs de bois, de produits de carrières et autres marchandises…
Les droits dus par les transporteurs dans le cadre de l’exercice de leurs activités sont les suivants:
Impôt libératoire de l’activité ambulante - Taxe de développement local - Taxe sur les produits de carrière - Taxe sur les produits de récupération - Taxe communale de transit ou de transhumance.
L’autorité municipale précise en outre que:
“ Tout usager exerçant dans l’un de ces secteurs d’activité devra s’assurer de l’acquittement des droits qui lui sont reconnus avant de se présenter à la barrière de franchissement;
Le défaut de présentation à la barrière de franchissement, d’une pièce valable justifiant du paiement des droits dus dans le cadre de l’exercice de l’une de ces activités, entraîne la saisie du véhicule et de la marchandise, et leur mise systématique en fourrière conformément aux dispositions de l’Article 47 de la Loi portant fiscalité locale…”.
Nicole Ricci Minyem
Elles ont été communiquées par la Délégation Générale à la Sûreté Nationale et concernent les périodes d’avant, pendant et d’après matchs qui vont se jouer au Stade d’Olembé et au Stade Omnisports.
Avant les matchs
Tous ceux qui souhaitent se rendre au stade doivent être détenteurs d’un ticket d’entrée. Les points de vente officiels sont situés au Palais Polyvalent des Sports et auprès de la Mairie de la ville de Yaoundé ainsi qu’aux sept mairies d’arrondissement ainsi de la même ville.
Les billets ne seront pas vendus aux abords du stade le jour du match. Le pass-sanitaire est obligatoire pour l’entrée au stade ; Il faut se faire dépister dans les points de testing au Covid-19 également situés au Palais Polyvalent des Sports et partout ailleurs dans la ville, 72 heures avant le match pour les tests PCR et 24 heures avant le match pour le test TDR;
- Plusieurs check-points des Forces de Maintien de l’Ordre seront mis en place sur les voies d’accès au stade, pour permettre de filtrer les passages des potentiels spectateurs. -
Un bracelet sera octroyé à chaque individu au premier poste de filtrage, pour attester de sa conformité aux normes sanitaires. - Vous devez-vous aligner derrière celui qui vous précède éventuellement et, suivre les consignes des Forces de Sécurité, elles sont sur le terrain pour vous servir ;
- Ceux qui veulent entrer au stade ne doivent pas porter de sacs, ni des objets contondants, pointus ou tranchants. - Les portails d’entrée au stade seront ouverts cinq heures avant le début de chaque match;
- L’accès au stade est interdit aux enfants de moins de 11 ans.
Pendant le match
Respectez vos emplacements et vos places, la catégorie de la tribune et les numéros des sièges sont indiqués sur vos tickets ; - Soyez fair-play. “Le football rassemble, il ne divise pas. - Supportez sans huer. Comme le dit une publicité circonstancielle “Ndamba na joy, Ndamba na peace en d’autres termes le ballon c’est la joie, le ballon c’est la paix”.
Après le match
Évitez d’envahir la pelouse, - Ne vous hâtez pas de sortir au même moment, cela évitera les bousculades ; - suivez les consignes de sécurité que vous donnent les Forces de l’Ordre, pour l’évacuation du stade.
Pour éviter les embouteillages au maximum, un plan de circulation est mis à la disposition des usagers de la route.
Concernant le Stade Omnisports de Yaoundé, quatre heures avant le début du match, la circulation des gros porteurs, des taxis et mototaxis sera interdite sur les axes Rond-point Nlongkak-Bata Nlongkak-Stade Omnisports ; Mobil Essos- Ecole publique de 4 Mfandena ; Total Fouda- Texaco Stade Omnisports ; Mobil Omnisports -Stade et Lycée Bilingue Essos-Mobil Omnisports.
Quant au Stade d’Olembé, quatre heures avant le début des matchs, la circulation des gros porteurs, des taxis et mototaxis sera interdite sur l’axe Rond-point Nlongkak-Nkozoa et sur l’axe Tsinga village-Stade d’Olembé.
Les usagers en provenance de la région de l’Ouest et se rendant à la cité capitale ou inversement, devront emprunter l’itinéraire de déviation suivant : Nkozoa Entrée Ministre- Tsinga Village- Nkolfoulou-Tradex Eleveur. La circulation sera rétablie après le service d’ordre…
N.R.M