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La Banque des États de l'Afrique centrale (Beac) dans le rapport sur « les services de paiement en monnaie électronique dans la Cemac en 2020 », révèle que l'autorisation délivrée pour permettre au banquier UBA de lancer le service Mobile Money de Nexttel a été « révoquée, en raison notamment du non lancement des activités ».

 

Contrairement au vœu formulé dès avril 2021, lors de sa prise de fonction à la tête de Nexttel, le 3ème opérateur de mobile au Cameroun, Benoît Yaoussou ne lancera pas le service Mobile Money de cet opérateur « d’ici la fin de l’année 2021 ». A l'origine de cette, l'annulation de l'autorisation de lancement décidée par la Beac.

En effet, le partenariat entre UBA et Nexttel pour le lancement de ce service baptisé « Nexttel Possa » (le porte-monnaie de Nexttel dans une langue locale) avait été autorisé le 12 mars 2018 par l’institut d’émission des six États de la Cemac. La Beac donnait alors à Nexttel et UBA six mois au plus, pour lancer le nouveau service Mobile Money.

Des informations concordantes, empêtré dans une bataille entre ses actionnaires, Nexttel n’a pas pu, jusqu’ici, matérialiser ce projet. Pourtant si le projet venait à être concrétisé, il devait davantage doper la concurrence que se livrent déjà MTN et Orange Cameroun sur le marché local de la monnaie électronique.

Innocent D H

Published in Entreprises

Dans un article publié par le média en ligne Mediapart, Samira Dellaa experte en Relations internationales accuse la ministre des Postes et Télécommunications Libom Li Likeng d’avoir augmenté les taxes de manière grossière, et de refusé aux opérateurs de développer leurs réseaux et d’augmenter leurs capacités.

 

L’accusation portée contre Minette Libom Li Likeng par Samira Dellaa dans son article intitulé « Cameroun : la Ministre des Telecoms augmente les taxes et bride les opérateurs » est assez grave. Celle qui est présentée comme un chercheur par ailleurs experte en Relations internationales laisse entendre que la ministre des Postes et Télécommunications (MINPOSTEL) paraît ne pas être préoccupée par la demande en datas qui selon elle, est devenue explosive au Cameroun. Elle indique que la pandémie du Coronavirus a entraîné une forte demande de connectivité. Elle rapporte que selon l’Internet World Stats, le taux de pénétration du web au Cameroun touche désormais près d’un habitant sur trois, et plus d'une personne connectée sur deux a un compte Facebook. Aussi, la demande en connectivité a augmenté de 40%.

Observant que la pandémie du Coronavirus a contribué à démontrer les problèmes du marché des télécoms camerounais surtout dans les deux grandes métropoles du pays à savoir Yaoundé et Douala, elle note qu’elle a par ailleurs mis à nu « l’incompétence (où les objectifs cachés) de la ministre des Postes et Télécommunications, Mme Libom Li Likeng ».

Dans son article, elle poursuit : « Depuis sa nomination à ce poste stratégique, l'activité télécoms fait du surplace au Cameroun (certains disent même que la situation se détériore à vu d'œil). Les opérateurs télécoms, attaqués par les clients pour leurs réseaux qui peinent à se développer, sont obligé de se plaindre (à mots couverts, pour ne pas subir davantage de punition) des mesures prises à leur encontre – mesures qui se répercutent sur les clients sans que les opérateurs n’y puissent rien faire ! De fait, la ministre a mis en place un paradoxe nuisible : d’un côté, elle a augmenté les taxes de manière grossière, de l’autre, elle refuse aux opérateurs de développer leurs réseaux et d’augmenter leurs capacités ! ».

Aussi, Samira Dellaa accuse la ministre Libom Li Likeng de s’en prendre aux opérateurs privés et publics. Elle affirme qu’elle a effrayé Vodacom et bloqué Camtel.

« Des attaques dont elle se félicite en privé et dont les consommateurs sont les premières victimes. En augmentant les taxes et empêchant les améliorations réseau, elle empêche simplement les camerounais de développer leurs business et de profiter de divertissements en ligne », a écrit Samira Dellaa.

 

Liliane N.

Published in Télécommunication

La toute nouvelle PCA de l’ART vient d’être pris dans des opérations de vente de place au sein de l’administration qu’elle est censée rendre performante. Celle qui depuis quelques décennies se battait pour que des femmes soient davantage admis à des postes de responsabilités vient de jeter du discrédit sur cette initiative pourtant noble.

 

Crée en 2006, l’organisation de la société civile dénommée More Women inpolitics mène des actions de sensibilisation de la gente féminine question de les encourager à s’investir en politique. Avec un succès plutôt relatif, elle a pu intéresser plusieurs camerounaises à s’engager en politique. Le Pr Justine Diffo a régulièrement parcouru le Cameroun de long en large pour rencontrer les femmes de tous les horizons pour tenir ce discours courageux à ces dames et jeunes dames, faisant naître en elles cet engagement politique qui nous donne de voir sur la scène politique des femmes députées comme Nourane Fotsing et d’autres. Une œuvre salutaire, et que tous les camerounais ont applaudis des deux mains.

 

Avec la dernière actualité, mettant en scène la promotrice de More Women in Politics, dans une opération de corruption, il devient courant de se poser des questions sur la sincérité et l’intégrité de cette logique, de ce mouvement. Dans les rues de Bonanjo à Douala ce matin, le sujet est au cœur des conversations. Les camerounais qui s’arrêtent devant les kiosks à journaux ont un commentaire qui revient : « donc la femme là veut que les femmes entrent en politique pour faire ce qu’elle est en train de faire là ? La corruption ? ». Une véritable déception. Une image qui tend à dégrader l’image de toutes ces femmes qu’elle a à longueur d’année encouragée à s’investir en politique.

 

Les questions éthiques que posent les soupçons qui pèsent sur la nouvelle PCA de l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART) participent à ternir l’image des femmes qui aspirent également aux postes de responsabilités. Au sein de l’opinion publique, on se dira toujours que ces nouvelles personnes de qui on attend de nouveaux comportements vont continuer de perpétrer les mauvaises attitudes de leurs ainés administratifs et politiques. Finalement, ceci donne de croire que le vers de la corruption est tellement encré dans les esprits que chacun souhaite simplement accéder aux postes de responsabilités pour se servir et profiter de leurs fonctions pour spolier les jeunes camerounais. Chacun veut croquer sa part du gâteau national.


Stéphane NZESSEU

Published in Société

Les gouvernements camerounais et vietnamien souhaitent une issue à l’amiable au sein de l’entreprise.

 

C’est dans cette optique qu’une audience a été accordée lundi dernier par Joseph Dion Ngute, Premier ministre, chef du gouvernement, à la délégation vietnamienne conduite par Nguyen Quoc Cuong, envoyé spécial du Premier ministre de la République socialiste du Vietnam. Plus de 80 minutes d’échanges, un sujet principal au menu: le litige au sein de Nexttel, opérateur de téléphonie mobile de l’entreprise Viettel Global S.A.

Selon Cameroon Tribune, au sortir des échanges, Nguyen Quoc Cuong, par ailleurs vice-ministre des Affaires étrangères du Vietnam, a donné les grandes lignes de l’entretien. Il s’agit principalement de la création en vue d’une commission d’enquêtes chargée de rechercher une solution à l’amiable au litige qui oppose les actionnaires de Viettel Cameroun S.A.

« Le gouvernement vietnamien est responsable de la protection des entreprises vietnamiennes à l’étranger, y compris de l’investissement de Viettel au Cameroun, d’un montant évalué à 210 milliards FCFA », a expliqué  le vice-ministre vietnamien  des Affaires étrangères au terme de cette audience.

En effet, apprend-on, le capital de l’entreprise au lancement était détenu à 70% par Viettel Mobile S.A. et les 30% restants appartiennent à Bestcam, entreprise du milliardaire camerounais Ahmadou Baba Danpullo. Le différend entre les deux actionnaires repose principalement sur le contrôle de la structure.

 

Selon Viettel Global, l’opérateur économique camerounais, Baba Danpullo a pris « de nombreuses mesures illégales pour empêcher les Vietnamiens de travailler dans les bureaux de la coentreprise de Viettel au Cameroun à partir de novembre 2018. Il souligne également dans cette correspondance, qu’il est sûr de l’assistance que lui prêtent les services de l’Etat, et étrangement appuyé par tous les trois avocats liés à Viettel Cameroun par des contrats d’assistance juridique…  »

L’actionnaire camerounais, qui rejette toutes ces accusations,  reproche à son partenaire  vietnamien,  actionnaire majoritaire de Nexttel, d’importer massivement la main-d’œuvre, au détriment des Camerounais qui seraient ainsi marginalisés. Une procédure judiciaire est d’ailleurs ouverte devant les tribunaux camerounais depuis quelques années, rapporte Cameroon Tribune.

L’hôte vietnamien a ainsi salué la volonté du gouvernement camerounais à protéger les intérêts de ses investisseurs étrangers. Nguyen Quoc Cuong a également souligné la qualité des relations bilatérales existant entre les deux pays depuis 1972. Cette coopération se développe dans les domaines politique, socioéconomique, technique, culturel et commercial.

 

A ce jour, plusieurs accords ont été signés entre les deux pays. Entre autres, l’Accord portant exemption réciproque des visas pour les détenteurs des passeports diplomatiques et de service/affaires publiques; l’Accord sur les consultations politiques entre les ministères des Affaires étrangères et Relations extérieures des deux pays.

D’autres projets sont en cours de réalisation entre les deux pays. A savoir : la construction d’une cimenterie à Kribi avec une usine dans la région du Nord, ainsi que le développement de la riziculture dans le bassin de Lagdo dans la région du Nord.

 

Otric N.

Published in Société

Lesdits recrutements qui ont été rendus publics le 11 mars dernier par le conseil d’administration, révèlent l’arrivée chez l’opérateur public des télécoms au Cameroun, d’au moins trois anciens cadres de MTN Cameroon.

 

Ces trois nouveaux cadres recrutés par Camtel, ne sont pas à proprement parler, des transfuges de Mtn Cameroon car installés à leurs propres comptes depuis quelques années. Ils sont : Ngono Onguene Christian Gilbert, ancien directeur technique de MTN Cameroon,  qui devient directeur des infrastructures chez Camtel ; Ottou Bounougou Léon Jean Blaise, ancien responsable au service commercial de MTN dans la région du Sud-Ouest qui devient le nouveau directeur commercial de l’opérateur public des télécoms ; et Mpoudi Ngollé Georges, ancien directeur des systèmes d’information chez MTN, qui rejoint Camtel en qualité de directeur des réseaux IP, du multimédia et des services.

C’est un secret de polichinelle, Camtel sur le marché camerounais des télécommunications est largué par ses concurrents qui sont MTN, Orange et Nextell. Par ces recrutements dont la qualité est appréciée par nombre d’experts dans le domaine, la Camtel entend sans doute se repositionner favorablement sur un marché local où elle est malmenée. Une situation des plus ubuesque lorsqu’on sait que la Camtel est le gérant exclusif de la fibre optique qu’elle loue aux autres opérateurs. Un avantage certain dont la sous-capitalisation n’a pas toujours manquée d’étonner plus d’un.

Souvent en proie à des difficultés financières, la gestion de cette entreprise parapublique a à maintes reprises été décriée. Mise sous la sellette, des recrutements pléthoriques dont la qualité, selon certaines indiscrétions, n’obéissait à aucun critère visant la performance, l’efficacité. Etat de chose qui aurait régulièrement conduit l’opérateur public des télécommunications à solliciter des perfusions financières de l’Etat pour payer les salaires de ses employés. Selon toute vraisemblance, par ces recrutements, cette époque semble révolue. La pertinence de ces recrutements sera jugée à l’aune des résultats de l’entreprise en fin d’année. Vivement que les fruits tiennent la promesse des fleurs.

Pour rappel, ces recrutements d’anciens cadres de MTN Cameroon surviennent quelques mois seulement après la nomination d’un nouveau top management à la Camtel. A la faveur du décret présidentiel du 14 décembre 2018, madame Judith Yah Sunday épouse Achidi Achu remplaçait David Nkotto Emane qui totalisait 14 ans de direction de cette structure et dont la gestion de l’entreprise a plusieurs fois été questionnée.

Published in Société

Elles ont été présentées tout au long du congrès mondial du mobile, tenu à Barcelone en Espagne du 25 au 28 février 2019.

Smartphones, objets connectés, 5G, innovations et technologies réseaux, accessoires et gadgets pour iPhone et Android, intelligence artificielle. Voilà ce qui a rassemblé, du 25 au 28 février dernier à Barcelone en Espagne, plus de 50 000 professionnels de l'industrie des communications mobiles, dans le cadre de l’édition 2019 du congrès mondial consacré aux nouvelles tendances et perspectives du secteur.

Pendant quatre jours donc, des constructeurs, des concepteurs de systèmes et autres applications, des designers, ont présenté les dernières trouvailles du secteur du mobile (téléphones, tablettes, ordinateurs, etc.). Parallèlement, des représentants d'opérateurs de téléphonie mobile, des vendeurs et des professionnels des télécommunications abordaient l'avenir des marchés et la stratégie à suivre pour toujours conquérir plus de part.

Mais il a également été question d’établir des liens commerciaux avec d'autres agents du secteur et de partager expériences et connaissances. Au total donc, plus de 2400 entreprises ont fait le déplacement de Barcelone. En toile de fond de cette sorte de jeux olympiques du mobile, où chacun veut non seulement participer mais surtout étaler ses performances, la technologie 5G que tout le monde veut adopter.

Selon les spécialistes, elle est au-delà de la simple évolution de la 4e génération que de nombreux pays, africains notamment tardent à vraiment déployer. Situation que des acteurs comme Huawei œuvre à faire changer.

Plus rapide et plus claire dans la transmission des données, la 5G donne l’impression du réel et plus encore. Une révolution notamment pour la télémédecine. Une démonstration sur le site du congrès a permis de voir comment un médecin généraliste ou un infirmier peut réussir une intervention chirurgicale, en se faisant guider par un spécialiste qui recevrait les images en temps réel. Plus loin, grâce à une application mise au point par Huawei, les personnes devant surveiller leur ligne pourraient connaître exactement le poids de ce qu’elles mangent rien qu’en scannant un aliment sur leur smartphone.

Côté ludique, un artiste pourrait assurer une prestation via une connexion qui permettrait à son public de leur voir comme s’il était sur scène. Mais pour en profiter, il faudrait avoir les équipements adéquats et surtout une qualité irréprochable de l’Internet, et à un prix accessible…

Published in Economie

Cette promesse concerne les jeunes étudiants de 18 à 25 ans titulaires de baccalauréat ou au-delà.

 

A partir du mois de juin 2019, l’opérateur leader des télécommunications va offrir des stages professionnels d’une durée de 6 mois à des jeunes récemment diplômés, en quête d’une première expérience professionnelle et des stages académiques d’une durée de 3 mois aux étudiants ayant au moins le baccalauréat, afin de leur permettre de découvrir l’industrie des télécommunications et ses métiers. Une aubaine pour les jeunes Camerounais âgés de 18 à 25 ans désirant bénéficier de cette opportunité.

Pour ce qui est du recrutement, les jeunes diplômés intéressés devront postuler en ligne, sur une plateforme digitale développée à cet effet. Chacun des candidats devra préciser son domaine d’expertise, celui dans lequel il souhaite effectuer son stage (Technologie, Vente, Marketing et Communication, Juridique, Ressources Humaines, Finances, Administration et Audit, etc).

Selon les responsables de MTN, une centaine de stagiaires seront retenus au terme du processus de sélection ouvert aux jeunes des 10 régions du pays. Chacun des stagiaires sera ainsi placé sous l’encadrement d’un superviseur qui veillera à son intégration et à sa formation tout le long du stage sanctionné par un rapport ou un mémoire de stage.

C’est cet ambitieux projet que le directeur général de MTN Cameroun, Hendrik Kasteel et ses proches collaborateurs ont présenté la semaine dernière au ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur, Jacques Fame Ndongo. Ils ont également été chez le ministre de l’Em ploi et de la Formation professionnelle, Issa Tchiroma Bakari et son homologue des Postes et Télécommunications, Minette Libong Li Likeng. Les membres du gouvernement ont loué l’initiative et donné leur accord pour la mise en œuvre de programme.

L’on apprend ainsi que parallèlement aux stages, MTN Cameroon compte organiser à partir de cette année, des compétitions afin de détecter les jeunes les plus créatifs, dans le développement d’applications numériques nécessaires à l’économie numérique. Les jeunes ayant les meilleurs idées et solutions seront incubés à MTN pour murir leurs projets, créer leurs startups et monétiser leurs innovations.

Ils pourront ainsi s’auto employer et même employer d’autres jeunes. Par ailleurs, MTN se dit disposé à travailler avec d’autres acteurs de l’économie numérique pour l’organisation de ces compétitions et de ces incubations. Pour MTN, la création d’emplois pour la jeunesse reste une préoccupation constante.

MTN Cameroun est la filiale camerounaise de télécommunications de la multinationale sud-africaine MTN. Elle est née le 15 février 2000, du rachat par le groupe sud-africain MTN de la licence de Camtel Mobile. Son capital de 200 000 000 FCFA est détenu à 70 % par MTN International et à 30 % par la société camerounaise Broadband Telecom.

Otric N.

Published in Société






Sunday, 05 June 2022 11:01