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Des bons points qui sont à mettre à l’actif des éléments de la Brigade nationale de contrôles et de la répression des fraudes (BNCRF).  Ceux-ci ont mené mi-février 2020 à Douala, une opération coup de poing. 

 

Les cartons de vins d’origine douteuse saisis sont de marque « Château Barreyres ». La photo de la cargaison appréhendée a été présentée à la presse. Selon les révélations faites par la BNCRF, « il s’avère que le vin mis en cause ne provenait pas de la société BVS (Boissons, Vins et Spiritueux), détentrice de l’exclusivité de la distribution de cette marque au Cameroun. Les entrepôts de cette surface de commercialisation ont été mis sous scellés pour cause de commercialisation des produits de contrebande », note-on. 

L’on apprend également qu’à Bonamoussadi, un réseau de commercialisation de whiskies frelatés a été débusqué par les agents de la BNCRF. A en croire des déclarations à la Brigade, « le présumé trafiquant s’apprêtait à exécuter une livraison des whiskies de marque Chivas (12 et 18 ans d’âge) et Jack Daniels estampillés de fausses vignettes auprès d’un snack-bar de la place. A la suite d’une dénonciation du responsable de cet établissement, les agents de la BNCRF ont également saisi ces liqueurs qui représentent un grand danger pour la santé des consommateurs ». 

Chaque année, le Cameroun perd environ 255 milliards de FCFA du fait des activités de contrebande, de contrefaçon et de commerce illicite, nous livre la Chambre de commerce, de l’industrie, des mines et de l’artisanat (Ccima). 

 

Innocent D H

 

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Le numéro vert mis à la disposition des consommateurs est le 1502.

 

Pour protéger les consommateurs, le Ministère du Commerce vient de mettre en service le numéro 1502. Ce numéro permet désormais aux consommateurs d’être plus proches de l’administration. Ils vont dorénavant pouvoir faire connaître au Ministère dirigé par Luc Magloire Mbarga Atangana, les abus dont ils sont victimes. Ils vont pouvoir dénoncer les activités commerciales suspectes. Et toutes les brigades de contrôle du Ministère du Commerce que ce soit dans les régions, les départements, et les arrondissements du Cameroun seront en action après avoir été informées du délit. Même le personnel de contrôle sera aussi surveillé.

Au cours  de la cérémonie de lancement officiel du numéro qui a eu lieu la semaine prochaine, le Ministre Luc Magloire Mbarga Atangana a apporté des éclaircis sur l’importance du 1502. Le numéro «d’utilité publique» permettra aux brigades de contrôle et de supervision des prix sur les marchés, d’avoir des informations en temps réel pour une intervention rapide sur le terrain. La mise en place du 1502, rend la brigade « d’intervention rapide du consommateur » fonctionnelle.

Lors de la cérémonie suscitée, le numéro a été testé. Il a été dit qu’il va fonctionner de lundi à samedi pendant les heures ouvrables dans un premier temps. Assistant à ladite cérémonie, le représentant de la Cameroon telecommunications (Camtel) a déclaré : « le 1502 est accessible sur le téléphone fixe et les cityphones. Tous les appels sont acheminés au Ministère du Commerce, c’est déjà opérationnel quel que soit le réseau et même à partir du portable ».  

Lire aussi : Grève des avocats : les premiers fruits sont effectifs 

Les différentes associations des consommateurs se sont réjouies de la mise en service du numéro 1502. Elles l’ont souligné au cours de la cérémonie qui a été suivie de bout en bout par les représentants des compagnies de téléphonie mobile, notamment Camtel, Orange Cameroun, Mtn, Nextel, ainsi que l’Agence de régulation des télécommunications.

 

Liliane N. 

 

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Il a été pris en flagrant délit dans un entrepôt au quartier Mvog-Ada à Yaoundé. Les faits remontent au mardi 27 août 2019.

 

C’est grâce à une opération conduite par les équipes de la Brigade nationale de contrôle et de répression de fraudes du Ministère du Commerce (Mincommerce) qu’un opérateur exerçant dans l’illégalité a été mis hors d’état de nuire aux consommateurs précisément du quartier Mvog-Ada. Ce dernier se livrait au reconditionnement du riz, du sucre et des liqueurs, impropres à la consommation, dans un entrepôt. Pourtant, faut-il le souligner, celui-ci jouissait de la réputation d’un distributeur agréé de produits de première nécessité.   

Pour mieux comprendre ce que cet opérateur faisait, Barbara Elemva Amana, chef de la brigade nationale, explique que celui-ci récupère des produits impropres à la consommation et les reconditionne dans des emballages indiquant que ces produits fabriqués en 2017, peuvent être consommés jusqu'en 2021. De façon plus claire il mélange du riz issu de la contrefaçon ou périmé avec du riz de bonne qualité avant de les mettre dans ces sacs pouvant contenir 5 kilogrammes. «L'on a aussi constaté qu'il transvasait du simple riz dans des sacs où il est inscrit, riz parfumé», ajoute le chef de brigade. «La majeure partie des produits saisis est essentiellement des sacs vides», conclut-elle. Pour ce qui est du sucre blond et blanc, «au total, ce sont environ 500 sacs de 5kg de riz et 50 sachets d'un kg de sucre qui ont été ainsi saisis. Le plus important reste la quantité de conditionnements vides à l'état neuf», a confié Barbara Elemva Amana.

Le Ministère du Commerce est résolu à mettre fin à la vente illicite des produits. Dans une interview accordée au quotidien gouvernemental Cameroon tribune, Barbara Elemva Amana, fait savoir que Luc Magloire Mbarga Atangana le Ministre du Commerce a porté plainte contre certains opérateurs. «Les actions suivent leurs cours au niveau des tribunaux compétents. Nous n'avons pas vocation à suivre ces dossiers à ce niveau. Nous avons confiance à la justice», a-t-elle ajouté.

 

Liliane N.

 

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Le riz a été saisi par les éléments de la brigade des contrôles et de la répression des fraudes de la délégation régionale du Commerce pour le Littoral.

 

C’est un riz de mauvaise qualité, que viennent de saisir les éléments de la brigade des contrôles et de la répression des fraudes de la délégation régionale, du Ministère du Commerce pour le Littoral. Ce riz contenu dans 500 sacs a été trouvé dans un entrepôt situé dans la ville de Douala. D’après les investigations menées discrètement, les éléments de la brigade des contrôles et de la répression des fraudes sont parvenus à la conclusion selon laquelle, il s'agit de détournement de riz pour bétail qu'on destine malheureusement à la consommation humaine.

 

L’opération ayant conduit à ce produit, a été pilotée par Simon Omgba Belinga le Délégué régional. Elle a  été motivée par les différentes vérifications opérées par les éléments de la brigade des contrôles, de la répression et de la surveillance des fraudes dans les différents marchés de la ville de Douala. Ayant multiplié leurs descentes sur le terrain, ils ont fait un bon nombre de découvertes stupéfiantes. Ils ont remarqué et constaté que des sacs remplis de riz de différentes marques ont été recousus. Pour être plus précis, ils sont tombés sur des sacs de riz déjà ouverts et dont le contenu a été vendu depuis quelque temps. C’est ce qui a éveillé leurs soupçons.

 

Deux gros magasins de reconditionnement illicite de ce riz destiné au bétail ont également été découverts. Il s'agissait pour ces opérateurs économiques véreux, propriétaires de ces magasins, dans leur sale besogne, de faire mélanger le riz destiné au bétail avec du riz de bonne qualité acheté auprès de certains vendeurs ou importateurs de la place. Après tamisage, ils se procuraient des sacs de riz vides de certaines marques pour l'emballage, avant la réintroduction du riz ainsi obtenu dans le circuit normal.

 

A l’heure actuelle, les sacs sont entreposés dans les magasins de la délégation régionale du Commerce pour le Littoral, en attendant que la procédure engagée arrive à son terme.

 

Liliane N.

 

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La brigade nationale des contrôles et de la répression des fraudes du Mincommerce a démantelé  jeudi dernier à Kye-ossi dans la région du Sud, un réseau d'importation d'huiles végétales de contrebande non enrichies à la vitamine A.

 

C’est un autre coup que vient de frapper  la Brigade nationale des contrôles et de la répression des fraudes du Ministère de Commerce  (Mincommerce). Le 18 juillet dernier, cette brigade a démantelé à Kye-Ossi, une commune du département de  la Vallée du Ntem,  dans la région du Sud, située à la frontière Cameroun - Guinée-Equatoriale, un important  réseau d'importation d'huiles végétales de contrebande non enrichies à la vitamine A. Sur hautes instructions du Ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, cette opération coup de poing menée par Barbara Elemva Amana, Chef de la Brigade nationale des contrôles et de la répression des fraudes du Mincommerce, a aussi permis de saisir des whiskys sans vignettes, plusieurs autres denrées alimentaires et des tôles de contrebande.  En attendant de traduire les contrevenants devant la Justice, de nombreuses boutiques ont été mises sous scellées, a expliqué cette brigade.

 

Toujours dans le cadre de la lutte contre le commerce illicite, cette brigade a également saisi à Douala,  dans la région du Littoral, près de 500 sacs de riz avariés. Cette cargaison a été découverte au quartier Akwa, dans l’arrondissement de Douala 1er, lors d’un contrôle de routine, par la police qui a alerté la  brigade nationale des contrôles et de la répression des fraudes du Mincommerce. 150 sacs étaient en cours d’acheminement sur la marché local, tandis qu’environ  300  étaient stockés  dans un magasin situé à Banamoussadi dans l’arrondissement de Douala 5e qui a été scellé.  Ces produits ont présentés jeudi dernier au public de la capitale économique.

 

Depuis quelques mois déjà, plusieurs opérations de la brigade nationale des contrôles et de la répression des fraudes du Mincommerce ont permis  de démanteler plusieurs réseaux des produits frauduleusement mis sur le marché camerounais. Ces produits frauduleux  touchent  plusieurs filières, mais principalement la filière agro-alimentaire. Le 16 juin dernier, la  brigade nationale de contrôle et de répression des fraudes du ministère du Commerce, avait  saisi près de 350 cartons des produits Guinness  et  Heineken, importés dans des conditions douteuses d'un pays voisin, dans une maison située  au quartier Cité Verte à Yaoundé.

 

Marie MGUE

 

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La prise a été effectuée le samedi 13 juillet par des douaniers qui ont également mis la main sur des boissons et des produits cosmétiques.

 

4250 ampoules de Tramadol injectable ont été saisies par les services de la douane camerounaise le samedi 13 juillet à Douala, plus précisément vers le lieu-dit « Deux-Eglises », dans le 1er arrondissement. Selon des informations relayées par Cameroon Tribune, la prise a eu lieu à 4h du matin. La cargaison, contenue dans deux cartons, venait du Nigeria voisin et était entrée au Cameroun par voie terrestre.

 

Le même jour, apprend-on, aux alentours de 10h, une autre saisie a été opérée au lieu-dit Ancien Collège des Travailleurs, non loin du marché Mboppi (toujours dans le 1er arrondissement). Bilan de ce coup de filet : cinq cartons contenant chacun 12 bouteilles de whisky Johnny Walker, « Black Label ». Produits provenait dans ce cas-ci de la Guinée équatoriale, et entrés au Cameroun d’abord par voie maritime, avant que la cargaison n’emprunte la voie terrestre.

 

Les deux saisies, il faut le rappeler, se déroulaient dans le cadre de l’opération dite Halcomi, entendu comme « Halte au commerce illicite », mise sur pied par les autorités camerounaises. D’après d’autres informations fournies par la douane, des prises ont également été effectuées, ce week-end toujours, à Kye-Ossi et à Kribi, dans la région du Sud. Du Tramadol et des centaines de produits cosmétiques de contrebande ont fini dans les filets de la douane.

 

La vente et la consommation du tramadol au Cameroun sont particulièrement actives et évolutives depuis quelques années. Les dégâts de ce médicament, devenu une drogue pour nombre de Camerounais, dont des travailleurs et des jeunes, se sont multipliés de manière inquiétante. Devant les cas de violences et autres abus perpétrés par des mordus du tramadol dans les rues et les établissements scolaires, le gouvernement camerounais a pris des mesures fermes pour y mettre fin. Depuis lors, la commercialisation du tramadol dans les rues est proscrite et hautement inspectée.

 

Selon un rapport mondial sur les drogues de l'office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) publié en 2016, les saisies annuelles de tramadol en Afrique subsaharienne sont passées de 300 kg à plus de 3 tonnes depuis 2013. L'Afrique est ainsi devenue une plaque tournante du trafic de cette drogue.

 

En 2018, le comité national de lutte contre la drogue au Cameroun a rendu publiques des statistiques sur la consommation des produits illicites. Selon ces données, 21% de la population camerounaise a déjà expérimenté une drogue dure, 10% sont des usagers réguliers, dont 60% de jeunes âgés de 20 à 25 ans.

 

Otric N.

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01