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Dans l’optique d’affiner les contours de ce partenariat, le Docteur Manaouda Malachie - ministre de la Santé Publique a pris part ce 8 Décembre au lancement des activités relatives au “Bon Usage des Médicaments”.

 

A quoi renvoie le programme “ Bon Usage des Médicaments” ?

 

Il s’agit d’un projet qui existe depuis des années et grâce auquel Synergies Africaines se déploie afin de susciter plus d'actions chez les jeunes dont l’âge est compris entre 7 et 15 ans, pour une utilisation plus adéquate du médicament. 

 

Les actions menées concourent, comme le renseigne la cellule de Communication du ministère de la Santé Publique à “ renforcer les capacités de la communauté éducative, sensibiliser et mobiliser lesdites communautés et bien d’autres à l'élaboration, de même qu’à  la vulgarisation d'un plan intégré de communication…”.  

 

Le programme, qui bénéficie du partenariat des Entreprises du Médicament (LEEM), s'active chaque année à informer, éduquer et sensibiliser la jeunesse, sur les risques de l'automédication et les dangers des médicaments contrefaits. 

 

Durant la phase des allocutions, Jean Stéphane Mbiatcha - Secrétaire Exécutif de Synergies Africaines, tout en rappelant le contexte sanitaire  actuel a justifié le choix qui est le leur, faisant allusion aux jeunes de la tranche d’âge sus - évoquée: " ils sont partie prenante dans nos communautés, dans nos sociétés et se trouvent le plus souvent être de véritables relais communautaires…". 

 

Présente elle aussi à cette cérémonie protocolaire qui avait pour cadre la salle des conférences de la Croix Rouge Camerounaise,  Nalova Lyonga - ministre des Enseignements Secondaire a indiqué que “L'utilisation du faux médicament est un problème de santé publique. 30% de médicaments fabriqués en Afrique sont contrefaits, d'où l'urgence d'agir surtout en milieu jeune…”. 

 

A la suite de son intervention, la patronne des Enseignements Secondaires a reçu des mains du Secrétaire Exécutif des Synergies Africaines, un coffret contenant une clé USB, un livret de formation ainsi que des affiches du programme. 

 

En rappel, cette édition du  “Bon Usage des Médicaments” envisage de mener des caravanes de santé jusqu’au 17 Décembre prochain, autour de plusieurs établissements scolaires à Yaoundé, mais aussi des formations, à l’intention des encadreurs des établissements publics et privés de la ville, afin de leur permettre de mieux s’approprier ce programme. 

 

Avant la prise de la photo de famille et la visite des stands d’exposition, l’on a relevé que les organisateurs ont donné la possibilité à tous les participants de bénéficier des activités de conseil-dépistage individuels et gratuits des maladies telles que le VIH/SIDA,  L'hépatite B,  le Diabète et l'hypertension artérielle. 

 

Nicole Ricci Minyem

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En cette journée de 1er décembre, la Première Dame Chantal Biya note qu’avec les avancées enregistrées dans la lutte contre le SIDA, il y a lieu de croire que le combat sera gagné.

Nous sommes le 1er décembre 2020. Et le monde entier s’est arrêté pour célébrer la lutte menée contre la pandémie du SIDA. Chantal Biya la Première Dame qu’on sait très engagée dans la lutte contre cette maladie, à travers Synergies Africaines, a écrit un message de soutien à ceux qui sont infectées et affectées par le SIDA.

«Synergies africaines contre le SIDA et les souffrances se joint à la communauté internationale pour commémorer la 33ème Journée Mondiale de Lutte contre le SIDA. L’occasion pour moi de témoigner ma sympathie émue aux millions de personnes infectées et affectées par la pandémie à travers le monde», a écrit Chantal Biya la Première Dame.

Le message de l’Ambassadrice de bonne volonté de l’UNESCO est aussi porteur d’espoir. Un espoir basé sur les avancées observées dans la recherche visant, à éradiquer la pandémie.

«Depuis 18 ans, Synergies Africaines se tient à vos côtés pour combattre le VIH et le SIDA. Même si nous n’avons pas encore gagné contre cette maladie, des progrès extraordinaires ont été accomplis. La sensibilisation s’est accrue, notamment en direction des populations cibles, les jeunes en particulier. Le nombre de décès a considérablement été réduit. Davantage de personnes vivant avec le VIH sont sous traitement. Aujourd’hui une femme enceinte séropositive peut mettre au monde un bébé sain. La recherche développe continuellement des outils préventifs et curatifs de plus en plus efficaces et de moins en moins contraignants. In fine, la qualité de vie des personnes vivant avec le VIH s’améliore. Toutes ces avancées renforcent ma conviction que la fin du SIDA est proche», a écrit Chantal Biya.

La Première Dame au-delà de donner l’espoir, demande de ne pas baisser les bras dans le combat engagé contre le SIDA. Etant persuadé que c’est tous ensemble qu’on pourra venir à bout de la pandémie. Aussi rassure-t-elle sur son engagement à poursuivre la lutte.

«Les défis sont nombreux et aucune contribution n’est de trop. Chacun a quelque chose à faire et doit pouvoir le faire. Mon expérience dans la lutte contre le SIDA m’a enseigné que seule une solidarité globale dans un esprit de responsabilité partagée peut inverser durablement la dynamique de propagation de la maladie. Pour ma part, à vos côtés, je continuerai à tenir mes engagements avec la même détermination et la même passion. Ensemble mobilisons-nous pour mettre fin au SIDA à l’horizon 2030», a écrit Chantal Biya la Première Dame.

Liliane N.

    

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L'Organisation non gouvernementale panafricaine entend poursuivre son combat.

 

C’est le 15 novembre 2002, que Synergies africaines a vu le jour. L'Organisation non gouvernementale (Ong) a été créée par Chantal Biya la Première Dame. Elle a pour membres les Premières Dames du continent africain. Rendu donc à ce jour, Synergies africaines fête ses 17 années d’existence. L'Ong qui lutte contre le Sida et les souffrances entend poursuivre ce combat. Elle a à son actif plusieurs initiatives. L’une des plus connues est Vacance sans Sida.

Avec Vacances sans Sida, Synergies africaines parcourt l’ensemble du territoire. L'Ong déploie sur le terrain des pairs éducateurs issus de différentes régions du pays. Ils conduisent la campagne de sensibilisation. Grâce à ladite campagne, de nombreuses couches de la population sont touchées. Les populations rencontrées reçoivent la possibilité de connaître leur statut sérologique. Pour l’édition Vacance sans Sida de cette année plus de 300.000 tests de dépistage du VIH ont été effectués. Le constat fait est que la prévention a connu un véritable boom de par les méthodes de contraception vulgarisées par les pairs éducateurs : préservatifs masculins et féminins, encouragement à l’abstinence, entre autres.

Approché par le quotidien gouvernemental Cameroon tribune, Jean Stéphane Biatcha, Secrétaire exécutif de Synergies africaines revient sur la dernière édition de Vacances sans Sida. « Nous venons tout juste de terminer l'une des campagnes de «Vacances sans sida». Nous sommes en plein dans le Mois camerounais contre le sida, et notre cible, la jeunesse, est prête à nous recevoir au Lycée Général Leclerc le 20 novembre prochain. Les jeunes savent qu'ils sont les premiers acteurs dans la lutte contre le sida. Ils sont le premier instrument de communication entre eux-mêmes, car ils peuvent se regarder dans les yeux et partager leurs propres expériences. Nous sommes en plein dans le règne des réseaux sociaux, et c'est pourquoi, ces dernières années, nous avons articulé nos campagnes vers ce domaine prisé des jeunes, afin d’améliorer leur sensibilisation », déclare-t-il.

Autres initiatives de Synergies africaines

L'Ong est aussi lancée dans la lutte contre les souffrances. Synergies africains travaillent dans les orphelinats, les associations dévouées à l'éducation de la jeune fille, la protection des enfants, des personnes âgées et vulnérables. Parlant du volet souffrances, Jean Stéphane Biatcha déclare « il se manifeste par une assistance par exemple à l'enfance en détresse et vulnérable. On leur donne par exemple la possibilité d'aller à l’école, de se nourrir convenablement. II y a également le programme du bon usage du médicament, qui relève du volet social, tout comme l’accompagnement des jeunes filles qui ont choisi la filière scientifique auxquelles nous attribuons des bourses scolaires. La lutte contre les souffrances est peut-être moins vulgarisée et moins connue que celle contre le sida, mais elle existe au quotidien. Nous avons des instructions de la première dame qui nous demande de ne lésiner sur aucun effort pour venir en aide à la jeunesse en détresse. Cette assistance est matérielle, financière et existe également en termes de conseils ».

 

Liliane N.

 

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Les dépistages ont été faits gratuitement, grâce à l’apport du Cercle des amis du Cameroun.

 

Le Cercle des amis du Cameroun (Cerac) a décidé d’apporter sa contribution aux Synergies africaines engagées dans la lutte contre le Vih Sida. Le Cerac a de ce fait pris part à une opération de dépistage de cette épidémie, qu’elle a rendue gratuite. Une opération qui s’est déroulée les 29 et 30 août 2019, dans l’arrondissement de Yaoundé 3.  Alors que l’objectif était d’avoir 500 jeunes dépistés, il y a eu au final, plus de 600 personnes ayant fait leur test pour connaître leur statut sérologique.  « Je tire deux leçons. La première, c'est que les jeunes ont massivement répondu à l'appel du CERAC. Cela veut dire qu’ils aiment leur mère, Mme Chantal Biya. En deuxième lieu, je me rends compte que les jeunes se sentent responsables de leur vie et de l'avenir du pays », a déclaré Mme Abanda, le 1er adjoint au Maire.

Il convient de rappeler qu’au début de cette édition de Vacances sans sida, les Synergies africaines, association créée par Chantal Biya la Première Dame a indiqué qu’un accent sera mis sur le dépistage. Dans une interview accordée au quotidien gouvernemental Cameroon tribune, Jean Stéphane Biatcha le Secrétaire exécutif de Synergies africaines contre le sida et les souffrances apportait des précisions sur l’importance de se faire dépister.

« Le dépistage demeure d'actualité. C'est un axe majeur de la lutte contre le sida. Le premier 90 de l'objectif 90-90-90 fixé par la communauté internationale pour 2020 porte là-dessus. 90% des personnes séropositives doivent connaître leur statut sérologique. Cela permet à la personne qui le sait de se protéger. Il se met alors sous traitement et évite par conséquent la propagation du virus. C'est important de connaître son statut sérologique : on ne le dira jamais assez. Le début de la solution dans la lutte contre le sida passe d’abord par la connaissance de son statut. C'est le point de départ. C'est une des priorités de notre combat. Pour se faire, les tests sont disponibles et le dépistage est volontaire et gratuit », avait-il déclaré.

Pour revenir à l’opération de dépistage gratuit ci-haut mentionné, les jeunes qui ont fait leur test, ont reçu des préservatifs, une fois de plus grâce au Cerac. Ils ont également bénéficié d’un exposé portant sur l'importance du dépistage du VIH et sur la maîtrise de son statut sérologique.  Au terme de cette opération de dépistage, Marguerite Mbella Mbella, coordonatrice générale adjointe du Cerac, chargée du volet diplomatique a déclaré «je pense que la première dame sera très contente de ce que le CERAC fait. Nous félicitons tous ces jeunes qui sont prêts à se préserver pour ne pas attraper la maladie ».

L’édition 2019 de Vacances sans sida prendra fin le 11 septembre prochain à Maroua dans la région de l'Extrême-Nord.

 

Liliane N.

 

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L’association créée par la Première Dame Chantal Biya met le dépistage au centre de la campagne « Vacances sans Sida », qui va débuter dans les prochains jours.

 

Synergies africaines comptabilise 17 années de combat contre l’épidémie du siècle, le Sida. Comme chaque année et à chaque période de vacances scolaires, l’association fondée par Chantal Biya organise la campagne baptisée « Vacances sans Sida ». Répondant aux questions du quotidien gouvernemental Cameroon tribune édition parue en kiosque vendredi dernier, Jean Stéphane Biatcha le Secrétaire exécutif de Synergies africaines contre le sida et les souffrances, rappelle l’importance, qu’il y a à connaître son statut sérologique. Le dépistage est une priorité dans le combat de l’association de la Première Dame.

 

« Le dépistage demeure d'actualité. C'est un axe majeur de la lutte contre le sida. Le premier 90 de l'objectif 90-90-90 fixé par la communauté internationale pour 2020 porte là-dessus. 90% des personnes séropositives doivent connaître leur statut sérologique. Cela permet à la personne qui le sait de se protéger. Il se met alors sous traitement et évite par conséquent la propagation du virus. C'est important de connaître son statut sérologique : on ne le dira jamais assez. Le début de la solution dans la lutte contre le sida passe d’abord par la connaissance de son statut. C'est le point de départ. C'est une des priorités de notre combat. Pour se faire, les tests sont disponibles et le dépistage est volontaire et gratuit », déclare le Secrétaire exécutif de Synergies africaines.

Plus de 700 000 jeunes sont visés durant cette 17 ème édition de la campagne « Vacances sans sida». Car au-delà de la mobilisation de 650 pairs éducateurs dans les villes et villages du pays pour encourager le dépistage volontaire et le retrait des résultats, mais aussi pour renseigner les personnes séropositives, les réseaux sociaux seront mis à contribution. Ce moyen  digital très utilisé envisage toucher le plus grand nombre à travers le pays, en un clic.

Synergies africaines mettra donc un point d’honneur sur le dépistage tout au long de la campagne « Vacances sans Sida », qui va débuter dans les prochains jours. En parlant de ladite campagne, il faut noter qu’il s’agit d’une opération créée en 2003. Selon le Secrétaire exécutif de Synergies africaines, elle intéresse principalement les jeunes, les cibles à risque. Pour cette édition 2019, le thème choisi est celui de l’année dernière. « Génération « Android », cliquons sur le dépistage du VIH ».

 

D’après les chiffres du ministère de la santé du Cameroun, le taux de séro prévalence a connu une baisse considérable ses dernières années. On est parti d’un taux de 3,9% en 2016 pour un taux de 3,4% il y a un an. Des chiffres encourageants mais pas suffisants. On compte plus de 400 000 nouvelles infections sur la même période et la majorité des personnes infectées sont des filles. D’où la nécessité d’axer la lutte vers cette couche de la société. Des aspects que prendront en copte la formation en cours. Il est davantage question de communiquer aux jeunes le langage adapté pour transmettre le bon message à leurs congénères. C’est aussi l’occasion pour le Comité National de Lutte contre le Sida de renforcer la communication pour le changement de comportement à travers le développement des approches différenciées selon les tranches d’âges, privilégiant l’acquisition des compétences pour l’adoption des comportements à moindre risque. Cette option est justifiée dans le Plan Stratégique National de Lutte contre le VIH, le Sida et les IST 2018-2022 qui identifient les jeunes et adolescents (filles et garçons) âgés de 15 à 24 ans en contexte de vulnérabilité comme une des cibles prioritaires des interventions.

 

Liliane N.

 

Published in Santé






Sunday, 05 June 2022 11:01