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L’ancienne secrétaire de la fédération départementale MRC du Nde Maître PETNGA Épouse TCHOUMI est désormais la nouvelle présidente régionale du Mouvement Patriotique pour un Cameroun Nouveau (Mpcn) de Paul Éric kingue.

 

Dans la décision numéro 102/PN/MPCN du 07 novembre 2019, l’ancienne secrétaire de la fédération MRC du Nde a été nommée présidente de la fédération régionale du Mouvement Patriotique pour un Cameroun Nouveau (MPCN) dans la région de l’ouest.

Notons que depuis la libération le 05 octobre 2019 du Pr Kamto et Cie par un acte du président de la République, Paul Biya, au lendemain de la tenue du Grand Dialogue National (GDN), le climat est loin d’être serein entre Maurice Kamto, président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) et Paul Éric Kingue, leader du Mouvement Patriotique pour un Cameroun Nouveau (MPCN). La pomme de discorde serait la décision par Maurice Kamto et ses partisans de rejeter les clauses qui liaient ces deux formations politiques.

Dans ses sorties épistolaires sur les plateaux de radios, de télévisions, et sur les réseaux sociaux ces derniers temps, l’ancien maire de Njombe Penja, s’insurgeant contre le manque de la personnalité chez les cadres du MRC, rappelle à tout va, le principe de la coalition. “Si un parti investi les candidats dans une localité, l’autre doit s’abstenir et se contenter de soutenir la liste du parti allié”, indiquait Paul Éric Kingue. À ce titre, le président du MPCN a formulé le vœu de déposer les listes dans tout le Moungo, au regard de son implantation dans ce département. Ce que les cadres du MRC ont rejeté à bloc. Se sentant outré et trahi, Paul Éric Kingue va tourner le dos à cette fameuse alliance pour laquelle il a passé neuf mois en prison, non sans inviter les siens à un déploiement sans précédent sur le terrain. Lui qui fut le directeur de campagne du Pr Maurice Kamto à la présidentielle du 07 octobre 2018.

 

Marcel Ndi 

 

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Quelques jours après sa  libération,  le Président du mouvement patriotique pour un Cameroun nouveau a annoncé que son parti  investira des candidats sur l’ensemble du territoire national  lors  des  prochaines élections municipales et législatives.

 

L’ancien maire de la commune de Njombé-Penja, dans le département du Moungo, région du Littoral, Paul Eric Kingue entre de plein-pied dans les prochaines élections municipales et législatives qui auront lieu au Cameroun en 2020.

Libéré le 5 octobre dernier, après 8  mois de détention à la Prison centrale de Yaoundé, avec Maurice Kamto, le président et certains militants du  Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), Paul Eric Kingue a annoncé sa candidature au poste du maire de Njombé-Penja lors de son retour dans sa municipalité. Une annonce motivée par l’accueil  chaleureux  que lui avaient réservé les habitants de sa commune.    

Dans un communiqué publié ce lundi 28 octobre 2019, le Président du  Mouvement Patriotique pour un Cameroun Nouveau (MPCN), a réitéré la participation de son parti aux prochaines élections législatives et municipales au Cameroun. « Le MPCN investira les candidats sur l'ensemble du territoire national, sous réserve de la rencontre au sommet des alliés Maurice Kamto et Paul Eric Kingue, relative à la mise en œuvre des termes de la circonvention qui lie les deux partis », a déclaré le président du Mpcn.  A cet effet, il appelle ses militants et sympathisants à la retenue, et au silence face aux extrémistes manipulés à la solde des ennemis, et dont l’objectif vise à anéantir le rêve des camerounais.  

On se souvient en effet, que cet homme politique alors fraîchement élu maire, avait été arrêté en 2008 à son domicile et traduit devant le tribunal. L’Etat du Cameroun lui reproche d’être l’un des instigateurs des violentes émeutes qui avaient fait de nombreuses victimes  et d’avoir détourner près de  4,5 millions F Cfa,  destinés à la construction d’une addiction d’eau. Condamné à perpétuité, la Cour Suprême avait annulé le jugement de tribunal de Nkongsamba, l’arrêt rendu par la Cour d’appel du Littoral et ordonné la mise en liberté de Paul-Eric Kingué.

 

Marie MGUE  

 

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Dans un entretien accordé à Canal 2 international, l’allié du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) affirme que le président du parti Maurice Kamto peut vite être un otage. 

 

Paul Eric Kingue, l’ancien maire de Penja a été approché par Canal 2 international. Il a pour la circonstance, parlé du Pr Maurice Kamto, le président MRC, qu’il a connu en prison. Paul Eric Kingue, a souligné qu’en passant plus de temps avec une personne et pour avoir eu à partager la même cellule, il a appris beaucoup de chose sur l’Homme politique. Et parmi les choses apprises figurent en bonne place, les faiblesses de ce dernier. Selon l’ancien maire de Penja, « Maurice Kamto ferait un bon Président de la République. Seulement, il a un tempérament à changer ». Dans cette lancée, il déclare : « le Pr Maurice Kamto peut diriger le Cameroun. J’ai juste un peu simplement quelques craintes. Ces craintes, c’est le fait que par son tempérament, il peut trop vite être phagocyté. Il peut trop vite devenir l’otage. Si le Pr Kamto affirme un peu plus son caractère (…). Il y a encore quelques petites réserves. Sinon il ferait le meilleur président de tous les temps du Cameroun. Si ce côté était résolu ».

Cependant, Paul Eric Kingue fait mentionner que le Président du MRC reste quelqu’un qu’on gagnerait à côtoyer. Pour lui, il a appris beaucoup de Maurice Kamto. Avec fermeté, il déclare d’ailleurs : « quand vous dormez dans une chambre avec quelqu’un pendant neuf mois du matin au soir, vous connaissez ses émotions, vous connaissez ses peurs, vous connaissez tout et vice versa. Le Pr Maurice Kamto a beaucoup de qualités. Il est un personnage que chacun doit côtoyer même pour cinq minutes dans la vie. Maurice Kamto est un fleuve de connaissance. J’ai eu la chance d’apprendre auprès de lui, ce que j’aurai pu apprendre en faculté. Le Pr Maurice Kamto peut diriger le Cameroun ». 

Dans cet entretien avec Canal 2, Paul Eric Kingue précise son envie d’inscrire le partenariat avec le MRC dans la continuité dans le sens des élections municipales et législatives prochaines. 

 

Innocent D H

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C’est la quintessence de la correspondance que l’ancien directeur de campagne du professeur Maurice Kamto a rédigé ce jeudi et, qu’il a adressé à la justice camerounaise.

 

L’homme qui, au cours de la campagne présidentielle d’octobre 2018, n’a pas manqué de proclamer les résultats avant la Cour constitutionnelle, qui est le seul organe habilité à le faire, celui qu’on présente comme président d’un parti politique et, qui a affirmé en modo vision que du temps qu’il était le maire de Djombe Penja, a usé de fraudes pour accorder la victoire au rassemblement démocratique du peuple camerounais, a, du fond de sa cellule de Kondengui, adressé un message à la justice camerounaise :

 

« Mon message à la justice camerounaise

Les beignets haricots m'ont ouvert le couloir de la mort

S’il y a un seul camerounais qui doute de la justice de son pays, c'est moi, Paul Eric Kingue... et vous savez pourquoi ! Voici une autre occasion qui vous est donnée de décrasser votre profession en perte de crédibilité...

Chers magistrats camerounais, vous avez laissé ministres, lobbys mafieux et autres nous juger en vos lieux et place par des ordres illégaux et imposteurs.

À titre d'exemple, tenez ceci : Le 26 janvier 2019, à 10h, je décide de prendre le petit déjeuner à Tchop yamo aux encablures de Tsinga...

J’y retrouve « Engelbert Lebon Datchoua» accompagné de mes camarades du mouvement patriotique pour un Cameroun nouveau (MPCN), parti dont je suis le président national.

Tous les quatre, avons mangé du bh (beignets haricot). Après ce petit-déjeuner, nous avons cheminé ensemble en direction de Bastos... jusqu'à ce que je fasse escale devant Dovv Bastos, pour attendre le web-journaliste Paul Chouta.

« Engelbert Lebon Datchoua » quant à lui, a poursuivi son chemin et a fait escale au Queens, (Vallée Bastos). Quelques minutes plus tard, je suis interpellé alors que je suis assis dans mon véhicule, accompagné de mes deux camarades du MPCN devant le Super marché Dovv Bastos. Au même moment, « Engelbert Lebon Datchoua » est à son tour happé au Queens.

Je comprends alors que, manger le beignet-haricot peut être fatal au Cameroun.

Seulement, là où la justice Camerounaise devient folle, c'est lorsque, nous sommes séparés, l'un, « Engelbert Lebon Datchoua » est poursuivi au Tribunal première Instance (TPI) où il risquait au plus, un an de prison dans le pire des cas. Et moi, je suis traduit au Tribunal militaire, qui, rappelons-le est une juridiction d'exception, où j'encoure la peine de mort.

Voilà deux cas similaires, où tous les deux avons mangé les beignets-haricot, arrêtés le même jour, bien loin du théâtre des manifestations, sont séparés par la même juridiction, pour le même fait.

Résultat des courses, l'un, Paul Eric Kingué dans le couloir de la mort, l'autre « Engelbert Lebon Datchoua », au sillage d'un simple châtiment.

Je me réjouis d'apprendre la libération *d'Engelbert Lebon Datchoua, pour « faits non établis » ....il méritait ça parce qu'en réalité, lui et moi n'avions rien fait de répréhensible ce 26 janvier 2019, si ce n'est avoir mangé les beignets-haricot.

Au risque d'être une justice de beignets-haricot. Libérez-moi comme lui....libérez...libérez !

Mes deux camarades du parti sont libérés à la police judiciaire, au motif qu'ils n'ont commis aucune infraction, alors que nous sommes partis de mon domicile ensemble, avons mangé ensemble, avons cheminé et été interpellés ensemble.

Dans cette affaire, la justice camerounaise, est donc face au dilemme Paul Éric Kingué ...le monde vous regarde pour savoir s'il y a du deux poids deux mesures.

« Engelbert Lebon Datchoua » est un cadre du MRC qui croit au changement radical du Cameroun comme moi. Nos positions politiques ne peuvent cependant pas servir de prétexte pour nous arracher la liberté.

Je suis particulièrement ivre de l'engagement pour le changement radical. J’y laisserai sans doute ma vie mais de grâce, habillez vos grossièretés. Attendez au moins que je pose des actes répréhensibles par la loi avant de me tuer.

Les beignets-haricots ne peuvent nullement vous servir de prétexte pour assouvir votre crime contre ma personne, ce serait lâche...trop lâche même ! Le Cameroun est un héritage commun. Vous ne le laisserez pas confisquer par des parvenus que nul n'a vu venir.

Si « Engelbert Lebon Datchoua » est acquitté qu'attendez-vous pour me libérer ? sauf à vouloir montrer au monde entier que mon seul nom fait peur à ces parvenus dont le seul fait d'arme est de bénéficier du décret du créateur.

Si mon nom ne vous fait pas peur, alors libérez moi comme vous avez libéré Engelbert Lebon Datchoua, car ensemble nous avons été ce jour-là, ensemble nous avons mangé les beignets-haricot, ensemble nous avons cheminé, ensemble nous avons été arrêtés.

Pour terminer, nulle part au monde on ne doit incarcérer le politicien dans l'exercice de sa fonction ....je l'ai dit dans d'autres tribunes, manifester est un droit constitutionnel. 

Vous prenez sur vous de vous mettre la communauté internationale à dos. Bien que n’ayant pas manifesté, je reste solidaire de la lutte pour le changement engagé par notre alliance.

Nous en sortirons vainqueurs et ça ne prendra plus du temps. En attendant, 159 plaintes individuelles sont en route pour l’ONU et croyez-moi, je ne doute pas un seul instant, que mon pays sera condamné 159 fois, inscrivant ainsi son nom dans le livre des records Guinness comme étant le pays au monde le plus poursuivi par ses citoyens. Revenez vite à la raison avant qu'il ne soit tard.

Ma seule expérience de " Ngata man" me commandait d'attirer votre attention sur cette dérive qui coûtera très bientôt à notre trésor public, des milliers de milliards de FCFA du contribuable Camerounais.

Vous n'avez déjà pas encore payé mes 6 milliards, j'ai peur que ces milliers de milliards qui arrivent en courant vous coulent parce que, croyez-moi, aucune négociation ne sera plus possible. J’ai pris par la présente, le peuple Camerounais à témoin en ma qualité du plus gradé des " Ngata men "

 

Paul Éric Kingué depuis le "Hilton" de Kondengui

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Après le verdict du Conseil constitutionnel qui s’est soldé par le rejet du recours du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, les hauts cadres de ce parti politique affirment qu’ils ne lanceront pas d’appel aux troubles.

Même s’ils n’approuvent pas la décision du Conseil constitutionnel dirigé par Clément Atangana, les militants et responsables du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) choisissent la soumission et le calme. Juste après la sentence rendue le 18 octobre dernier, Me Emmanuel Simh, l’un des avocats de Maurice Kamto lors du contentieux a déclaré «on ne peut qu’être déçu, lorsqu’on a perdu un procès de ce niveau. Mais c’est la première fois que le Conseil statue en matière de contentieux électoral présidentiel et je pense que la décision rendue, mais Le juge constitutionnel n’a pas répondu à la question, si l’élection du 7 octobre a été crédible. Ce qui est sûr, on a bousculé nos adversaires, on a bousculé les habitudes, on a bousculé les aprioris pour démontrer que dans ce Cameroun, on pouvait défendre un dossier avec de bons avocats. La décision juridictionnelle a été rendue on s’y soumet naturellement».

Avant Me Emmanuel Simh, c’est Paul Eric Kingue qui a fait une sortie relayée par notre confrère Le Jour dans son édition du 18 octobre 2018. Après la conférence de presse du 8 octobre dernier au cours de laquelle, Maurice Kamto a déclaré avoir tiré le pénalty le jour du vote de l’élection présidentielle, de nombreux messages laissant croire que celui-ci préparait une insurrection fusaient de partout. Cette déclaration avait divisé le corps des avocats. Certains ont trouvé qu’en tenant de tels propos, Kamto s’était non seulement auto proclamé vainqueur de la Présidentielle, qu’il avait par la même occasion enfreint la loi qui prévoit que seul le Conseil constitutionnel est habileté à le faire, et que ces dires n’étaient pas loin de créer des tensions. Eric Kingue ancien maire de Djombe-Penja devenu son Directeur de campagne, a déclaré «le peuple camerounais prendra ses responsabilités parce que c’est lui qui a voté. Nous ne l’appellerons pas dans la rue. On ne va pas faire l’insurrection comme certains disent dans les réseaux sociaux. Cet incident qui s’est passé restera dans l’histoire», a-t-il déclaré dans les colonnes de notre confrère Le Jour.

A titre de rappel, il faut noter que le MRC a introduit un recours pour demander l’annulation du vote dans certaines régions. Le Conseil constitutionnel a jugé cette requête présentée dans ce sens, «non fondée». Au cours du contentieux post-électoral, les avocats de Kamto ont dénoncé aussi la répartition tardive et inégale des sommes prévues pour la campagne électorale (15 millions de Francs CFA), la publication tardive de la liste des bureaux de vote, le refus d’Elecam de retirer les bulletins de vote d’Akere Muna des bureaux de vote après son ralliement avec Maurice Kamto; le votes multiples des militaires dans les régions du Sud-Ouest et Nord-Ouest, l’expulsion des représentants du MRC dans certains bureaux de vote. Le Conseil constitutionnel a trouvé que les griefs n’ont pas été suffisamment justifiés.

Liliane N.

Published in Politique
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Sunday, 05 June 2022 11:01