Le président de l’UDC vient de rendre l’âme. Et la question que plusieurs observateurs se posent est celle de savoir si son parti politique ne va pas s’éteindre avec lui. Singulièrement, quels pourraient être les lendemains politiques dans le département bastion de l’UDC ?
L’homme qui vient de s’éteindre a su illuminer le département du NOUN par sa lumière. Son esprit d’homme libre et indépendant a engendré dans ces localités du Cameroun des hommes et des hommes et des femmes qui ont une pleine conscience des enjeux politiques. L’intellectuel raffiné qu’il a été a su éveiller les consciences et affiner au fil des années la capacité pour les populations de la contrée à prendre leur destin politique en main. Un héritage qu’il faudra consolider et pérenniser. Ce qui n’est pas une mince affaire.
C’est un acquis aujourd’hui dans le NOUN, la culture politique des citoyens du département est en construction. C’est sur la bonne voie. Seulement, les luttes politiques entre l’UDC et le RDPC dans le NOUN étaient la face visible d’autres luttent qui couvaient. Notamment, le conflit de succession entre deux familles qui revendiquent le trône des « NJOYA ».
Mais aussi, une lutte entre ceux qui se disent intellectuel et les traditionalistes, une lutte entre les partisans de la République et ceux qui font complète allégeance au Royaume que dirige la famille Mbouombo NJOYA. Face à ces crises multiples, Adamou Ndam NJOYA incarnait la figure majeure qui s’oppose au ROI et à son système hégémonique RDPC.
C’est lui qui a su mener la résistance. Cette résistance qui a pu apporter un certain équilibre des forces politiques dans la région. Il a porté sur lui et payé le prix des conflits entre la Mairie et la députation UDC et l’administration et la Royauté RDPC. Maintenant qu’il n’est plus, la question qui vient est celle de savoir qui pourra le remplacer ?
Double scrutin : Hermine Patricia Ndam Njoya ne sera plus Député
On a vu lors des dernières élections municipales et législatives, Tomaïno Ndam NJOYA être sur le terrain pour mobiliser les troupes. Elle qui a toujours accompagnée son époux aux différentes responsabilités politiques auxquelles il a souvent été responsabilisé. Mais dans un environnement culturel où la femme n’a pas toujours les premiers rôles, Madame Ndam NJOYA aura d’abord à remporter le combat de son acceptation comme femme leader devant les hommes dans un environnement où son époux est absent.
L’autre visage bien connu de l’UDC c’est bien Cyrille Sam Mbacka. Il existe bien d’autres figures susceptibles de reprendre le flambeau, mais aurait-il le même aura que le De Cujus. De toute évidence, le départ de Ndam NJOYA Adamou aura des conséquences sur la configuration politique dans le département du Noun.
Stéphane NZESSEU
C’est le constat contenu dans un rapport de l’OMS sur le coronavirus. Mais chose curieuse, dans le matraquage médiatique en cours, personne ne veut relayer ce type d’informations certainement parce que ça ne sert pas les intérêts propagandistes de terreur.
C’est l’ombre de ce qui est présenté jusqu’ici par les médias occidentaux. Le mot d’ordre semble d’imprégner la population mondiale d’une grande terreur. Lorsque les médias nationaux et internationaux créent la psychose au sein des populations, ils utilisent les chiffres du nombre des morts. Or au même moment, ils sont des milliers de malades qui guérissent de cette maladie sans même aller dans un centre de santé pour certains.
Effectivement, on guérit du nouveau coronavirus. Le coronavirus se soigne comme on guérit de nombreuses maladies respiratoires infectieuses. Au jour d’aujourd’hui, ils sont plus de 80.573 cas confirmés en Chine. Selon ce bilan on compte déjà près de 3.097 mots. Mais ce que les statisticiens ne donnent jamais comme chiffre, c’est le nombre de ceux qui se sont relevés. Si l’on s’en tient aux chiffres de l’OMS qui font savoir que la létalité de la maladie est de l’ordre de 02% à 03%, on peut se faire une idée. Et se dire que plus de 70 000 malades se sont relevés sain et sauf et ont regagnés leurs domiciles.
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Selon Philippe Brouqui, de l'IHU (Institut hospitalo-universitaire) Méditerranée Infection de Marseille, réagissant sur France Info : « Les guérisons sont même l'immense majorité des cas. Le taux de létalité du nouveau coronavirus est aujourd'hui évalué autour de 2 ou de 2,2%, contre 4% ou 5% au début de l'épidémie. Les moyens de diagnostic progressent, ce qui a pour effet d'augmenter le nombre de cas confirmés. Il est donc probable que le taux de mortalité diminue encore, car on découvre de plus en plus de cas. Le nombre de patients guéris devrait donc rapidement progresser dans les prochaines semaines. ». « La prise en charge est similaire aux autres infections de ce type, avec des traitements symptomatiques pour réhydrater les malades et faire tomber leur température ».
En cas de surinfection bactérienne, ce qui peut arriver avec ce type de maladies à virus, un traitement antibiotique peut également être administré. Il est aussi possible d'apporter aux patients un supplément d'oxygène. L'infection peut être responsable d'une pneumopathie et les cas sévères peuvent nécessiter des soins intensifs, afin de contrôler les fonctions vitales et de permettre au patient de passer le cap de la maladie. Il convient d'ajouter que certains profils sont davantage à risque que d'autres, comme les personnes âgées ou souffrant de maladies comme le diabète, l'hypertension ou des pathologies coronariennes.
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Stéphane NZESSEU
Quelques heures après l’assassinat lâche de deux gendarmes, d’un policier, d’un enseignant et de plusieurs autres civiles dans cette ville du département des Bamboutos – Ouest Cameroun, voici le message délivré par le ministre de la Communication
« Le Gouvernement de la République porte à la connaissance de l’opinion nationale et internationale que la 35ème Edition de la Journée Internationale de la Femme a été célébrée au Cameroun avec ferveur et une remarquable mobilisation de la Nation tout entière, le dimanche 08 Mars 2020, en dépit de l’attentat perpétré à Bamenda, par les rebelles sécessionnistes, non loin de la tribune officielle, et de l’attaque terroriste d’une grande ampleur dont a été victime la ville de Galim, dans le Département des Bamboutos, Région de l’Ouest, dans la nuit du Samedi, 07 Mars 2020, aux environs de 19 heures 30 minutes.
S’agissant tout d’abord de l’attentat de Bamenda, le Gouvernement informe l’opinion, que c’est vers 10 heures, dans le vif des manifestations festives à la place des cérémonies de la ville de Bamenda, que des terroristes sécessionnistes ont actionné un engin explosif improvisé à une centaine de mètres de la tribune officielle. L’explosion télécommandée à distance, a semé l’émoi et la désolation parmi les participants aux festivités du 08 Mars 2020.
Au total, le bilan de cet attentat fait état d’un militaire tué et sept blessés graves, dont cinq (04) militaires, deux (02) Fonctionnaires de la Police et un (01) Civil.
Sur Très Hautes Instructions du Président de la République, Son Excellence Paul Biya, Chef des Forces Armées, tous les blessés ont été évacués par voie aérienne à l’Hôpital Général de Douala et ont immédiatement été pris en charge.
En ce qui concerne l’attaque terroriste de Galim, il convient d’indiquer que les assaillants lourdement armés, évalués à près d’une cinquantaine d’individus relevant des hordes terroristes sécessionnistes, en provenance de la Région du Nord-Ouest, sont entrés à Galim, dans une caravane motorisée qui s’est dirigée à dessein, sur les sites abritant la Brigade Territoriale de Gendarmerie et le Poste de Sécurité Publique de l’Arrondissement de Galim.
Les violentes attaques qui s’en sont suivies contre les éléments de nos Forces de Défense et de Sécurité, lesquels ont promptement riposté, pour repousser les assauts et protéger leurs unités respectives, se sont soldées par des pertes en vie humaine au sein des Forces Camerounaises de Défense et de Sécurité et parmi les populations civiles. Au total, quatre éléments de nos Forces ont été tués, dont deux Gendarmes et deux Fonctionnaires de la Police abattus.
Poursuivant leur abominable besogne, les terroristes sécessionnistes ont également assassinés quatre personnes civiles, dont un compatriote garde-à - vue dans la Chambre de Sûreté de la Brigade de Gendarmerie de Galim et trois concitoyens rencontrés fortuitement par ces individus déshumanisés, après les deux attaques perpétrées dans cette localité.
Le Gouvernement condamne avec fermeté ces actes ignobles, perpétrés par des criminels dont le seul objectif est de semer le chaos pour servir des intérêts égoïstes, et transmet aux familles des victimes militaires et civiles les sincères condoléances du Président de la République, Chef des Forces Armées, ainsi que le réconfort du peuple camerounais tout entier aux blessés.
Par ailleurs, au regard de l’étendue des dégâts causés par les terroristes sécessionnistes, les Forces Nationales de Défense et de Sécurité ont lancé une opération de ratissage de la zone et des dispositions ont été prises pour une sécurisation renforcée de la localité de Galim.
C’est le lieu de souligner que ces attentats particulièrement odieux, surviennent au moment où le Président de la République, est résolument engagé, avec le soutien ardent du peuple camerounais et des partenaires du Cameroun, de bonne volonté, pour la résolution définitive de la crise dans les deux Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, avec notamment, la mise en œuvre active des recommandations du Grand Dialogue National.
En conséquence, le Gouvernement camerounais dénonce le silence des Organisations Non Gouvernementales et autres acteurs de la communauté internationale, face à cette cruauté des bandes terroristes sécessionnistes, dont les commanditaires continuent du reste, de bénéficier du soutien et de la protection de certains partenaires internationaux.
Le Gouvernement de la République appelle les pays amis et partenaires internationaux du Cameroun à réprouver avec une égale détermination ces attaques terroristes dont est victime le peuple camerounais. Il les invite à prendre, dans le cadre de leurs compétences respectives, toutes les mesures de droit contre ces ennemis de la paix qui entretiennent la situation d’insécurité dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, et dont certains résident à l’étranger.
Enfin, le Gouvernement exhorte les Forces Nationales de Défense et de Sécurité à poursuivre leur mission républicaine de protection des institutions et des populations, pour que force demeure toujours à la loi, et leur réitère la très haute confiance du Président de la République, Chef des Forces Armées, ainsi que le soutien de la Nation tout entière ». /-
N.R.M
Des images et vidéos insoutenables suscitant un dégoût indescriptible qu’on n’a pas le courage de regarder jusqu’à la fin circulent sur la toile depuis Mercredi la mettant en ébullition
L’homosexualité est légalisée dans ce pays dont ce n’est pas la seule tare et de plus en plus, le mariage gay se transporte au sein de certaines « églises » et pis encore entre des pasteurs.
Des autorités morales sensées enseigner les lois et préceptes de la Bible qui indiquent clairement que dans la maison de Dieu, seuls les mariages entre hommes et femmes sont acceptés. Et pourtant ! John Maierepi et Paul Mwaura se sont dit oui devant Dieu et devant un parterre d’invités composés essentiellement de leurs partisans et de la communauté LGBT. Après l’officialisation de leur relation, les « heureux » élus ont déclaré comme pour justifier cette aberration que : « L’orientation sexuelle est innée, non choisie et immuable ».
Sur les réseaux sociaux tous les avis sont concordants : il s’agit de crime contre nature
D’autres ajoutent qu’il s’agit d’une déviance et « assurément, la fin du monde est proche »
Au nombre des personnes qui condamnent cette relation contre nature, on compte des Camerounais qui au-delà de vouer aux gémonies « cette paire ou ce couple », on ne sait comment nommer cela ajoutent que ce sont des gens comme ceux là qui sont de connivence avec des assoiffés de pouvoir qui entendent légaliser « cette histoire » dans cette Afrique en miniature
Lexus Afomo : « Vous vous souvenez certainement que même notre Président de la République n’a pas voulu nommer cela lorsque la question lui a été posée. Nous sommes des Bantous et nos us et coutumes ne peuvent jamais admettre ce type de déviance. Par ailleurs, c’est interdit par notre constitution…On ne le dit pas assez mais il est important de relever ceux qui financent la guerre qui sévit dans les régions du Nord et du Sud Ouest veulent en plus de tout le reste imposer l’homosexualité au Cameroun et vous comprendrez d’où viennent certains financement ».
Claire Ndouga « Vous trouverez certainement curieux qu’une femme parle ainsi mais comment a t- on pu convaincre les Africains que la polygamie est une anormalité et l’homosexualité un choix qu’il faut comprendre et défendre. Ce sont ces mêmes malades qui pratiquent l’échangisme. Alors, il est important pour nous Camerounais surtout de barrer la voie à tous ceux qui veulent imposer l’homosexualité chez nous. Ils financent les terroristes, de prétendues ONG font des rapports erronés sur notre pays juste pour imposer toute l’abjection qui les caractérise. Moi en tant que femme, je préfère être la deuxième voire la troisième épouse d’un monsieur, que d’aller vers une autre femme de manière intime… ».
Nicole Ricci Minyem
Ce processus est appelé « dégagement gazeux », selon les résultats d’une étude scientifique de l’Université de Yale, publiée dans la revue Science Advances
Ils peuvent infiltrer les pièces bien ventilées en se déposant sur les vêtements, la peau et les cheveux des individus puis ils s’évaporent lentement dans le temps.
Les résidus de fumée, nommés « fumée tertiaire », peuvent occasionner du « tabagisme ultra-passif ». En plaçant un dispositif de prélèvement high – tech dans les conduits d’évacuation d’air d’un cinéma en Allemagne où il est interdit de fumer depuis quinze ans, les scientifiques ont établi que la « fumée tertiaire » exposait les spectateurs à un « tabagisme ultra-passif » équivalent à entre une et 10 cigarettes, selon les substances. Sur quatre jours, les niveaux de 35 produits chimiques liés au tabac ont augmenté lorsque des spectateurs entraient dans le cinéma. Cela inclut des composés chimiques pouvant provoquer le cancer, comme le benzène et le formaldéhyde.
Des effets intenses
Les effets étaient particulièrement intenses lors de la projection de films pour adultes, comme « Resident Evil ». Selon les auteurs de l’étude, cela pourrait être lié au fait que ces films attirent un public plus âgé, ayant plus de chances d’avoir été exposé à de la fumée de tabac.
« Nos travaux établissent qu’il y a un dépôt substantiel de composants de 'fumée tertiaire' par des personnes au sein d’un vrai environnement intérieur non-fumeur », a déclaré Drew Gentner. Il a reconnu que déterminer le niveau précis de risques sanitaires pour les individus était au-delà du champ de l’étude actuelle et pouvait dépendre d’une variété de facteurs, notamment la fréquence de l’exposition aux produits chimiques et la proximité des personnes de la source d’émission de ces polluants.
Le tabagisme passif classique, lié à la fumée dite « secondaire », a été étudié depuis des décennies. Il augmente les risques de problèmes cardiaques et de cancer des poumons, bien que le niveau de risques exact ait été contesté par des études récentes.
Le tabac
Il s’agit d’un produit psychotrope manufacturé élaboré à partir de feuilles séchées de plantes de tabac commun. L'usage du tabac s'est largement répandu dans le monde entier à la suite de la découverte de l'Amérique. Sa commercialisation est souvent un monopole d'État et soumise à des taxes qui varient fortement selon les pays.
Le tabac génère une forte dépendance et sa consommation est responsable de près de 6 millions de décès par an dans le monde dont 600 000 sont des non-fumeurs exposés à la fumée (tabagisme passif). De nombreuses maladies sont liées au tabagisme (maladies cardiovasculaires et cancers, entre autres).
N.R.M
Une odeur pestilentielle, puis plus rien. Ces dernières semaines une nouvelle technique pour commettre des violences s’est diffusée dans tout le pays : le gazage à l’aide d’un mystérieux gaz asphyxiant.
Selon 20 Minutes Monde, plus de 650 incidents ont été recensés, si bien que l’ambassade des Etats - Unis a formellement mis en garde des concitoyens. A Lusaka, capitale zambienne, une jeune femme se trouve devant sa télévision lorsque soudain, une odeur âcre et puissante l’a prise à la gorge. « Elle a juste eu le temps de voir quatre hommes s’enfuir », raconte son frère sous couvert d’anonymat. « L’odeur était si forte qu’elle s’est évanouie. Ils avaient diffusé un produit chimique par le trou de la serrure… » Surpris par le sursaut de leur victime, les malfaiteurs ont détalé sans demander leur reste.
Des lynchages pour punir ces attaques
Incommodée, la jeune femme a été conduite à la clinique la plus proche. « Là-bas, il y avait au moins 40 personnes », se souvient son aîné, « toutes se plaignaient d’avoir été gazées ». Cette nuit-là, le township de Chawama a rejoint la longue liste des cibles de gangs criminels qui, depuis plusieurs semaines, sèment la zizanie dans toute la Zambie en attaquant leurs cibles à grands jets de gaz asphyxiant.
Ces violences ont suscité de vives réactions de la part des populations qui, dans de nombreux cas, se sont fait justice en lynchant leurs agresseurs présumés. Selon le dernier bilan diffusé par la police cette semaine, les attaques au gaz et, surtout, les représailles qu’elles ont suscitées se sont soldées par au moins 50 morts. Au total, les forces de l’ordre ont recensé dans le pays plus de 650 incidents directement liés aux « gazages ».
Des « ennemis » bientôt « écrasés et enterrés »
Les premiers cas ont été rapportés en décembre dans le nord du pays, en plein cœur de la fameuse « Copperbelt », siège des principales mines de cuivre du pays. A l’époque, plusieurs personnes ont été aspergées d’un gaz asphyxiant et au moins une d’entre elles assassinée dans la foulée puis vidée de son sang. Témoins et policiers évoquent alors la piste de meurtres rituels. La technique du « gazage » a fait tache d’huile dans toute la Zambie, reprise par des braqueurs plus « classiques » qui asphyxient leurs victimes avant de les détrousser.
Cette vague criminelle inédite a suscité des ripostes débridées et violentes. Comme le mois dernier à Zingalume, un township de la capitale, où une foule d’hommes en colère a battu à mort un « gazeur » présumé. Pour calmer les esprits, le président Edgar Lungu a ordonné le mois dernier le déploiement de l’armée dans Lusaka. Vendredi encore, il a profité d’un discours devant le Parlement pour dénoncer et mettre en garde les auteurs de « gazages », qualifiés « d’ennemis du peuple ». « Bientôt, ils seront écrasés et enterrés », a-t-il promis.
Le poison de la peur
« Le gouvernement sait que des chefs traditionnels, religieux ou de la société civile ont ordonné, directement ou indirectement, ces attaques », a pointé du doigt le président, sans livrer plus de détails. En l’absence de certitudes, le gouvernement agite aussi la piste politique. Le mois dernier, la vice-présidente Inonge Wina a évoqué des « crimes terroristes » visant à « déstabiliser le gouvernement, troubler l’ordre public et faire peur à la population ».
Ces dernières semaines, la police a déféré devant les tribunaux une vingtaine de « gazeurs » présumés. Leur identité n’a pas été révélée et leurs motivations restent pour l’heure très… fumeuses. « Nous avons fait d’importants progrès », s’est contenté d’indiquer le chef de la police, Kakoma Kanganja.
En attendant, le poison de la peur des attaques continue à flotter dans tout le pays. L’ambassade des Etats-Unis a formellement mis en garde ses citoyens contre les « gazages » et la police zambienne recommande aux églises évangéliques de renoncer à leurs veillées nocturnes. Quant aux écoles privées du pays, elles n’hésitent plus à fermer leurs classes à la moindre rumeur.
N.R.M
La célébration de la 35ème édition de la Journée internationale de la Femme s’approche à grand pas. Dans la région du Nord où certaines femmes font encore face à plusieurs formes de violences, les efforts des pouvoirs publics notamment du ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille (Minproff) sont notés à divers niveaux.
Selon les statistiques communiquées par la délégation régionale de Promotion de la Femme et de la Famille du Nord, plus de 1.000 cas de violences ont été enregistrés dans la région en 2019. « La femme du Nord fait face aux violences psychologiques, culturelles, morales, physiques, des divorces abusifs, des problèmes liés à l’héritage. Beaucoup de nos femmes continuent d’être expulsées de leur domicile conjugal après le décès de leur époux ou alors n’ont droit à aucun bien que le mari a laissé. Ce sont des femmes qui cultivent à des parcelles qu’elles louent ou alors appartenant à des hommes. La femme est toujours obligée de tendre la main à un homme », décrie madame Abdoulaye Amoa née Aouda, délégué régional.
Les pouvoirs publics et ses partenaires
Dans cette région où certaines pratiques socio-culturelles néfastes continuent à porter atteinte à l’intégrité de la Femme, la riposte du Minproff avec l’appui de ses partenaires est proportionnelle aux violences perpétrées. Outre les aides et secours apportés quotidiennement aux femmes vulnérables dont les veuves qui ont bénéficié de 100 projets et micro-projets l’année dernière, 06 centres de promotion de la femme et de la famille auxquels se greffent deux centres privés dans le Nord sont opérationnels sous l’encadrement du Minproff. Objectif tordre le cou aux violences économiques dont sont victimes les femmes dans le Nord. « Les offres de formation dans ces centres sont variées en TIC, des formations liées aux textiles de l’habillement, à la restauration, à la puériculture, à l’agriculture et à l’élevage, ainsi que des formations à la carte », ajoute le délégué régional du Minproff pour le Nord.
Il s’agit ainsi d’un préalable pour assurer l’autonomisation de la femme dans cette région et restaurer par la même occasion sa dignité dans toutes les circonstances.
Innocent D H
Au sujet de la crise socio-politique qui sévit dans la zone anglophone du Cameroun depuis trois ans déjà, les Etats Unis dévoilent enfin leur position. Dans un entretien accordé aux journalistes le 04 mars dernier, Tibor Peter Nagy, le monsieur Afrique de l’administration américaine a confirmé que Washington se dit favorable à un transfert de pouvoir à l’administration locale, mais opposé à toute idée de création d’un nouvel état, et donc de sécession.
« Nous soutenons un Cameroun unifié (…). La dernière chose dont l’Afrique a besoin, c’est d’un nouvel état qui générera pauvreté et misère », a déclaré Tibor Peter Nagy, lui qui ajoute par ailleurs que son pays est prêt à accompagner le pays de Paul Biya dans le processus de transfert de pouvoir aux collectivités décentralisées.
Un constat se dégage de cette sortie du diplomate américain en charge des affaires africaines, c’est que subitement, il s’inscrit déjà en faveur de l’accompagnement du Gouvernement camerounais dans la résolution de la crise socio-politique dans le NoSo au Cameroun. Pour preuve, Tibor Peter Nagy dans plusieurs de ses prises de position au nom des Etats-Unis a toujours haussé le ton invitant le régime de Yaoundé à un véritable dialogue. En juillet dernier, faisant fi des atouts de la tenue du Grand dialogue national au Cameroun, il appelait à un « vrai dialogue » et à un « transfert de pouvoir » vers les régions anglophones du Cameroun. Il estimait que la réponse militaire privilégiée par le Gouvernement ne faisait que renforcer les séparatistes.
Peu avant en Avril, Nagy réitérait sa préoccupation pour « la guerre civile qui se déroule dans les faits dans les faits » dans les parties occidentales du Cameroun, « où, fondamentalement, les anglophones se battent pour leurs droits (…) et où, malheureusement, le Gouvernement n’a pas répondu d’une manière qui apaise les peurs des Camerounais », relevait le secrétaire d’Etat américain aux affaires africaines.
Innocent D H
Selon le journaliste sportif Phillipe Boney, Jean-Paul Akono souffre d’une infection pulmonaire.
Selon nos sources, l’état de santé de Jean-Paul Akono est préoccupant. L’ancien sélectionneur des Lions indomptables est actuellement interné au Centre hospitalier universitaire (Chu) de Yaoundé. Il y est depuis déjà deux mois. Il souffrirait d’une infection pulmonaire. Et celle-ci n’est pas la première.
La toute première infection pulmonaire a été précédée par la malaria. Boney Philipe, journaliste sportif révèle que ce sont les médecins qui lui ont diagnostiqué la maladie sus mentionnée. Recevant le soutien de ses proches et étant pris en charge par ceux-ci, la situation est telle que l’ancien sélectionneur des Lions indomptables, a besoin d’un soutien. Et il appelle à l’aide.
A titre de rappel, Jean Paul Akono a déjà été gravement malade. En 2014, tombé dans le coma, il a bénéficié des facilités pour son évacuation ordonnées par la Présidence de la République. En 2013, il avait été soutenu par Samuel Eto’o grâce à qui il a été évacué pour la France. Il avait alors déclaré «j’y vais pour achever ma guérison». L’ancien sélectionneur des Lions indomptables et de l’équipe du Tchad est revenu, indiquant qu’il était totalement sorti d’affaire.
Le Ministre des Sports Mouelle kombi s’est rendu au chevet de Jean-Paul Akono malade
« Moins de quatre mois après son retour de France, il a rechuté et ne s’est plus remis jusqu’à présent. Quand il est revenu, il a encore engagé une bataille contre le Ministre des sports pour exiger le paiement de ce qu’il considérait comme arriéré de salaire. Une bataille qui l’a encore plongé dans la nervosité. C’est maintenant que la Présidence a ordonné que son dû lui soit reversé totalement », affirmait une source d’Actu cameroun.
Liliane N.
C’est l’une des mesures arrêtées hier 5 mars 2020 au Conseil de cabinet, qui a eu lieu à Yaoundé.
La question de la lutte contre les violences en milieu scolaires a été longuement débattue au Conseil de cabinet. Ayant chacun dressé un état des lieux des secteurs dont ils ont la charge, les Ministres des Enseignements secondaires, de l’Education de base et de l’Enseignement supérieur ont convenu avec les autres membres du gouvernement, de la nécessité d’une coalition des efforts pour faire face et éliminer ce phénomène qui bat son plein depuis un temps au Cameroun.
Joseph Dion Ngute a recommandé la fouille systématique des élèves et des cartables en leur possession, l’installation des vidéo de surveillance dans les établissements scolaires. Il a demandé aux Ministres suscités de veiller à la sécurisation physique des établissements scolaires et universitaires.
Par ailleurs, le chef du gouvernement à en outre demandé à Laurent Esso le Ministre de la Justice d'élaborer un guide pratique sur la qualification pénale assignable à chaque type de violence possible en milieu scolaire. Il a également prescrit aux Ministres en charge du secteur éducatif et de la promotion de la famille, d'organiser des campagnes de sensibilisation des associations des parents d'élèves sur la nécessité d'accompagner les efforts des pouvoirs publics en matière de lutte contre toutes les formes de violence en milieu scolaire.
Le Pr Etoundi Ngoa du Ministère de l’Education de base a indiqué que son département ministériel comme les autres s’attèlent à lutter contre ce phénomène. Il a indiqué qu’une semaine ne se passe pas sans que son département ne reçoive une seule plainte ou alors des dénonciations, qui nécessitent une investigation avant la prise d’une décision.
Le Pr Jacques Fame Ndongo Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement supérieur a indiqué qu’en dehors des Universités de Bamenda et de Buea qui subissent la crise anglophone, le niveau de violences dans les autres demeure marginal. Il a toutefois demandé que l'accent doit être mis sur la sensibilisation, l'éducation, ainsi que sur les valeurs morales, éducatives, culturelles et comportementales.
Nalova Lyonga le Ministre des Enseignements secondaires a indiqué qu’il faut à tout prix sécuriser les établissements en se servant de ce que la technologie peut offrir.
Liliane N.
La deuxième personne souffrant du Coronavirus au Cameroun a été contaminée par le français déclaré malade.
Déjà deux personnes contaminées au Coronavirus sur le sol camerounais. Alors que les camerounais n’ont pas encore fini de digérer la nouvelle du premier cas de contamination au coronavirus, voilà que le Dr Malachie Manaouda le Ministre de la Santé (Minsante) annonce qu’une autre personne est porteuse du virus de la maladie qui bat son plein dans le monde entier.
D’après le communiqué que le Minsante a rendu public, le deuxième porteur du coronavirus est une camerounaise. Elle a été en contact avec le français qui est entré avec la maladie au Cameroun. Le Dr Malachie Manaouda indique que les deux porteurs du Covid-19 reçoivent actuellement des soins appropriés.
“Les deux cas sont isolés à l’hôpital central de Yaoundé et reçoivent un traitement asymptomatique approprié. Les commodités de base sont assurées dans le strict respect des exigences éthiques et de sécurité sanitaire. Le traçage et la recherche des sujets contacts particulièrement à risque est effective”, peut-on lire dans le document du Minsante.
Aussi Malachie Manaouda rappelle aux populations la nécessité de respecter les règles d’hygiène. Ces règles étant entre autres, se laver les mains avec de l’eau propre et du savon. Le Minsante demande aussi à toute personne ayant été en contact avec le français et la camerounaise contaminés d’appeler le numéro 1510.
“Aussi toute personne ayant effectué un voyage hors du Cameroun ou ayant été en contact avec un voyageur en provenance des pays concernés par le Covid-19, est invité à composer immédiatement le 1510 afin d’être pris en charge”, ajoute le Ministre.
Le Dr Malachie Manaouda affirme que la situation reste sous contrôle.
Liliane N.
La nouvelle est tombée comme un couperet ce matin. Le président de l'Union Démocratique du Cameroun, parti d'opposition créé en 1991 a rendu l’âme aux premières heures de ce Samedi 07 Mars 2020
Au mois de Février, certaines sources familiales indiquaient que l’homme politique avait été évacué en Afrique du Sud pour raison de santé. Âgé de 78 ans, celui qui a longtemps occupé le poste de Maire de Foumban a longtemps apparu à ses camarades comme la première option de l’UDC.
Et alors que la campagne pour le double scrutin du 09 Février battait son plein, le premier maire démocratiquement élu dans le Noun n’a été vu nulle part mais, certains ont cru que ce n’était pas « bien grave puisque bien que candidat lors de l’élection présidentielle d’Octobre 2018 ».
Un facilitateur selon Cyrille Sam Mbaka et, une tête de proue dans le cadre des crises multiples qui touchent aussi bien le Cameroun que d’autres pays : « Adamou Ndam Njoya n’a pas seulement été un président de parti politique. C’était un facilitateur dans les crises, dans les guerres. Il l’a fait dans les Balkans, il l’a fait en Afrique du Sud, il l’a fait partout. C’était donc tout à fait normal que la situation que traverse le Cameroun, notamment la crise dans les régions du Nord Ouest et du Sud Ouest l’interpelle particulièrement… ».
Un concurrent coriace dans son département d’origine
Sous l’égide du premier Président de la République, il a occupé de nombreux postes importants, au sein du gouvernement et, les compagnons de route de son cousin, le roi Bamoun Ibrahim Mbombo Nyoya ont toujours affirmé qu’il n’a jamais été en mesure d’inquiéter le Président Paul Biya lors de ses trois participations à l’élection présidentielle.
Et pourtant, ses militants, selon certains confrères dans l’hommage qui lui est rendu lui attribue ces propos du Roi Christophe, comme un legs à ceux qui ont été ses compagnons de route au cours de ces dernières décennies : « Le peuple Bamoun a refusé d’être « Cette foule qui ne sait pas faire foule », dont le père de la négritude décriait dans son ouvrage. Nonobstant les conditions très défavorables qui étaient les leurs lors du double scrutin dernier, les militants de l’UDC, sans « pains ni sardines », se sont battus bec et ongle pour que leur parti maintienne le flambeau dans le département du Noun. L’impressionnante machine de fraude et de manipulation mis en place par le RDPC, n’a pas eu d’échos favorables là-bas, en dépit de l’obstination des uns et des autres. Faut-il le rappeler, la bataille électorale dans le Noun a laissé trois morts sur le carreau. C’est tout dire » !
Une tête bien faite et pleine
Le Curriculum Vitae d’Adamou Ndam Njoya, né le 08 Mai 1942 et présenté par UNESDOC fait plusieurs pages.
Quelques morceaux choisis
Carrière professionnelle, fonctions occupées, périodes, titres officiels au niveau national :
- Haut fonctionnaire au Ministère des affaires étrangères - Professeur à la Faculté de droit de l'Université du Cameroun (devenue Université de Yaoundé)
- Directeur du programme de formation diplomatique et consulaire de la dotation Carnegie pour la paix internationale (1970) - Directeur-fondateur de l'Institut des relations internationales du Cameroun (IRIC) (1972-1975)
- Membre du Conseil économique et social du Cameroun en 1971* - Vice-ministre des affaires étrangères en juillet 1975 - Ministre de l'éducation nationale (7 décembre 1977 - 17 juillet 198O)
- Ministre délégué à la présidence chargé de l'inspection générale de l'Etat et de la réforme administrative, 17 juillet 198O - 7 janvier I982 Comme membre du gouvernement, souvent appelé aux fonctions de : - Ministre par intérim des affaires étrangères - Ministre par intérim de l'économie et du Plan - Ministre par intérim de la jeunesse et des sports…
Au niveau international
- L'un des dix présidents du WCRP/International (World Conference on Religion and Peace)
- Membre du Conseil exécutif de l'Association culturelle internationale : "Islam et Occident", Secrétariat général Genève ; 5j rue des Grandes - PO Box 366 CH 1211 Genève 3
- Président de la Commission pour l'Afrique du Congrès islamique mondial (Secrétariat général Karachi) - Initiateur (création en cours) du CEMRANE (Centre mondial de recherche et d'action pour la nouvelle éthique)
- Membre sociétaire de l'Association des écrivains de langue française "Mer et outre-mer", 38, rue du Fg St Jacques, 7501U Paris…
Essais/idées -politiques
- Manifeste de la nouvelle éthique (Editions NDAM et Raynier Africavenir, Yaoundé)
- Le; meilleur de soi-même ou la voie pour la rencontre des cultures (Editions NDAM et Raynier (Africavenir), Yaoundé)
- Las mécanismes de la Tontine-(en cours d'impression) surelle éthique de l'éducation et de l'éducateur (Revues Cameroon Education jday et Contact-Education, Ministère de l'éducation nationale, Yaoundé)
- Nouvelle éthique (Ouvrage fondamental en cours à la suite des expériences gouvernementales, etc.) I 2. {Travaux sur l'identité culturelle (voir Revue culturelle Cameroun littéraire) en cours de publication…
Littérature
Poésie
- Les Amos (recueil de poèmes), Editions NDAM et Raynier, Yaoundé
–Mandu Yenu (français et traduit en allemand (Trickster Verlag I985» Schmied…
Nouvelles - Recueils
- Le flambeau - Le sabre de bois et le sabre de fer
- La mort du zébu.
Contes et récits Recueils en cours Romans
- Les amants de la Tontine
- Adieu les vacances
- Le roi Njoya, Editions ABC, Paris, Collection Les grandes figures africaines
- La reine mère Ne Njapdounke …
Nicole Ricci Minyem
Posté par Hamiss Omar Khan, Président de l'OCDH.
Région de l’Adamaoua
Région du Centre
ETONG HILARION (HAUTE SANAGA) – RDPC
ABOMO FAMA MARGUERITE CELESTINE (HAUTE SANAGA) – RDPC
NDONGO ESSOMBA JEAN BERNARD (LEKIE EST) – RDPC
NDONGO ETEME EDGARD (LEKIE EST) – RDPC
NGABA ZOGO SALOME (LEKIE EST) – RDPC
KOA SONGO (LEKIE OUEST) – RDPC
TASSI EVELYNE CHANTAL DENISE EPSE AYISSI (LEKIE OUEST) – RDPC
SAYA KAIGAMA (MBAM ET KIM) – RDPC
NNOLO MARIE SUZANNE EPSE ONOBIONO (MBAM ET INOUBOU) – RDPC
MANDIO WILLIAM PETER (MBAM ET INOUBOU) – RDPC
MPON FRANCOIS XAVIER (MBAM ET INOUBOU) – RDPC
MELINGUI ROGER (MEFOU ET AFAMBA) – RDPC
KOA MFEGUE LAURENTINE EPSE MBEDE (MEFOU ET AFAMBA) – RDPC
ESSOMBA BENGONO ENGELBERT ALAIN (MEFOU ET AKONO) – RDPC
EMAH ETOUNDI VINCENT DE PAUL (MFOUNDI) – RDPC
DJOMGOUE PAUL ERIC (MFOUNDI) – RDPC
ESSONO FRANCIS LIN MATHIEU (MFOUNDI) – RDPC
ESSAMA NKOUDOU CHRISTOPHER (MFOUNDI) - RDPC
NANGA EPSE MENANA MARTHE (MFOUNDI) – RDPC
NDZIE FRANK ERIC (MFOUNDI) – RDPC
YEBGA JUDITH SAMA EPSE MOUOKUIO (MFOUNDI) – RDPC
LIBII LI NGUE NGUE CABRAL (NYONG ET KELLE) – PCRN
NGO ISSI ROLANDE ADELE (NYONG ET KELLE) – PCRN
NDJIP BIENVENU (NYONG ET KELLE) – PCRN
NKODO DANG ROGER (NYONG ET MFOUMOU) – RDPC
MBALLA NGOBO EPSE NFOUDA CATHERINE (NYONG ET MFOUMOU) – RDPC
MEKONGO HELENE EPSE ATANGANA (NYONG ET SO’O) – RDPC
MBARGA ASSEMBE LUC ROGER (NYONG ET SO’O) – RDPC
Région de l’Est
PRINCE MIKODY ANGE GILBERT (BOUMBA ET NGOKO) – RDPC
DJABOU MARIE SOLANGE (BOUMBA ET NGOKO) – RDPC
NANGA MEFANT BERTHE EPSE OWONO (HAUT – NYONG) – RDPC
MBEDE PIERRE PETRUS (HAUT – NYONG) – RDPC
AGBWAH NTIBA ERIC (HAUT – NYONG) – RDPC
MAN JACQUELINE CHRISTIANE EPSE SIMBE (KADEY) – RDPC
DIMBELE BOUI (KADEY) – RDPC
TEKOURA PAUL BLAISE (KADEY) – RDPC
KOMBO GBERI (LOM ET DJEREM) – RDPC
TAK BIENVENU (LOM ET DJEREM) – RDPC
NGBANGBAYE ANTOINETTE EPSE NARKE (LOM ET DJEREM) – RDPC
Région de l’Extrême Nord
SALAMANA AMADOU ALI II (DIAMARE CENTRE) – FSNC
DAMDAM MARIE (DIAMARE CENTRE) – RDPC
HAMADOU SALI (DIAMARE NORD) – RDPC
ZONDOL HERSSESSE (DIAMARE OUEST) – RDPC
SAMBO GALDIMA (DIAMARE SUD) – RDPC
MANAMOUROU EPSE SILIKAM (MAYO DANAY EST) – RDPC
NIKINA PIERRE (MAYO DANAY EST) – RDPC
MOUSSOUS LISSISSOU (MAYO DANAY EST) – RDPC
BARA JULIEN (MAYO DANAY NORD) – RDPC
TABOULI CELESTIN (MAYO DANAY SUD) – RDPC
HAMAN TCHIOUTO (MAYO KANI NORD) – RDPC
MAGOUO SALOME (MAYO KANI NORD) – RDPC
SARAOU BERNADETTE (MAYO KANI NORD) – RDPC
GUISWE BADOMA (MAYO KANI SUD) – MDR
DAGUE AÏCHA BLANCHE JACQUELINE (MAYO KANI SUD) – MDR
CAVAYE YEGUIE DJIBRIL (MAYO SAVA) – RDPC
ADAMA EPSE DJIBRINE (MAYO SAVA) – RDPC
YACOUBA YAYA (MAYO SAVA) – RDPC
SALOMON DOUVOGO (MAYO SAVA) – RDPC
GONONDO JEAN (MAYO TSANAGA NORD) – RDPC
KWARMBA SOLANGE (MAYO TSANAGA NORD) – RDPC
TCHENDE MAHAMA (MAYO TSANAGA NORD) – RDPC
OUSMANOU DAWAÏ (MAYO TSANAGA NORD) – RDPC
DJIBRILLA KAOU (MAYO TSANAGA SUD) – RDPC
MOUMINI OUMAROU (MAYO TSANAGA EST) – UNDP
KAMSOULOUM ABBA KABIR (LOGONE ET CHARI) – RDPC
MARGAZA ALAOU ABEL MAGGI (LOGONE ET CHARI) – RDPC
MARIAM GONI (LOGONE ET CHARI) – RDPC
ALI ADJIT (LOGONE ET CHARI) – RDPC
Région du Littoral
MBAPTE JEAN-BAPTISTE (MOUNGO-SUD) –RDPC
DISSAKE MARGUERITE EPSE EKOKA (MOUNGO-SUD) – RDPC
DJEUMENI BENILDE (MOUNGO-SUD) – SDF
SIME PIERRE (MOUNGO-NORD) – RDPC
EYOUM MINONO EPSE EPOUBE LYDIENNE (MOUNGO-NORD) – RDPC
NGANTCHA LOUIS HENRI (MOUNGO-NORD) –RDPC
MOTH SAMUEL DIEUDONNE (NKAM) – RDPC
BIBA FRANCOIS PROSTIN (SANAGA MARITIME) – PCRN
MOUTYMBOH ROSETTE JULIENNE EP, AYAYI (SANAGA MARITIME) – RDPC
NGO YETNA MARINETTE EPSE MBELEG (SANAGA MARITIME) – RDPC
DOOH COLLINS ALBERT (WOURI CENTRE) – RDPC
SOPPO TOUTE MARLYSE (WOURI CENTRE) – RDPC
JOSHUA NAMBANGUI OSIH (WOURI CENTRE) – SDF
NGAHANE (WOURI EST) –RDPC
NDONGO MOUTOME ELISE EPSE POKOSSY DOUMBE (WOURI EST) – RDPC
NINTCHEU JEAN MICHEL (WOURI EST) – SDF
NOURANE MOLUH HASSANA (WOURI EST) – PCRN
FANDJA GABRIEL (WOURI OUEST) – RDPC
PONGOH EMMANUEL (WOURI SUD) – RDPC
Région du Nord
ALIYOUM FADIL (BENOUE – EST) – RDPC
OUSMANOU AMAN SA' ALY (BENOUE – EST) – FSNC
ALI MAMOUDOU (BENOUE – OUEST) – RDPC
OUMOUL KOULTCHOUMI EPSE AHIDJO MOHAMADOU (BENOUE – OUEST) – UNDP
BITHBINI ROSALINE (FARO) – RDPC)
HAROUNA ABDOULAYE (MAYO – LOUTI) – RDPC
NAFISSATOU ALIM (MAYO – LOUTI) – RDPC
BOUBAKARI DJIDDA (MAYO – LOUTI) – FSNC
DOUVAOUISSA AISSA HAMADI (MAYO – LOUTI) – UNDP
FADIMATOU SAMBO (MAYO – REY) – RDPC
BELLO LIMANE (MAYO – REY) – RDPC
BOUBA MOUSSA (MAYO – REY) – RDPC
Région du Nord-Ouest
NJONG EVARISTUS NDIM (BOYO) – SDF
WAINANCHI NENGTOH HONOURINE (BOYO) – SDF
ADAMU EDWARD LAMBE (DONGA – MANTUNG EST) – RDPC
NGALA GERARD NDOMBANG (DONGA-MANTUNG CENTRE) – RDPC
MBONGYOR NAOMI NGANDO (DONGA-MANTUNG CENTRE) – RDPC
ABE MKHEAL NDRA (DONGA-MANTUNG OUEST) – RDPC
NJINGUM MUSA MBUTOH (NGOKETUNJIA-NORD) – RDPC
BANMI EMMANUEL DINGHA (NGOKETUNJIA-SUD) – RDPC
Région de l’Ouest
118 - MANFOUO DAVID (BAMBOUTOS) – RDPC
119 - WA MATHURIN MARTIAL (BAMBOUTOS) – RDPC
120 - GHIMBOP JOSEPHINE (BAMBOUTOS) – RDPC
121 - TANEFO JEAN MARIE (BAMBOUTOS) – RDPC
122 - JUIMO MONTHE SIEWE CLAUDE (HAUT NKAM) – RDPC
123 - KWEMO PIERRE (HAUT NKAM) – UMS
124 - NGUENKAM EPSE TCHOUAGA MARIE-LOUISE (HAUT NKAM) – UMS
125 - DATOUO THEODORE (HAUTS PLATEAUX) – RDPC
126 - NGOKO MAMBE MARIE LOUISE (HAUTS PLATEAUX) – RDPC
127 - KOUINCHE ALBERT (KOUNG-KHI) –RDPC
128 - KAM COLETTE EPSE SOHAING (KOUNG-KHI) – RDPC
129 - MBAKAM CHOUGA GUILLAUME (MENOUA) – RDPC
130 - NDONGHO CLEMENT (MENOUA) – RDPC
131 - KENFACK SONNA NGUEGUIM ANASTASIE (MENOUA) – RDPC
132 - EMABOT BRIGITTE (MENOUA) – RDPC
133 - TIKOBAU PIERRE MARIE (MENOUA) – RDPC
134 - TOUKAM ANGELE TELA (MIFI) – RDPC
135 - TSINGANG FLOBERT (MIFI) – RDPC
136 - FEUTHEU JEAN-CLAUDE (NDE) – RDPC
137 - TCHAGNA JAQUELINE REVE ANGELINE (NDE) – RDPC
138 - HERMINE PATRICIA TOMAINO EPSE NDAM NJOYA (NOUN CENTRE) – UDC
139 – NDAM (NOUN CENTRE) – UDC
140 - YOUMO NKOUPIT ADAMOU (NOUN CENTRE) – UDC
141 - MBOUANGOUERE RAINATOU EPSE MONGWAT (NOUN CENTRE) – UDC
142 - NGNEGUE SIMON (NOUN NORD) - RDPC
Région du Sud
143 - MVONDO ASSAM BONAVENTURE (DJA ET LOBO) – RDPC
144 - BEKONO EBAH EPSE NDOUMOU (DJA ET LOBO) – RDPC
145 - MBE ASSAE MENDOMO ALEXANDRE, THEODORE (DJA ET LOBO) – RDPC
146 - EVINA OVAMBE BERNADETTE EPSE ABOUI (DJA ET LOBO) – RDPC
147 - BINDOUA MATHURIN GERMAIN (DJA ET LOBO) – RDPC
148 - ATANGANA ALIGUI CELINE EPSE MENDOUA (MVILA) – RDPC
149 - ZAM JEAN-JACQUES NOEL (MVILA) – RDPC
150 -MBEYO'O JOSUE (MVILA) – RDPC
151 -BILOA TSILLA NZITHA MARIE ISABELLE (OCEAN) – RDPC
152 - BENAE SERGE GABRIEL (OCEAN) – RDPC
153 - MENGUE MEZUI GERMAIN DURAND (VALLEE DU NTEM) – RDPC
Région du Sud-Ouest
154 - DONALD MALOMBA ESEMBE (BUEA CENTRE URBAIN) – RDPC
155 - TOMBI IKOME GLADYS (FAKO EST) – RDPC
156 - FINDI STANLEY MOKONDO (FAKO EST) – RDPC
157 - MONDJOWA LIFAKA EMILIA (FAKO OUEST) – RDPC
158 - FONGUE FONGOUK JULIUS (KUPE MANENGOUBA) – RDPC
159 - CECILIA DIONE EPSE NJUMBE (KUPE MANENGOUBA) – RDPC
160 - EBANGHA EPOUSE AGBORNTUI JOHANNA (MANYU) – RDPC
161 - TEKU TANYI TEKU (MANYU) – RDPC
162 - AKA MARTIN TYOGA (MANYU) – RDPC
163 - LAWSON TABOT BAKIA (KUMBA CENTRE URBAIN) – RDPC
164 - EKOLLE PETERS (MEME OUEST) – RDPC
165 - MARY MUYALY EPOUSE MEBOKA (NDIAN) – RDPC
166 - NJUME PETER AMBANG (NDIAN) – RDPC
167 - NGALLE DANIEL ETONGO (NDIAN) - RDPC
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction ce vendredi, 06 mars 2020, le ministre camerounais de la santé publique, Dr. Manaouda Malachie annonce la confirmation d’un cas de Covid-19 au Cameroun.
« Il s’agit d’un citoyen français âgé de 58 ans arrivé à Yaoundé le 24 février 2020 », précise le communiqué signé du Dr. Manaouda Malachie. La détection de ce cas de Coronavirus au Cameroun a été rendue possible grâce au dispositif de surveillance mis en place par le pays depuis la survenue du Covid-19, fait savoir en outre le Minsante.
S’agissant de la prise en charge du malade, le document nous apprend que « l’intéressé a été mis en isolement dans le Centre de prise en charge de l’Hôpital central de Yaoundé pour une prise en charge appropriée ».
Dans la foulée, le ministre de la Santé publique rassure l’opinion publique de toutes les mesures prises par le Gouvernement de la République dans l’optique de contenir d’éventuels risques de propagation du virus. Le membre du Gouvernement invite par ailleurs, l’ensemble des Camerounais au respect des règles d’hygiène afin d’être à l’abri de toute contamination.
« Une conférence de presse sera donnée dans un bref délai pour plus d’information ; le numéro vert *1510# reste ouvert », informe le Dr. Manaouda Malachie.
Cette confirmation d’un nouveau cas de Covid-19 sur le territoire camerounais intervient quelques jours seulement après la visite effectuée par le ministre à l’aéroport international de Yaoundé Nsimalen et dans des structures hospitalières à Yaoundé pour s’en quérir de l’effectivité et de l’efficacité du dispositif de prévention de l’épidémie mis en place.
Innocent D H