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Mfoungo

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La circulation est rétablie depuis 16h50 ce samedi au lieu dit Pont Bocom Cogefar à Douala. Après l’effondrement de la buse métallique mercredi sur la Nationale n°3, et en attendant la construction du dalot definitif, la buse de déviation a été construite en 72h.La circulation avait été coupée mercredi dernier entre les deux plus grandes métropoles du pays suite à des pluies diluviennes. Selon le communiqué du ministre des Travaux publics, Emmanuel Nganou Djoumessi, rendu public après cet incident, «la batterie de buses du lieu-dit Cogefar entre la station Tradex Boko et le carrefour Yassa a perdu une partie de son bloc technique avec pour conséquence, l’effondrement d’une des plaques de béton antérieurement posée pour renforcer l’ouvrage». Aussitôt informé de la situation, le ministre des Travaux publics a prescrit «l’interruption temporaire de la circulation sur cet itinéraire avec déviation sur des itinéraires de soutien et la mobilisation de l’entreprise retenue pour finaliser dans un délai de soixante-douze (72) heures, les travaux préalablement commandés pour l’aménagement d’une déviation appropriée en lien avec le remplacement programmé du dalot endommagé».
Au moins 160 détenus se sont évadés dans la nuit de samedi à dimanche à la faveur de l’attaque de leur prison dans la région anglophone du Nord-Ouest par des hommes armés, a appris l’AFP de sources officielles.“Plus de 160 prisonniers de la prison de Ndop (Nord-Ouest) se sont enfuis” après l’attaque du pénitencier où ils se trouvaient qui a été incendié par un groupe armé, a affirmé une source proche des autorités régionales.
L’attaque a été confirmée par la radio d’Etat CRTV. L’attaque par “un groupe d’assaillants” s’est “soldée par l’évasion de la majorité des 163 détenus” de le prison, selon la CRTV. Le groupe était constitué d'”une cinquantaine de personnes”, a déclaré à la radio William Benoît Emvoutu Mbita, préfet du département du Ngoketunjia où se trouve Ndop. Les assaillants qui “tiraient de partout”, ont pu “défoncer les portes de la prison” avant de “mettre le feu à tous les bâtiments”, a ajouté le préfet, précisant qu’ils avaient apporté du carburant pour provoquer l’incendie. Les détenus “qui reviennent volontairement” seront transférés à la prison de Bamenda, le chef-lieu de la région, selon le préfet qui a ajouté que des opérations étaient en cours pour retrouver les évadés.C’est la première fois depuis le déclenchement de la crise anglophone fin 2016 qu’un nombre aussi important de prisonniers réussissent à s’évader à la suite de l’attaque d’un établissement carcéral. La sécurité dans les deux régions anglophones du Cameroun, le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, s’est considérablement dégradée depuis fin 2017. Les combats y sont devenus quotidiens entre les forces de sécurité et des séparatistes armés réclamant la création d’un Etat anglophone indépendant. Ce conflit armé de plus en plus violent en zone anglophone et celui contre le groupe jihadiste Boko Haram dans le nord du pays risquent de perturber le scrutin présidentiel prévu le 7 octobre. Le président Paul Biya, 85 ans dont 35 au pouvoir, est candidat à un septième mandat consécutif. Ses partisans estiment qu’il est le mieux à même de répondre à la crise anglophone, ses opposants l’accusent d’en être responsable.
Le décès de l’autorité de ce village de  Buea (région du Sud-ouest), a été signalé par des membres de sa famille.Le chef Mbanda est décédé en captivité vendredi. Sa dépouille a été découverte non loin de sa chefferie. Pendant les deux dernières semaines, il était otage d’un groupe d’individus non identifiés avec sept autres chefs de Buea. Une vidéo diffusée le week-end dernier sur les réseaux sociaux a montré deux autres chefs debout devant le cadavre du chef Mbanda dans la brousse. Ils ont apparemment été contraints de raconter les circonstances ayant conduit à la disparition de leur collègue. Le cadavre du chef Mbanda a été déposé à la morgue de l’hôpital régional de Buea où une enquête sera menée.
Les élites de cette région du pays entendent poursuivre la collecte de fonds jusqu’au mois de septembre 2018.Les élites de la région de l’Est du Cameroun ont pris part à un meeting le samedi 28 juillet 2018 à  la maison du parti de Bertoua. L’initiative de Joseph Le, ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, a rassemblé les fils et filles de la région « sans distinction de parti politique », pour une collecte de fonds en vue de soutenir Paul Biya, candidat à la présidentielle 2018. A l’issue de cette réunion, la somme de 37, 9 millions de francs CFA a été réunie. Quelques jours avant, un montant de 17, 2 millions de francs CFA avait été collecté à Yaoundé par les élites du Haut-Nyong, un département de la même région, sous l’égide de Benjamin Amama. Ainsi, l’Est a mobilisé un montant d’environ 55 millions de francs CFA en une semaine. Ses élites n’entendent pas s’arrêter-là. Les collectes de soutien vont se poursuivre jusqu’au mois de septembre 2018, soit quelques jours avant le 7 octobre 2018, date du scrutin de la prochaine présidentielle. La rencontre de samedi dernier a également été l’occasion pour les jeunes de la région, de présenter des doléances à leurs aînés. Ceux-ci ont, par exemple, souhaité que l’annexe de l’université de Yaoundé 2 soit transformée en une institution autonome qui prendrait la tutelle de l’Ecole normale de Bertoua; que les populations bénéficient d’énergie électrique de manière quotidienne et permanente. A cette dernière requête, Joseph Le a répondu que tout est en train d’être fait pour résorber le problème de pénurie d’énergie électrique dans cette région.
Des pourparlers ont été engagés dans ce sens avec des partis politiques tels que le Sdf et le Mrc, entre autres.L’Union des populations du Cameroun (Upc), sous l’égide de sa présidente élue Issa Habiba, veut tenter une coalition des partis politiques de l’opposition afin de contrecarrer le candidat du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc), Paul Biya, au scrutin du 7 octobre prochain. Des rencontres ont déjà été organisées dans ce sens avec les candidats d’autres formations politiques ayant soumis des candidatures auprès d’Elections Cameroon (Elecam). C’est ainsi que Issa Habiba a rencontré Joshua Osih mercredi dernier, le champion du Social democratic front (Sdf). Maurice Kamto du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), Cabral Libii du parti Univers et Akere Muna du Front populaire pour le développement (Fpd) ont également été approchés par des cadres de l’Upc. Les prises de contact se poursuivent. Pour l’heure, indique-t-on à l’Upc, ces partis politiques semblent manifester un certain intérêt pour le projet de coalition. Si elle est venait à être formée, cette coalition permettrait à l’opposition de faire front commun contre une majorité présidentielle écrasante à laquelle vient de se joindre vingt partis politiques de l’opposition. Un mémorandum est en cours d’élaboration. Chacune des formations politiques de l’opposition désireuse de faire partie de la coalition devrait la signer. En attendant, les candidatures sont en étude à Elecam. La liste provisoire des candidats retenus sera publiée le 8 août prochain.
D’après un communiqué produit à cet effet, la compagnie informe qu’elle a effectué cinq vols pour la seule journée de samedi dernier. La veille, la forte affluence de voyageurs l’a conduit à aller jusqu’à sept déplacements.
La circulation est rétablie samedi dernier au lieu-dit Pont Bocom Cogefar à Douala. Après l’effondrement de la buse métallique mercredi sur la Nationale n°3, et en attendant la construction du dalot définitif, la buse de déviation a été construite en 72h, rétablissant le trafic entre les deux métropoles Yaoundé et Douala. Pendant cette perturbation du trafic, les agences de transport interurbain aussi ont dû revoir leurs habitudes. Le voyage est passé de près de 4 heures à environ 7 heures de temps. Dans certaines agences il a fallu réduire la fréquence de voyage question d’éviter des engorgements au niveau de l’axe routier accidenté. Le gros bénéficiaire de cette perturbation est Camair-Co, la compagnie aérienne nationale. L’entreprise a réaménagé ses offres pour servir le plus grand nombre d’usagers. Selon Cameroon Tribune du lundi 30 juillet 2018, depuis jeudi, au lendemain de l’effondrement de la buse sur le tronçon de la pénétrante Est de la ville de Douala, la voie aérienne est très courue. Pour contenir le flot de passagers qui ont frappé à ses portes, Camair-Co a pris un certain nombre de mesures. «Nos services techniques et commerciales se sont mobilisés pour assurer les vols jusqu’au rétablissement du trafic. Cela s’est traduit par une augmentation de trois séquences supplémentaires de vols depuis jeudi dernier. Ce qui représente une croissance de 75% de la capacité des sièges disponibles à la vente transportant ainsi plus de 2700 passagers contre 1500 qu’on transporte habituellement tous les trois jours», explique Nadia Nathalie Nono, délégué régionale de Camair-Co pour le Littoral et le Sud-Ouest. Ainsi, la compagnie informe qu’elle a effectué cinq vols pour la seule journée de samedi dernier. La veille, la forte affluence de voyageurs l’a conduit à aller jusqu’à sept déplacements.
Hier, aux alentours de minuit des terroristes se sont introduits dans la ville de Ndop. Ils étaient environ une vingtaine à s'être introduit dans la ville de Ndop, armés et prêts à lancer l'assaut. Dans la nuit de samedi à dimanche, tout le monde dormait sauf les gardiens de la prison. Ils ne savaient pas qu'ils allaient être attaqués par des terroristes sécessionnistes. À l'heure ou l'Agence Cameroun presse publie cette information, nous n'avons guere beaucoup d'éléments en notre possession... Mais nous savons de source sure que plus de 160 prisonniers se sont échappés de leurs cellules de la prison. À la fin de l'attaque terroriste, une gardienne de prison aurait été enlevée puis libérée à quelques kilomètres de là. Aucun mort dans cette attaque mais la prison aurau subi des conséquences lourdes de cet incendie criminel. Pour l'heure il est encore impossible de savoir si elle pourra accueillir de nouveau des détenus dans les jours à venir... Et encore moins de savoir si ces criminels qui ont pris la fuite seront retrouvés dans les prochaines heures. Les services d'élites de la gendarmerie camerounaise sont sur le pont.
Dans un article paru le 23 juillet dernier sur le site politic.co.uk, Bede Sheppard directeur adjoint de la division des droits de l'enfants a HRW (Human Rights Watch), dénonce les actions violentes commisent par les séparatistes anglophones camerounais contre les écoles et les enseignants.Le journaliste Alex Devechio (@AlexRedChef) a publié cet article dans la presse française. Il traite de boycott des écoles par les terroristes anglophones au Cameroun.
La confirmation a été faite le jeudi 26 juillet 2018 par le Ministre de la Santé publique en visite de travail sur le site du chantier.Le cap est bientôt mis sur un meilleur encadrement de la femme et de l’enfant dans la région du Sud. L’hôpital gynéco-obstétrique d’Ebolowa prend corps, les bâtiments sortent de terre. Pour André Mama FOUDA, le ministre de la Santé publique, le projet a certes pris du retard, mais «mieux vaut aller doucement et avoir un bel ouvrage à la sortie». Parlant avec autorité  et certitude, le ministre de la Santé publique a d’ailleurs affirmé que cet hôpital dont rêve le Président de la République sera ouvert au grand public d’ici la fin de cette année. La super structure avec tous les aménagements devraient être achevées d’ici le mois de novembre 2018. Les équipements ont déjà été commandés pour enfin concrétiser dans les faits cette promesse du Chef de l’État de doter la région du Sud d’un bel ensemble immobilier dédié à la mère et à l’enfant. Il est donc question de réduire le taux de mortalité chez ces deux couches sociales. L’objectif du gouvernement camerounais étant de leur assurer le bien-être. Après la visite des différents compartiments de cette structure hospitalière, André Mama FOUDA a eu l’occasion lors de la séance de travail de repréciser les instructions du gouvernement dans la perspective de l’ouverture de cet hôpital. Le contrat des pouvoirs publics envers les femmes et les enfants au sujet des affections gynécologiques les touchant est de ce fait bien remplit et le sera davantage avec l’ouverture prochaine de cette infrastructure hospitalière.
Plusieurs chefs religieux, réunis jeudi à Douala, à l’initiative de l’archevêque émérite de Douala le cardinal Christian Tumi, ont fait part de leur volonté de s’investir dans la résolution des violences sécessionnistes qui embrasent les régions anglophones du Nord-ouest et du Sud-ouest du Cameroun.Offrant leurs bons offices, les leaders religieux dont le révérend pasteur Babila George Fochang de l’Eglise presbytérienne du Cameroun(EPC), l’imam Tukur Mohammed Adamu de la mosquée centrale de Bamenda et le chef Imam Alhadji Mohammed Aboubakar de la mosquée centrale de Buea, se sont, dans une déclaration commune, dit prêts à servir de « facilitateurs » entre le gouvernement camerounais et les sécessionnistes. Déplorant le fait que les populations des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest souffrent depuis bientôt deux ans, ils estiment que «le moment est venu de mettre fin à ce conflit à travers un dialogue national franc, inclusif et complet sur le problème anglophone». Convaincus que « ce n’est pas par les armes qu’on fera la paix », ces responsables religieux se disent « ouverts à toutes les propositions devant favoriser le retour à la paix » dans les zones de conflit du Cameroun.






Sunday, 05 June 2022 11:01