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Révélation a été faite à l'issue de la 9ème session de la Commission nationale de la Formation médicale, pharmaceutique et odontostomatologique du Cameroun (Cnfmp) tenue jeudi dernier à Yaoundé sous la présidence du Ministre d'Etat, ministre de l'Enseignement supérieur, le Pr Jacques Fame Ndongo. L'une des résolutions des assises, l’ouverture imminente des postes de spécialisation en Gynécologie-obstétrique à la Faculty of health sciences de l’université de Buea pour le compte de l’année académique 2021-2022.

 

 

C'est fort des besoins en médecins spécialistes exprimés par le Ministère de la Santé publique (Minsanté) que la Commission nationale de la Formation médicale, pharmaceutique et odontostomatologique du Cameroun a décidé de la mise en place des postes de spécialisation en gynéco-obstétrique à l'université de Buea dans la région du Sud-Ouest dès l’année académique prochaine.

Occasion pour le chancelier des ordres académique d'inviter les formateurs du secteur médical non seulement à mutualiser davantage leurs efforts et à fédérer leurs intelligences, mais également à prendre des dispositions adéquates en vue de resserrer les liens entre les structures de formation et de recherche, les hôpitaux, les cliniques et les officines.

 Le Pr Jacques Dame Ndongo engage la première cuvée des médecins, pharmaciens et odontostomatologues issus de la réforme intervenue dans le secteur de la formation de 2013, sortie diplômée au cours de l’année académique 2019-2020 à être des modèles pour leurs cadets.

Il convient de noter que les membres de la commission ont également validé d’autres résolutions. Dans le sillage d'arrimage de la formation aux normes du système LMD, la Commission a décidé de la mise sur pied d’un Comité technique coprésidé par le recteur de l’université de Yaoundé 1 et le représentant du ministre de la Santé publique, à l’effet d’accélérer la réflexion sur le statut académique à conférer aux médecins spécialistes qui assurent l’encadrement des étudiants dans les formations hospitalières.

Innocent D H

 

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Dans un décret signé ce 22 juin 2020, le Président de la République du Cameroun, Paul Biya exclut du corps des personnels de l’Enseignement supérieur Dr. Sango Martin Ndeh, Maître de Conférences, enseignant au département d’histoire à la Faculté des Arts de l’Université de Buea dans la région du Sud-Ouest. Le Chef de l’Etat lui reproche, une tentative d’obstruction au déroulement harmonieux des examens de rattrapage organisés dans ladite faculté. 

 

Le texte du Chef de l’Etat est sans équivoque. Il suffit de découvrir sa teneur pour se rendre à l’évidence que Paul Biya décide de frapper du poing sur la table, de siffler la fin de la récréation. Son décret écarte Dr. Sango Martin Ndeh, maître de conférences, à l’Université de Buea, de l’effectif des personnels de l’Enseignement supérieur au Cameroun. En effet, il est reproché à cet enseignant, d’avoir tenté d’obstruer le déroulement harmonieux des examens de rattrapage organisés à la Facultés des Arts de cette institution universitaire durant l’année académique 2018/2019. Selon le décret, il s’agirait d’un acte de récidive commis par le maître de conférences concerné. 

Toutefois, le Président de la République précise que, la révocation du Dr. Sango Martin Ndeh n’entraîne pas la suspension de ses droits à pension. L’enseignant révoqué était par ailleurs le premier vice-président du Syndicat national des enseignants de l’Enseignement supérieur (SYNES). Il est également l’auteur de la réflexion : « Bonne Gouvernance au Cameroun : perceptions et pratiques dans un Cameroun émergent d’ici 2035 », publié en 2015 par l’European Center for Research Training and Development UK.  

Pour nombre d’observateurs, cet acte présidentiel démontre s’il en était besoin une fois de plus, la volonté de la personnalité supérieure de la République de promouvoir le service public de l’Enseignement supérieur en offrant la chance de réussite à la jeunesse camerounaise sans distinction aucune. Il est aussi question par cette sanction de dissuader d’autres potentiels enseignants d’université qui se gargariseraient de quelque manière que soit en bloquant le fonctionnement des institutions universitaires.

Une décision qui intervient, il faut le dire après la reprise des cours il y a quelques semaines à la suite de la trêve imposée par la pandémie de coronavirus. Et à titre de précision, le Cameroun est engagé depuis plusieurs années à des réformes universitaires axées sur la professionnalisation des enseignements pour adapter l’offre de formation aux besoins du marché de l’emploi. 

 

Innocent D H



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Cette grève est initiée par le Syndicat des enseignants du supérieur.

 

Le Syndicat des enseignants du supérieur (Synes) a décidé de monter au créneau, pour dénoncer les exactions des groupes armés dans les régions anglophones, commises contre le corps éducatif. Le Syndicat annonce un mouvement d’humeur. Il aura lieu à l’Université de Buea. Il débuter le 12 novembre 2019. En fait, le Synes réagit suite à l’enlèvement de Ngam Confidence, un enseignant au département d’histoire de cette Université d’Etat.

Des indiscrétions mettent cet enlèvement sur le dos des sécessionnistes. On sait que le mouvement sécessionniste fait une lutte acharnée contre la scolarisation des enfants dans les deux régions anglophones, depuis l’enlisement de la crise socio-politique qui y sévit. Les kidnappings des enseignants sont légion. Certains ont même été tués. Le 8 octobre 2019, des groupes armés en ont kidnappé trois dans la ville de Bamenda au Nord-Ouest. Ils sont enseignants de l'école primaire catholique Saint-Joseph de Bamenda. Leur rapt est survenu à moins d'une semaine de la fin du Grand dialogue national. Un dialogue convoqué par Paul Biya le Président de la République.

Les groupes armés qui veulent empêcher la bonne marche de l’école dans ces régions anglophones, ont également procédé au kidnapping des élèves et étudiants. Au mois de février 2019, près de 200 enseignants et élèves du Collège Saint Augustin à Kumbo, ont été enlevées au Nord-ouest. En sa qualité de Gouverneur de la région du Sud-Ouest, Adolphe Lélé Lafrique avait confirmé l’information, en donnant la suite des évènements. « Près de 200 élèves et enseignants du Collège privé Saint Augustin de Kumbo, chef-lieu du département du Bui, dans la région anglophone du Nord-Ouest, ont été enlevés par des assaillants le 16 février 2019 à 6 heures (heure locale) et libérés dimanche matin », avait-il déclaré.

Pour revenir au Synes aujourd’hui exaspéré par ces agissements des groupes armés sur les enseignants, sa branche régionale, entend également dénoncer la récurrence de tous ces cas d’enlèvement.

 

Liliane N. 

 

 

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C’est par voie de communiqué que l’information de cette institution universitaire a été rendue publique.

 

Dans la norme, le concours d’entrée à l’Ecole de Technologie de l'Université de Bamenda devait se dérouler du 14 septembre au 06 octobre 2019. Ledit concours n’aura plus lieu à cette période. Il est reporté à une date ultérieure. C’est la substance du communiqué de presse que vient de signer Tani Victor Banlilon, le Chef de service de l’administration centrale de l'Université de Bamenda.

Dans ledit communiqué cependant, l’autorité ne donne pas les raisons de ce report. Toutefois, des sources indiquent que cette décision de reporter à une date ultérieure le concours d’entrée à l’Ecole de Technologie de l'Université de Bamenda, est la conséquence de l’opération Lock down lancée par les groupes séparatistes. La date initiale de l’examen suscité  coïncide avec les périodes durant lesquelles les sécessionnistes veulent maintenir les villes des régions anglophones en mode paralysie. Ces régions étant bien évidemment le Nord-Ouest et le Sud-Ouest.

Il faut noter que d’après certaines de nos sources, cette opération de Lock down a bel et bien débuté hier, mardi 27 août 2019 dans la ville de Bamenda. Il faut rappeler que ladite opération vise à perturber une fois de plus la rentrée scolaire qui aura lieu sur toute l’étendue du territoire camerounais, le 2 septembre prochain. Elle est prévue se tenir du 26 août au 16 septembre 2019.

Les populations ont été informées de sa tenue par un message qui a circulé sur la toile. Certains habitants des deux régions anglophones qui tiennent à scolariser leurs enfants, ont choisi de fuir leurs zones d’habitation. L’exode a eu lieu le weekend dernier. Avec donc ce Lock down le retour à l’école des enfants des zones anglophones reste hypothétique, malgré le fait que le gouvernement rassure. Il indique que des mesures sécuritaires vont être prises.

 

Liliane N. 

 

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Assassinats ciblés, pillages et kidnappings demeurent le lot quotidien des populations des régions du Nord et du Sud-ouest. Le Kidnapping des joueurs de l’équipe de football de l’Université de Buea survient un jour après celui du coach Emmanuel Ndoube Bosso.

 

Les populations sœurs des régions du Nord-ouest et du Sud-ouest continuent de ployer sous le Joug des terroristes sécessionnistes qui leurs font vivre au quotidien l’enfer malgré le fort déploiement sécuritaire dans ces régions. C’est à se demander, lorsqu’on sait le quadrillage effectué dans la zone, comment ces derniers procèdent pour commettre leurs forfaits.

Les derniers en date sont l’enlèvement tôt ce matin du 20 mars, d’une quinzaine de joueurs de l’équipe de football de l’université de Buea qui se rendaient aux entraînements en vue des prochains jeux universitaires et celui de monsieur Emmanuel Ngafeeson, l’ex secrétaire d’Etat auprès du Ministre de la justice, Garde des sceaux, chargé de l’administration pénitentiaire. Selon les informations en notre possession, il a été  enlevé à son domicile à Ntabessi.

Mardi déjà, c’est le coach de Young Sport Academy (YOSA), monsieur Emmanuel Ndoumbe Bosso qui se faisait enlever à Bamenda près de son véhicule. Relâché quelques heures plus tard, nous ne pouvons affirmer ici, que la somme de 10 millions de francs CFA qui selon des fuites, était demandée par ses ravisseurs pour sa libération a été payée. Rien jusqu’à présent n’a filtré sur les circonstances de sa libération.

C’est donc une violence inouïe et aveugle qui s’abat dans ces régions sur toute personne qui a le malheur de se trouver au mauvais endroit au moment ou Pire encore, est jugées à même de pouvoir faire payer des rançons colossales. Que dire de ces enseignants mutilés pour avoir bravé les interdictions d’enseigner, de ce policier brulé vif il y’a encore quelques jours… ?

Bizarrement, Ceci ne semble pas émouvoir outre mesure ces « ONG » de « droits de l’homme » qui habituellement sont prompts à « pondre » des rapports incendiaires lorsque nos courageuses forces de défense et de sécurité, qu’elles ont l’outrecuidance de mettre sur le même pied d’égalité que ces barbares sont ne serait-ce que soupçonnées d’avoir commis le moindre abus.

Revenant au kidnapping des joueurs de l’Université de Buea et à celui de monsieur Emmanuel Ngafeeson, pour le moment, les auteurs de cet odieux acte restent inconnus. Les Forces de Défenses et de Sécurité sont d’ores et déjà activement à leur recherche. Puisse-t-il rien arriver à nos cop’s de Buea et à monsieur Ngafeeson dont nous espérons les libérations dans les prochaines heures.

Published in Défense






Sunday, 05 June 2022 11:01