According to the Director General of the elections governing body Elecam, Erik Essousse, nearly 183,000 persons registered on the just ended electoral lists, with an increase of potential voters as compared to last year.
Electoral lists for the year 2021 opened earlier this year in January and closed Tuesday August 31 as prescribed in the electoral code. Going by statistics recorded during this 2021 revision exercise, nearly 183, 000 persons have enrolled on the electoral registers, bringing the total number of potential voters registered in Cameroon to 7,000,000, pending clean up.
These statistics were unveiled by the Director General of Elections Cameroon, Elecam, Erik Essousse Wednesday September 1 during a press briefing.
According to updated figures, out of the nearly 183,000 who have just registered, 116,631 are men, representing 65.79%, 66,282 are women representing 34.21%, 131,778 are youths, representing 72.04% and 187 are persons with disabilities with a 0.09%.
After listing statistics recorded during the revision process, Erik Essousse said the overall number of registered voters in the country now stand at 7,000,000, pending clean up. Out of the 7,000,000, 3,761,159 are men, giving a 53.28%, 3,296,663 are women with a 46.71%, meanwhile 2,677,674 are youths with a 37.94%.
Elecam’s Director General added that with the close of the registration exercise, focus would be on the cleaning of registers. Upon completion of this clean-up process, provisional electoral registers will be published not later than October 20 at the respective Elecam branches, particularly council branches. After all corrections must have been made at the level of the branches, the Director will then publish the final national electoral register not later than December 30.
Though this year recorded another increase in the number of potential voters to have registered, Elecam is still far from its 10 million citizens enrolled objective set to achieve since 2019. Officials of the elections governing body in the country have attributed this to the COVID-19 pandemic, which according to them has discouraged many Cameroonians. That notwithstanding, they are determined to continue the sensitization to get 10 million enrolled ahead of the next elections in the country.
Ariane Foguem
Erik Essousse a également prescrit à ses équipes, la concentration pour les travaux de conditionnement du matériel électorat, qui sont en cours.
Erik Essousse le Directeur général (Dg) des élections vient d’effectuer une visite d’inspection à la base aérienne 101 de Yaoundé. Le but de cette descente était d’évaluer l'état d'avancement des travaux de conditionnement du matériel électoral. Il s’agit du matériel qui doit être acheminé dans les bureaux de vote. Il va être utilisé lors des élections législatives et municipales de 2020.
Même si le délai de dépôt de ce matériel dans les bureaux de vote n’a pas été rendu public par Elections Cameroon (Elecam), il doit être acheminé à temps, pour que le double scrutin du 9 février 2020 se déroule sans problème. Du fait de cette contrainte, Erik Essousse qui était accompagné le 24 décembre 2019 par Enow Abrams Egbe le président du Conseil électoral, a recommandé que le travail se fasse avec célérité, concentration et responsabilité.
Il convient de préciser que les travaux de conditionnement du matériel électorat font suite au choix des couleurs de bulletin de vote et de campagne qui a été fait par les partis politiques en lice pour le prochain double scrutin législatif et municipal. Il faut par ailleurs noter que le conditionnement consiste en l'empaquetage des boîtiers d'encre indélébile, dateurs, boîtes de colle, et tout autre outil indispensable au bon fonctionnement des bureaux de vote. Le processus de conditionnement se déroule dans des stands aménagés pour cette activité, sous la conduite de plusieurs agents. C’est donc après l’opération sus décrite, que l'on pourra acheminer ces cartons dans les différentes circonscriptions électorales.
Après la visite de travail effectuée à la base aérienne 101 de Yaoundé, Erik Essousse et Enow Abrams Egbe vont rendre dans les structures intervenant dans la confection, le conditionnement du matériel électoral.
Liliane N.
Le Directeur général des élections affirme qu’il pourrait s’agir des cas marginaux.
Dans une interview accordée au quotidien gouvernemental Cameroon tribune, Erik Essousse n’a pas caché son étonnement sur des affirmations faisant état des documents qui n’ont pas été signés, du fait de l’absence de certaines autorités administratives. « Je suis plutôt surpris qu’on dise qu’il y ait des candidats qui n’ont pas pu faire signer leurs documents. Les autorités administratives sont disponibles partout pour le faire. Peut-être s’agit-il de cas marginaux », a-t-il déclaré.
Appelé à répondre à la question de savoir si Elections Cameroon peut intervenir dans le cas où un dossier de candidature sera incomplet du fait d’un document qui n’a pas été signé, le Directeur général des élections se veut plutôt ferme. Elecam n’a rien à faire dans cas de figure. « Au niveau d’Elecam, nous ne jugeons pas au niveau du dépôt des dossiers si c’est complet ou pas. Nous recevons le dossier, nous enregistrons et transmettons au Conseil constitutionnel. C’est à eux de juger de la qualité du dossier », a-t-il déclaré.
A titre de rappel, la semaine dernière l’actualité a été marquée par certains mouvements des militants du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc). Ceux-ci affirmaient que des sous-préfets refusaient de signer leurs documents. Pourtant ils avaient besoin d’avoir des dossiers complets pour les déposer à Elecam. Alain Fogue Tedom le trésorier du parti de Maurice Kamto et d’autres militants avaient décidé de bloquer l’entrée de la Sous-préfecture de Yaoundé 3.
« Les différents candidats doivent faire signer un certificat de domicile. Nos candidats viennent à la Sous-préfecture de Yaoundé 3 depuis une semaine. Monsieur le Sous-préfet, de manière grossière, discrimine ses signatures. Il donne joyeusement les signatures, aux candidats du Rdpc et refusent de signer les dossiers des candidats du Mrc. Cela fait plus d’une semaine que les camarades traînent ici. Nous sommes à quelques heures de la clôture des listes à Elecam. Nous sommes arrivés ce matin, appelés par nos camarades qui ne savent plus à quel saint se vouer… », avait-il déclaré.
Liliane N.
C'est ce qui ressort d'un point de presse donné ce mercredi à Yaoundé par le Directeur général d'Elections Cameroon (Elecam). Erik Essousse a livré les informations concernant les inscriptions sur listes électorales pour l'année 2019 qui ont pris fin le 31 août dernier.
Débutées le 02 janvier 2019, les inscriptions sur les listes électorales ont pris fin le 31 août à minuit sur l'ensemble du territoire national. Quelques jours après, il est donc de bon ton pour le Directeur général d'Elections Cameroon de fixer l'opinion publique sur l'état des inscriptions, d'où la tenue de ce point de presse qui a eu lieu ce mercredi yaoundé. De cette communication, il ressort un total de 7.116.314 inscrits avant toilettage des listes électorales. De manière plus analytique, "Au 31 août 2019, l'on a obtenu 433.873 nouveaux inscrits parmi lesquels 52,65% des hommes soit 270.593 et 40,35% de femmes soit 163.280. 300.375 jeunes soit 62,23%", a déclaré Erik Essousse. A comparer avec l'année 2018, il faut préciser que l'on apprend une progression de 50.000 inscrits sur les listes électorales en 2019.
Les Commissions de distribution des cartes électorales
Les commissions de distribution des cartes électorales quant à elles étaient à pied d'oeuvre pour la distribution des cartes électorales dans les démembrements territoriaux Elecam. "Arrivé aux termes de cette importante opération, le service compétent s'attelle au toilettage des listes électorales pour extirper les doubles inscriptions volontaires ou involontaires, les personnes décédées, celles condamnées ayant perdu leur qualité d'électeur", a fait savoir le Directeur général d'Elecam.
Il faut indiquer que, de ce point de presse, il est annoncé l'affichage des listes électorales provisoire au plus tard le 20 octobre prochain dans les démembrements d'Elecam. Après le toilettage, la liste électorale nationale sera publiée au plus tard le 30 octobre 2019.
Innocent D H
Le 27 juin 2019, Elections Cameroon (Elecam) qui tenait la deuxième session ordinaire de son conseil, a fait savoir, qu’il s’est fixé un objectif de 07 millions d’inscrits à enregistrer, avant la fin de la révision des listes électorales. Pour l’organe en charge de l’organisation des élections au Cameroun, le nombre d’inscrits souhaité peut être atteint. En ce sens qu’avant la dernière élection présidentielle du 07 octobre 2018, Elecam avait déjà 6,6 millions d’inscrits.
Il convient de rappeler que lors du lancement de la nouvelle campagne de révision des listes électorales, Erik Essousse, le Directeur général d’Elecam avait déclaré « nous sommes déjà à plus de 6,6 millions d’électeurs inscrits sur les listes. Notre objectif est d’atteindre les 10 millions d’inscrits». Pour atteindre l’objectif fixé, l’organe en charge des élections avait indiqué compter sur le concours des partis politiques. «Nous allons intensifier les inscriptions. Nous pensons à des méthodes novatrices à mettre sur pied. Mais il faut d’abord que les partis politiques qui sont les principaux bénéficiaires, s’impliquent davantage », avait déclaré Erik Essousse. Donc aujourd’hui, avec un nouvel objectif de 7 millions d’inscrits, pour les responsables d’Elecam le nombre voulu est plutôt réaliste.
En plus de rendre public son nouvel objectif, au cours de la deuxième session ordinaire de son conseil présidée par Enow Abrams Egbe, Elecam a aussi dressé un bilan des activités qu’il a menées depuis le 15 mars 2019. L’attention a été portée sur la poursuite des activités d’inscriptions sur les listes et sur la distribution des cartes électorales. Les descentes des membres d’Elecam sur le terrain au Cameroun et à l’étranger et les séminaires tenus ont également fait l’objet d’un examen. Enow Abrams Egbe en sa qualité du président du conseil a insisté sur la mise en place d’une plateforme de dialogue permanent, qui a été un cadre de concertation bilatérale avec les autres acteurs du processus électoral. Ces acteurs étant les partis politiques, les organisations de la société civile, l’administration, les Forces de défense et de sécurité. Sans oublier les médias.
Liliane N.