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L’homme politique Albert Dzongang félicite le ministre Georges Elanga Obam, pour avoir interdit les uniformes estampillées «police municipale» aux agents communaux.

C’est plutôt rare de voir des membres du gouvernement félicités par les alliés du président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun Maurice Kamto. Le ministre de la Décentralisation et du Développement rural a réjoui Albert Dzongang avec sa décision d’interdire le port d’uniformes estampillées «police municipale» aux agents communaux. Dans une lettre ouverte adressée au ministre, il salue vivement ladite décision.

«Je me réjouis de constater que ma mise en garde contre cette usurpation de titre par les maires qui utilisent le nom de « Police Municipale » pour couvrir les voyous aux gros bras qu’ils déversent dans les rues pour arnaquer les usagers a été entendue par la haute autorité que vous êtes», a écrit l’homme politique Albert Dzongang.

Toutefois, l’homme politique allié de Maurice Kamto dénonce le fait que les agents communaux contrôlent les usagers sur la voie publique.

«Je me propose de demander aux usagers si rien n’est fait, de s’opposer par tous les moyens à cette inégalité car obéir à un ordre illégal c’est faire acte de complicité. S’il est vrai que les maires exercent la police municipale dans leurs localités, ils le font avec le concours des forces de maintien de l’ordre, de la police et de la gendarmerie nationale. Un civil ; fut-il agent communal n’a pas qualité pour contrôler les usagers de la voie publique. Si rien n’est fait pour arrêter ces abus, je me propose en tant que citoyen et non homme politique de prendre la tête d’une croisade contre toute personne autre que les agents de force de maintien de l’ordre de l’état, qui tenterait de stopper par la force les mototaximen ou les automobilistes», a écrit Albert Dzongang.

Liliane N.

Published in Politique

Dans une sortie faite il y a quelques heures, l’homme qui se présente comme « conseiller spécial de Kamto Maurice » s’est essayé dans une analyse en classant ses camarades en trois catégories de militants. Au terme de son long diatribe, il a invité les uns et les autres à « resserrer les rangs »

 

 

« Dans le landerneau politique camerounais, il devient clair aujourd’hui que les anonymes qui cherchent à se faire connaître, certains pour accéder à la « mangeoire », d’autres pour émerger de ce landerneau, doivent à tout prix s’accrocher à leur Moïse pour traverser l’obscurité. Ils rivalisent de stratégies mais majoritairement visent le même but : toucher le pouvoir et en tirer quelques subsides.

1- Les premiers sports

Sortis de nulle part, ces derniers commencent toujours par glorifier Maurice Kamto et bousculent tout sur leur chemin parfois même en dénigrant des proches collaborateurs du président élu, leur Moïse.

Ils font des twitts, des directs, publient à une vitesse vertigineuse des articles à la gloire du président élu, prennent même leurs cartes de parti et attendent de savoir s’ils ont atteint une audience substantielle.

Bien évidemment; beaucoup de militants du parti leurs tendent leurs oreilles. Quand ils pensent avoir été remarqués par le pouvoir usurpateur comme étant un membre du Mrc, ils abattent leurs atouts, font un revirement à 180°.

Cette fois c’est une démarche inverse, le Moïse d’hier devient un Satan qu’on a découvert et qu’on s’engage à combattre jusqu’à la mort.

On regrette tout ce qu’on a dit de mal contre le saint père Paul Biya et à genoux, on demande pardon et se dit prêt à servir ce beau et prospère pays que Kamto et sa meute veulent détruire. Le Mrc devient une secte ou un maquis, refuge de talibans.

2- Les seconds

Ici, Ayant discuté au préalable avec une ponte du régime pour s’assurer des mérites que pourrait leur garantir un retournement, ils rentrent dans Maurice Kamto et le Mrc têtes baissées. Ils rivalisent d’injures avec eux-mêmes, calomnient et ressuscitent quelques mensonges sur leur cible et sa troupe.

Après chaque salve, ils tendent l’oreille pour savoir si le commanditaire est satisfait. Que non, ils doivent trouver autre chose car ce qu’ils croient avoir trouvé sur Kamto a déjà été dit par d’autres chasseurs de primes avant eux.

Ce qui est intéressant c’est le cynisme des usurpateurs; ils poussent ces mendiants au ridicule, les exposent à la risée populaire et les abandonnent nus dans la rue. Leurs téléphones ne répondent plus, les concierges ne laissent plus passer les amis d’hier pourtant ils devaient savoir par expérience que Kamto, marchandise prisée par le pouvoir n’est pas une proie facile à attraper.

Qui s’y frotte s’y pique. A propos, il me plaît de dire aux « nouveaux disciples » de n’entrer dans le bateau du Mrc que s’ils sont patriotes et prêts pour le sacrifice. Il vaut mieux pour les aventuriers de chercher une autre bouée.

Tous ceux qui jusqu’ici ont tenté cette aventure se sont retrouvés ridicules et sont honteux dans leurs trous. Maurice KAMTO conduira le Cameroun vers la terre promise pendant que les patriotes se laveront dans le Jourdain : le Mrc.

3- Les troisièmes

Ceux-ci se contredisent; ils déclarent être disciples de Maurice Kamto mais vilipendent le Mrc qu’ils accusent de secte. Comment peut-on adorer Satan et haïr l’enfer ?

Le pouvoir s’aperçoit déjà que Kamto est un roc et le marteau pour le casser n’est pas à la portée de ces voleurs moins encore de leurs affidés. Ce qui est formidable, c’est que les voyageurs qui montent dans le train de la renaissance sont de plus en plus nombreux par rapport à la poignée infime qui en descend. Ce sont les rangs du parti usurpateur qui se vident au profit du MRC et non le contraire. Le vent a changé de sens et l’heure va bientôt être l’heure.

Ils peuvent payer à prix d'or dès crève-la-faim pour écumer les plateaux télé et de radios, pour s’attaquer à l’homme qui n’attaque que les problèmes du Cameroun mais je puis garantir aux Camerounais qu’un jour tous ces gens diront comme quelqu’un ou à peu prés pareillement que « lorsque j’arrive à Paris mes mentors me conseillent une seule personne : Maurice Kamto ». Je veux dire qu’ils finiront tous par témoigner de toute la grandeur de cet homme d’Etat ».

 

N.R.M


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Annoncé disparu depuis l’échec de la marche insurrectionnelle que ses partenaires et lui ont organisée le 22 Septembre dernier, l’ex militant et député sous les couleurs du Rdpc  demande aux membres et alliés du mouvement pour la renaissance du Cameroun de « Rester mobilisés »

 

Le contenu de sa lettre

« Bonjour à tous les combattants, bonjour au peuple de la liberté. Je suis votre frère Albert Dzongang. J’ai eu beaucoup de blessures le 22 (septembre 2020)…

Etant recherché, je me suis replié pour préparer les prochains évènements. Restez mobilisés. Je suis au Cameroun et je ne peux pas quitter le pays tant que notre président élu est encerclé et tant que nos frères sont en prison…

Je ne me livre pas à eux parce que ça m’empêcherai de préparer la suite ; je ne suis pas physiquement prêt pour les affronter maintenant mais, soyez rassurés, je suis là...

Je serai là et je serai toujours là avec vous jusqu’à ce que notre pays soit libéré. Jusqu’à ce qu’il ait la prospérité pour tous et avec tous les Camerounais ».

Folklore

Les responsables du Mouvement pour la renaissance du Cameroun semblent de plus en plus s’inscrire dans la logique du repli « tactique » et d’envoyer à l’affrontement, ceux qui croient encore qu’ils ont un projet politique à proposer.

Après avoir été incarcérés parce qu’ils réclamaient une victoire illusoire, à l’issue de la présidentielle d’Octobre 2018, Albert Dzongang et Cie ont opté pour la tactique des boucliers humains, dans un combat qu’ils savent perdu d’avance, surfant sur la misère aussi bien morale que financière de  certains jeunes et autres qui croient que toutes les difficultés existentielles auxquelles ils sont confrontés seront résolues si jamais le « pape du droit » accède au pouvoir.

Une utopie sur laquelle s’appuient les dirigeants du Mrc, prêts à tout pour assouvir leur soif du pouvoir, puisqu’une foule haineuse se montre prête à affronter et à défier les autorités.  

Attente d’un soutien à l’international

Kamto Maurice, Albert Dzongang et quelques autres dirigeants du Mrc, pendant qu’ils se terrent par ci, par là, multiplient des correspondances auprès des Organismes et autres organisations internationales, quêtant un secours, un appui qui va leur permettre de prendre le pouvoir au Cameroun.

Mais, comme l’a rappelé le ministre de la Communication – Porte Parole du Gouvernement, répondant à l'Onu il y a quelques jours, « Nul n’est au dessus de la Loi et chacun doit répondre de ses actes… ».

 

Nicole Ricci Minyem

 
 
 
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L’allié du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) vient d’effectuer une sortie musclée concernant l’opération de collecte de fonds initiée par Maurice Kamto, contrecarrée par le ministre de l’Administration territoriale. Dans une déclaration, il dit à Paul Atanga Nji, « ne poussez à bout » Maurice Kamto. 

 

« Il y a des circonstances dans la vie, où même les plus fous retrouvent leurs esprits. Lorsque votre maison est en feu vous ne tirez pas ceux qui accourent pour éteindre les flammes, sauf à croire que vous la brûlez volontairement. Le pays est en guerre contre un ennemi coriace. Vous devez laisser chaque fils ou groupe contribuer à cette lutte ; il y va de la survie de tout un peuple. Si nous périssons tous, à qui ouvrirez-vous encore vos gros yeux ? », lance l’inconditionnel allié du MRC. 

Albert Dzongang ajoute par ailleurs, « allez dire au coronavirus qu’on entre pas au Cameroun sans votre visa et nous verrons s’il obéit. Allez dire à Paul Biya que la loi exige qu’il soit au front en ces temps de pandémie. Si votre plan d’extermination du peuple est en marche, nous n’allons pas nous suicider. (…) Cherchez déjà un trou où vous terrer, car ce peuple en furie arrive ». 

L’homme politique rappelle que la tontine du MRC continue, car Maurice Kamto a plus d’un tour dans son sac. « Ne le poussez à bout. Je vous suggère de continuer à vous faire oublier comme vous le fassiez bien depuis un moment. Vos multiples provocations commencent à être trop », souligne Albert Dzongang. Il déclare enfin : « vaillant peuple du Cameroun tu sais maintenant qui t’aime et veux ton bien. Lève-toi et défends ta vie ; ne la laisse pas entre les mains de ceux qui ne s’en soucient pas ». 

 

Innocent D H

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Le conseillé stratégique du leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun  Maurice Kamto semble ne pas accepter la réélection du président du Sénat et invité dans un média dans la capitale économique du Cameroun il a utilisé des propos très dur vis-à-vis de celui qu’il nomme le « grabataire »   

 

« Chaque jour les zombies qui usurpent le pouvoir, défient davantage le peuple camerounais. Soutenu par deux béquilles humaines à sa sortie de l’avion qui le ramenait de Paris, défiant les mesures de précautions qu’ils ont eux-mêmes instituées, le cavalier Yegue Djibril a nargué le peuple pour se faire réélire au poste de président de l’assemblée des traîtres du Cameroun. 

Quelques jours seulement après ce simulacre, son homologue grabataire chancelant vient à son tour d’être reconduit à la tête du machin appelé sénat. On l’a tous vu bredouillant au gré du vent quelques pas pour avancer vers son fauteuil.

Pendant ce temps, le chef de gang lui aussi dépendant nargue les camerounais en se faisant comme à son habitude passer pour mort, alors qu’il se la coule douce dans son village aux frais du pauvre contribuable. On a encore le triste souvenir des images de son passage à Lyon où on l’a vu humiliant le Cameroun par sa démarche périclitante, incapable de gravir par lui-même les marches du Palais de l’Élysée. 

Il s’agit donc d’un trio de fantoches téléguidés presqu’automatiquement par une soif insatiable de pouvoir, qu’ils sont aujourd’hui, au regard de leur vieillesse, incapables de contrôler.

Ce qui se passe en ce temps n’est pas qu’une insulte au seul peuple, mais un pied de nez aux héritiers naturels qui rongent leurs freins en attendant impatiemment le passage de pouvoir au gré à gré des mains de ces gens-là qui n’ont pour seul projet politique que de construire dans l’imaginaire commun le spectre d’une immortalité fantasmée.

Peuple Camerounais les zombies vous défient; ils ont conclu avec le diable, au prix des sacrifices humains, un bail à long terme. Réveillez vous et mettez vous debout pour imposer que votre volonté soit respectée.

Ne mourons pas de corona virus sans régler nos comptes avec eux. Ils espèrent que ce fléau nous décime et ainsi, ils auront gagné leur pari avec Lucifer; celui de mourir après nous. Forces armées forces vives, mettons-nous ensemble pour libérer le Cameroun. Préparons nous au sacrifice suprême s’il le faut, pour léguer aux futures générations un Cameroun nouveau et digne ».

Marcel Niat Njifenji reconduit au perchoir du Sénat  

 

N.R.M

 

Published in Tribune Libre
Depuis la prison principale de Nkondengui où il est écroué, le président de la Dynamique a fait déposer une plainte contre le patron de la police judiciaire du littoral, le commissaire Raymond Essogo. Le motif, "violation de domicile, abus de fonctions, arrestation et détention arbitraire".
 
 
Albert Dzongang s'est illustré au cours de la campagne pour la présidentielle comme un soutien important du professeur Maurice Kamto. Un appui qui s'est poursuivi au point où le domicile de l'homme politique a servi de base arrière pour le président du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun ce fameux 26 janvier, jour de la "marche blanche".
 
C'est de chez lui que seront extraits le leader de la "marche blanche" et nombres de ses militants dans la nuit du 28 janvier. L'opération sera menée par les éléments de la police judiciaire du littoral sous les ordres du commissaire Raymond Essogo. Maurice Kamto, Albert Dzongang et les autres sont incarcérés dans les geôles de la police judiciaire de Douala puis transférés nuitamment sur Yaoundé. Toutes choses qui selon Albert Dzongang n'a respecté aucune procédure en la matière.
 
C'est alors que le président de la Dynamique allié de Maurice Kamto lors de la présidentielle d’octobre 2018, Albert Dzongang, a porté plainte le 18 février dernier contre le patron de la Police judiciaire dans le Littoral Raymond Essogo pour "violation de domicile, abus de fonctions et arrestation et détention arbitraire".
 
Albert Nzongang accuse le patron de la police judiciaire du littoral d’avoir le 28 janvier dernier, "autour de 1 heures 30 minutes", commandité le déploiement d’un dispositif de sécuritaire constitué de militaires cagoulés, des camions anti-émeutes autour de sa résidence sis à Douala Ndokoti, alors qu’il recevait des invités chez-lui.
 
"Aux environs de 20 heures 30 minutes, des individus fortement armés ont fait irruption dans mon domicile scandant haut et fort qu’ils étaient qu’ils étaient en possession d’un mandat de perquisition signer du procureur de la République près le parquet du Tribunal de Douala Ndokoti. Au motif dudit de mandat de perquisition et usant d’une violence, ils m’ont arrêtés avec mes invités ; Maurice Kamto, Penda Ekoka, ma ménagère, ma fille, mon chauffeur et pleins d’autres personnes qui étaient de passage sur les lieux ou attirés par la curiosité", relate Albert Dzongang.
 
La procédure est en cours et pourrait aboutir à l'annulation de la procédure en cours au tribunal militaire, si le vice de procédure est confirmé par le juge pénal.
 
Stéphane Nzesseu

 

Published in Politique






Sunday, 05 June 2022 11:01