L’annonce a été faite ce mercredi par le Gouvernement ivoirien au terme d’un conseil des ministres tenu sous les auspices du président Alassane Ouattara au palais présidentiel d’Abidjan. L’une des résolutions fortes découlant du conseil, les numéros de téléphone de 08 chiffres actuellement, passeront à 10 chiffres à partir du 31 janvier 2021 ou plutôt le 21 février de la même année au plus tard.
« Le Conseil a adopté un nouveau plan de numérotation en vue d’anticiper les perturbations des réseaux sociaux et sauvegarder l’économie nationale. Le nouveau plan national de numérotation proposé est de dix chiffres au lieu de huit. La date retenue pour le basculement est le 31 janvier 2021 au plus tard », selon les indications faites par Sidi Tiémoko Touré, le porte-parole du Gouvernement ivoirien.
Touré souligne que ce nouveau plan de numérotation proposé au Gouvernement par l’autorité nationale de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI), va permettre d’avoir une capacité de 10 milliards de numéros.
A en croire les explications M. Touré auparavant, le plan de numérotation actuelle qui est constitué de l’ensemble des numéros téléphoniques disponibles arrive bientôt à saturation à cause du rythme de consommation et des besoins sans cesse croissants notamment en matière de téléphonie mobile.
Innocent D H
Cette commission a huit jours pour rendre sa copie.
L’information a été révélée hier 27 février 2020 par Adolphe Lele Lafrique le gouverneur du Nord-Ouest. C’était au cours de la cérémonie de distribution des produits de première nécessité à 200 familles déplacées en majorité de Ngarbuh. Les résultats de la commission créée sont attendus dans huit jours. Le patron de cette région anglophone en proie à la crise sociopolitique a laissé entendre que le Président Paul Biya veut connaître les auteurs des tueries de civils dans la localité de Ngarbuh, département de Donga-Mantung.
A titre de rappel, le meurtre des populations civiles dans la localité de Ngarbuh a eu lieu le 14 février 2020. Les images relatives à ce meurtre qui ont circulé sur la toile, ont montré des corps de personnes calcinées totalement. Aujourd’hui, où les voix se sont levées pour condamner cette exaction, deux choses font l’objet de querelles entre le gouvernement et les organisations non gouvernementales, une certaine frange de la presse; la société civile. Il y a le nombre de personnes qui ont été tuées.
Mise au point : Le Cameroun recadre Human Rights Watch
Pour ce qui est du nombre de morts, la position du gouvernement est qu’on a enregistré cinq individus tués. LeJeune Mbella Mbella le Ministre des Relations extérieures l’a redit lundi dernier, devant le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies. Il a indiqué qu’il y a eu une femme et quatre enfants décédés en raison d’un incendie provoqué par des échanges de tirs entre les forces de l’ordre et des groupes rebelles. «Certains organes ont, sans la moindre investigation fait allégation du massacre de 22 personnes, y compris des femmes, et de 14 enfants perpétré par les forces de défense et de sécurité», a déclaré le Minrex.
Mgr Samuel Kleda en célébrant la messe en hommage des tués de Ngarbuh, s’est offusqué de la guerre en cours concernant le nombre exact de personnes massacrées. Il a indiqué qu’une seule mort est grave. «Plusieurs personnes ont été tuées, mais, les gens font des discours sur le nombre de morts et chacun avance ses chiffres. Pourtant, ce n’est pas là le problème. Même s’il y a un seul mort, c’est quelque chose d’extrêmement grave, parce que la vie est sacrée», a déclaré l’archevêque de Douala.
L’autre point qui créé la discorde porte sur les auteurs de ces meurtres. Car si le gouvernement pointe un doigt accusateur en direction des séparatistes, des Ong comme Human rigth wacth indexent l’armée.
Liliane N.
Lors d’un point de presse donné ce Jeudi, le porte parole du gouvernement a une fois de plus, une fois encore recadré cette prétendue Ong qui ne fournit que des rapports partiaux, en faisant à chaque fois taire les exactions commises par les terroristes
« L’Organisation Non Gouvernementale dénommée « Human Rights Watch » a publié le 25 février 2020, un rapport manifestement partial et essentiellement à charge, contre les Forces Nationales de Défense et de Sécurité, intitulé : «Cameroun : Massacre de civils dans la région séparatiste.»
Dans ledit rapport, il est fait état, une fois encore de façon totalement infondée, « du meurtre de vingt-une personnes civiles dont une femme et treize enfants, dans une attaque armée menée le 14 février 2020, dans la localité de Ngarbuh, Département du Donga-Mantung, Région du Nord-Ouest».
En outre, les Forces Nationales de Défense et de Sécurité y sont accusées d’avoir « incendié cinq maisons et commis de nombreux pillages et autres passages à tabac des populations, accompagnées en cela par plusieurs membres de l’ethnie peule Mbororo».
Le Gouvernement de la République rejette en bloc les allégations contenues dans ce rapport de « Human Rights Watch », et rappelle à l’intention de la communauté nationale et internationale, qu’à la suite de l’incident survenu à Ngarbuh, LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, SON EXCELLENCE PAUL BIYA, a prescrit une enquête, en vue de clarifications approfondies de tous les aspects liés à cet incident.
Alors que l’enquête est en cours, l’ONG « Human Rights Watch », à l’instar de plusieurs autres groupes revendiquant le statut d’activistes politiques ou de défenseurs des droits humains, s’est empressée de publier un bilan erroné de ce regrettable incident, tout en décrivant avec force détails et de façon fantaisiste, les péripéties supposées de l’enchaînement des faits, ainsi que les auteurs présumés, sans avoir effectué la moindre descente sur le terrain, ni une quelconque investigation.
Le Gouvernement camerounais dénonce fermement cette démarche, qui illustre sans conteste toute la mauvaise foi de ces organisations, inlassablement déterminées à porter atteinte à l’image du Cameroun et à la stabilité de nos Institutions.
Il convient tout d’abord, de noter que c’est la méthodologie des recherches censées soutenir ce rapport de « Human Rights Watch », qui est sujette à caution, et par conséquent, traduit toute la légèreté de la démarche trompeuse entreprise par cette ONG.
C’est le lieu de préciser que « Human Rights Watch » ne dispose d’aucune preuve matérielle susceptible d’étayer ses affirmations, au regard de la vacuité des données présentées à l’opinion à partir des éléments ne reposant sur aucune investigation sérieuse.
Il est loisible pour tous de constater que le rapport de cette ONG, par ailleurs coutumière des accusations gratuites contre le Cameroun, est articulé autour de prétendus témoignages du reste non authentifiés, inspirés par des sources généralement non identifiées dont personne ne peut certifier la fiabilité. On peut aussi constater que, même dans l’hypothèse de l’effectivité des témoignages, ceux-ci sont toujours à charge contre le Gouvernement camerounais, parce que obtenus sous la contrainte, auprès des populations qui sont, soit inféodées malgré elles aux terroristes, soit, menacées de représailles qu’elles pourraient subir du fait d’un témoignage mettant en cause les bandes armées sécessionnistes.
Cette peur de témoigner objectivement ou d’afficher une position qui pourrait déplaire aux terroristes, n’épargne pas non plus, certaines hautes personnalités des organisations internationales et même des autorités morales, tels que les Chefs religieux et les Chefs traditionnels, voire des leaders politiques, astreints au silence par peur de représailles.
« Human Rights Watch » affirme par ailleurs s’être appuyée sur des images satellitaires montrant des habitations en feu dans la localité de Ngarbuh, pour ainsi incriminer les Forces Camerounaises de Défense et de Sécurité.
Dès lors, la question qu’il convient de se poser est celle de savoir, si l’existence de telles images suffit à prouver que l’Armée camerounaise est l’auteur de ces incendies ? Certainement pas.
Du reste, dans ses différentes communications sur cet incident, le Gouvernement a lui-même indiqué que c’est au cours des accrochages qui ont eu lieu entre six éléments d’élite des Forces Armées Camerounaises et les sécessionnistes lourdement armés, qu’un incendie s’est déclaré dans le refuge fortifié qui contenait des explosifs et des produits inflammables stockés par lesdits rebelles. Il s’en est suivi des explosions, puis des langues de feu qui se sont propagées jusqu’aux habitations voisines.
En tout état de cause, ce qui achève de convaincre sur la partialité absolue de « Human Rights Watch » dans l’élaboration de son rapport, ce sont les accointances avérées entre l’auteur dudit rapport et les milieux terroristes.
Le Gouvernement camerounais détient en effet depuis quelques jours, des preuves irréfutables établissant des liens entre d’une part, Madame Ilaria Allegrozzi, présentée comme chercheuse senior au sein de l’ONG « Human Rights Watch », auteur du rapport biaisé incriminant les Forces Armées Camerounaises, et d’autre part, de nombreux terroristes sécessionnistes qui mettent régulièrement à sa disposition et à sa demande, depuis le début de la crise dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, des photographies, des vidéos, ainsi que des informations sur leurs diverses abominations, afin que celles-ci servent plutôt d’arguments à charge contre nos Forces de Défense et de Sécurité.
S’agissant des liens entre les bandes criminelles qui sèment terreur et désolation parmi les populations de ces deux Régions, l’interpellation le 24 février 2020, d’un dangereux terroriste sécessionniste dénommé NFOR YACUBU, et l’exploitation de son téléphone portable, ont permis d’établir que l’intéressé entretient d’étroites relations de complicité active avec Madame Ilaria ALLEGROZI.
C’est ainsi que dans plusieurs de leurs échanges par messages téléphoniques, cette dernière demande au terroriste, alors présenté comme un spécialiste du trucage d’images destinés à la propagande sécessionniste, au-delà de tous les crimes, violences et trafics illicites auxquels il se livre au quotidien, « de lui fournir autant que possible, en les fabriquant de toute pièce, des documents visuels, photographies et vidéos, montrant les Forces Camerounaises de Défense et de Sécurité en train de commettre des violences sur des civils».
Pour y parvenir, on sait aujourd’hui que la plupart de ces terroristes se déguisent en policiers, gendarmes et militaires, en arborant les tenues des Forces Nationales de Défense et de Sécurité, pour tromper la vigilance des populations et commettre les violences les plus atroces, sous l’étiquette de l’Armée camerounaise.
Aussi, les images servies à Madame ALLEGROZI de « Human Rights Watch », sont-elles allègrement présentées, pour soutenir les violences imputées aux Forces Camerounaises de Défense et de Sécurité. Dans une autre de leurs multiples conversations, Madame ALLEGROZI demande à son affidé, le terroriste sécessionniste NFOR YACUBU, « de toujours prendre la précaution de supprimer sur son téléphone, tous les contenus de leurs conversations, pour des raisons de sécurité».
C’est dire, au regard de nombreux autres éléments émanant de l’exploitation dudit terroriste, que le Gouvernement est aujourd’hui en mesure d’affirmer que les prétendues investigations de « Human Rights Watch » dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud- Ouest, se sont limitées aux contre-vérités inventées par son acolyte, le terroriste NFOR YACUBU, au moyen de techniques de trucages sophistiqués.
Mesdames, Messieurs,
Voilà donc comment fonctionne cette terrible usine à mensonges montée par Madame Ilaria ALLEGROZI, et dont « Human Rights Watch » se sert de façon ignoble, dans un objectif de stigmatisation systématique des Forces Armées Camerounaises, et partant, de déstabilisation de nos Institutions.
Il est sans doute important de révéler que Madame Ilaria ALLEGROZI, qui il y a quelques années, était employée par Amnesty International, avant de rejoindre « Human Rights Watch », n’est pas inconnue du Cameroun.
Le caractère permanemment inexact et fallacieux de ses informations sur notre pays, a en effet décidé les autorités camerounaises à l’expulser hors du territoire national, le 12 avril 2019, et à arrêter conséquemment, toute collaboration avec l’ONG qui l’emploie.
On peut donc comprendre l’acharnement particulier avec lequel, depuis lors, Madame ALLEGROZI mène une véritable vendetta contre notre pays, principalement dirigée contre les Forces Nationales de Défense et de Sécurité, et contre le Gouvernement camerounais, sous le faux prétexte de la protection des droits humains.
A cet égard, il y a lieu de noter que les manœuvres pernicieuses de l’ONG « Human Rights Watch » sont aujourd’hui dénoncées par plusieurs acteurs médiatiques nationaux et internationaux, ainsi que par des organisations de la société civile.
C’est notamment ce qu’atteste un dossier publié par l’Agence France Presse sur son site dédié au Fact- Checkings, intitulé, « Vrais drames, fausses informations: quand les réseaux sociaux alimentent les tensions au Cameroun ».
A travers ledit dossier, l’Agence France Presse révèle jusqu’à quel point la situation de tension qui prévaut dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, est envenimée par les commanditaires de cette crise et par les partisans des bandes armées sécessionnistes, au moyen des réseaux sociaux.
Au gré de ces manipulations, les partisans des courants sécessionnistes multiplient des publications fausses et trompeuses, en sortant des images de leurs contextes, pour illustrer des atrocités qu’ils imputent ensuite à l’Armée camerounaise.
C’est aussi ce que l’on remarque dans des publications diffusées le 15 février 2020 sur l’incident de Ngarbuh, où des images prises dans un pays d’Afrique de l’Ouest à la suite d’un accident de la circulation, ont été utilisées pour soutenir la thèse de massacres prétendument perpétrés par l’Armée camerounaise, dans sa lutte contre les bandes terroristes dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
Et ce n’est pas tout
Pas plus tard que ce jeudi 27 février 2020, il a été établi que des personnes dont les noms sont publiés par certaines Organisations Non Gouvernementales comme figurant parmi les prétendues victimes de Ngarbuh, sont bel et bien vivantes et qu’elles résident comme déplacés internes dans les villes de Yaoundé, Douala, Bafoussam et Bamenda.
En outre, alors que « Human Rights Watch » s’attèle à présenter des membres de l’ethnie Mbororo comme des milices co-auteurs des massacres de Ngarbuh et alliés du Gouvernement dans cette cause, une autre organisation de la société civile fait état des violences et autres exactions, ainsi que des pillages avec vols de bétails, subis par lesdites populations minoritaires, du fait des bandes armées sécessionnistes, qui au cours d’une récente attaque, auraient fait une quarantaine de morts, parmi lesquels, des enfants âgés de moins de 5 ans.
Une situation d’une évidente gravité, mais qui ne semble pas émouvoir outre mesure « Human Rights Watch », pas plus que l’assassinat dans des conditions insoutenables, de Madame Florence AYAFOR, ainsi que celui de centaines de membres des Forces de Défense et de Sécurité, décapités, émasculés, torturés ou enterrés vivants par des bandes armées sécessionnistes, des enfants tués, kidnappés et violés, pour s’être rendus à l’école, des enseignants assassinés ou violentés, pour avoir osé braver les mots d’ordre de fermeture des établissements scolaires, etc.
Il vous sera du reste présenté tout à l’heure, à travers des images, quelques-unes de ces atrocités, au terme de ma présente déclaration.
Mesdames, Messieurs,
Cette collusion de certaines ONG avec les milieux terroristes, s’étend jusqu’au secteur de la santé, où il a été noté que Médecins Sans Frontières avait pratiquement transformé certains centres d’accueil médicaux en refuges des sécessionnistes séparatistes, se refusant à informer les autorités, tel que requis, de la présence de tout blessé par balle dans leurs établissements sanitaires.
S’agissant de nos Forces de Défense et de Sécurité qui constituent manifestement la principale cible des pourfendeurs de notre Nation, il convient de s’interroger sur les raisons profondes de l’acharnement dont elles font l’objet, alors même qu’elles sont engagées dans une mission à la fois citoyenne et républicaine, de préservation de l’intégrité territoriale et de sécurisation des populations et de leurs biens.
C’est le lieu une fois de plus, d’exprimer aux Forces Armées Camerounaises, l’appréciation et le soutien du peuple camerounais tout entier, ainsi que la Très Haute confiance du PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHEF DES ARMEES, pour leur sacrifice, leur dévouement et leur professionnalisme dans l’exercice de leur exaltante mission.
Faut-il encore rappeler que, face aux hordes de sécessionnistes hors-la-loi, résolues et déterminées à tout mettre en œuvre pour annihiler les multiples efforts entrepris par le Gouvernement pour un retour à la vie normale dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, c’est à nos Forces de Défense et de Sécurité que nous devons aujourd’hui les avancées significatives enregistrées sur le terrain, notamment, la reprise des enseignements dans les écoles, lycées, collèges et universités, ainsi que celle des activités socio-économiques des populations, qui vaquent de plus en plus sereinement à leurs occupations.
C’est cette même Armée aujourd’hui prise à partie par certains, dont on s’est réjoui pourtant des prouesses, dans ses combats contre la secte terroriste Boko Haram de plus en plus réduite à sa plus simple expression dans la Région de l’Extrême-Nord. Ce sont toujours ces Forces Nationales de Défense et de Sécurité, qui aujourd’hui, portent haut l’étendard du Cameroun au sein des missions internationales de paix à travers le monde, avec une égale bravoure, le même professionnalisme et le même sens de la discipline.
De plus, il faut le dire pour l’exalter, les Forces Nationales de Défense et de Sécurité vont bien au-delà de leurs missions strictement militaires, pour mener de nombreuses actions d’assistance et d’accompagnement social auprès des populations. Nos Forces Armées sont aux côtés des populations, pour leur apporter un soutien multiforme, en termes de soins médicaux, d’appui à l’éducation ou encore de réhabilitation des infrastructures de base endommagées par les exactions terroristes.
Comment comprendre dès lors qu’une telle armée soit accusée de retourner les armes mises à sa disposition pour défendre la République, contre les populations dont elle assure la protection au quotidien ?
Pour le comprendre, il faut admettre que dans la conspiration qui est ourdie contre nos institutions, les Forces Armées Camerounaises constituent un véritable rempart contre lequel les ennemis de la République ont décidé de s’attaquer, pour faire tomber l’édifice national, en s’appuyant sur quelques suppôts à la solde d’intérêts à peine voilés et qui, au fil du temps, dévoilent leurs sombres desseins.
Fort heureusement le peuple camerounais, dans son immense majorité n’est pas dupe, il a pleinement conscience des enjeux de l’heure, et il entend rester vigilant et mobilisé pour faire échec aux manœuvres de déstabilisation d’où qu’elles viennent, solidaire de son Armée et confiant dans le leadership éclairé du PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, SON EXCELLENCE PAUL BIYA.
Il y a fort à parier que les organisations telles que « Human Rights Watch », continueront à s’obstiner dans la désinformation et la manipulation de l’opinion.
Pour autant, face à cette obstination, le Gouvernement camerounais, pour sa part, entend tout mettre en œuvre, avec ses partenaires de bonne volonté, pour une résolution définitive de la situation qui prévaut dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest… ».
N.R.M
Le Dr Erik Essousse Directeur des élections a précisé que l’organe dont il a la charge, s’occupera de l’organisation matérielle de ce scrutin partiel.
Le Conseil constitutionnel a décidé le 26 février 2020, d’annuler les élections législatives dans 11 circonscriptions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest (Noso). Le Conseil a pris cette décision, à la suite du recours qui a été introduit dans sa juridiction par le Social democratic front. Approché donc, par Cameroon tribune le quotidien gouvernemental, le Dr Erik Essousse a indiqué en gros, qu’il n’y aura pas grand chose à changer, pour ce scrutin partiel qui doit être organisé entre 20 et 40 jours.
« Les dispositions prises à notre niveau sont pratiquement les mêmes. A savoir que Elections Cameroon est chargé de l'organisation matérielle des élections. En tant que tel, nous allons reprendre cette organisation pour ces circonscriptions bien précises puisque la continuation du double scrutin ne concerne cette fois-ci que les législatives. Et comme ce seront les mêmes acteurs, notamment, les mêmes partis politiques et les mêmes électeurs, nous n'ajouterons pratiquement rien au dispositif déjà en place », a-t-il déclaré.
Dans le recours que le Sdf a introduit au Conseil constitutionnel, le parti du Chairman Ni John Fru Ndi a reproché à Elections cameroon (Elecam), le fait d’avoir délocalisé et regroupé les bureaux de vote dans des zones inconnues des électeurs. Selon le Sdf, cela a empêché certains électeurs d’accomplir leur devoir civique.
Sur ce point Elecam apportera des changements. C’est ce qu’a laissé entendre le Dr Erik Essousse qui a tenu à donner la raison pour laquelle, les bureaux de vote ont été délocalisés. «Il faut d'emblée noter que ces mesures ont été prises pour des raisons de sécurité. L'objectif visé était la protection des électeurs. Maintenant que cela pose problème, nous allons rapprocher les centres de vote des électeurs et surtout, les multiplier pour permettre leur rapprochement, comme le prévoit la loi», a expliqué le Directeur des élections.
Liliane N.
Dans un rapport publié il y a quelques heures celle qui prétend être une chercheuse senior sur l’Afrique à Human Rights Watch a proposé une liste des victimes des évènements malheureux de Ngarbuh en plus de ses autres élucubrations
Et pourtant, des informations non officielles font état de ce que dans ce « répertoire » figurent les noms des femmes et des enfants qui vivent depuis dans la capitale politique Camerounaise depuis un peu plus de trois ans. D’autres parlent de deux ans et nombreux sont ceux qui ont été recensés parmi les réfugiés internes ayant trouvé gîte et couverts à Bamenda, Douala et Yaoundé.
Certaines se seraient confiées sur les antennes d’un média de la place car elles ne comprennent pas comment et sur quelle base leurs noms apparaissent dans le document de Human Rights Watch. Refusant de servir de prétexte ou d’armes dans cette cabale orchestrée par cette prétendue Ong contre leur pays, avec des complicités avérées, dont celle du nommé Nfor Yacubu, interpellé par les Forces de Défense et de sécurité, toutes les familles mentionnées dans le rapport de Ilaria Allegrozzi « auraient consulté les avocats et envisageraient de porter plainte… ».
Mais que cherche Human Right Watch au Cameroun ?
Bien malin celui qui sera capable d’apporter une réponse concrète et convaincante à cette question. Depuis le début de la crise sécuritaire dans les régions du Nord et du Sud Ouest, les travailleurs de cette prétendue Ong semblent avoir comme mot d’ordre d’incriminer les Forces de Défense et de Sécurité de toutes les tueries qui se vivent là bas.
Ces individus qui sont de connivence avec les terroristes, ces prétendus spécialistes d’on ne sait trop quoi qui soutiennent et protègent ceux qui financent les meurtriers des populations qui ne demandent qu’à vivre en toute quiétude ont franchi une autre étape.
Ilaria Allegrozzi dans son « torchon » accuse les Peuls : « Au moins 30 Peuls armés ont tout d’abord pénétré à pied dans Ngarbuh 1, un quartier de Ngarbuh, le 13 février vers 11h00 du soir, pillant de nombreuses maisons… ».
Et portant, la réalité est toute autre. Il ne se passe pas un seul jour, sans que ce peuple ne subisse des exactions de la part de ces ambazoniens qui donnent l’impression d’agir « en toute impunité » parce que bénéficiant du soutien des Ong comme Human Rights Watch et de nombreuses autres qui n’ont jamais décrié même pas une fois, l’assassinat sauvage de ces Femmes et Enfants.
Nul besoin de revenir sur le travail que fait l’Armée Camerounaise. Contrairement à ce qu’affirme cette femme, les Forces de Défense et de Sécurité veillent au grain, en défendant certes l’intégrité du territoire national, mais les Soldats construisent les ponts, encadrent les enfants, aident les femmes à accoucher, font des dons, soutiennent de façon multiforme, ces populations qui, au fil des années ont appris à leur faire confiance.
Il apparaît dès lors pour Ilaria Allegrozzi et ses semblables que la production des torchons ne va jamais mettre à mal la confiance que les Camerounais ont vis-à-vis de leurs Forces de Défense et de Sécurité. Ils ne vont par ailleurs pas permettre que les Peulhs deviennent aujourd’hui la nouvelle cible de leurs bassesses. Et qu’ils se le tiennent pour dit.
Nicole Ricci Minyem
La Centrale nationale d’approvisionnement en médicaments et consommables médicaux essentiels vient de réceptionner trois conteneurs de médicaments.
C’est une bonne nouvelle pour les personnes atteint de la tuberculose. Trois conteneurs de médicaments ont été acheminés à la Centrale nationale d’approvisionnement en médicaments et consommables médicaux essentiels (Cename). Dans ces stocks on retrouve en plus des médicaments, des réactifs, des consommables, entre autres. La quantité réceptionnée au Cename devrait répondre aux besoins des malades. Depuis trois semaines, des formations sanitaires publiques faisaient face à une forte pénurie. Il est dit que la quantité est importante et va pouvoir couvrir les besoins durant une période relativement longue.
Les trois stocks réceptionnés par le Cename ne sont pas uniquement destinés pour la région du Centre. Le Programme national de lutte contre la tuberculose a mis sur pied un programme de distribution. Ledit Programme indique que les régions du Littoral et celles du septentrion sont déjà servies. «Le fond régional du Centre a reçu sa dotation hier (ndlr : lundi), le Littoral est en train d'être livré aujourd'hui (ndlr : mardi) et nous attendons pour avoir une idée précise de la cargaison qui va au Septentrion, pour la dépêcher avant certainement la fin de cette semaine pour que ce soit positionné dans les différents centres de prise en charge», a rassuré Denis Masse, le Directeur commercial adjoint de la Cename.
Concernant la rupture évoquée des antituberculeux, au Cename, il est qu’elle a été causée par un retard enregistré au Port autonome de Douala. «Si les approvisionnements au niveau du franchissement au port de Douala se passaient normalement et rapidement, la distribution serait déjà terminée», déclare le Directeur commercial adjoint de la Cename dans le quotidien gouvernemental Cameroon tribune. Il précise par ailleurs que les produits sont arrivés au port presqu'à date, mais ont dû mettre six semaines pour sortir du port à cause de certains mécanismes qui devaient être réglés.
Liliane N.
Le matériel saisi a été mis dans des colis portant des couleurs de deux organisations internationales.
C’est une information relayée par le journal Le Messager dans son édition de ce 27 février 2020 parue en kiosque. Les faits remontent à la nuit du 11 au 12 février 2020. Ils se sont produits dans la ville de Bafoussam, région de l’Ouest. La saisie a été faite grâce à une opération de routine conduite par le Bureau spécial des recherches et des enquêtes criminelles de la région. Les informations relatives à cette saisie étant gardées secrètes, le journal Messager rapporte qu’il a été dit, que seul le commandant de cette unité spéciale de la gendarmerie était à même d’apporter des détails sur cette affaire.
« Chef du Bureau spécial des recherches et des enquêtes criminelles de l’Ouest, le lieutenant Mbeleck est peu disert sur la question. L’officier en charge de cette unité n’infirme pas l’information soutenue par de nombreuses sources. D'ailleurs, des cartons contenant des casques de couleur blanche ainsi que des gilets sont entreposés dans des coins de l’unité. Seule réponse donnée à nos préoccupations : « il s'agit d’une opération menée par la légion de gendarmerie de l’Ouest, il y a quelques semaines."«Destinataire introuvable», peut-on lire dans les colonnes de Le Messager.
Toutefois le quotidien à capitaux privés rapporte que les colis ont été pris dans une agence de voyage de la ville de Bafoussam. Ils provenaient d’un terminal voyageur de la ville de Yaoundé. Le contrat de transport présenté par l’agence de voyage, indique que ces colis devaient être récupérés par un destinataire. Seulement le fameux destinataire reste inconnu. Même la gendarmerie affirme qu’il «reste introuvable à ce jour ».
Le Messager précise que d’après ses interlocuteurs les colis ayant le matériel militaire devaient finir dans la région du Nord-Ouest. Il y a des indices qui donnent libre cours à cette hypothèse. «Approché à ce sujet, le chef du Bureau spécial des recherches et des enquêtes criminelles, le lieutenant Adolphe Mbeleck lance : «les enquêtes sont ouvertes pour comprendre ce qui se passe. La hiérarchie de la légion donnera d’amples informations dans les tous prochains jours », peut-on lire dans le journal.
Liliane N.
Selon la substance d’un communiqué de cette Fondation portant la signature de son président, le personnel de cette organisation caritative qui vole au secours des populations victimes de la crise sécuritaire dans le Nord-ouest et le Sud-ouest (NoSo), va être auditionné ce jeudi 27 février 2020 dans les services du Secrétariat d’Etat à la défense en charge de la gendarmerie nationale (SED).
En effet, ces auditions vont faire suite à la convocation téléphonique verbale qu’aurait reçu le président, Ayah Ayah Abine en date du vendredi 21 février 2020. A en croire la teneur du document, celui-ci « convoqué de façon irrégulière au SED (services de la DCCA), le président Ayah s’y est rendu malgré tout, en vue de faire la preuve de sa bonne foi et de ce que la Fondation n’avait rien à cacher. La Fondation Ayah entend ainsi s’étonner du harcèlement dont elle est objet de la part d’un cabinet noir, qui se cache derrière des personnes physiques qui ne méritent pas notre attention alors qu’ils ont certainement mieux à faire que d’essayer de torturer moralement une organisation caritative », note-t-on.
Rappel des faits
Dans les faits exposés par la Fondation Ayah, l’on relève que cette organisation est la première à déposer une plainte pour diffamation le 07 janvier 2020. Dans les motifs présentés, elle condamne les fausses accusations reliant à son égard l’achat mensonger d’armes aux sécessionnistes dans le NoSo.
« Il se trouve fort curieusement qu’aujourd’hui, cette plainte est bloquée et portée disparue. Or étrangement, une contre plainte déposée par les protégés et leurs alliés, deux semaines après la nôtre, est aujourd’hui instruite avec une extrême diligence alors que la plainte initiale de la Fondation déposée deux semaines avant, n’a toujours fait l’objet d’aucune avancée », excipe la Fondation Ayah. Ce qui fait croire à celle-ci, d’être en face de la preuve tangible qu’elle est l’objet d’une machination ourdie par certaines hautes autorités camerounaises.
Dernières nouvelles
Le communiqué fait également savoir qu’aux dernières nouvelles, « le compte de la Fondation Ayah a été non seulement bloqué mais aussi que les informations détaillées y relatives circulent sur les réseaux sociaux, une énième tentative de déstabilisation de nos activités ».
S’appuyant sur ces éléments, la Fondation accuse sans crainte ce cabinet noir de tenter d'accroître l’isolation des populations innocentes du Noso. L’organisation dont Ayah Ayah Abine en est le président, voit là une privation de ces populations de bénéficier des services caritatifs indispensables dont elle leur apporte chaque jour dans la limite de ses modestes moyens.
Toutefois, la Fondation Ayah affirme pour finir qu’elle « continuera de tenir informée l’opinion publique camerounaise et mondiale, afin que ni son nom, ni sa réputation ne subisse le moindre préjugé du haut de cette cabale montée de toute pièce ».
Dr Succes Nkongho : « Le retrait de l’armée dans le NOSO n’est pas la solution »
Innocent D H
Dans une correspondance rédigée il y a quelques heures le ministre délégué auprès du ministre de la Justice Garde des Sceaux assène quelques vérités au président français après sa malheureuse sortie
« Cher Monsieur Macron,
Je vous ai entendu récemment affirmer que dans les pays où les élections transparentes ne sont pas organisées, vous soutenez les ONG et la société civile. Vous avez ensuite laissé entendre que le président camerounais SE Monsieur Paul Biya, n’aurait pas été élu dans le cadre d’une élection transparente. Cela est archi faux et je l’ai expliqué dans mon livre intitulé De la démocratie récréative.
Je suis la preuve vivante de ce que tout ce que vous avez dit là est faux. Avant, moi aussi je tombais dans ce piège de la désinformation qui laisse croire que les élections en Afrique seraient une mascarade tant qu’elles ne sont pas validées par les offices occidentales.
Depuis j’ai compris comment fonctionne le monde et le Grand Capital pour déstabiliser les pays africains dans des conflits post électoraux qu’ils organisent dans le cadre du chaos-business au détriment des peuples et des États moins puissants. J’ai bien compris que les entrepreneurs du chaos-business alimentent les révolutions pour faire disparaître les États afin de s’accaparer de leurs ressources du sol et du sous-sol.
J’ai compris que les guerres hybrides qui se mènent par procuration par les africains interposés contre d’autres africains souverainistes visent essentiellement à remettre l’Afrique comme elle était au moment du partage au congrès de Berlin en 1884, c’est à dire une terre sans maître où les puissances pouvaient venir exploiter voire piller les innombrables richesses sans être inquiétées.
Il s’agit essentiellement pour ces nouveaux conquérants du monde de couper les têtes dirigeantes des pays africains et sud américains pour pouvoir disposer librement des pays ainsi laissés sans dirigeants. La Libye est un exemple qui parle tout seul. La Yougoslavie a déjà disparu de la carte géographique du monde. Le Soudan divisé paie le prix de la démocrature occidentale.
Le Mali aussi dont le Nord reste sous occupation. L’Irak ne se relèvera pas se sitôt. La République Centrafricaine est un État sous perfusion depuis qu’on a déposé le” dictateur Bokassa”, la RDC, vaste pays africain, vit dans des remous sociopolitique depuis que Mobutu a quitté le pouvoir.
Je suis la preuve vivante que les élections sont libres et transparentes dans mon pays le Cameroun (certes les irrégularités constatées ici et là son congénitales à toutes élections), car, étant donné mon opposition première et farouche contre les dirigeants de mon pays, j’ai pu réussir à les gagner et à les perdre démocratiquement, en toute transparence avec le code électoral actuel qui n’est pas plus mauvais que les acteurs veulent le prétendre. Ce sont eux qui sont en cause, pas le code.
N’en déplaise aux théoriciens de la fiction de fraude. Le président de PCRN Cabral Libii aussi a gagné avec ce code, de même que le Maire Paul Eric Kingue, opposant radical s’il en est et ayant des raisons de se radicaliser, Directeur de Campagne du Professeur Maurice Kamto du MRC à la dernière élection présidentielle transparente, est sorti de prison à la suite de sa participation à des infractions réprimées, pour aller gagner dans les urnes plusieurs Mairies et des sièges à l’Assemblee Nationale.
Ne soyez point induis en erreur comme moi, hier, par les bonimenteurs du chaos qui n’ont dans la bouche que des mots aussi faux que fraude et aussi infâmes que génocide et tutti quanti.
Pendant longtemps, très longtemps, j’ai suivi ces sirènes de la surenchère politique et de la déstabilisation des pays africains, croyant que je me battais pour la souveraineté de notre pays. Je sais d’expérience, pour avoir été longtemps avec eux, que ces gens là préparent la révolution quand d’autres préparent les élections et qu’ils travaillent par procuration pour le Grand Capital International qui met à mal nos pays africains en général et particulièrement le Cameroun, pays convoité, situé au cœur du golfe de Guinée, véritable Jardin d’Eden.
Je suis convaincu que nos dirigeants africains mais surtout le président Paul Biya, qui est, dois-je le souligner, hors d’atteinte de toute pression, je suis persuadé donc qu’il est le meilleur garant, le meilleur protecteur et le meilleur bouclier de la souveraineté du Cameroun. Et ceci n’est pas baratin pour mon maintien en poste, ma conviction est le résultat de l’observation des enjeux géopolitiques mondiaux, au regard des efforts que fournit précisément le président Paul Biya pour se mettre au dessus de toute pression et protéger son pays des contrats léonins qui ont longtemps freiné notre décollage.
Votre peuple rencontre autant de difficultés que le nôtre et je dois même dire que les français souffrent plus que les africains, si j’en juge par la violence des Gilets Jaunes et la rudesse de l’opposition à laquelle vous faites face dans votre pays. Nos jeunes africains, par contre, ont à table leur plat bien remplis, pourvu qu’ils s’en donnent la peine, mais ils souffrent sérieusement, gravement même je dirais et uniquement de la maladie de la démocratie, ce virus inoculé à travers l’éducation coloniale et la religion coloniale pour les détourner des valeurs africaines qui ont fait de l’Afrique de jadis la première puissance du monde.
Ils n’ont plus dans le cerveau que des mots armés contre eux tels « démocratie, alternance, droit de l’homme, dictature » et que le dernier ferme la porte! Ils sont ainsi détournés du travail de la terre nourricière ancestrale pour s’agglutiner dans les villes et y conduire les taxis et les motocyclettes qui inondent nos Marchés à la place des vivres frais qu’ils pourraient cultiver comme leurs pères et transformer pour exporter chez vous.
Nos terres arables sont à leur disposition de même que tout l’or enfouis dans notre sous-sol qu’ils abandonnent pour venir en esclavage chez vous, appâtés par la fausse publicité que vous leur donnez chaque jour du mirage de votre richesse.
Nous avons le plus grand intérêt à accorder nos visions des lendemains dans le cadre de ces guerres dont souffrent aussi bien vos pays que les nôtres à cause du nouvel ordre mondial qui se met en place par des individus plus puissants que les États.
Mais dans tous les cas, il n’est pas de l’intérêt du peuple français que ses dirigeants nous traitent avec condescendance voire avec mépris car ce serait scier la branche sur laquelle votre peuple et votre pays sont assis.
Il ne fait l’ombre d’aucun doute que nous avons tout ce que vous n’avez pas et donc que nous sommes plus riches que vous. Il ne serait pas intelligent à mon avis de vouloir prendre par la force ce que vous pouvez obtenir dans un cadre contractuel équitable où chaque partie tire profit.
Vous savez par exemple que si nous sommes capables d’exploiter nous mêmes nos ressources du sous-sol et de les transformer dans le cadre de notre industrialisation, vous risquez de perdre le vaste marché de consommation de vos produits que constitue le milliard du peuple africain n’est-ce pas? Mais nous savons tous les deux que tous les efforts consentis pour empêcher l’industrialisation de l’Afrique sont vains et qu’il serait bénéfique aussi bien pour vous que pour nous, mais davantage pour vous, de régler la question de nos intérêts communs autour d’une table de négociation.
L’Afrique est généreuse par nature, et pardonne aussi, mais si elle a survécue à quatre siècles d’esclavage et de traite négrière, à près d’un siècle de la colonisation, c’est bien parce qu’elle est dotée d’une capacité de résistance et de résilience qui la met au-dessus de toute destruction. Nous avons apprivoisé l’art de renaître de nos cendres. C’est pourquoi je vous demande de prendre en considération mes recommandations pour réajuster la politique extérieure de la France dans l’intérêt bien compris de nos deux peuples… ».
N.R.M
Le Réseau des défenseurs des droits humains en Afrique centrale appelle le gouvernement à assurer la protection des Mbororos, considérés comme un peuple nomade.
Le Réseau des défenseurs des droits humains en Afrique centrale (Redhac) dénonce et condamne le massacre des populations Mbororos dans la région anglophone du Nord-Ouest. Dans le communiqué qu’il a rendu public, le Redhac relate des assassinats des populations suscitées aux dates du 14 et du 16 février 2020.
A la première date, le Redhac note qu’il y a eu une trentaine de personnes tuées parmi lesquelles, des enfants de moins de 5 ans d’âge, au quartier Ngarbuh. Pour la deuxième date, le Réseau dirigé par Maximilienne Ngo Mbe indique que les séparatistes ont ôté la vie à toute une famille dans la localité de Mbui-Mbem, arrondissement de Nwa dans le département du Donga-Mantung.
« Il n’y a aucune preuve de liens entre les deux incidents (Ngarbuh et Mbui-Mbem). Ils ont eu lieu dans deux endroits éloignés. De nombreux autres cas d’exécutions extrajudiciaires ont eu lieu pendant le conflit au cours des trois dernières années. Le Réseau des défenseurs des droits humains en Afrique centrale tient à vous informer de noter, que cette énième démonstration de crime, intervient dans un contexte d’attente des résultats officiels du double scrutin du 9 février 2020 », peut-on lire dans le communiqué presse parvenu à la rédaction d’Agence Cameroun Presse.
Le Redhac interpelle donc le gouvernement en lui rappelant que les Mbororos sont considérés comme un peuple nomade. Le Réseau demande à celui-ci, aux Forces de l’ordre et aux autorités d’assurer la protection et la sécurité de ce peuple, parce qu’il semble avoir été pris pour cible par les séparatistes.
« Selon des militants des droits de l’homme, les Mbororos sont pris pour cible par les séparatistes en tant qu’ethnie parce qu’ils les accusent de soutenir le gouvernement, pour leur richesse en bétail, pour le règlement des comptes sur les différends fonciers historiques et le fait que, par leur mode de vie, ils sont les plus vulnérables, situés dans les zones reculées, où les séparatistes ont installé leurs camps... Selon des activistes Mbororos, environ 11,755 Mbororos ont été déplacés, dont 3,755 enfants et 246 personnes tuées, plus de 153 millions de francs collectés en rançon, plus de 2600 bovins saisis et 470 de leurs maisons incendiées par les séparatistes », écrit le Réseau de Maximilienne Ngo Mbe.
Liliane N.
Âgé de 17 ans, l’élève en classe de 1ere A au lycée Classique d'Edéa est parti de la maison familiale le samedi 16 Février dernier aux environs de 9h et c’est à 15h le lendemain que son corps sans vie est retrouvé dans la Sanaga dans un état de putréfaction avancé.
Cris de lamentation, larmes de désespoir de ses parents, interrogations mais aussi sentiment de culpabilité de n’avoir pas su ou pu protéger leur enfant. Il faut souligner que ce dernier poursuivait ses études en toute sérénité, encadré par un père Surveillant général au lycée d'Ossombah à Edéa premier. Un encadreur qui veille à ce que sa progéniture bénéficie aussi bien d’une bonne éducation que d’une bonne instruction ; des qualités qui fondent des personnes responsables et prêtes à faire face à ce que la vie peut leur offrir comme défis à relever.
Au-delà des sentiments sus cités, il y a un besoin de justice et de recherche de vérité.
C’est la raison pour laquelle Jean Um, le papa du jeune Mahop Germain Loïc va faire appel aux éléments des forces de sécurités afin qu’une enquête soit ouverte. Certes, l’état de décomposition avancée du cadavre de son enfant l’a obligé à l’inhumer dans la précipitation. Mais, auparavant, il a pu faire quelques constats, notamment « l’absence de l’eau dans l’abdomen de son fils », ainsi que quelques autres petits détails qui l’ont amené à penser que son enfant a été lâchement assassiné, comme nous le révèle notre source.
Cette dernière nous fait en outre savoir que « Vivant aux abords du fleuve Sanaga, ce n’est pas la première fois que la famille voit un corps sorti de l’eau et celui du jeune Germain Loïc était totalement différent de ceux qu’elle a coutume de voir… C’est ce qui nourrit sa recherche effrénée de la vérité. Elle veut que les circonstances réelles de la mort de leur enfant soient établies malheureusement, l’enquête semble piétiner… ».
D'autres proches affirment que de son vivant, « conscient qu’il ne savait pas nager, Germain Loïc ne s’était jamais aventuré vers les abords de la Sanaga. Il n’aurait donc pas eu l’idée de s’y aventurer surtout tout seul…On ne réfute pas la thèse de la noyade mais, si c’est le cas, elle a été provoqué par d’autres personnes. Peut être qu’il a été tué ailleurs et transporté pour être jeté dans le fleuve. Nous savons que ce ne sont que de simples supputations mais, il est important que l’enquête soit menée avec diligence pour que ses assassins répondent de leurs actes. Que nous puissions faire le deuil… En plus, le reste de la famille, en l’occurrence le papa est lui aussi en danger. Il faut les protéger ».
Il s’agit là du cri de cœur lancé par une famille qui s’est vue amputée de l’un de ses membres. Les parents accouchent leurs enfants afin que ces derniers les enterrent. Mahop Germain Loïc lui a été conduit en terre par les siens, un traumatisme que de nombreux géniteurs n’arrivent pas à surmonter.
Nicole Ricci Minyem
Une complicité entre un terroriste sécessionniste ambazonien et Ilaria Allegrozi, membre de l’ONG Human Rights Watch, a été découverte. L’exploitation du téléphone du nommé NFOR YACUBU, interpellé par les Forces de Défense et de Sécurité, ont permis d’établir des liens avec cette chercheuse "sénior" qui a pour habitude de produire des rapports incriminant le gouvernement camerounais.
Un sécessionniste ambazonien, NFOR YACUBU, a été interpellé le 24 février dernier par les Forces de Défense et de Sécurité dans la ville de Ndu, département du Donga Mantung. L’opération a été rendue possible grâce aux dénonciations des populations et autorités civiles.
D'après leur témoignage, cet individu se faisait remarquer par l’arnaque et un comportement exagérément violent à l’endroit des citoyens. Il est également connu comme étant le coordonnateur des mouvements ambazoniens dans le Donga Mantung (Ground Zero Coordinator of Donga Mantung).
Après son arrestation l’exploitation de son téléphone, notamment des groupes WhatsApp, a permis d’établir un profil exact du suspect. Tout d’abord, son identité de terroriste a été confirmée. L’une de ces missions était la manipulation des médias, des ONG et des puissances internationales. D’où la nature des informations que l’on retrouve dans les rapports de certaines ONG internationales pour qui la vérification des faits n’est qu’un léger détail.
S’appuyant sur les conversations et les fichiers de son téléphone, il s’est avéré qu’il est membre actif de plusieurs fora WhatsApp ambazoniens et dans lesquels il joue un rôle très important pour ses pairs. Il serait une référence en matière de fabrication de bombes artisanales, un logisticien à qui les combattants s’adressent en cas de besoin d’armes.
On a pu y dénicher des discussions avec Ilaria Allegrozi dans les quelles elle insiste pour obtenir « à tout prix des preuves montrant les forces de Défense et de sécurité brûlant des villages et commettant des exactions ». Dans cet ordre d’idées, il a envoyé à Ilaria, une vidéo supposée de l’incident de Ngarbuh, dans laquelle on peut voir une maison en terre cuite brûlée et le corps d’une femme couché au sol morte.
Il faut noter que les contenus envoyés à la chercheuse étaient méticuleusement sélectionnés par ce manipulateur. Lors d’une intervention dans un forum il se félicite « d’avoir Ilaria dans sa poche et de lui avoir fourni des informations qui vont faire que l’armée soit accusée ».
En plus, le nommé Nfor Yacubu serait un expert dans la réalisation et la propagande de vidéos de destruction des villages. Des vidéos exploitées par des contacts tels que Mme Ilaria Allegrozi et autres personnalités ayant pour habitude d’incriminer les forces de sécurité et le gouvernement camerounais.
Dans d'autres messages, la "respectable chercheuse" - qui n'a de respectable pas grand chose, demande même à son interlocuteur d'effacer tous les messages qu'elle lui envoie, au fur et à mesure qu'il les reçoit. "Pour des raisons de sécurité" dit-elle. En fait, la raison est bien plus obscure: sa seule source afin de construire son rapport à charge, c'est la filière terroriste. Comment prendre dès lors au sérieux un rapport ultra-agressif, basé sur des assertions non-confirmées par des sources neutres ? Comment prendre au sérieux ce rapport qui a été écrit par une personne qui tente probablement de survivre au Coronavirus qui touche gravement le nord de l'Italie ? Il faut dire que la dame n'est plus la bienvenue au Cameroun et comme l'a expliqué la presse locale ces derniers jours, si elle n'est plus venue au Cameroun depuis longtemps, c'est car depuis toujours elle attaque le Cameroun de manière injustifiée et non-fondée. Ce qui était des "on-dit" selon les ONG, est enfin prouvé au grand jour ce soir.
Quoi qu'il en soit, d'autres révélations sont à venir. Et Ilaria n'est pas la seule à prendre ses sources auprès des terroristes, sans vérifier la véracités des faits... Il y a aussi une journaliste de l'Agence France Presse !
Sortez les popcorns, regardez bien comment Ilaria va se défendre, affirmant qu'il ne s'agit que "d'une source" parmi d'autres... Mais si elle était intelligente elle ne le ferait pas. Elle sait ce que disent les conversations. Et tout sera publié petit à petit _
C’est ce qui ressort de cet entretien que le professeur Didier Raoult, directeur de l’Institut Méditerranée Infection à Marseille a accordé à nos confrères de « 20minutes.fr »
A Marseille, l’Institut Méditerranée Infection (IHU), centre de référence unique en France pour la prise en charge des maladies infectieuses dont le Covid-19, a décidé en conséquence de commander un stock de chloroquine, dans l’optique de soigner d’éventuels futurs malades du coronavirus chinois. « Coronavirus : Fin de partie ! », titre même l’IHU sur son site Internet dans un article sur les bienfaits de la chloroquine. Le professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU et passablement agacé par les réserves, critiques et autres commentaires suscités par cette décision, explique à 20 Minutes ce choix.
- Pouvez-vous expliquer ce qu’est la chloroquine ?
C’est un très vieux médicament. C’est le médicament probablement le plus utilisé avec l’aspirine dans l’Histoire de l’humanité. Les jeunes ne le connaissent pas car ils ne l’ont pas connu comme antipaludéen. Les gens qui vivaient en Afrique comme moi prenaient tous les jours de la chloroquine. Tous les gens qui allaient dans ces pays chauds prenaient ça pendant tout leur séjour, et tous les jours pendant les deux mois après leur retour. Il y a des milliards de gens qui ont pris ce médicament. Et il ne coûte rien : dix centimes le comprimé. C’est un médicament qui est extrêmement sûr et qui est le moins cher qu’on puisse imaginer. C’est donc une super bonne nouvelle ! Tous les gens qui ont connaissance de ces bienfaits devraient se jeter dessus.
- Certains scientifiques sont moins enthousiasmes que vous sur les bienfaits de la chloroquine contre le coronavirus, à l’image du professeur Astrid Vabret dans « Sciences et Avenir »…
Les ragots des uns et des autres, je m’en fous. Ça ne m’intéresse pas. Mon métier, c’est les maladies infectieuses, et ce depuis quarante ans. Je me sens obligé, car je crois que c’est maintenant nécessaire, de communiquer ce que je sais, et non pas des opinions, sur la recherche en maladie infectieuse. Après, ce que vous en faites, je ne suis pas prophète. Je m’en fous. J’essaie d’être le plus clair possible. Quand on a montré qu’un médicament marchait sur une centaine de personnes alors que tout le monde est en train de faire une crise de nerfs, et qu’il y a des andouilles qui disent qu’on n’est pas sûr que ça marche, ça ne m’intéresse pas !
- Allez-vous utiliser la chloroquine à l’IHU pour soigner contre le coronavirus ?
Les scientifiques chinois sont des gens très sérieux. Ce ne sont pas des zozos, et ils ont montré que la chloroquine marche. Ça serait honnêtement une faute médicale que de ne pas donner de la chloroquine au coronavirus chinois. Ça n’a pas de sens. Soyons sérieux. Demain, vous commencez à être essoufflé. Vous avez un coronavirus chinois et vous avez 40 de fièvre. Et les gens vous disent : « Vous savez, je n’y crois pas à la chloroquine contre le coronavirus chinois ».
- Qu’est-ce que vous faites ?
A l’IHU, nous allons mettre en place un protocole thérapeutique. Nous, ce qu’on veut, c’est soigner les malades. Il y a des gens qui arrivent avec une maladie grave, et on a montré que le seul traitement contre cette maladie, c’est la chloroquine. Donc, pour ne pas donner de la chloroquine, il faut être farci ! Donc on va prévenir le ministre pour lui dire que si les gens qui arrivent ont un coronavirus chinois, on va les traiter par la chloroquine parce que c’est le seul traitement dont on a eu la démonstration qu’il marchait. C’est tout ! Ce n’est pas mystérieux, c’est de la médecine, pas des potins de télévision !
N.R.M
Les activités marquant la semaine de la Journée internationale de la femme (JIF) viennent d’être lancées à Kribi dans la région du Sud par le ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille, le Professeur Marie Thérèse Abena Ondoa. La thématique retenue cette année est Cameroun est fort évocateur au regard de sa structuration.
« Promotion de l’égalité et protection des droits de la femme à l’horizon 2020 : Dresser le bilan des actions menées, fixer un nouveau cap ». Tel est le thème de la célébration de la 35ème édition de la JIF au Cameroun. Ici, il est question pour les femmes de porter haut leur voix pour promouvoir justement l’égalité. Elles doivent alors dénoncer les nombreux problèmes auxquels elles font face au quotidien notamment les violences et les maltraitances dont elles souvent victimes.
C’est aussi l’occasion de promouvoir l’autonomisation de la femme et de lutter contre toute forme de violence à son égard. Elles doivent davantage plaider en faveur de leur implication dans les sphères de prise de décisions. C’est pourquoi pour cette nouvelle édition, plusieurs innovations sont introduites.
C’est le cas de la région du Nord où « plus que par le passé, plusieurs administrations sont impliquées dans les activités marquant de la semaine de la femme en organisant régulièrement des rencontres pour marquer d’une pierre blanche cette édition du 08 mars », nous confie madame Abdoulaye Amoa, déléguée régionale du Minproff pour le Nord.
Le lancement des activités marquant la célébration de cette 35ème édition de la Journée internationale de la femme par le Minproff à Kribi ce mercredi était donc le lieu d’interpeller toutes les femmes à mettre la main à la patte pour que le 08 mars 2020 connaisse un succès pour le bonheur des femmes.
Innocent D H