Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux la femme qui s’en est prise de nombreuses fois au Président de la République du Cameroun lors de ses séjours en Europe paye t –elle aujourd’hui le prix de sa haine ?
Ses pleurnicheries
Celle qui, en compagnie de ses compagnons a résolu d’en découdre également avec tous ceux qui soutiennent le Cameroun à travers l’Institution qui le représente, à l’instar des artistes musiciens, les journalistes et des personnes lamda dit ceci : « Il faut que le peuple Camerounais sache ce qui m’arrive. Il faut qu’il sache que j’ai donné mon pied pour ce foutu combat…
Je suis tellement découragée. Je suis dégoûtée, je sors de l’hôpital, on dit que j’ai perdu mon pied, que je ne peux pas récupérer mon pied…
Ceux qui voulaient me voir mourir, soyez satisfaits. Soyez satisfaits, j’ai perdu un pied. J’espère que vous êtes contents, il faut passer le message, à ceux qui ont tant souhaité, à ceux qui ont jubilé, j’ai cassé mon pied à Lyon.
Oui, Boris Berthold, j’ai la confirmation. Je suis à la clinique, au Lilas. Le médecin vient de me dire que ma fracture s’est compliquée et qu’on ne peut rien.
Mon pied est fini, on ne peut plus rien pour moi. On ne peut plus rien pour mon pied. Mes détracteurs, j’espère qu’ils sont contents…J’espère que mes détracteurs sont satisfaits.
J’ai perdu un pied, j’ai perdu mon pied, mon pied me fait si mal. J’ai fait la courageuse pendant des mois. Là maintenant, je suis à l’hôpital et le chirurgien me dit qu’on va m’opérer demain pour me soulager de la douleur mais que la fracture s’est compliquée.
Et dans tout ça, il n’ya que moi seule, moi seule qui suis dedans. On est parti au combat, on était nombreux, maintenant, je suis seule dans ma souffrance…
Les gens qui ont jubilé parce que j’ai cassé mon pied, vous pouvez le faire plus maintenant, parce que ce pied, je l’ai perdu…Et je suis dégoûtée, je suis dégoûtée par les Camerounais. Ils jubilent quand un des leurs a mal. Maintenant, j’ai perdu mon pied à jamais… ».
Réactions de quelques internautes
Zoutique Zouarazoute : « Wnny Savanah, tu es toi-même la source et l’origine de ton malheur. Je ne compatis pas à ta douleur. Tu faisais quoi derrière le Chef de l’Etat Camerounais ? Ce n’est pas toi qui a dit de tuer le Président Paul Biya ? Tu étais fière d’humilier un Monsieur comme lui partout en Europe jusqu’à faire des tentatives de meurtre contre notre Président de la République…Si tu veux poser ton malheur sur quelqu’un, accuses la Bas, Mrc, Talibane… ».
Christiane Batchom : « Voilà ce qui arrive lorsqu’on s’en prend à toute une Institution comme le Président de la République du Cameroun. Que celui que tu voulais ardemment installé à Etoudi te donne son pied ».
Marie Thérèse Debeve : Tu as tout dis ma sœur, comment une mère de famille peut devenir Commando terroriste?, voici donc les conséquences, au regret de te le dire, ça servira. Dr leçonsa Barrat, Tchaptchet, Sandy, et à toutes les femmes violer par elchenou, un seul mot continuer abim té onong ».
Nicole Ricci Minyem