Ils sont de plus en plus nombreux les camerounais qui désertent tous les jours de ce mouvement pseudo-révolutionnaire.ils ne vivent que pour de l’argent à travers des actions de maquillage politique.
Le masque tombe tous les jours sur les véritables intentions de cette caste d’anti patriotes avides de gros sous. La vérité c’est qu’ils vivent uniquement pour susciter les cotisations de plusieurs camerounais et ennemis du Chef de l’Etat. Etre rebelle est un nouveau job pour plusieurs d’entre eux. C’est la raison pour laquelle la stratégie est la même : multiplier à souhait les publications sur Facebook, faire le maximum de direct pour se montrer le plus méchant, le plus virulent, le plus engagé et le plus déterminé à faire partir Paul BIYA du pouvoir. Et lorsque vous avez la côte, vous pouvez vous aussi bénéficier des subsides et des prébendes mises à la disposition de l’instrumentalisation politique.
Les dernières actualités autour de la BAS le démontrent bien.
Dans une guerre épistolaire entre Brice Nitcheu, Calibri Calibro et Big MAMI, sur les réseaux sociaux, les camerounais ont bien pu se rendre compte de la machination dans l’ombre. Etre contestataire du pouvoir de Yaoundé est un véritable fond de commerce. Dans ces joutes, BIG MAMI a clairement accusé Brice Nitcheu d’être un escroc et qu’il vole et détourne l’argent des cotisations envoyé par les contestataires. Alors que les deux camps ne s’entendaient pas sur la mise sur pied d’un unième gouvernement fictif, dit « gouvernement de transition ». La BAS est une organisation disparate financée de façon très occulte par tous ceux qui veulent voir tomber le régime de Paul BIYA.
Lire aussi : Jean Arthur Awoumou : « La BAS est une organisation néo-nazis »
Telle que les choses sont mises en place, il va de soi que la Brigade Anti Sardinard sert les intérêts d’autres logiques de pontes tapis dans l’ombre. Il suffit juste de se rappeler des péripéties autour des financements des activistes comme Boris Bertolt et autres. Précisément, l’affaire des 147 000 euros qui auraient été injecté par Edgard Alain Mebe Ngo’o, soit environ 96 millions de FCFA. Le partage de cet argent avait créé la brouille entre les principaux acteurs de la Brigade Anti Sardinard. Le partage du gâteau se fait au plus violent, au plus virulent. Pour gagner assez d’argent, il faut insulter, accuser, inventer des révélations incendiaires, des contre-informations pour se faire la maximum de vue et partant de popularité.
Stéphane NZESSEU