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Secteur bancaire : La Cobac sanctionne au Cameroun 15 dirigeants de banques et microfinances

C’est l’une des sanctions disciplinaires prises par la Commission bancaire de l’Afrique centrale (Cobac) à l’issue de ses sessions disciplinaires virtuelles tenues les 25, 26 et 27 août 2021 à Libreville au Gabon. Ces institutions sont accusées de violation des règles liées à la lutte anti-blanchiment et le non-respect des normes prudentielles, apprend-on d’un communiqué de la Cobac.

 

A la lumière du communiqué rendu public par la Cobac, ces sanctions disciplinaires vont à l’encontre des dirigeants de 12 institutions financières en zone Cemac. En effet, au Cameroun trois banques sont concernées par lesdites sanctions. Il s’agit entre autres de la Banque atlantique du Cameroun (BACM), dont la totalité des organes sociaux s’est vue infliger des sanctions de la Commission.

C’est ainsi qu’un blâme pour non-respect d’une injonction a été servi au PCA Léon Koffi Konan ainsi qu’au DG Eric Valéry Zoa et au DGA, Sayouba Ouedraogo etc. Ces derniers ont été également sanctionnés pour manquements graves aux textes relatifs à la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement terrorisme.

La Cobac a pour ces manquements, démis de leurs fonctions les membres du Conseil d’administration de cette entreprise, à la tête de laquelle le président Léon Koffi Koman. Pour ce qui est des autres membres, il s’agit de : Paul Mesmin Ntonga, Kone Dossongui, Daniel Toure, SoungaloTraoré, Albert Kouinche, Georges Wilson et Jean Victor Ngue entre autres.

Signalons en outre que, Jilius Manju Berdu, administrateur provisoire à NFC Bank a quant à lui reçu un avertissement pour défaut de vigilance en matière de lutte contre le terrorisme et le blanchiment des capitaux. Avertissement également adressé aux dirigeants sociaux de la Congolaise de banques (LCB Bank) et la Banque de l’habitat du Tchad pour non-respect d’une injonction du régulateur.

Les commissaires aux comptes d’Etablissements de microfiance (EMF) n’ont pas elles aussi échappé aux sanctions de la Cobac. Dans ce registre, il s’agit de Sofined Cameroun, CEC, CCEC ED, APesa Funds etc. Ces établissements ont reçu un blâme pour non-respect de leurs obligations réglementaires d’alerter le secrétariat général de la Cobac et de lui communiquer tout rapport adressé aux organes exécutifs, révèle le communioqué rendu public par le gendarme du secteur bancaire.

Innocent D H    

Published in Finances

Dans un communiqué rendu public ce 21 septembre, le Ministre camerounais des Transports (Mintransports) la société SOTRAC Sarl, dont la responsabilité a été établie dans le drame qui a fait 16 morts le 5 août dernier sur l’axe Ayos-Yaoundé, écope d’un train de sanctions.

 

En effet, le ministre Jean Ernest Ngalle Bibehe décide que tous les camions appartenant de la SOTRAC Sarl sont interdits de circuler sur l’ensemble du territoire national, et « ne peuvent ni être loués, ni être cédés », pendant une période de 12 mois. Selon le communiqué du Mintransports, cette période correspond à la durée de la suspension des certificats d’immatriculation du tracteur et de la remorque directement impliqués dans cet accident. Des engins qui du reste présentent un défaut de documents administratifs exigés.

Par ailleurs, cette société est interdite d’exercer toute activité de transport routier de marchandises sur toute l’étendue du territoire durant ces 12 mois. Quant au chauffeur de l’engin, « en fuite », il est interdit de postuler aux examens de permis de conduire durant 5 ans pour « conduite sans permis de conduire », apprend-on.

En rappel, le 5 août dernier, un accident mortel est enregistré sur l’axe Ayos-Yaoundé, au lieu-dit Mvog-Essindi. D’après les enquêtes du ministère des Transports, c’est un « camion chargé de grumes (…) qui a accroché le flanc gauche du bus (…) appartenant à la compagnie de transport routier interurbain de personnes Avenir de la Kadey ».

Cette suspension montre bel et bien que le Mintransports est plus que jamais déterminé à lutter contre l'incivisme des usagers sur la voie publique, à l'origine de la recrudescence des accidents de la circulation au Cameroun depuis quelques temps, endeuillant au passage de nombreuses familles.  

Innocent D H

Published in Institutionnel

Le Conseil national de la Communication (CNC) s’est tenue le 5 avril dernier à Yaoundé, la capitale camerounaise. Les conclusions de ce conclave portent sur des sanctions à l’encontre des patrons de presse et de journalistes accusés pour l’essentiel d’avoir « porté atteinte à l’honorabilité » de personnalités.

 

Les journalistes et patrons de presse sanctionnés écopent pour la plupart d’un mois de suspension pour des faits de diffamation portés contre eux. Il s’agit précisément des Directeurs de publication et journalistes des journaux, le Point Hebdo, La Missive, le Miroir, l’Epervier, Essingan, La Cloche Hebdo, La Nouvelle. Parmi les journalistes sanctionnés, figure Sismondi Barlev Bidjocka promoteur de RIS Radio. Il prend trois mois de suspension pour ses « chroniques de Sismondi ».

Selon plusieurs sources, des patrons des médias épinglés font déjà savoir qu’ils ne respecteront pas ces suspensions. Ce qui ouvre une fois encore un bras de fer entre ces journalistes et patrons d’entreprises de presse. Un bras de fer qui devenu donc coutumier entre le régulateur (CNC) et les médias, ces derniers ne reconnaissant aucune légitimité du Conseil national de la Communication.

Indiquons par ailleurs que les décisions du CNC sont très souvent classées par la justice, le principal argument des accusateurs est le défaut de qualité de ses membres dont les mandats sont habituellement échus. Pourtant ces membres du Conseil national de la Communication sont nommés par décret du Président de la République.

Innocent D H

 

 

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Sunday, 05 June 2022 11:01