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Two female Government teachers are reported to be currently in Amba captivity in Nkambe, a locality in Donga Mantung Division, troubled North West region of Cameroon. The latter are asking for the sum of FCFA 6 million to release them.

The families of two female Government technical teachers in Nkambe have been without news on their whereabouts since Friday September 10 when they were reportedly abducted by gunmen believed to be Ambazonia fighters.

According to Cameroon News Agency, the two women were allegedly kidnapped for going to school to teach. Their abductors we learned are demanding FCFA 6 million to release them.

One of the two teachers is a nursing mother of a four months old. Reports say before her abduction, she had her matriculation number suspended for not showing up in school.

Since the crisis in the two English-speaking regions of Cameroon became violent, kidnappings have been the order of the day in some parts of those two regions. Teachers have been victims of this. Some were released and others killed in captivity.

Last year, eleven of them were kidnapped from a school in Kumbo, in the Bui Division of the North West region after gunmen raided the area. After spending two days in the hands of their captors, the kidnapped teachers regained their freedom.

The kidnapping came days after the murder of seven schoolchildren in Kumba, South West Region by gunmen four of whom were recently slammed death penalty by the Court in Buea.

This violence on teachers and students have been described by many as way to scare parents from sending their children to school in the regions as non-State armed groups continue to battle with Government forces to obtain the independence of the regions.

The regions have been marred by protests and violence since 2017, with residents saying they have been marginalized for decades by the Government and the French-speaking majority.

The violence over the last three years has claimed an estimated 3,000 lives and caused the displacement of over 730,000 civilians, according to Human Rights Watch.

That notwithstanding, back to school in the two regions this year is said to have witnessed some great positive changes.

 

Ariane Foguelm

Published in Défense

Selon nos sources, les Forces de sécurité ont lancé une chasse à l‘homme pour libérer les enseignants kidnappés.

La population qui vit dans la ville de Kumbo dans la région du Nord-Ouest, demande que les enseignants du Presbyterian School enlevés hier 03 novembre 2020, soient remis en liberté. Nos sources parlent au moins de 11 enseignants pris alors qu’ils se trouvaient sur le campus de l’école par des hommes armés, qui les ont menacés.

Le Révérend Samuel Fonki modérateur de l’Eglise presbytérienne du Cameroun a sorti un communiqué pour confirmer ce kidnapping. Il a indiqué que parmi les victimes, il y a aussi le personnel de la direction de l’école.

A en croire les habitants de Kumbo, la Presbyterian School fait partie des rares écoles du département de Bui, qui continuent de fonctionner en dépit des violences dues à la crise. Et il se trouve que  l’administration de cette école a été menacée à plusieurs reprises par des garçons qui s'identifient comme des combattants séparatistes. Pour l’heure, on a appris que les Forces de sécurité de Kumbo auraient lancé une chasse aux hommes pour récupérer les ravisseurs.

L’attaque de la Presbyterian School survient après celle de l’école privée Mother Francisca International Bilingual Academic. Celle-ci s’est produite le samedi 24 octobre 2020. Les hommes armés qui ont fait irruption dans cet établissement scolaire ont ôté la vie à 7 enfants qui seront inhumés demain jeudi 5 novembre 2020.

Liliane N.

Published in Société

C’est ce que laisse découvrir une vidéo qui tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis ce dimanche 13 septembre 2020. Ces conducteurs de mototaxis auraient été enlevés dans la capitale économique camerounaise vendredi dernier aux environs de 17 heures.

 

D’après les déclarations d’un conducteur de mototaxis, des personnes non identifiées sont arrivées à bord d’un véhicule non immatriculé et ont kidnappé leurs collègues. Au moment du kidnapping, les conducteurs de mototaxis se trouvaient devant un kiosque à journaux en train de lire et de commenter les parutions du jour, a-t-on appris.

Parmi les 08 personnes enlevées, se trouve Jonas Yimeleu. Son épouse qui est à sa recherche depuis sa disparition est inconsolable. Les larmes aux yeux, elle lance : « mon mari est sorti de la maison, il est sorti de la maison à 09 heures comme d’habitude. Jusqu’à présent il n’est pas rentré. J’ai parcouru tous les postes de police, les gendarmeries, tout, je ne le vois. Je ne sais pas où il se trouve. Aidez-moi s’il vous plaît…j’ai laissé les enfants à la maison ».

« C’est depuis 06 heures que nous sommes dehors. On a parcouru tous les commissariats de Douala on dit qu’il n’est pas là…Moi je suis dépassé », a ajouté cette dame.

Dans la foulée, les collègues des conducteurs de mototaxis enlevés qui fustigent le kidnapping parlent d’une atteinte à la liberté d’expression. Ils disent s’engager à participer aux manifestations dites « pacifiques du 22 septembre 2020 », lancées par l’opposant Maurice Kamto. De sources bien introduites, ils ont déclaré d’une voix unanime : « ce n’est pas de cette façon-là qu’on va faire pour nous intimider. Nous sommes avec le peuple et nous sommes avec tous ceux qui svont sortir. En attendant nous voulons d’abord la libération de nos camarades ».

Précisons que dans la région du Littoral, les manifestations publiques sont interdites. C’est la substance d’un arrêté du Gouverneur, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua le 11 septembre dernier. Quelques heures avant, c’était son homologue de la région du Centre Paul Bea Naseri qui a décidé de l’interdiction de toute réunion et manifestation publique non déclarée sur son territoire de commandement jusqu’à nouvel ordre.

Innocent D H

Published in Faits divers

Hamidou Njouyap et ses comparses accusés de kidnapping ayant entraîné la mort d’une fillette âgée de autre ans ont été interpellés à Bafoussam et méditent actuellement sur leur sort dans les geôles de la gendarmerie territoriale de ce côté    

 

Il s’agit de quatre individus qui, au cours des derniers mois, se sont spécialisés dans l’enlèvement des enfants à des fins connus d’eux seuls. Leur instinct criminel n’a pas épargné les membres proches de leurs familles. C’est ainsi que la petite Rayna Ousna a en toute confiance accepté de suivre son « tonton » qui l’a attiré en lui promettant quelques friandises. Malheureusement, c’est son cadavre qui sera découvert quelques heures plus tard après les investigations menées par les fins limiers de la gendarmerie territoriale.     

 

 Le dénommé Mounga, proche parent, raconte les faits

« Le père est rentré le soir après une journée de travail et il a constaté que ni l’enfant, ni son épouse ne sont présents dans la maison. Les recherches aux alentours, l’appel des membres de la famille et les réponses reçues par ci par là, nous ont fait comprendre qu’il y a quelque chose qui cloche. C’est à ce moment que nous avons décidé d’interroger les autres enfants de la concession. Ce sont ces derniers qui  nous ont fait comprendre que Hamidou a appelé la petite fille en lui promettant de lui donner les bonbons ».

D’après nos confrères de Actu Cameroun, il s’avère que d’: « autres témoignages vont révéler que le jour de son forfait, le bourreau a été aperçu avec un grand sac de couleur noire. La famille a dès lors décidé de convoquer une réunion de crise et exigé la présence de tout le monde… ».  Mais, Hamidou Njouyap est absent et ne répond pas au téléphone. Toutes les initiatives prises pour mettre la main sur lui s’avèrent vaines. C’est à ce moment que tous prennent la décision de porter plainte auprès de la gendarmerie de l’Ouest, afin de signaler la disparition de la petite Rayna Ousna.

Les enquêtes ont permis aux enquêteurs de se rendre compte que ces malfrats ont établi leur quartier général dans la localité de Koutaba, département du Noun, région de l’Ouest Cameroun et, les populations ont pendant longtemps vécu dans la terreur parce qu’au-delà du kidnapping, Hamidou Njouyap et ses compères n’hésitaient pas à détrousser ceux qui malencontreusement se trouvaient sur leur chemin et certains viols de femmes et jeunes filles leurs sont en outre attribués.  

 

Ils sont tous passés aux aveux complets  

Le Sous-Lieutenant Salifou Mboula - chef bureau de la lutte contre la grande criminalité à la Légion de gendarmerie de l’Ouest s’est confié au micro de nos confrères : «Notre enquête a permis d’interpeller le premier suspect, le nommé Hamidou, oncle de la victime. L’exploitation de ses déclarations vont permettre d’interpeller les nommés Alias Kabila et Alias Aska, respectivement le 21 et 22 Avril 2020. Tous passeront aux aveux complets d’enlèvement et d’assassinat de la petite pour des fins inadmissibles…».

Alors que ses assassins vont répondre de leurs actes en purgeant des peines que l’on espère très très lourdes, Rayna Ousna a quant à elle été conduite à sa dernière demeure, en laissant dans le cœur de ses parents, un vide que rien ne pourra jamais combler mais aussi, un sentiment de culpabilité parce qu’ils vont se dire qu’ils n’ont pas su protéger leur enfant des griffes de ce prédateur qui vivait en leur sein.

 

Nicole Ricci Minyem 

 

Published in Faits divers

Encore un kidnapping dans la partie anglophone du Cameroun. Ce lundi 02 mars, s’est produit dans la région du Nord-Ouest un nouveau rapt, et c’est le maire de la commune de Mbengwi, Kennedy Mdansa qui vient d’être enlevé.  

 

Un lundi noir pour le maire de la Commune de Mbengwi dans le Nord-Ouest. Selon des sources locales, Kennedy Ndansa d’être enlevé par des individus non identifiés pour le moment. Un kidnapping qui intervient trois jours seulement après son investiture à la tête de l’exécutif municipal de la commune.  

Il n’y a pas si longtemps, c’était le cortège de madame la ministre en charge du contrôle supérieur de l’Etat Rose Mbah Acha Fomundam qui avait été l’objet d’attaques des sécessionnistes toujours dans la zone de Mbengwi. Dans ce cortège se trouvait également Kennedy Ndansa, militant du Rassemblement démocratique du peuple camerounais. Dans ce récent attaque, 5 personnes étaient blessées. 

Même si l’identité des ravisseurs n’est pas encore déterminée, les combattants séparatistes de l’Etat imaginaire d’Ambazonie restent au cœur des soupçons. En rappel, le 10 octobre 2018, le maire de la ville de Kumbo dans le Nord-Ouest avait été enlevé. Ngong Donatus avait été kidnappé par un groupe armé à Sagba, localité située dans l’arrondissement de Tubah, département de la Mezam, avait confié des sources sécuritaires. 

En février 2018, c’était le sous-préfet de Batibo et le délégué régional du ministère des affaires sociales dans le Nord-Ouest qui avaient été enlevés. L’on ne saurait oublier aussi, les deux tunisiens travaillant sur un chantier dans la région du Sud-Ouest qui ont été kidnappé en mars 2018.

Innocent D H



Published in Défense






Sunday, 05 June 2022 11:01